Je m’appelle Nicolas, j’ai 25 ans. Après cette année scolaire bien éprouvante, je compte profiter des vacances qui commencent pour me reposer et me détendre.
Mon diplôme en poche, mes études sont terminées, maintenant je dois trouver du travail, vu le contexte cela me stresse un peu Et ces quelques mois libres qui s’offrent seront mes dernières vacances avant longtemps.
Je redescends donc dans le sud dans la maison des parents. C’est une villa tranquille et confortable située dans les collines provençales. Elle comporte un grand jardin, une terrasse ombragée, une piscine au milieu d’une pelouse le grand confort.
Je dois y retrouver ma mère qui vit seule depuis le décès de mon père il y a quelques années.
Je pense qu’à présent elle va mieux, elle a été très éprouvée par cet événement survenu après de longs mois de maladie avec un dévouement de tous les instants pour cet homme exigeant, dur et autoritaire. Mes études m’ont éloigné et protégé de tout cela.
Ce deuil fut aussi l’occasion de me rapprocher d’elle, son chagrin aplanissant les barrières de conventions qui régnaient jusqu’alors dans notre famille. Elle est institutrice de maternelle dans un village voisin. S’occuper de ses "bambichous", comme elle les appelle, l’a aussi aidée à passer ces moments difficiles. En ce moment, elle est aussi en vacances.
J’arrive maintenant à destination après des heures de route. Je suis toujours aussi heureux lorsque j’aperçois cette haute haie de thuyas bien taillée et cette grille bleue qui cette fois est ouverte : Je suis attendu ! Je rentre sur l’allée sablonneuse qui mène à l’ombre de l’appentis près de la voiture maternelle.
Je sors me détendre et retrouver cette odeur de lavande et de pins qui a enchanté mon enfance. Une vague de chaleur me submerge après ces heures de fraicheur climatisée de l’habitacle.
En quelques enjambées, je contourne la maison pour apercevoir ma mère qui prend le soleil devant la piscine.
Elle m’a entendu arriver, elle s’est redressée et m’accueille d’un grand sourire. Elle est vêtue de son classique maillot de bain une pièce à fleurs !
Son accoutrement fait un peu mémère à mon goût, mais on ne change pas d’un coup les habitudes d’une vie. Je la trouve pourtant encore jeune et jolie femme. Avec ces 45 ans elle est plutôt svelte et tonique.
Elle a été la femme d’un seul homme en se mariant jeune et enceinte tout de suite Elle connait mon avis sur ses tenues. Elle sait que j’aimerais qu’elle se remette à vivre et même qu’elle refasse sa vie
On tombe dans les bras l’un de l’autre et on se lance dans de grandes embrassades.
Mes yeux ont du parler pour moi car dans un grand rire elle s’esclaffe avec sa petite pointe d’accent caractéristique du coin que moi j’ai perdue :
– Je sais ce que tu penses de ma tenue mais je n’ai pas encore trouvé le temps de m’en acheter une autre !
Et pour se justifier, elle ajoute qu’ici personne ne la voit.
Pour répondre sur le même ton badin et faire de l’esprit :
— Puisque personne ne te voit, alors n’en mets pas !
Ce qui me vaut un regard courroucé, mais elle n’ajoute rien.
Elle m’entraine à l’intérieur de la maison où une bonne odeur de plat qui mijote m’accueille.
Je sais qu’elle a cuisiné spécialement pour mon retour ; j’aperçois sur la déserte une tarte aux fruits maison comme je les aime.
Elle espère m’apprivoiser avec ces bonnes intentions comme elle le faisait avec mon père, mais avec moi est-ce nécessaire ?
J’apprécie de revenir ici, même sans cela. J’aime tellement sentir sa gentille présence.
