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Mère piégée, copine volée – Chapitre 1

Mère piégée, copine volée - Chapitre 1



Je relance ma série d’Histoire portant sur les mères de famille piégées par des jeunes. Mes Histoires ont été accidentellement supprimées et j’ai fait l’erreur de ne pas conserver de sauvegarde.

Les chapitres n’ont pas spécialement de lien les uns avec les autres.

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Chapitre 1 : Au Clair de Lune, le jardin des plaisirs

De quoi parle t-on?

Mélanie, 44 ans, se rend compte que son fils Jérémy, 17 ans, a fait le mur pour aller en soirée. Elle décide d’aller le chercher et de le ramener à la maison. Mais un obstacle de taille va l’en empêcher.

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La fête battait son plein devant l’immense bâtisse de Pierre. Une cinquantaine de jeunes dansaient frénétiquement sur les dernières musiques à la mode. L’alcool coulait à flot.

Jérémy debout près du bar, était hypnotisé par le déhanchement d’une inconnue sur la piste de danse.

— Jérémy !

La jupe était courte et très moulante, laissant deviner un string en dentelle.

— Allo, JEREMY !

Le ventre, dénudé, ondulait au rythme de la musique. Quant aux seins, ils…

— OH TU RÉPONDS?

Les cris tirèrent Jérémy de sa rêverie.

— Euh pardon?

— Et bah alors? A quoi tu pensais?

Sa petite amie le regardait d’un air intrigué. Il l’avait connu deux ans auparavant et avait fait sa première fois avec elle. A 18 ans, Amandine était très mignonne; petite, avec une petite poitrine, mais une paire de fesses rebondie et des lèvres pulpeuses qui laissaient présager de doux supplices. Elle portait une robe courte, qui laissait ses jambes dénudées jusqu’au milieu de la cuisse, et sans bretelles, car c’était l’été. Ils s’aimaient, mais Jérémy avait le fantasme de tenter autre chose, une autre fille, avec une plus forte poitrine.

— Je.. Non rien de spécial.

Elle ne pût l’interroger davantage. Deux des meilleurs amis de Jérémy, Guillaume et Julien, se frayèrent un chemin jusquà eux.

— Alors les amoureux, on s’amuse?, demanda Guillaume

— Bof, répondit Amandine. Tout le monde est bourré, c’est relou.

— Ah ça, je connais un remède pour ça, s’exclama Julien

Il cligna de l’il vers Jérémy et mis une petite tape sur les fesses d’Amandine.

— Une p’tite levrette dans une des chambres du haut et vous ne vous ennuierez plus, tu devrais songer à faire plaisir à ton homme Amandine.

Elle rougit de colère, mais s’abstint d’asséner une gifle à Julien. C’était un ami de Jérémy, elle ne voulait pas créer d’histoires. Et puis son petit-ami rigolait franchement.

— Bon sinon y’a un autre moyen de s’éclater !

Guillaume servit deux grands verres de vodka pure à Jérémy et Amandine.

— Allez à la vôtre les amoureux !

Naïve, Amandine ne crut pas un seul instant que ce soit réellement de la vodka. Elle but d’un trait le verre, puis surprise, s’étouffa à moitié.

— T’es… qu’un… con…

— Elle avale en plus ! Aller à ton tour Jérem’, si ta copine peut le faire, toi aussi non?

Jérémy lança un regard noir à Guillaume, mais il but son verre cul-sec.

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Mélanie était terriblement en colère. Ils rentraient d’une soirée en amoureux avec son mari, lorsqu’ils se rendirent compte que la fenêtre et les volets de la chambre de leur fils étaient grand ouverts, et son scooter introuvable. Or, ils lui avaient interdit d’aller à la fête de Pierre. De rage, Mélanie avait insisté pour aller le chercher elle-même.

Elle roulait donc en direction de la soirée, qui était à plus dune heure de voiture. Elle était d’autant plus énervée qu’elle avait passé une très bonne soirée avec son mari et qu’elle aurait aimée en profiter encore un peu plus dans l’intimité du lit conjugal. En effet, il était parti deux semaines en voyage daffaires et elle était en manque de sexe.

