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Natalie – Chapitre 36

Doctorante - Chapitre 2



Je me redresse alors pour me positionner en face des deux gardiens dont les sexes sont désormais en complète érection.

Ce n’est certes pas la première fois que j’ai affaire à des noirs et à leurs sexes particulièrement imposants. Mais ces deux là battent tous les records. Leurs couilles sont volumineuses et lourdes et les bourses sont distendues par le poids.

Je passe le pouce derrière les bourses de l’un pour refermer ma main afin de saisir l’ensemble du scrotum. Et je n’en reviens pas ! Ma main peine à se refermer ! Et même ainsi, en tirant les couilles vers l’avant de la bite, cette dernière dépasse encore de plus de vingt centimètres. Je fais la même expérience sur le deuxième gardien et j’obtiens le même résultat. Je les veux !

Je tourne la tête pour regarder la saillie que Sabrina est en train de subir. On voit distinctement le nud du sexe qui est au bord des lèvres intimes de la jeune fille. Encore quelques efforts et ils seront vraiment accouplés l’un à l’autre.

Les gémissements étouffés de Sabrina m’excitent au plus haut point. Wilma continue à filmer les ébats bestiaux et se caresse la vulve avec ardeur. Seule Valéria reste immobile et stoïque devant le spectacle. Seul un léger sourire au coin de ses lèvres semble traduire son intérêt.

Je reporte mon attention aux deux gardiens du chenil, ou plus précisément à leurs attributs sexuels qui ne cessent de me fasciner. Je crache dans mes deux mains et commence à astiquer leurs glands sans ménagement, sans utiliser leurs prépuces. Généralement, mes clients ne tiennent pas une minute devant ce traitement.

Eux restent impassibles et me regardent en souriant. J’alterne ma bouche sur les deux sexes érigés afin de lubrifier à nouveau avec ma salive. J’en profite pour les mordiller légèrement.

Je regarde vers Sabrina qui est maintenant collée au molosse qui instille en elle son jus canin. Les mouvements de queue et de l’anus du chien trahissent ces giclées de sperme qu’il catapulte au fond du ventre de mon amie.

Je continue de m’acharner sur les deux gardiens. Mais aucun d’eux ne semble déterminé à jouir sous mes caresses. Je commence à avoir mal aux mains, mal aux bras. Mes muscles se raidissent sous la fatigue.

Un cri étouffé ! Je me retourne, le chien est en train de descendre de Sabrina. Ils sont bientôt cul à cul et il semble bien que les projections de semence dans le vagin de Sabrina continuent. Sent elle, comme moi tout à l’heure la pointe du sexe contre le canal utérin ? Sent-elle le précieux fluide venir remplir ses entrailles au plus profond.

J’essaye de reprendre mon travail d’astiquage des deux belles queues qui sont devant moi. Mais je désespère de pouvoir obtenir la récompense de mes efforts. Je n’y vais pourtant pas de main morte. Ma bouche passe d’un sexe à l’autre sans résultat !

Déjà hier, je n’ai pas pu faire jouir les cameramen aussi facilement que d’habitude. Perdrais-je la main ? Suis-je en train de vieillir ?

Un autre cri étouffé ! Le nud du chien vient de sextirper avec un gros « PLOP ! » du sexe de Sabrina. Le sexe du chien est encore énorme et bat encore la mesure sous le ventre de l’animal. Valéria, s’avance pour remettre le chien en laisse et le ramène vers son enclos.

— Et bien, Grande-Louve, on dirait que j’ai gagné mon pari. Tu me dois un gage !

— Que voulez-vous ?

— Tu vas aller lécher ta copine et la débarrasser de toute trace de plaisir. Tu nettoieras également le sol de toute trace de sperme et de cyprine. Les chiens n’apprécient généralement pas sentir qu’un autre a sailli une chienne avant eux.

Je reviens vers l’arrière train de Sabrina. Sa vulve est encore béante ! Il en coule un fluide visqueux que ma langue vient collecter. Je lèche consciencieusement les moindres replis de ses lèvres et de son clitoris. Sabrina semble apprécier, si j’en juge par ses frémissements et ses gémissements.

J’introduis deux doigts dans son vagin pour aller rechercher les sécrétions précieuses. Je me régale ! Je termine par le sol que je nettoie avec attention et avec gourmandise !

Wilma, qui a bien entendu filmé mon activité de nettoyeuse, s’approche pour inspecter mon travail.

Elle me fait relever et m’embrasse, sans doute pour pouvoir obtenir de ma bouche et de ma langue le goût du plaisir que Sabrina a éprouvé.

— Beau travail, Grande-Louve ! Tu peux tirer une deuxième boule ! Je suis sûre que Petite Louve est impatiente de se faire couvrir à nouveau !

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