Comme l’heure du repas arrive, elle enfile une robe pour entrer dans sa cuisine. Je l’aide à mettre la table et je profite qu’elle a les mains occupées pour la prendre dans les bras et lui faire de gros câlins. Cela stoppe temporairement son activité pour me rendre un gros bisou
Des témoins de ces effusions pourraient se poser des questions sur ces rapports ambigus d’un fils et de sa mère ! Je crois que j’ai hérité d’elle d’aimer les câlins En l’aidant à se consoler de son dernier gros chagrin, je suis revenu dans ses bras son gros bébé d’amour.
J’ai l’impression qu’elle trouve un réel plaisir à ces nouveaux moments de tendresse. Avant, lorsque j’étais gosse, elle me câlinait, souvent en cachette, souvent pour m’aider à supporter des colères paternelles parce que j’avais fait, ou pas fait, quelque chose qu’un enfant de mon âge, à son avis, aurait du.
Nous nous installons pour ce repas en tête à tête, nous l’agrémentons de discutions sur les potins de la région, mes études ou mes projets futurs et puis plus intime : elle s’enquiert si j’ai une copine.
J’ai bossé dur pour avoir mon diplôme et je ne suis pas assez doué pour mener les deux de front laissant ma vie sentimentale en jachère.
Avec ma réponse négative et pour couper court aux commentaires je lui retourne sa question. Sa réponse est aussi négative, argumentant qu’elle est trop vieille, son visage marquant la tristesse. Ayant le sentiment d’avoir touché une partie encore sensible, je me lève et reviens lui faire des caresses
Nous terminons le repas par chacun une grosse part du magnifique désert qui nous narguait depuis mon arrivée, le tout agrémenté d’un café. S’en suit un moment de silence pour mettre en route la digestion ou simplement par manque de sujet de conversation et profiter de ces instants de tendre complicité.
Puis je la vois prendre un air grave, comme pour quelque chose de plus délicat :
— Est-ce que ça ne te choquerait pas de voir ta mère nue ?
Je suis pour le moins très surpris de cette question, je réalise qu’elle a certainement un rapport avec mon trait d’humour de tout à l’heure devant sa tenue !
C’est vrai aussi, je me suis déjà fait la remarque, souvent à haute voix, que de nombreux voisins profitaient de propriétés entourées de murs ou de haies comme la nôtre pour pratiquer le naturisme en famille : c’était dans les murs du coin !
Chez-nous cela heurtait les idées puritaines de mon père mais depuis son départ la question n’avait plus été abordée.
Ma réponse me sort droit du cur :
— Non pas du tout, tu es encore jeune et jolie ! Et puis le naturisme se targue d’accepter le corps tel qu’il est, beau ou moche
Cela déclenche un sourire coquin de sa part :
— Et toi, serais-tu prêt aussi à te mettre nu ici ?
Puis après un moment d’hésitation elle ajoute pensive :
— Ca ne te ferait pas un peu bizarre de voir un fils et sa mère nus ensemble ?
— Non pas spécialement, des familles entières vivent dans les camps naturistes Des mères et des fils, Des pères et des filles, des frères et des surs Tous nus ensemble.
Cette dernière sentence termine notre échange, le sujet épuisé, peut-être trop abstrait
Je dois vider ma voiture et transporter mes affaires dans ma chambre alors que ma mère continue de remettre la maison en ordre.
Mon déménagement terminé, je reviens passer la soirée avec elle, chacun calé dans un des coins du canapé du salon.
C’est un moment de bonheur et de félicité, son tendre sourire me rappelle certainement des images de mon enfance, peut être lorsqu’elle veillait sur mon berceau
Nous discutons encore de choses et d’autres puis la fatigue du voyage et la digestion me font bailler Elle me conseille alors :
— T’est fatigué mon chéri Tu devrais monter te coucher !
C’est ce que je ne tarde pas à faire Et à m’endormir dans des draps blancs sentant l’odeur du propre
C’est le chant des oiseaux qui me réveille le lendemain matin.