Pour l’occasion, elle portait un décolleté plongeant qui révélait un magnifique 90C, ainsi qu’une jupe noire arrivant à mi-cuisses. Elle n’avait pas à rougir de son corps: blonde aux yeux verts, de taille moyenne, elle allait plusieurs fois par semaine à la salle de gym pour faire de la fitness. Ses fesses n’étaient plus aussi fermes que vingt ans plus tôt, et ses hanches et cuisses étaient moins fines, mais cela ne faisait qu’ajoutait du charme à cette mère de famille sexy.

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Jérémy n’arrêtait pas de boire. Les jeux d’alcool se succédaient et il voyait de plus en plus flou. Sa petite amie, Amandine, était tout aussi saoule. Elle riait gaiement en encourageant son copain. L’alcool avait réveillé ses sens, et elle avait très envie de faire l’amour. Discrètement, elle murmura à l’oreille de Jérémy:

— Bébé, j’ai envie de toi.

— Moi aussi, répondit Jérémy

Les deux amoureux s’éclipsèrent et s’éloignèrent de la fête. Dans la partie sombre de l’immense jardin de cette vieille bâtisse, ils sembrassèrent fougueusement. Ils s’allongèrent à même le sol et Jérémy passa ses mains dans les cheveux d’Amandine, puis sur ses fesses. La jeune fille ronronnait de plaisir. Il ne sembarrassa pas de plus de douceur, et glissa sa main directement sous sa robe. Il lui enleva son string et enfonça un doigt dans le sexe d’Amandine, qui poussa un petit gémissement de surprise. Il lui mordillait le coup pendant que ses doigts s’activaient en elle et trouvaient son clitoris. Il n’avait qu’une idée en tête : baiser. Les images des seins de la danseuse inconnue, ses fesses, ses lèvres, lui provoquèrent une sacrée érection. Il sortit son sexe et l’approcha de celui d’Amandine. cette dernière était dans un autre monde; elle était trempée, et à la limite de l’orgasme. Dans un éclair de lucidité, elle attrapa la verge tant désirée, et lança un regard coquin à son copain.

— Tu crois vraiment pouvoir t’en tirer comme ça? Je veux te rendre fou avant de le faire.

Dans le clair de lune, il la vit sourire et puis passer sa langue sur ses lèvres. Elle serra ses cuisses autour de lui et commença à le masturber. Les flashs se poursuivaient dans la tête de Jérémy alors que sa copine le branlait de plus en plus vite, en poussant de petits gémissements pour l’exciter encore plus. Dans le noir, il fantasmait secrètement sur une autre, avec grosse paire de seins. Il s’imaginait la dominer, la prendre en levrette et la faire jouir comme jamais. Perdu dans ses rêves érotiques, il susurra à Amandine:

— T’aimes ça hein? C’est ton côté salope…

Ne se doutant de rien, elle lui répondit:

— Oui… Dans quelques minutes tu me prendras fort bébé.

Elle ne se rendit pas compte que son homme était déjà à un stade de non-retour. Elle glissa son autre main sur les testicules de son chéri et les caressa tendrement. Cela eu pour effet d’accentuer encore plus l’excitation de Jérémy qui tenta de l’arrêter.

— Attends… non calme toi…

— On se dégonfle ?, le taquina-t-elle en serrant un peu plus ses cuisses autour de lui. Elle remontait progressivement son corps pour que le sexe de Jérémy arrive à hauteur du sien. Mais une seconde avant qu’elle ne soit à la bonne hauteur, Jérémy grogna et éjacula, tellement fort que des gouttes de spermes atterrirent dans le cou d’Amandine.

Elle s’excusa auprès de Jérémy d’avoir été si "vilaine". Ce dernier ne lui en voulait pas, il avait pris son pied. Ils se rhabillèrent à la hâte, Amandine se nettoya avec un kleenex, et ils se dirigèrent vers la lumière. L’alcool aidant, elle oublia totalement son string rouge dans les buissons. Elle était terriblement frustrée.

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Une demi-heure plus tard, la fête était encore plus folle. La foule nétait plus aussi compacte, certains étaient déjà partis vomir ou samuser avec leur conquête, mais ceux qui étaient restés narrêtaient pas de boire.

