Elle me regarde encore de travers, je lui rebalance deux tartes dans sa gueule:"J’aime pas ton regard salope, je crois qu’on va arrêter là, t’es pas prête à être ma pute." Mais je sais qu’elle est coincée, même si je ne devine pas encore pourquoi. Je ne me suis pas trompé, encore une fois elle a l’air terrifiée, il est clair qu’elle ne veut pas se retrouver dans la rue. Elle se met à genoux et commence à pleurer:"Non! S’il te plaît, je te jure que je serai une bonne chienne, prends moi avec toi, me laisse pas, je t’en supplie."
Décidément il y a un truc qui la terrorise tellement qu’elle fait abstraction du traitement que je viens de lui infliger:" Ok salope, mais je n’ai pas aimer tes petites tentatives de rebellion, tu vas souffrir quand on sera chez moi. Tu comprends sale pute? Je vais te faire pleurer et t’humilier, c’est tout ce que tu mérites." Elle baisse la tête et ne dis rien mais je ne suis pas dupe, je sais qu’elle me hait pour ce que je viens de faire, mais encore une fois j’ai bien compris qu’elle n’avait pas le choix et j’ai décidé qu’elle allait morfler.
On rentre chez moi, à peine la porte fermée je me met à lui balancer des baffes bien appuyées, au bout de 7 ou 8 elle est groggy et se retrouve agenouillée dans l’entrée, je lui attrape les cheveux et je la traîne par terre dans le salon, elle se débat un peu mais elle est presque ko et ne peux rien faire:"Tu te défends encore sale pute, t’as toujours pas compris que ça sert à rien, tu es chez moi maintenant, je vais te transformer en reine des salopes crois moi." Elle est par terre en chien de fusil et récupère difficilement sa respiration, elle doit avoir l’impression d’être en enfer, ça m’excite tellement que mon barreau est revenu tout seul, je lui arrache ses fringues en les déchirant et en lui mettant des claques sur tout le corps, je m’acharne un peu sur ses seins et sa chatte pour lui faire bien mal.
Elle reste prostrée, je décide de passer à la vitesse supérieure et de l’avilir à mort:"Maintenant poufiasse, tu vas t’accroupir, les mains derrière la tête, les jambes bien écartées, et vite." Elle n’obtempère pas assez vite à mon goût et je recommence à lui taper dessus, elle se redresse péniblement et parvient à se mettre dans la position demandée:"Maintenant petite chienne tu vas pisser par terre comme ça." Mais elle est tellement affolée et perdue que je n’ai même pas besoin de finir ma phrase, son urine sort d’elle même de sa chatte. Elle finit en balançant de petits jets, quand je suis certain qu’il n’y a plus rien j’assène mon coup de massue:"Qu’est-ce que c’est que cette petite chienne qui s’oublie par terre, tu vas me nettoyer tout ça compris."
Elle fait mine de se relever:"Tu vas où sale pute, tu nettoies avec ta langue compris!" Elle me regarde sans comprendre, ne parvenant pas à croire ce que je lui demande, je lève la main pour lui remettre une tournée mais elle en a assez et abdique enfin, elle se met à quatre pattes et lèche sa flaque de pisse qui heureusement pour elle n’est pas très conséquente.
"C’est bien, je vois que tu commences à comprendre qui commande ici, jusqu’à ce que je te dise le contraire je veux que tu te promènes à quatre pattes comme une chienne obéissante, compris?"
"Oui, je suis une chienne." Elle dit ça d’une voix éteinte, consciente qu’elle ne peut plus faire machine arrière, je décide d’en rajouter une couche, je lui met une claque sur le vagin, très forte, elle tombe à plat ventre et se tient l’entrejambe en pleurs:" Et dorénavant tu m’appelleras Monsieur, c’est compris? Elle est en larme, ne sachant plus où elle se trouve, le regard perdu, elle se remet péniblement dans la position que je veux et réponds.
"Oui monsieur, je suis votre chienne Monsieur, utilisez moi, je serai gentille." Je crois que j’ai réussi en peu de temps à briser sa morgue, je m’assois sur le canapé et lui demande d’aller me chercher à boire en lui précisant qu’elle a le droit de se lever juste pour faire un truc qui nécessite qu’elle soit debout. Elle se redresse et connaissant mes goûts va prendre un verre et une bouteille de whisky qu’elle me sert, elle est tellement déboussolée qu’elle en oublie de se remettre dans la position canine, je me lève et recommence à lui taper dessus, les seins, la chatte, toujours là où ça fait mal, je lui crie dessus:"T’as rien oublié salope? T’es une chienne, souviens t’en sinon tu vas manger grave."
"Oui Monsieur! Pardon Monsieur!" Dit elle en se remettant dans la position adéquate. Je me rassois et lui demande de venir me bouffer le jonc, elle rampe presque jusqu’à mon sexe qui est tendu comme un arc, elle le prend en bouche et le suce doucement, je lui attrape la tête et lui pousse brutalement mon sexe au fond de la gorge, elle a un haut-le-coeur, essaye encore de lutter, je perds patience et lui martyrise encore les seins et la vulve:"C’est quoi ton problème sale pute? Quand je te dis de me bouffer la bite, tu la bouffes salope, ça veut dire que tu te la mets d’un coup dans la bouche jusqu’aux couilles, arrête de me faire répèter.
Elle pleure à chaudes larmes:"Oui monsieur! Excusez moi monsieur!" Elle revient se positionner à quatre pattes et avale ma bite d’un coup:"Tu relèveras la tête seulement quand je te le dirai sale pute." Elle garde sa bouche sur ma queue en résistant du mieux possible, j’attends qu’elle craque et qu’elle reprenne sa respiration et j’en profite pour lui remettre une volée:"Je t’ai pas dit d’enlever ta bouche salope, c’est moi qui te dis ce que tu dois faire, compris." Elle ne résiste pratiquement plus désormais, je suis assez fier de mon dressage:" Oui Monsieur!" Dit-elle, et elle revient mettre sa bouche sur ma queue, cette fois elle garde mon sexe dans sa gorge jusqu’à changer de couleur, quand je sens qu’elle n’en peut vraiment plus je l’autorise à se relever, elle prend une grande goulée d’air et je lui remets direct ma bite au fond de la gorge, je réitère l’opération plusieurs fois en repoussant ses limites à chaque fois:"C’est bien, t’es une bonne pute, tu vois quand tu veux."
Mais ce n’est que le début de son calvaire!!!!