Après un bref passage par la salle de bain, je redescends en tenue décontractée. Je tombe sur maman qui a déjà préparé le petit déjeuner
Après quelques échanges de câlins, elle vient s’installer avec moi pour partager le pain grillé encore tiède accompagné de beurre, de confitures et de café.
C’est aussi un moment de flânerie, rien ne nous presse, dehors le soleil efface déjà la relative fraicheur de la nuit. La sérénité du lieu, seulement troublée des jeux et des cris des oiseaux, pénètre par toutes les ouvertures
Puis elle s’active et m’entraine dehors près de la piscine. Elle tient à la main deux chapeaux et un gros tube de crème :
— Viens au soleil !
Et elle retire sa robe, découvrant son fameux maillot ! Elle anticipe ma réaction :
— Eh oui ! Il est toujours là !
Et après un instant pour ménager son effet, avec un grand sourire elle ajoute :
— Si tu veux, on peut tout retirer ?
Un peu sidéré de la proposition, pris au mot et sans réfléchir, je lui réponds :
— Chiche !
Un instant on s’observe en guise de défi et en deux mouvements les habits glissent par terre et nous nous retrouvons nus tous les deux – C’est une première pour nous.
Elle brandit son tube de crème :
— Si nous ne voulons pas être transformés en homard ce soir je te conseille de mettre de la crème sur les parties qui étaient cachées jusqu’à présent.
Elle attend un instant, ajustant son chapeau sur la tête, puis ajoute avec son sourire des plus enjôleurs :
— Je serais preneuse de mains bienveillantes pour me badigeonner le dos.
De plus en plus étonné de la tournure des événements, j’ajuste moi aussi mon chapeau et saisis le tube qui m’est tendu.
Elle s’allonge, le ventre sur son transat orienté pour prendre le soleil.
Je m’installe à coté et commence ma tâche sur le corps déshabillé de ma mère que je découvre ainsi pour la première fois.
Alors que je commence intimidé, elle ajoute sans lever la tête :
— Vas-y, t’en mets une bonne couche sur le dos et les fesses !
Fort de cette dernière recommandation, je me mets consciencieusement au travail découvrant la douceur et la fermeté de sa peau.
Cette soudaine proximité d’un corps féminin me trouble, je sens mon sexe qui se réveille, ce qui me gène d’autant plus que c’est ma mère et que plus rien ne me cache.
J’essaie de me concentrer, j’en suis maintenant aux fesses, ces formes bien rondes et cette plasticité augmentent encore mon trouble, je bande en massant ma mère, j’en suis mal à l’aise si elle le voyait.
J’ai bientôt enduit toutes les parties cachées par le fameux maillot, d’ailleurs pas si blanches que cela ! C’est à ce moment qu’elle réagit :
— C’est bien mon chéri, tes mains sont très douces, c’est très agréable : si tu veux bien, fais-moi l’autre face !
Et sans plus de formalités elle se retourne me dévoilant les derniers mystères de son corps. Mon sexe marque le coup en pointant vers le ciel dilaté à m’en faire mal. J’en suis rouge jusqu’aux oreilles. Et pour en rajouter à mon trouble elle souligne ma gêne en s’esclaffant malicieusement :
— Ca fait plaisir, je vois que je fais encore de l’effet à un homme !
Cela ne semble pas la choquer plus que ça que l’homme en question soit son fils.
Puis elle ajoute comme pour me calmer :
— Tu me finis, la poitrine, le ventre, puis après si tu veux bien, je t’en fais autant !
Et elle ferme les yeux, s’abandonnant en confiance à ma pratique.
C’est la première fois que je suis ainsi confronté à la nudité maternelle.
Je m’attaque à ses seins, fermes et pas spécialement volumineux mais avec des gros bouts qui pointent, puis je descends sur le thorax, puis le ventre. Son sexe est complètement imberbe et elle flaire mon hésitation :
— Enduis-moi le pubis, c’est une idée de mon esthéticienne de m’épiler complètement le ventre : ce qui doit faire une zone très sensible au soleil !
