Comme tous les soirs, je navigue sur un site de tchatche connu. Dial par ci, dial par là… rien de bien palpitant jusqu’à ce que je sois contacter par un homme plutôt mur (a vrai dire, je ne me souviens ni de son âge, ni de sa ville et encore moins de son nom ou de son pseudo).
Quoiqu’il en soit, et de fil en aiguille, je me surprend à accepter un rendez vous tard cette nuit même.
Rendez vous fixé à minuit et demi, avec envoi du plan pour le lieu du rdv et quelques détails de précision, puis il se déconnecte.
Il doit être environ 23h30 et les questions fusent dans ma tête : "Dois je y aller ? Et si j’y allais, je serais obliger de faire des "choses"… Si arrivais au lieu de rdv je n’avais plus envie une fois devant…"
Regard sur l’horloge, 23h45. Ma décision est prise… Je vais boire un coup pour me décider…
Un shot de vodka, deux, trois. "J’y vais, j’y vais pas…".
J’enfile mes bas, mon shorty et un jean. Puis un soutien gorge rembourré, un tee shirt à manches longues et une petite robe noir. Je met une mini veste en faux cuir et par dessus tout ça un jogging, un blouson de "mec" et une paire de basket.
Un petit détour dans la salle de bain, je met une écharpe en guise de cheveux, une grosse paire de lunettes noires féminines et un coup de rouge à lèvres. J’embarque une lampe torche, sans aucune raison, l’horloge affiche 00h15 et je n’ai plus le temps de réfléchir. Me voilà en train de fermer la porte d’entrée et de filer jusqu’au lieu de rendez vous.
Ma poitrine rembourré à beau être sous mon blouson, ca ne l’empêche pas de pointer… espérons que je ne croise personne…
Ca y est, plus qu’un virage et j’y serais.
Quand soudain, le bruit d’un moteur rugit derrière moi. Je suis sur le point d’imploser quand la voiture arrive à ma hauteur et que la vitre s’abaisse…
Un : "C’est toi la suceuse ?" s’échappe de la voiture. Je suis pétrifiée mais d’une voix qui semble venir d’ailleurs, je répond.
"Oui, attendez moi là." C’est ma voix… voix aussi féminine que possible, tremblante et remplie de trémolo mais c’est ma voix.
Je me précipite dans le premier sous bois que je vois, enlève mes chaussures, mon jogging et mon blouson. Et me voilà.
Je saisis la lampe torche et fais des signes au chauffeur pour lui dire que je suis prête… A vrai dire, je ne le suis pas du tout…
J’appréhende son arrivé et le voilà. Je discerne sa silhouette dans la pénombre de la nuit, seulement éclairé par la lune.
Sans réfléchir, je m’agenouille devant ce monsieur et saisis sa ceinture pour la défaire et faire glisser son pantalon et son caleçon sur ses chevilles. Et malgré le peu de lumière, je vois très bien ce que j’ai devant les yeux, à quelques petits centimètres.
UNE QUEUE mi molle (ou mi dure) pointant le bout de son gland dans ma direction comme une invitation à y faire un bisou.
Je la prend en main et … WAOUHHHH… la chaleur envahit ma main, la texture glisse sur mes doigts… Je rapproche ma bouche accompagné par les tambours d’une fanfare… Ah non, c’est les battements de mon cur qui semble à deux doigts d’exploser hors de ma poitrine…Et voilà….
JE SUCE MA PREMIÈRE QUEUE… Le goût envahit ma bouche, l’odeur envahit mon nez et le plaisir envahit mon corps tout entier…. J’ai trouvé ma place, à genoux et pas pour prier…
La honte à laisser sa place à l’ivresse de la situation. Je suis agenouiller devant un homme, dont j’ignore tout sur tout, sauf qu’il se trouve que sa bite, qui à commencer à durcir, est en train de me remplir la bouche.
Les vidéos de fellations que j’ai regardé jusqu’à aujourd’hui se bousculent dans ma tête, et j’essaye tant bien que mal de reproduire ce que j’ai pu y voir.
Je fais passer ma langue sur le tour du "bonbon rose", y donne quelques petits coups. J’enfonce un peu plus ce membre dressé entre mes lèvres en aspirant et creusant mes joues. Je pompe, suce, suçote, lèche, aspire ce sexe qui semble avoir doublé voir triplé de volume. En y repensant (une fois pas jour environ), elle n’était pas si grosse ni si longue que ça… j’aurais peut être encore plus aimé une plus grosse mais pour une première, je vous assure que je la sentais bien quand je l’enfonçais aussi loin que possible malgré les hauts-le-cur qui me soulevaient la poitrine.
Depuis combien de temps j’étais en train de sucer ? Aucune idée. Mais d’une voix viril au possible, le monsieur m’expliquait gentiment que ça se serait bientôt fini….
"Argghhh… je vais jouir….."
Ni une, ni deux, je retire son membre prêt à exploser de ma bouche et le branle. Sauf qu’il veut finir seul et se masturbe en pointant son gland qui semblait démesuré (sans doute parce qu’il n’était qu’à 5 centimètres de mes yeux, pas plus) en direction de mon visage. Et sans avoir pu esquisser le moindre mouvement, une giclée de crème semi liquide, semi épaisse venait s’écrasait sur mon visage. Puis une autre et encore une.
J’étais à genoux, en pleine nature (à quelques dizaines de mètres d’habitations, où, au passage, vivait certainement des gens que je côtoyait tout les jours) avec du sperme tiède sur mon visage. ET J’ADORAIS ÇA !!!
J’en avais tellement rêver et je n’étais même pas déçu… J’étais faites pour être, comment direz les hommes ??? Ah oui…
Une salope, une chienne, une petite pute….