Bonjour je suis simon ,
La quarantaine , brun , barbu assez grand un metre quatre vingt cinq pour 100 kilos , plutot baraque et je doit dire avec un visage assez effrayant de prime abord , autant dire le genre d’homme que l’on préfere avoir comme ami et que l’on aimerai pas trop croise le soir au coin des rue deserte ,
Cela fait deux ans que travail en tant que chauffeur pour un dirigeant d’entreprise qui n’a plus de permis , il se nomme monsieur jean et aussi idiot que cela puisse paraître meme si je le conduit toute la semaine et le suit lors des déplacements sur de nombreux salons et foire je ne sais pas grand chose de lui ,
c’est un homme aux cheveux blanc a la mine rondouillarde , je pense qu’il doit approche la soixantaine d’années , il n’est pas très grand je pense aux alentour du metre soixante mais se porte plutot bien je dirai aux alentours de 120 kilos
C’est le type meme de la caricature du patron costard cravate toujours tire a quatre épingles ,
En général nos échanges verbaux se limitent a bonjour bonsoir , départ a tel heure pour tel endroit , attendez moi , restez a proximité etc etc , aucunes banalités ne viennent parasite les heures de routes , ou les heures de présence sur les salons ou lors de petits déjeuner pris a l’hotel lors de ces déplacements,
Ce soir a priori il a arrose la signature d’un gros contrat avec un nouveau client il est pas très loin de vingt trois heures et lorsqu’il sort du restaurant je m’aperçois tout de suite a sa façon de tituber jusqu’à la voiture et a la façon dont sa chemise dépasse du pantalon que la fin de soirée fut décontractée, que le vin et le champagne ont du coulés a flot , l’ hotel n’est pas très loin du restaurant ou il a manger ce soir une dizaine de minutes a peine mais cela suffit alcool aidant pour qu’il commence a s’assoupir , je regarde dans le rétroviseur pour m’assurer tous de meme qu’il’ ne soit pas malade et qu’il ne s’endorme pas , je commence a me demander comment je vais faire pour pouvoir le trainer jusqu’à sa chambre d’hotel ,
Après dix bonnes minutes a trainer monsieur jean jusqu’à sa chambre et réussir a lui faire faire le code pour rentre j’arrive enfin a l’allonger tant bien que mal sur le lit de sa chambre , il bredouille quelques mots de façons a peine audible , je compris tant bien que mal demain sept heure pour le petit déjeuner , qu’auriez vous fait a ma place ?
Que faire , le laisse comme ça ? Je me décide a le dénuder pour qu’il puisse au moins dormir a l’aise , c’est très désagréable de dormir habille , encore plus les lendemain de beuverie quand on a mal a la tete ,
je commence a déboutonner sa chemise qui me laisse entrevoir un torse garni de poils blancs ou se dessine au dessus d’un ventre rond deux beaux seins aux tétons biens ronds , je lui déboucle sa ceinture et déboutonne son pantalon fait glissé le zip de sa braguette , ce qui me laisse entrevoir un slip type kangourou de couleur blanche ,
Après lui avoir enlevé ces chaussures l’avoir difficilement fait assoir au bord du lit pour lui enlever sa chemise et son pantalon voilà monsieur jean en slip et chaussettes allonge sur le lit , a moitie endormi ,
Je ne sais pas si c’est la curiosité ou l’envie , mais je glissa ma main dans son slip , mes doigts rencontrant des poils doux et soyeux avant une queue de taille et de diamètre normal , mon souffle se coupa , je me mis a trembler l’éxitation étant en train de m’envahir , je sentait ma propre queue commencer a bander dans mon pantalon,
tant pis , je n’aurai surement plus jamais l’occasion et je regréterai surement plus de n’avoir rien fait que les conséquences des actes qui vont suivre ,
m’allongeant a cote de monsieur jean j’entrepris d’embrasse ses seins tous en caressant cette toison de poils et cette queue qui mécaniquement sous l’effet d’un petit début de branlette commençait a durcir dans ce slip , j’avais souvent imaginé ce moment
Ne tenant plus je baissai et enlevai le slip de monsieur jean , ce qui me laissai voir en totalité cette queue qui surplombai deux énormes bourses blanchis par des poils blancs , mettant mes lèvres au sommet de cette queue ou des effluves d’urine de sueur et de parfum finissais de me mettre l’eau a la bouche, je commença a pomper monsieur jean ,
Mr jean essaya surement de communiquer de nouveau avec moi mais cette fois ce fut totalement incomprehensible , en tout cas la pipe que j’étais
s en train de lui faire avait fait durcir sa queue qui elle avait l’air d’aimée l’action ,
Cela faisait cinq bonnes minutes que je suçai ou branlai cette queue en ayant pose ma tete sur le ventre de monsieur jean ,
Quand je le suçai avec ma main je caressai ces deux énormes bourses , je décidai d’essayer d’aller titiller son anus avec mon index je ramassai un peu de salive qui dégoulinai de cette queue et je présenta mon doigt au bord de sa rondelle , Des spasmes secouants monsieur jean trahirent son plaisir , je sentit cette bite remuée seule dans ma bouche , une énorme quantité de sperme commença a se répandre dans ma bouche , après avoir avale une première gorgée et ayant la bouche qui commence a débordée tant la quantité de sperme était énorme je me redressa et fini de le branler , c’est la première fois que je voyais autant de sperme emané d’un seul homme , a vu d’oeil je pense qu’il avait du jouir un demi litre de sperme , il en avait de partout , sur le torse , le ventre et cela commençai a dégouliner sur ces grosses bourses ,
je suçai les ultimes gouttes de jus qui sortais de sa queue qui était maintenant de nouveau molle , pour ma part l’éxitation était a son comble j’avais envie de le baise , il n’y avait rien de plus simple a faire j’avais simplement a baisse mon pantalon lui relever les jambes , me positionner et le fourrer j’en mourrai d’envie mais je décidai d’en reste la ,
Qu’allai t’il se passe le lendemain au petit déjeuner si ce premier récit vous a plut dite le je mettrai la suite