J’enduis le pubis maternel me gardant bien de suivre le détail des reliefs avec mon doigt. Elle ne me laisse guère le temps de contempler mon uvre car elle se relève en me prenant le tube de crème et m’ordonne :
— Allonges-toi, c’est ton tour !
En suivant son exemple je me place le ventre sur mon transat, ce qui me permet de cacher mon sexe maintenant vraiment encombrant. Mais à ma différence elle se place à genoux, à cheval sur moi. Je sens la peau fraiche de ses jambes se glisser de chaque coté.
Elle étale la crème gaillardement à grand mouvements symétriques des deux mains. Elle se recule en suivant la progression du badigeonnage pour finir par les fesses puis les cuisses plus blanches que les siennes malgré les quelques poils.
Ensuite elle me demande de me retourner et continue son travail en gardant la même méthode. Pour le haut de mon corps, la présence de mon sexe bien déployé qui vient s’appuyer sur son pubis ne semble pas l’indisposer.
Ces grands mouvements permettent d’enduire rapidement l’espace des épaules aux cuisses. J’ouvre les yeux par intermittence pour apercevoir son beau sourire teinté d’un rictus d’effort.
Puis toute la surface couverte elle se retire en me lançant un « Ca t’a plu ? » interrogatif et un peu coquin. J’ai juste le temps, moi aussi, de me relever et d’attraper son corps gluant de crème pour lui rendre un gros câlin de remerciement.
Je la tiens dans mes bras, nos regards plongent l’un dans l’autre, elle est souriante, je suis ému, je ne suis juste capable que lui dire :
— Maman !
Presqu’à regret je relâche mon étreinte et me replace sur ma couche, troublé par ce qui vient de se passer et de l’évolution de l’attitude maternelle.
Bien que la crème qui nous protège soit marquée « waterproof », nous n’avons pas le courage, l’un comme l’autre, d’affronter immédiatement l’eau fraiche de la piscine.
L’effort et surtout les émotions font que j’ai du m’endormir sur ma couche ; c’est une caresse de maman qui me réveille en me proposant un verre d’eau. Ouvrir les yeux et découvrir ce corps féminin dénudé à genou à mes côtés me trouble toujours ; j’éprouve de la gêne et de la honte de mes réactions.
Mais ça ne semble pas l’inquiéter, tout sourire elle insiste car avec la chaleur il faut boire. Le temps que mes idées retrouvent leur place, je finis par accepter son verre d’eau.
Nous passons le reste de la matinée à bavasser ou somnoler.
Nous sautons le repas de midi avec quelques tranches de cake et des fruits. C’est elle qui fait le service. Je la regarde aller et venir et la trouve vraiment jolie avec l’ondulation du bassin et son mouvement de hanches dans ce simple appareil.
Moi, comme j’ai vraiment chaud, à l’extérieur comme à l’intérieur, je m’approche de l’eau, j’y trempe les pieds en m’asseyant sur le bord, puis lorsque je me sens à température, je m’y laisse glisser pour barboter paresseusement.
Un peu plus tard c’est maman qui me rejoint. D’ordinaire, c’était l’occasion de se chahuter ou de se chatouiller mais cette présence d’un corps nu de femme à coté de moi m’intimide.
Mais pour elle, ça n’a pas l’air de la déranger : elle vient contre moi pour me pincer la taille, je suis obligé de me défendre, je la serre contre moi pour l’entrainer sous l’eau, mon sexe encore levé bute contre son ventre. Elle gigote et se dégage.
Elle rigole comme une gamine du coup qu’elle m’a fait, et moi, je me sens gauche dans mon corps.
J’essaie de la poursuivre à la nage et je l’attrape par un pied, en se débattant elle me gratifie de son arrière train de femme et de son envers qui baille je finis par me propulser à sa hauteur et la saisir par les épaules.