Jérémy était vraiment dans un sale état. Il jouait avec ses potes à un jeu dalcool auquel il perdait bien trop ; et plus il perdait, plus il buvait, et plus il buvait, plus il perdait. Sa petite amie venait de temps à autre lembrasser, entre deux déhanchés sur la piste de danse. Elle aussi avait bien trop bu. Pire, elle avait une envie terrible de faire lamour. Elle tentait tant bien que mal de le faire comprendre à Jérémy, en se penchant un peu vers lui pour lui montrer ses seins, en relevant très légèrement sa robe déjà très courte, ou en effleurant discrètement son entre-jambe, mais il ne semblait rien voir, trop absorbé dans son jeu. Ses amis en revanche nen manquaient pas une miette et bandaient copieusement.

Soudain, alors quAmandine était de nouveau perdue dans la foule à danser, Jérémy eu une terrible nausée. Il se leva, prétextant une envie pressante, et se dirigea droit vers la partie éloignée et sombre du jardin. Il vomit et sécroula tellement la nausée était forte. Paralysé par le malaise, il ne pouvait bouger sans avoir la tête qui tourne.

Lorsquelle revint au bar, Amandine ne trouva pas son homme.

— Ne tinquiètes pas, lui dit Julien, il est juste parti pisser un coup. Tiens, bois un coup en attendant !

Il lui servit un grand verre de vodka quil coupa avec du jus dorange. Le cerveau déjà embrumé, Amandine le but dun trait sans protester. Il lui en servit deux autres quelle avala aussi vite. Le temps passait et, bien quelle fût complètement bourrée, elle sinquiétait pour son petit ami.

— Je je devrais aller le cher chercher.

— Tinquiètes pas pour lui jte dis, il a dû croiser un pote. Ou alors il se tape une autre dans ton dos haha !

— De de quoi ? Jamais il ferait ça

— Nan cest vrai, ça serait un gros con de laisser une si belle meuf que toi toute seule

Julien lui sourit. Il ne portait plus de t-shirt, il lavait enlevé car il avait « trop chaud ». Toujours excitée, Amandine regardait son corps musclé et bronzé Elle simaginait dans ses bras fort Et il devait être monté comme un Dieu. Il sapprocha de son visage, ses lèvres très proches des siennes. Soudain, elle se ressaisit, et séloigna du bar en trébuchant.

— Je je vais chercher Jérem

— Bah attends tes trop bourrée jtaccompagne

Il lattrapa par la taille et elle dû saccrocher à son cou. Les gens ricanèrent en les voyant séloigner dans le noir.

Amandine sappuyait sur Julien qui ne perdait pas une occasion de descendre sa main sur ses fesses. Saoule, elle ny prenait pas garde. Les nuages recouvraient désormais la lune.

— Je sais pas où il est Il fait trop noir

Elle trébucha en rigolant.

— Jy vois rien non plus, répondit Julien.

Ils passèrent près de lendroit où Amandine avait caressé Julien, et dun coup elle se souvint quelle navait pas récupéré son string.

— MON STRING !

Julien sursauta de surprise.

— De quoi ?

— Je Jai plus mon string Je lavais tout à lheure mais on la perdu avec Jérémy

Julien ricana.

— Hahaha je vois, il tas mis tariff

— Euh non en fait on na pas vraiment eu le temps de enfin ça cest pas super bien passé, bégaya-t-elle.

— Il a tout lâché avant de te baiser ? Ptain ma pauvre tu dois être frustrée

— Je euh

Elle ne savait quoi répondre.

— En tout cas faut quon le retrouve, il était tout neuf ! Il ma couté super cher !

Ils commencèrent à chercher par terre. Julien alluma le flash de son téléphone et lorienta vers Amandine, à quatre pattes en train de fouiller les buissons. La robe cachait tout juste son intimité, et il fût déçu de ne pas pouvoir en voir plus. Par contre, il se rendit compte que des petits points scintillaient le long de ses cuisses. Excitée, Amandine continuait à mouiller. Copine de pote ou pas, il navait quune envie, cétait de lui planter son sexe en elle. Elle se leva, désespérée de ne pouvoir trouver son bas. Il lui fit remarquer:

— Tsais tes peut être trop bourrée, et tu te fais un gros film dans ta tête alors que tu as toujours ton string

— N Non je sais ce que jdis quand même

— Laisse-moi vérifier.

