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Mère et fils: une histoire d'amour. – Chapitre 11

Mère et fils: une histoire d'amour. - Chapitre 11



Chapitre 11 : intermède sportif.

Le lendemain est un tourbillon d’activités, car jaccompagne maman pour une virée shopping dans le centre-ville. Je vois de nombreux d’hommes, assis dans la galerie, attendant leurs épouses, suivre des yeux ma mère qui passe devant eux. Dans laprès-midi on visite une galerie dart et maman me fait rougir lorsque devant une sculpture dun nu masculin elle dit.

— Non, rien de comparable à mon Dany !

Et elle dit ça assez fort pour attirer quelques regards étonnés et quelques regards scrutateurs d’autres femmes. Maman, toute souriante continue sa visite.

En fin daprès-midi maman a accepté de maccompagner à un match de foot avec léquipe de ma fac bien quelle ne soit pas très fan de ce sport.

Maman est magnifique dans son pull vert moulant et sa jupe noire, longue, mais fendue sur le côté, et en bottes. Elle a tiré ses cheveux en arrière dans une sorte de queue de cheval et cest sûrement la plus belle femme aux alentours.

Nous sommes assis dans les gradins, parmi un groupe mixte d’anciens élèves, des professeurs et leurs conjoints et des étudiants. L’air se refroidi au cours de la première mi-temps. Maman en mangeant le hot dog que je suis allé chercher me fait un clin dil, puis murmure à mon oreille en leffleurant du bout de sa langue.

— Ce soir je vais manger un hot dog plus grand et beaucoup plus gros.

Elle me fait frissonner et cela na rien à voir avec le froid extérieur.

Elle sort de son grand cabas une sorte de couverture.

— Jai un peu froid. Pas toi Dany ?

Elle déplie la ouverture et la place sur nous deux en la tirant jusqu’à nos mentons. Maman se serre plus près de moi et ses yeux dans les miens je sens sa main sur ma cuisse et son sourire redonnerait vigueur au plus impuissant des hommes. Puis je réalise ce qui nous recouvre.

— Maman, cest la couette de Mamie Pauline

Maman hoche de la tête avec un regard amusé et une moue coquine sur son visage, confirmant ce que je sais déjà. Il s’agit bien de la couverture préférée de maman, fait par sa grand-mère, cette même couette sur laquelle maman sest trouvée, lorsque son père lui a pris sa virginité et sur laquelle, tous les deux, nous avons fait l’amour cet été, près de l’ancienne maison de famille.

— J’ai pensé qu’elle pourrait être utile ce soir, dit maman. Nous avons de bons souvenirs avec cette couette et peut-être que nous allons en ajouter ce soir.

Jai senti sa main serrer ma cuisse et quand le match a repris, elle commence à se promener le long de ma cuisse. Maman me dit.

— Avance un peu et tiens-toi droit.

Jobéis et réalise quainsi, maman a un meilleur accès à la fermeture à glissière de mon pantalon.. Lentement, maman tire sur celle-ci et puis ses doigts bien éduqués commencent leur exploration. Elle en ressort une bite déjà bien dure et avec un petit soupire daise elle murmure.

— Huuummm, elle est bien belle

— Je taime, maman…Lui dis-je alors quelle me masturbe doucement.

Je suis toujours émerveillé de son toucher habile, de ses doigts si doux qui caressent et re caressent mon membre pour le faire trembler de plaisir lorsque son pouce frôle mon méat dune façon si troublante. Son bras bouge à peine quand elle me fait ça et on pourrait croire quelle ne fait rien du tout.

— Tu sais, Dany, que ta maman taime trop ! Mais à côté de toi jai toujours envie de te toucher et de te sentir.

Ma mère continue de me caresser avec finesse et talent et moi je fais tout ce que je peux pour ne pas jouir trop tôt. Lorsque ma respiration s’accélère et que mon corps se tend, maman, en femme avertie, comprime ma queue pour faire tomber la pression. Malgré le froid ambiant je commence à transpirer et je frissonne. Pas de froid mais de plaisir.

Lorsque léquipe locale va marquer un but et que la foule rugit de joie, je les accompagne de mon cri de plaisir lorsque les doigts magiques de maman marquent aussi un point en faisant exploser ma bite. Maman creuse sa main libre sur ma bite pour attraper mon flux de sperme, et se penchant un peu, elle cri lorsque le joueur tape dans le ballon.

— Oui ! Vas-y mon gars, montre nous ce que tu sais faire !

Et sous les hourra de la foule, en tremblant de tout mon corps, je fini de me vider en regardant amoureusement ma mère.