Nous nous toisons du regard, déboussolé je lui serre la tête contre la mienne et lui fait un bisou sur la bouche !
Au lieu d’essayer de se dégager, elle m’enserre le cou de ses bras et sa langue essaie de m’écarter les lèvres. Surpris, je lâche mon étreinte, nos visages se retrouvent face à face avec toujours son sourire. Il n’exprime aucune agressivité mais une gentille bienveillance
Je craque et nous partons dans un grand câlin comme on se faisait habillé. A la différence cette fois de sentir le frottement de nos peau et les détails de nos corps, ce qui me trouble, j’ai l’impression qu’elle s’en délecte !
A la fin, c’est elle qui entame un baiser sur la bouche avec la langue, frottant sans pudeur toute son anatomie contre moi, sa poitrine contre mes pectoraux, son ventre contre mon sexe.
Toujours aussi gêné, je finis tout de même par me détendre et laisser faire, la tête et le corps envahit de sensations contradictoires : Ayant honte du délicieux plaisir que cela me procure, mais ne voulant surtout pas, non plus, que cela s’arrête.
A bout de souffle, notre étreinte se relâche, nos visages se séparent comme à regret. Je n’ose pas la reprendre et la plaquer contre moi de nouveau. En pleine déconfiture, je la laisse s’éloigner
Tout penaud, je me calme dans un coin de la piscine, pendant qu’elle sort de l’eau.
Je suis un moment à ruminer sur ce qui vient de se passer, comment aurais-je du réagir ? j’ai le sentiment d’avoir raté quelque chose
C’est maman qui vient me sortir de ma torpeur, elle est venue s’assoir sur le bord à coté de moi. Avec une petite caresse dans les cheveux elle me chuchote :
— Je t’ai choqué ?
Il me faut un moment pour me remettre mon esprit en état de marche et faire l’inventaire de mon trouble :
— Maman je t’aime j’ai peur de ne plus te voir comme ma mère mais comme une femme !
Elle complète, interrogative :
— Comme une vieille femme ?
— Maman ne dit pas cela, tu n’es pas vieille et tu es jolie
Elle réfléchit puis lance en continuant sa caresse :
— Mais je suis les deux, ta mère et une femme Tu as peur de perdre la mère en me voyant comme une femme ?
— D’accord tu es une femme et ma mère, mais à cause de cela tu n’es pas n’importe quelle femme.
Elle sourit franchement et me prend par le cou pour m’embrasser dans les cheveux.
— Nous y voila ! Les bonnes murs définissent des interdits dans les relations d’un fils et d’une mère !
— Oui, nus ensemble on devient vite border line dans nos câlins !
— Et oui ! Mais n’est-il pas nécessaire de considérer l’origine de ces « bonnes murs » ?
En bon élève, je sors la réponse habituelle à cette question :
— L’interdit de l’inceste permet d’éviter une trop grande consanguinité humaine qui entrainerait un affaiblissement de la race.
— Bravo ! Très bonne réponse, c’est ce qu’on trouve dans tous les livres, c’est parait-il scientifiquement démontré et ça mériterait discussion, mais il y a aussi une autre raison ?
J’entends là la maitresse d’école qui parle, mais je sèche à sa question, ne voyant pas trop où elle veut en venir. Devant mon silence elle continue :
— C’est que ça fait désordre dans l’arbre généalogique d’une famille lorsqu’un enfant vient d’un fils et de SA mère ou d’un père et de SA fille. Mais maintenant que les femmes sont capables de maitriser leur fécondité tous ces arguments s’effondrent !
Je reste un moment sans voix, réalisant que maman semblerait favorable à braver l’interdit de l’inceste. Et devant mon hébétude elle ajoute :
— Les « bonnes murs » n’évoluent que lentement et c’est vite dangereux d’aller contre. Si on a de bonnes raisons de ne pas les respecter, il faut le faire dans la prudence et la discrétion.