— Euh je crois pas que ce soit une bonne idée Julien.

Il sapprocha delle, elle recula, mais un arbre lui bloquait toute retraite. Il glissa sa main dans son cou. Puis, il descendit et la passa sous la robe, sur les seins dAmandine qui pointèrent aussitôt. Elle ne pût sempêcher de pousser un petit gémissement ; elle était très sensible des seins mais Jérémy les délaissaient. Les lèvres de Julien effleurèrent les siennes, puis il lui embrasse le cou. En même temps, une de ses mains souleva une des cuisses dAmandine. Cette dernière, déconnectée, tenta tout de même de les resserrer. Peine perdue. Les doigts de Julien remontèrent jusquà laine, caressèrent lintérieur des cuisses, puis sattardèrent sur le pubis de la jeune fille. Elle mouillait comme jamais. Un doigt passa sur ses lèvres intimes, la faisant gémir de plaisir. Enfin, Julien pris possession delle. Il la pénétra avec deux doigts, utilisa son autre main pour titiller son clitoris et lembrassa fougueusement. Un éclair de bonheur la traversa et elle jouit instantanément, les yeux écarquillés de surprise, dans un long feulement étouffé par les lèvres de son amant. Il poursuivit sa masturbation et lui fit un très gros suçon dans le cou.

— Tes à moi maintenant.

— Tarrête pas chuchota-t-elle, en passant ses mains dans les cheveux de Julien.

Elle serra ses cuisses autour de lui, il la souleva et lallongea au sol. Elle caressait son torse pendant quil baissait son pantalon et sortait sa verge de son boxer. Curieuse, Amandine la pris en main et fût surprise par sa taille.

— Tas une capote ?, demanda-t-elle.

— Pas besoin ma belle.

— Euh attends jai jamais fait ça sans

Elle neut pas le temps de finir sa phrase quil senfonça dun coup en elle. Elle cria et sabandonna au plaisir qui montait par vagues au rythme des va-et-vient de lénorme sexe en elle.

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Mélanie tentait tant bien que mal de se frayer un chemin dans la foule. Elle sétait garée à proximité du lieu de la fête et avait filé droit en direction de la musique. Elle était désormais perdue dans cette masse de jeune transpirants et sentant lalcool sans avoir la possibilité de sorienter. Les jeunes ne semblaient pas vraiment prêter attention à la présence dune mère de famille dans leur fête, bien quelle sentit à plusieurs reprises une main donner un petit coup sur ses fesses. Cela la mettait dans une colère noire mais elle ne pouvait rien y faire, la foule étant trop dense. Elle finit néanmoins par aboutir au bar où elle reconnue Guillaume, un des amis de Jérémy, qui la dépassait dune bonne tête.

— Guillaume, cria t-elle. Où est mon fils ?

Lesprit embrumé par lalcool, Guillaume ne comprenait pas ce que Mélanie faisait là. Il loucha sur les seins de cette belle femme mature, puis la scruta de bas en haut. Il bandait à la vue de ce corps dont il avait toujours secrètement rêvé de posséder.

— Alors ?, simpatienta t-elle, mal à laise par le comportement du jeune homme.

— Je euh je sais pas trop, cest pour quoi ?

— Pour quil rentre sur le champs à la maison ! Nous lui avions interdit, avec son père, de venir à cette soirée de débauche.

— Mais je balbutia Guillaume. Je sais pas vraiment où Enfin je lai pas vu depuis un moment.

Elle sapprocha de lui.

— Ecoute moi bien, petit con, si tu ne mamènes pas à mon fils tout de suite, jappelle tes parents et je leur dis que leur fils est totalement saoul et drogué.

Guillaume, bien que majeur, paniqua à lidée que ses parents puissent être au courant de son état. Bien quil navait aucune idée vers où aller, il lui répondit :

— Bah euh Venez !