Maman avec son joli sourire me caresse encore un peu puis remet avec affection mon sexe en place et remonte la fermeture éclair.

— Chéri, tu veux bien me servir un chocolat chaud ?

— Après ça, maman, je ferais n’importe quoi pour toi.

Je sors la thermos et je lui tends la tasse. Maman sort sa main de la couette et mes yeux sécarquillent en voyant des filets de sperme accroché à ses doigts.

— Oupss !

Maman rit et porte sa main à sa bouche pour lécher ses doigts. Elle boit ensuite une gorgée de chocolat et ajoute.

— Muuummm, ça va bien avec. Bon mélange, mais on deviendrait vite accro à ce cocktail.

Maman tire soigneusement son autre main du dessous de la couette, le creux de sa paume tenant toujours une flaque de mon sperme. Sous mes yeux stupéfaits, elle incline sa main sur la tasse de chocolat chaud et laisse couler ma crème dedans.

Maman frotte soigneusement sa paume sur le bord de la tasse pour bien mettre la totalité de mon sperme dans son chocolat chaud.

Une femme âgé de soixante ans peut-être, épouse dun professeur que je connais, passant devant nous, fait demi-tour avant de sasseoir et reste figée en regardant maman finir de déverser mon foutre dans sa tasse puis, nonchalamment, lécher sa main pour la nettoyer des gouttes de sperme restantes. Ses yeux s’agrandissent et elle halète en comprenant ce quelle vient de voir.

La femme regarde maman qui lui sourit comme une chatte heureuse et qui soulevant sa tasse comme pour porter un toast lui dit :

— Rien de tel que la crème fraîche, sortant directement du réservoir, nest-ce pas ?

La femme pique un fard rouge vif et puis un sourire flotte sur son visage. Elle fait un rapide clin dil à maman et sassied. Maman a l’air toute joyeuse en remuant de son doigts le chocolat pour bien mélanger mon sperme avec, avant de prendre une gorgée.

— Tes vraiment une

Mais je ne finis pas ma phrase car elle membrasse et me dit.

— Merci, mon chéri

Et elle déguste lentement son breuvage en me tendant par instant ses lèvres humides.

Le jeu continu et à un moment maman prend ma main et me dit.

— Oohh, bébé ! Tu as froid aux mains ? Veux-tu que je la réchauffe ?

Puis à voix basse.

— Jai envie que tu me baises, mais je vais réchauffer ta main, fils.

Je souris et maman glisse ma main sous la couette. Je ne suis pas surpris de constater que maman a remonté sa jupe pour un libre accès à ses cuisses. Je glisse ma main entre elles et je sens sa chaleur bien avant que mes doigts senfouissent dans la masse de poils bouclés de son épaisse toison. Je lui chuchote.

— On ne ta pas appris à porter des culottes maman ?

Maman sagite un peu sur les gradins, écarte encore plus ses cuisses pendant que jincline mon bras pour avoir un meilleur accès et répond.

— Veux-tu que jen mette une maintenant ?

Je souri et fait non de la tête. Mon majeur sinsinue dans sa fente humide et juteuse et je déclenche un soupir de satisfaction quand je lenfonce dans sa chatte trempée.

Je flatte les chairs humides et chaudes pendant quelques minutes, avec une pause de temps en temps pour appuyer et frotter sur un point sensible que maintenant je connais bien et qui module les soupirs de maman suivant la pression que jexerce dessus.

Jajoute un deuxième doigt et puis un troisième et maman avance son pubis pour me faciliter la tâche. Je taquine de tous mes doigts les zones sensibles et je prends maman par surprise car elle cri de plaisir

— Maman ! Chut !

— Mon cul ! Tu las cherché ! Mais continu oui là, un tout petit peu plus hautouiiiii. Aaahhh cest merveilleux, Dany

Jarrive à tourner mon poignet et mon pouce touche son clitoris que, par expérience, je sais le sortir de sa cachette et qui réclame mon attention.

Je le frotte doucement et je le sens se gonfler davantage, intensifiant les gémissements de plaisir de maman. Pendant de longues minutes je doigte la chatte de maman, lemmenant au bord de son orgasme, marrêtant, regardant le match, puis maman qui me supplie de yeux et je recommence à moccuper delle.

Comme je vous le répète souvent, dans ce moment-là, maman est la plus belle femme du monde, elle a cette aptitude très spéciale que possèdent toutes les femmes au bord de l’orgasme. Leur beauté est accentuée par le plaisir imminent. Les yeux de maman sont fermés et elle bascule très légèrement en frissonnant. Pas de froid, mais sous l’intensité de son plaisir. Je laisse mes doigts patauger à l’intérieur de sa chatte brûlante, fier de connaître les zones érogènes les plus secrètes de ma mère et jattends le bon moment pour la pousser dans le gouffre de son orgasme.