Maintenant elle m’enveloppe de ses bras et me serre contre elle en ajoutant :
— Il nous faut contrôler nos manifestations de tendresse en publique et j’accepterai ton choix de braver ou non cet interdit. Dans le cas où l’on transgresse, il faut que tu sois conscient qu’il faudra rester très discret
Elle continue, son regard est intense :
— Nous aimons tous les deux la tendresse et les câlins, nous pouvons nous faire plaisirs ensemble. Mais attention, il ne faut pas, non plus, que cela nous empêche de vivre une vie normale et d’avoir des relations avec des personnes étrangères à notre famille.
La gravité de son discours s’oppose à la douceur de sa peau, j’essaie d’évaluer les conséquences de ce choix. Mon cur a déjà décidé mais ça bouscule tellement mes certitudes. Et puis je réalise l’origine de mon trouble et de ma gêne, je suis amoureux de ma mère ! Puis-je vivre cet amour ?
Cette révélation me sidère C’est ma mère en me secouant qui me ramène à la réalité :
— Que penses-tu de tout ça ?
Ca me sort sans réfléchir :
— Maman, je t’aime !
Elle se sert plus fort :
— Mon chéri, moi aussi je t’aime !
C’est vrai, cette déclaration d’amour réciproque ne répond pas directement à la question posée car cet amour peut être seulement filial ou plus intime
L’intensité des effusions qui s’ensuivent donne une indication plus précise. Je me hisse sur mes bras pour m’assoir près d’elle et malgré mon corps mouillé nous partons dans une étreinte passionnée, nous embrassant à langues déployées.
Mes inhibitions battues en brèche, je commence à caresser le corps de ma mère, découvrant la douceur et le velouté de sa peau.
Puis je la regarde, elle me sourit, j’ai l’impression de porter l’amour du monde dans ce regard.
— Maman, je t’aime !
— Moi aussi mon chéri, je t’aime !
Emporté par ce cyclone d’émotions je ne sais que répéter mon amour, mais elle semble mieux maitriser la situation et plus lucide, elle ajoute :
— Je t’aime, si tu en as envie, on peut devenir amant mais il ne faut pas que ça t’empêche d’avoir une petite amie et moi aussi. Je ne suis pas possessive et je veux que nous gardions tous les deux notre liberté
J’apprécie les précautions qu’elle y met, elle reste le parent raisonnable alors que moi, les émotions et peut-être les hormones me submergent
Nous restons un moment serrés l’un contre l’autre, peau contre peau. Nous nous caressons, nous nous embrassons.
Dans cette étreinte je retrouve le plaisir que j’éprouvais enfant lorsqu’avec un gros chagrin je venais me consoler dans ses bras mais cette fois avec une grosse sensation en plus dans le bas du ventre
Jusqu’à présent, l’idée de rapports intimes entre un fils et sa mère me révoltait, maintenant je ne sais plus où j’en suis. Je trouve ma mère jolie, plus que désirable et maintenant que je sais qu’elle n’y mettra pas de limites, j’évolue lentement.
Je sais que je peux la prendre dans mes bras, même toute nue, que je peux appuyer mon sexe bandé contre elle, je me décontracte et arrête de culpabiliser de mes réactions bestiales face à sa beauté et ses gentillesses.
Au dernier câlin, je me suis même risqué à lui caresser la poitrine ; elle a laissé faire comme si c’était naturel. Je crois aussi qu’elle n’essaie pas d’aller plus vite que moi, conscient que ce n’est pas la peine d’exacerber mes résistances.
Et puis je ne suis pas sûr que maman soit si dévergondée que cela, mon père était plutôt d’un type psychorigide. Je ne le vois pas, vivant, faire avec elle de ces choses extravagantes
J’ai peut-être hérité de lui, mais j’espère seulement être plus ouvert et intentionné à l’autre que lui n’était. Il n’aimait pas les câlins, à son avis ça ne correspondait pas à la virilité d’un homme et c’est ce que ma mère apprécie avec moi
En tout cas, elle est à coté de moi, comme moi assise nue au bord de cette piscine. Avec elle j’ai l’impression comme avec une nouvelle petite amie de vivre le début d’une relation amoureuse, le moment où l’on commence à s’apprivoiser.
