MONSIEUR PRIAPE. 3
Clarisse.
Je suis en extase devant ce colosse de chair qui vient de se vider et me dépêche de le lécher avant qu’une dernière goutte de sperme ne s’écrase au sol.
La mâchoire écartelée je peux juste avaler le gland.
— Hooooh .. C’est boooooonnn !
Voilà qui fait plaisir, ma salive coule aux commissures de mes lèvres, d’une main qui
n’en fait pas le tour, je fais coulisser à toute vitesse la peau de cette trique pendant que de
l’autre je palpe les énormes couilles.
Je sens la fièvre m’envahir et mon vagin se tremper!
Quel engin ! Disproportionné par rapport à celui de Paul, non ce n’est pas flatteur pour mon mari d’une taille déjà conséquentemais là
Il prend mes mains pour les refermer sur son sexe et me les maintient ainsi quelques instants. Puis il se recule pour s’assoir et écarte les jambes.
Les deux mains toujours emprisonnées. J’accède à son désir. Je m’agenouille et me mets en leur milieu. Après un rapide coup d’il à Paul comme pour lui dire "regarde, c’est ce que tu voulais ?"
Je m’abaisse et après avoir déposé plusieurs baisers sur le sexe comme pour en savourer le satiné, puis lécher consciencieusement la hampe, ouvrant le bouche en grand j’embouche la belle verge tendue.
-Suce-le Clarisse, fait comme te copine !
Ouaahh l’engin !!! La queue tenue à deux mains je gobe le gland volumineux, le branlant en même temps
-Ooooh tu es aussi une experte !
Il caresse mon petit trou. Je gémis quand il insère deux doigts dedans et titille doucement.
-Ouaah tu es déjà prête salope !!!
Je rougis et penche la tête sur le coté pour l’observer.
Il pénètre trois doigts, ramone lentement mon illet distendu. J’assiste au spectacle et fais signe à mon mari de venir voir ça.
Je gémis de plus en plus, râle et ondule de la croupe. Mon mari s’approche ….
— Eh bien tu te donnes du bon temps ma salope !!
Guy cesse tout mouvement.
-Continue, fais-la jouir elle n’attend que ça !!! L’encourage Paul en me lubrifiant abondament le trou du cul et donnant le récipient à Guy pour la suite.
Il reprend sa fouille et pénètre profondément mon sphincter. Je reprends mes râles, soupir férocement
-Oui elle va jouir la salope !!!
J’ai envie de sentir la queue qui a défoncé Patricia m’écarteler à mon tour
— Guy encule moi !!!
— Vous le voulez vraiment ?
Minuscule entre ses bras, mes fesses reposent sur la base de son membre qui ne débande
jamais.
— Bon dieu baise moi je te dis !
— Bien .
Ses genoux prennent position entre mes cuisses, son membre menaçant bringuebale sur mes fesses, ai-je les yeux plus gros que le ventre ?
D’une main il écarte comme il peut mes fesses et de l’autre approche son gland de mon trou.
— Je vais vous déformer ..
— Eclate-moi le cul Mais baise-moi putain !!!
-Hein chérie que tu es une femelle en chaleur ? Mmmmm. Je ne t’ai jamais vu comme cela Clarisse, ça va être ta fête, Guy encule-là, elle en meurt d’envie !
Je redoute cette intromission d’un membre si fort pour un orifice si étroit.
Inutile de vous dire que la perspective réjouit Guy.
Je sens sa bouche se poser sur ma corolle et sa langue me l’enduire soigneusement de salive. Un doigt pénètre mon conduit annelé et entame un mouvement concentrique.
Un second doigt le rejoint bientôt et en plus des mouvements circulaires, il écarte les doigts pour m’étirer et me distendre les parois. Il me les enfonce de toute leur longueur.
Cela peut paraître illogique, mais à ce moment là, je m’aperçois que j’ai vraiment envie d’être sodomisée et d’appartenir à Guy comme une chienne.
Il se met à pousser lentement, sans brutalité, mais inéluctablement, pour perforer mon anneau.
L’arrondi de la queue pèse sur mon orifice, je lève la tête au maximum pour assister a
la pénétration .
