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Natalie – Chapitre 1

Natalie - Chapitre 1



Je suis une nymphomane et je n’y peux rien.

Mon métabolisme hormonal est exubérant avec un taux dstrogènes élevé en permanence et cela a des conséquences.

Tout d’abord, je ne pourrais jamais avoir d’enfants ; mon cycle est en quelque sorte bloqué dans un état dstrus permanent qui empêche toute procréation. A terme, cela pourrait avoir des conséquences néfastes sur ma santé, mais je ne veux pas réfléchir à cela tout de suite. Je préfère profiter de ma vie.

Ensuite, j’ai un comportement addictif au sexe. Certains et peut-être certaines d’entre vous me connaissent peut-être car je suis présente dans de nombreuses vidéos de gang-bang et de bukkake.

De fait, depuis de nombreuses années, je me prostitue de façon intense devant des caméras avec des groupes plus ou moins nombreux d’hommes, parfois avec également une ou deux compagnes d’orgie. Cette activité me permet de gagner correctement ma vie car je suis rétribuée en fonction du nombre de partenaires. Cela comble surtout mes désirs les plus éhontés.

J’adore sentir le sperme couler sur mon visage, mes seins… Mais par dessus tout, je suis aux anges lorsque je sens mon vagin rempli de sperme. J’apprécie notamment le moment ou les différentes semences mélangées se métamorphosent en une crème blanche au fond de moi, sous les assauts de mes partenaires. Ma vulve rasée déborde alors de cette crème qui coule en long filets sur les fauteuils et les divans de cuir noir.

Généralement, les quelques dizaines de mâles qui m’abreuvent de leur sperme se retirent discrètement une fois leur tâche accomplie. Certains pourtant en redemandent, moyennant supplément bien sûr. Je rentre alors chez moi harassée mais comblée.

Pourtant au bout de deux heures, le désir me reprend souvent. Je cherche alors le sommeil en me masturbant devant mon écran d’ordinateur à la recherche de perversions encore plus grandes.

C’est à cette occasion que je me suis intéressée à la zoophilie.

A tout bien réfléchir, cette perversion me taquine depuis ma plus jeune adolescence.

A quatorze ans en effet, je m’amusais déjà à l’époque à faire tourner en bourrique le caniche de mes parents. Lorsque celui venait sagripper à une de mes jambes afin de se frotter le sexe, loin de le repousser, je le laissais alors s’exciter et, de la main, je lui tripotais les testicules. Le pauvre n’en pouvais plus !

La seule fois où il n’est parvenu à sa jouissance, les jets de sperme qui en ont résulté ont tâché irrémédiablement le tapis du salon. Ma mère s’est vite rendu compte de la situation et, semble-t-il effrayée du caractère obsédé du chien, a préféré que nous nous en séparions. Mon père a alors pris le chien sous le bras et il n’y a plus eu d’animaux de compagnie à la maison.

Fort heureusement, je commençais à l’époque à découvrir d’autres activités et ce qui annonçait un penchant vers la bestialité s’endormit alors.

Maintenant, la vision de ces femmes qui masturbaient leurs compagnons à quatre patte, qui leur léchaient le sexe à la forme si particulière, qui se laissaient ensuite couvrir aussi bestialement, cette vision menivrait.

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