Elle le suivit en direction du jardin. La lune était rayonnait de nouveau même si l’obscurité était totale sous la couverture des arbres. Lorsqu’ils traversaient de petites clairières, Mélanie pouvait admirer le torse musclé de Guillaume. Il n’avait pas remis son T-Shirt et son corps jeune et fort était très différent de celui du mari de Mélanie. Les deux semaines d’abstinence pesaient beaucoup sur la mère de famille et elle ne pût que ressentir de l’excitation à ce spectacle. Elle mouillait un peu en enrageant que ce ne soit pas son mari qui la mette dans cet état, à cause de l’indiscipline de son fils. Énervée mais excitée, elle ne remarqua pas le regard insistant de Guillaume sur ses seins. Il bandait comme jamais et l’alcool lui avait retiré toute pudeur.

Loin de les calmer, les gémissements qu’ils entendirent au coin d’un buisson les excitèrent davantage. Ils aperçurent une jeune fille, la robe retroussée sur les fesses, possédée en levrette par un homme lui tirant les cheveux en arrière. Ils ne reconnurent ni la petite-amie de Jérémy, suppliant de se faire prendre plus fort, ni un de ses meilleurs amis, Julien, lui assénant des fessées monumentales et la traitant de salope.

— Bon… où est mon fils?, s’impatienta Mélanie.

— Euh… Par là !

Il la pris par la main et l’entraina de plus en plus loin dans le jardin, à tel point qu’il n’entendaient plus que le son sourd des basses provenant de la fête.

A quelques mètres d’eux, un hamac était suspendu entre deux arbres.

— Là !, déclara Guillaume en pointant de hamac du doigt.

Mélanie s’en approcha d’un pas décidé. Lorsqu’elle se pencha pour inspecter le hamac, Guillaume pût apercevoir ses cuisses protégées par des bas, ainsi qu’une partie de ses fesses. Puis, alors qu’elle se retournait pour lui dire qu’il était vide, Guillaume, dicté par l’envie, se jeta sur elle et l’embrassa fougueusement en la faisant basculer dans le hamac.

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A quelques mètres de là, dans les buissons, Jérémy était toujours cloué par la nausée. Dans le clair de lune, il vit deux personnes approcher du vieux hamac. Il reconnut sa mère et Guillaume, qui semblaient le chercher. Soudain, Guillaume se jeta sur elle, l’embrassa et la jeta dans le hamac. De stupeur, Jérémy tenta de hurler, mais ses entrailles lui dictèrent de se taire. La tête lui tournait toujours autant.

De là où il était, il pouvait tout voir et tout entendre. Le hamac était secoué dans tous les sens. Sa mère se débattait de toutes ses forces. Bâillonée par les lèvres du jeune homme, elle laissait échapper par moment de petits cris étouffés.

— Humpf… ’ache… ’ache m… hum… ’rete !

Le vieux hamac tanguait dangereusement et menaçait de s’arracher des arbres à tout moment. Jérémy espérait qu’il lâcherait pour donner une chance à sa mère de s’enfuir, mais le bougre résistait. Mélanie ne pouvait se dégager toute seule, Guillaume étant bien trop musclé pour elle.

Le minutes passèrent et personne ne semblait prendre le dessus. Jérémy voyait désormais les jambes de sa mère tendues vers le ciel, ce qui signifiait que Guillaume avait réussi à lui écarter les jambes. Les premiers habits furent éjectés du hamac: le décolleté et le soutien-gorge. Guillaume pouvait désormais lui caresser la poitrine sans qu’elle ne puisse rien y faire, et entre ses protestations étouffées elle poussait des petits cris de surprises teintés de plaisir. Néanmoins, elle persévérait et se débattait toujours autant.

Soudain un craquement se fit entendre. Le shorty sexy de Mélanie venait d’être déchiré après de nombreuses tentatives de son jeune prétendant.

— N… Noooon attends!

Mais Guillaume ne pouvait que savourer sa victoire. Un bruit "mouillé" se fit entendre et la mère de Jérémy gémit. L’abstinence et les caresses sur ses seins l’avaient excités, si bien qu’elle était toute trempée.

— Alors?, demanda Guillaume. Vu comme mes doigts sont humides, je doute que t’aies pas envie. J’en ai dompté des salopes, mais pas des mamans comme toi.