-OUIIIIIIIII ! Ça y est ! J’ai avalé la tête de son nud !!
Je soulève mon bassin pour m’empaler un peu plus. Comme il fallait s’y attendre mon sphincter a cédé un peu douloureusement malgré les giclées de gel dont Guy enduit sa poutre.
— Pousse Guy, pousse ! Je n’ai pas mal . AAAAAAAHHHHH . Tu va me péter la
rondelle !
C’est comme vouloir faire entrer un camion dans le coffre d’une berline !!!
Je crois naïvement que le plus dur est fait et qu’une fois la tête passée le reste suivra aisément. Non pas ! L’énorme gland fait certes office de bélier, mais le reste est si épais qu’il me meurtrit les chairs.
Mon mari en me caressant les cheveux m’encourage à supporter l’outrage brûlant, enfin à sa façon, puisque lorsque Guy marque un temps d’arrêt, il m’informe:
-Tu sais, tu ne l’as qu’au deux tiers, il en reste un bon morceau, mais il va te la mettre en entier
Ainsi encouragé, Guy prend son élan et poursuit son inexorable progression. Millimètres par millimètres la queue fait son passage, il avance il recule, gagne du terrain, une bague mousseuse se forme autour de sa queue noueuse, mes chairs intimes sont étirées, mes muqueuses sollicitées a outrance font monter lentement une jouissance inexorable.
Dans un dernier coup de rein qui me fait gémir, il me finit.
Je me rends compte quand je sens ses couilles contre ma chatte laissée béante, il me l’a enfilée à fond. Plein de considération, il marque un temps d’arrêt et petit à petit mes muqueuses s’accoutument à l’impressionnant diamètre.
Je sens les parois de mes intestins se distendre pour épouser le mandrin qui me fore.
Ouuuh j’aime, je n’ai jamais connu une telle sensation de remplissage. Cette sensation est démultipliée quand il commence à bouger. Terrible, c’est terriblement douloureux, mais terriblement bon, il m’embrasse en me baisant.
Il se met en mouvement, doucement, comme s’il veut se retirer, il ressort, à moitié je pense, puis me ré-investit sans marquer d’arrêt en constatant.
— Tu as un petit cul serré de vierge et je vais te le défoncer !
Paul pendant ce temps me câline les seins et les épaules.
Guy se retire complètement, oh ! Peu de temps car à nouveau, je sens son gourdin à l’orée du fourreau qu’il a élargit. Il me saisit par les hanches et cette fois il me l’enfonce bien à fond d’une seule poussée en grognant.
J’ai l’impression d’être ouverte en deux, quelle sensation A partir de ce moment, il se met à aller et venir, me besognant progressivement.
Il invite Paul à se faire sucer, arguant "qu’elles aiment ça sucer en même temps". Je ne sais pas si "elles" aiment cela, mais moi oui.
Il me lime bien Tellement bien que cette vision redonne de la vigueur à Paul.
— Tu vois, cela lui plait de voir sa petite femme prendre se faire enculer, regarde comme il bandesuce le ! Commande Guy.
Je m’exécute et pompe Paul tant bien que mal, car souvent le rythme qu’il m’impose me force à le délaisser.
Guy prend visiblement beaucoup de satisfaction et augmente l’allure.
Je sens que je vais jouir, pressentant l’intensité de ce qui m’arrive. Pas facile d’articuler une verge dans la bouche. Retirant le gourdin de Paul de ma bouche, je m’exclame :
-C’est trop bon, ouiiii, je vais bientôt partir, encore, ouioui, encore, plus fort, aaaah oui défonce-moi Chéri, regarde ce qu’il me fait, c’est terrible, oh ouiii, il me remplit complètement, aaaaah je jouiiiiis !!!
J’hurle de plaisir sous un formidable orgasme.
Les longues mains de Guy parcourent mes seins et mes flancs me faisant frissonner.
Dans une sorte d’étourdissement j’entends Guy interpeller Jules : "Viens, viens la prendre, tu vas voir comme elle va couiner, n’est ce pas Paul ?
Il propose tout bonnement à mon mari de m’imposer une triple pénétration.