Maman gémit, désespérée et me chuchote.

— Dany, sil te plaît, fini moi maintenant.

Et le moment opportun arrivé. La foule commence à acclamer lailier droit qui file vers les buts et sapprête à faire une passe latérale à lavant-centre qui nest pas marqué. Il franchi la ligne défensive et la foule commence à hurler. Je renforce mes attouchements et mon médius se recourbe pour chercher le point « G » de maman.

Alors que la foule bondit à lexploit de son joueur, maman à son orgasme et ses cris de plaisir sont pratiquement perdus parmi les hurlements des spectateurs quand le but est marqué.

La main de maman presse la mienne, désireuse de la garder en place pendant que je continue de la doigter pendant son orgasme. Les cris de la foule montent encore dun ton et maman crie avec eux en seffondrant sur moi, son corps bouleversé et tremblant. Mes doigts baignent dans un liquide chaud et sont compressés par sa chatte qui se crispe dessus.

En levant mes yeux je vois lépouse du professeur devant nous qui nous regarde, légèrement hébétée, luttant probablement entre froncer les sourcils ou sourire. Enfin, le sourire l’emporte et maman revenant sur terre relève la tête.

Lépouse du professeur, continuant de nous regarder, je lui demande.

— Alors, on a marqué ?

Elle veut répondre mais lèche ses lèvres sèches avant de dire.

— Oui, un de plus, on gagne.

Maman se redresse et dit.

— Whaou, cest formidable !

La femme du Prof ajoute en me regardant.

— Heu, heu ils ne sont pas les seuls à marquer un but

Je ris en haussant mes épaules.

— Pas de doute sur ça !

Maman recule ses fesses et quitte enfin lemprise de ma main qui sort de sa chatte avec un bruit humide. Ma main émerge du dessous de la couette, toute luisante de cyprine. Les yeux de l’épouse du professeur s’écarquillent et elle vire au rouge vif. Je porte mes doigts à ma bouche et je dis.

— Tout le monde est gagnant

— Oh nooonn murmure lépouse du professeur, me regardant sucer mes doigts.

Maman remise de ses émotions a les yeux brillant devant ce geste qui fait ressortir ses fantasmes d’exhibition. Elle prend ma main.

— Cest merveilleux, lamour nest-ce pas Madame ?

Et elle suce son propre jus sur mes doigts et puis m’embrasse.

La femme touche sa poitrine en tirant sur le revers de sa veste, comme si elle voulait larracher et mettre ses seins à nu et un frisson dordre sexuel fait trembler les veines de son cou. Elle hoche la tête pendant que je lèche le reste de nectar de maman sur ma main et elle me sourit encore une fois avant de se retourner et essayer de regarder la fin de la partie.

Le reste du jeu se passe tranquillement, maman et moi blottis sous notre couette, mon bras autour de sa taille, pour la maintenir serrée contre moi. La femme du professeur a continué de nous donner des coups dil occasionnel et maman, dun signe de tête, me fait remarquer que la main de la femme est posée très haut sur la cuisse de son mari.

Notre équipe locale gagne et la foule applaudi. La femme du professeur se retourne et nous dit.

— Je vous souhaite à tous deux une merveilleuse soirée.

Et elle traîne presque son mari dans la foule qui se dirige vers les sorties.

— Huuummm, quelqu’un va avoir de la chance ce soir, dis-je à maman, ricanant.

Maman se penche vers moi et murmure.

— Il ne sera pas le seul fiston.

Et du bout de sa langue toute chaude, elle me fait une pichenette dans le creux de mon oreille.

Résultat je bande comme un cerf en quittant le stade. Maman me demande en sortant.

— Chéri quand devons-nous rencontrer Martine ?

— Vers neuf heures au restaurant de la place centrale. Nous avons une heure à tuer.

Je cogne sa hanche de la mienne et jajoute.

— Tu as une idée en tête ?

Maman sourit et regarde autour delle. Nous sommes près dun jardin public entouré côté rue par un petit mur en brique qui se prolonge sur le côté par un étroit passage avec le bâtiment qui le jouxte. Maman mentraîne dans ce passage en me disant.

— Viens par-là, bébé.

À mi-chemin, profondément dans l’ombre des murs, elle me tire vers elle et m’embrasse fougueusement. Une de ses mains déboucle ma ceinture tandis que sa jambe gauche passe derrière mes cuisses.

— Baise-moi, Dany, siffle maman. Jai envie de ta bite en moi. Toute de suite ! Ça urge !