Je la trouve jolie, je suis sensible à son charme, elle me fait envie, je me sens capable de faire l’amour avec elle mais pas encore tout de suite
Elle me sourit, je la lutine, j’aime aussi lui caresser le visage, la tête, l’admirer : ses cheveux courts châtains foncés en accord avec ses yeux noirs souvent rieurs et son visage délicat. Elle est assez grande 1,70 m, moi je le suis un peu plus, 1,75m, son corps est fin, nerveux et finement musclé elle doit peser moins de 60 Kg. Elle ne fait ni sport ni régime, c’est sa nature !
Une poussée d’amour monte en moi, je lui embrasse et lui mords les seins, elle rigole :
— Tu me tète, t’a soif ?
— Maman, ma petite maman, t’es jolie, je t’aime !
— Mon chéri, je me moque de toi mais moi aussi, je t’aime !
Elle se rejette en arrière en appui sur les bras. Je quitte la poitrine et continue à descendre sur son corps, j’embrasse maintenant le ventre sur le nombril, puis encore plus bas, le haut de la fente de son sexe. Je n’ose pas encore aller plus bas.
Pour m’encourager elle s’allonge encore un peu plus en s’appuyant sur les coudes. Je glisse la langue dans cette fente. Au début je ne lèche qu’un repli de peau mais plus je progresse plus ça devient chaud et humide, plus je perçois ses odeurs internes de femme. Complice, elle me laisse découvrir son intimité.
Je savoure cet endroit que mon arrivée sur terre a du quelque peu malmener. Je pense à ce mystère qu’est la vie dont la prêtresse est cette femme, ma mère.
J’ai envie qu’elle me parle de cette fameuse arrivée car c’est quelque chose que les garçons ne pourront jamais connaître. Je me relève, regarde intensément son sourire en plaçant une main sur son pubis :
— C’est là que je suis passé pour venir sur terre Parles-moi de ce moment là !
Son visage marque la surprise, puis elle devient grave et me demande de préciser ce que je veux savoir.
Lorsqu’elle a compris, elle part à me raconter les derniers moments de sa grossesse et les premiers moments de mon arrivée au monde. Elle ajoute comment elle a vécu ces longs instants, ce qu’elle a ressenti
Je suis ému d’entendre ainsi les débuts de mon histoire, ma main caressant et célébrant le lieu de l’événement.
Ma mère ne sera jamais une femme comme les autres et c’est aussi pour cela que je l’aime. Je comprends qu’une femme, une mère, ne peut pas avoir les mêmes rapports qu’un homme avec les enfants ; ils sont des parties vécues d’elle-même
Son récit terminé, nous restons silencieux. Moi parce que je veux graver dans ma mémoire cet acte fondateur. Elle, j’ignore, mais elle arbore son visage de plénitude, une étape de sa vie bien remplie, j’en suis ici le témoin !
La voici qui se lève, elle se dirige à l’intérieur de la maison, sa taille fine et le galbe de ses fesses feraient damner un saint.
Elle revient souriante, elle s’est seulement informée de l’heure :
— Il est déjà 18h30, je n’ai pas envie de me mettre à la cuisine ce soir et pour fêter nos amours je t’invite au restaurant !
Il faut nous préparer, nous rentrons tous les deux dans « nos appartements » pour nous déguiser pour la soirée projetée.
Moi ce sera simple, ma garde robe d’étudiant étant plutôt limitée.