Jérémy bouillait de rage. Sa mère se faisait doigter à quelques mètres de lui. Il entendit le son d’une braguette, et sa mère se débattit de plus belle, dans tous les sens, ses jambes remuant inutilement au dessus du hamac. Mais cela n’empêcha pas Guillaume de la pénétrer d’un coup jusqu’à la garde, la faisant crier de plaisir. Les jambes retombèrent autour de son agresseur désormais amant, tandis que le hamac remuait de manière régulière. Le bruit de la pénétration et des couilles claquant sur les fesses de sa mère parvenait aux oreilles de Jérémy. A cela saccompagnaient les gémissements de Mélanie et les propos vulgaires de Guillaume.

— J’ai toujours rêvé d’me faire ta chatte tu sais? Je l’savais que t’aimais ça. J’me suis branler plein de fois sur tes sous-vêtements, en espérant que tu les porterais souillés de mon sperme. T’es qu’une trainée, je vais te faire jouir comme jamais. Tu l’aimes ma bite?

Elle gémissait mais ne répondait pas. Il donna un grand coup de rein, la faisant crier, puis lui re-demenda.

— Alors, tu l’aimes?

— Ou… Oui.

— T’aimes te faire baiser par un jeune?

— Oui j’aime ça.

Elle ne savait plus où elle était, elle s’abandonnait au plaisir et à l’excitation de la situation. Et le sexe de Guillaume était tellement plus imposant que celui de son mari qu’elle ne tarderait pas à jouir. De plaisir elle commença à susurrer:

— Prends moi… prends moi fort.

Le hamac remuait de plus belle, Guillaume prenait son pied comme jamais. Il réalisait un vieux fantasme, et donnait tout pour faire jouir cette femme. Il l’insultait, la souillait, mais il voulait qu’elle prenne du plaisir, qu’elle jouisse sous les assaut de son pieu. Elle l’embrassait presque avec amour, elle l’encourageait par des cris, elle serrait ses cuisses autour du corps de son jeune amant, et elle tenait ses fesses dans ses mains pour accompagner le va-et vient. Ses hanches ondulaient, accentuant le plaisir de Guillaume. Elle criait désormais, elle hurlait, alors que les vagues de chaleur l’envahissaient peu à peu et la déconnectaient du réel. L’orgasme la foudroya. Les parois de son vagin de contractèrent autour de la verge du jeune homme tandis que ce dernier se vidait en elle.

— OUI, OUI, JE JOUIS, JE VIENS…

Elle hurlait, mais l’orgasme lui coupa soudainement la voix. Ses yeux écarquillés fixaient un point invisible. Puis Guillaume l’embrassa fougueusement.

Le hamac cessa de bouger. Le silence repris son droit dans le jardin. Jérémy vomissait de plus belle, à moitié dans un coma éthylique, ne discernant plus la réalité. Dans le flou de son esprit, peu avant de sombrer dans le sommeil, il vit deux corps, totalement nus, s’extirper du hamac, se rouler dans l’herbe. Puis, le corps féminin se jucha sur l’autre, et entreprit de le chevaucher, au clair de lune, en feulant de plaisir.

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Le soleil réveilla Jérémy. Il devait être huit ou neuf heures. Le jardin était plongé dans le calme, à peine dérangé par le chant des oiseaux. Il se leva, la tête lui tournait toujours, mais il allait mieux. Le hamac était vide, ce qui le conforta dans l’idée qu’il avait totalement déliré la nuit dernière, jusqu’à imaginer sa mère en train de se faire prendre par un de ses amis.

Il s’en éloigna, ne remarquant pas le soutien gorge et le shorty abandonnés à même le sol.

Plus loin, la scène de carnage était impressionnante: verres en plastiques, bouteilles, mais aussi strings, capotes usées… le Jardin était jonché de détritus. Soudain, il sentit une présence dernière lui. En se retournant, il reconnu Amandine, sa petite-amie, qu’il avait perdu dans la soirée. Son maquillage avait coulé et elle avait de grosses cernes sous les yeux. Avant qu’elle ne puisse dire quoi que ce soir, il s’excusa d’avoir autant bu et de l’avoir inquiété pour rien. Il lui demanda aussi comment avait été la fin de sa soirée.

— Et bien… Mouvementée. Mais je t’ai cherché partout ! Je suis fatiguée, on rentre?

Il quittèrent le jardin. Une goutte de sperme coulait paresseusement à l’intérieur de la cuisse de la jeune femme, témoin d’un énième orgasme partagé une dizaine de minutes plus tôt.

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