Jen ai envie autant quelle et je relève sa jupe pendant quelle baisse mon pantalon et mon slip.

Maman avance son pubis contre moi et je sens sa chatte poilue contre moi. Ses grandes lèvres épanouies piège ma bite entre elles et la mouille de son jus abondant.

— Mon fils chéri va faire plaisir à sa maman baise ta mère avec cette belle queue que je sens en pleine forme. Vas-y fils !

Ma mère est sacrément excitée car dans la fraîcheur de la nuit je sens lodeur de sa chatte, cet arome puissant quelle dégage quand ses désirs de sexe sont exacerbés. Ce parfum combiné à la douce chaleur du corps nu de maman contre le mien enflamme mes désirs. Dans un grognement sauvage je pousse maman contre le mur de brique et avec une flexion des genoux je remonte ma bite vers le haut et elle pénètre dans la chatte ouverte et si accueillante de maman.

Maman crie de surprise et de plaisir sous cette attaque brutale et m’embrasse passionnément, sa langue de serpent jouant avec la mienne. Mes deux mains sous ses fesses et les siennes derrière mes épaules, elle monte et descend sur ma bite dressée et frémissante, sans se préoccuper du vent froid qui caresse nos jambes nues, car notre farouche copulation et notre désir incestueux nous tiennent chaud.

Comme deux animaux en chaleur, maman et moi, lun dans lautre claquant nos corps dans une baise furieuse et frénétique, savourons chaque pénétration ou mon sexe raide viens envahir sa chatte trempée, dégoulinante de cyprine. Lorsque maman libère ma bouche, mes lèvres vont grignoter et mordre la peau fine de sa gorge pendant que je plonge et replonge au plus profond de son sexe en feu.

Nous retrouvons encore dans cette union de nos deux corps cette sainte passion incestueuse qui nous donne tant de plaisir. Sous un rythme soutenu de ma bite qui va et vient dans la merveilleuse chatte de ma mère, nous montons rapidement vers la jouissance et lorgasme.

Maman frappe de ses poings mon dos quand elle sent quelle va connaître lextase charnel et crie.

— OOoooohhh, tu vas me faire jouir. Ouiiiiiiiiii, encore

Je lempale brutalement et lui coupe le souffle. Elle remonte ses jambes et je sens sa chatte broyer ma bite comme pour lattirer encore plus profondément dans son ventre. Les muscles de sa chatte battent ma queue et commence à la traire pour en extraire sa crème.

— Ooooh, mamanjaime ta chatte quand elle me fait ça !

Elle est douée ma maman pour faire jouir un homme et moi je cherche toujours à venir plus profondément à l’intérieur de ma mère.

Maman, dans un grand cri, laisse son orgasme éclater et moi je lâche les vannes pour pulvériser mon sperme à l’intérieur de son vagin pour le stimuler encore plus et lemmener au sommet de sa jouissance. Je sens ma mère trembler de tout son corps et je le maintien fermement contre moi pendant que je jouis en me vidant dans sa chatte brûlante et en savourant notre plaisir commun.

Nous restons en place, lun dans lautre, pendant une longue période, presque paralysés par l’intensité de notre amour, ma bite toujours absorbée par la chatte de maman qui ne veut pas la libérer.

Finalement et malheureusement, je me retire de l’étreinte amoureuse de maman et je la remets sur ses pieds. Je commence à remonter mon pantalon mais maman marrête.

— Stop ! Pas si vite mon grand. Avec le même ton quelle avait quand elle me grondait quand jétais beaucoup plus jeune.

— Tu ne vas pas priver ta mère de ses petits plaisirs.

Bien que ses jambes soit un peu tremblantes par son récent orgasme elle sagenouille devant moi pour prendre mon sexe à demi bandé et elle se lenfourne dans sa bouche gourmande. Elle suce ma bite encore pleine de nos jus mélangés et elle me fait gémir avec sa langue qui tourne autour de ma bite très sensible. Quand elle se relève ma queue est toute propre et elle tire sur mon pantalon et boucle ma ceinture.

— Je suis la mère plus chanceuse du monde d’avoir un fils comme toi, Dany… mon Dany.

— Et moi le fils le plus heureux du monde, maman, d’avoir une mère telle que toi et toujours aussi chaude et amoureuse.

Répondis-je entre nos baisers. Je mets mon bras autour des épaules de maman et nous regagnons notre voiture un peu plus loin pour aller à notre rendez-vous avec Martine, inconscient de ce qui peut se passer autour de nous, juste follement amoureux lun de lautre.

A suivre

Phantome

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