Jules s’allonge et je me mets sur lui. Dès que je suis empalée par devant, Guy s’introduit de nouveau dans mon cul.
Je crois devenir folle tellement mon plaisir est violent. Je bouge en même temps qu’eux pour aller chercher leurs queues et je jouis sans discontinuer.
La sensation est fabuleuse, je me sens remplie comme jamais. Sous la conduite de Guy les hommes se mettent en mouvement.
L’un se retire pendant que l’autre s’enfonce à fond, puis ils alternent et ainsi de suite. Je sens leurs sexes coulisser l’un contre l’autre à travers la fine paroi séparant mes orifices me déclenchant des vagues de plaisir pendant que je suce l’engin de mon mari.
Sous l’action de leur coup de piston, je glapis de bonheur, ce qui amuse Guy qui fait remarquer à Paul :
— Tu vois qu’elle aime ça se faire mettre en triple, comme toutes les autres salopes hein ! Dis voir dis à on mari que tu es un salope
-Chéri, oh Chéri, c’est vrai, il a raison je suis une salope
— chérie, si tu savais comme j’attendais ce moment, t’entendre dire que tu es une salope pendant que tu es prise en sandwich et qu’en plus je te baise la bouche
Guy à raison c’est vrai que tu aimes ça Dis-nous que tu aimes ça
-Oui chéri, ooooh oui. Oui j’aime ça tous les trois en même temps, vous me faîtes jouirC’est très fort !
Et effectivement vaincue par leurs rythmes la jouissance me submerge.
Je sens Paul se raidir, lui aussi va prendre son pied. Il éjacule par longues saccades et Jules n’est pas en reste et m’inonde mon minou. Guy s’est retiré, je ressens un grand vide, mon trou reste béant.
— Ouuuuhhh ! Je reste un moment indolente, les hommes aussi paraissent calmés. Mais Guy patiente sa bite titanesque posée sur mes fesses.
-Cette fois je vais t’enculer à fond mais ne me trompe pas, tu veux que je t’encule ?
-Oui Guy, je veux que tu m’encule !
-Plus fort, je crois que Paul n’a pas bien entenduqu’est ce que tu veux que je te fasse ?
-Guy, je veux que tu m’encules répétais-je en haussant le ton.
Il se positionne à nouveau derrière moi, ses pouces ouvrent encore mon anus maintenant plus accueillant. Je ne déteste pas cet envahissement anal imposant une fois l’endroit apprivoisé. Cette fois la pénétration se fait sa bite gonflée et malgré son alésage je souffre atrocement lors de l’intromission.
Guy procède, tantôt par petits coups rapides de faible amplitude, tantôt par mouvements plus longs qui me font monter des ondes de plaisir le long des reins, parfois même il ressort complètement pour mieux me reprendre bien à fond, m’arrachant de longues plaintes.
Il me pistonne sauvagement pendant qu’un orgasme fulgurant me fait voir trente six chandelles. Je le sens énorme entre mes reins
Il se raidit et rugit, des jets chauds se déversent dans mes boyaux. Il reste un moment allongé sur moi, chacun de nous trempé de sueur et essayant de reprendre son souffle. Il se retire lentement me laissant béante avec une sensation de vide que je n’ai jamais connue.
Me retournant, il m’enlace, m’embrasse longuement.
— C’était parfait, tu m’as vidé les couilles comme rarement.
Messieurs, vos petites bourgeoises valent le déplacement, je n’ai jamais eu les bourses aussi vides !
-J’espère pouvoir recommencer
Personnes ne parait s’y opposer, donc je répondis un évasif :
-Oui, peut êtrenous verrons cela
Après un dernier verre, un ultime baiser, il nous quitte en nous remerciant chaleureusement et précisant qu’il est à notre disposition.
Après son départ, nous nous retrouvons tous à la piscine pour se détendre.
Jules demande à Paul.
-Tu en connais beaucoup d’autres de cet acabit ? Bon Dieu ! Je n’aurais jamais cru voir ça, une vraie machine à baiser et avec un sacré outil !
Quel Priape !
Nous nous regardons tous et éclatons de rire.