Elle est aussi assez rapide, elle réapparait avec une jolie robe noire nettement au dessus du genou et qui dévoile juste les épaules, soulignant ses formes et sa taille. Des pieds-nus, lacets blancs, noués au dessus de la cheville et talons liège mi-hauts, mettant en valeur ses jambes bronzées
Comme à son habitude elle ne porte comme bijou que juste un simple collier nacre blanc qui habille son cou. Son maquillage est très discret, juste peut être un peu les yeux pour mettre en valeur son regard.
Elle a l’allure d’une beauté naturelle rivalisant sans peine avec une fille de mon âge. Elle me tend des clés et un porte carte :
— Garde ça sur toi, je ne prends pas de sac on prend ma voiture !
En marchant vers l’abri voiture elle m’explique que si ça me dit, il y a une crêperie pas très loin d’ici qui peut faire l’affaire.
Elle s’arrête un instant avant de s’installer au volant pour que je l’admire :
— Alors comme cela, est-ce que ta vieille mère te plait ?
— Maman arrête de dire que t’es vieille, TU ES MAGNIFIQUE !
Pour compléter mon argument avec un air faussement de regrets, j’ajoute :
— Et tu ne fais même pas couguar !
Elle prend place, moi je m’assois en passager. Je ne peux m’empêcher de caresser le genou qui est à ma portée en remontant sur la cuisse douce et fraiche. Ce qui me vaut un regard de réprobation :
— Nous sortons mon chéri alors discret !
Après un petit quart d’heure de route nous atteignons l’établissement avec une enseigne à la Bretonne. Il comporte un parking où nous laissons la voiture.
Maman accepte que je lui tienne la main pour rentrer dans la salle. Une jeune serveuse petit tablier blanc bordure dentelle nous accueille et nous place dans une table à deux, assez discrète.
Nous choisissons dans la carte pour chacun après un apéritif breton, deux crêpes garnies et un café, le tout accompagné d’une bouteille de cidre bouché.
C’est excellent et je suis un peu paf à la fin du repas n’ayant pas l’habitude de boire de l’alcool. Je remercie maman pour ce gentil souper par un rapide bisou sur la joue, elle est toute joyeuse.
Nous restons un moment à bavarder en attendant l’addition, puis nous rentrons.
Arrivés à la maison, maman me questionne :
— Ca ta plu mon chéri ? T’as été parfait !
Puis avant que j’aie le temps de répondre elle se jette sur moi :
— Mais maintenant à la maison, je suis en manque de tes câlins !
Un grand roulage de patin en marchant nous occupe le chemin jusqu’à l’intérieur de la maison. Nous sommes euphoriques.
A l’arrivée à l’étage, elle se place devant moi et me propose de lui retirer sa robe. Docilement je m’exécute, la robe, le collier et les chaussures. Puis comme je m’arrête, elle me susurre de continuer, son corps n’étant plus un secrets pour moi.
Je lui dégrafe donc son soutient gorge, et à genoux, lui baisse la culotte. A hauteur, je ne peux résister à lui faire un bisou sur le pubis, puis un coup de langue dans sa fente, elle écarte un peu les jambes pour que je pénètre plus profond. Je lèche gourmand ses secrétions parfumées que je déguste !
Je la sens qui frissonne et elle me prend la tête entre ses deux mains, me relève pour me faire un bisou sur la bouche puis, après avoir obtenu mon accord, commence aussi mon déshabillage, et puis comme moi, se place à genoux pour me baisser le caleçon.
Nu, elle attrape mon sexe qui commence à se déployer pour en embrasser le bout, puis me regarde, interrogative :
— Je continue ?
Je n’ose répondre et je luis caresse les cheveux. Elle me décalotte, saisit le gland entre ces lèvres. Sa langue titille mon bout.
Mes mains sur sa tête doivent trahir ma fébrilité car ça fait un moment qu’on ne m’a fait chose pareille.
D’une main elle me tient la hanche, de l’autre elle commence à me branler. Je suis tellement excité qu’elle doit en sentir les effluves sur sa langue. Très vite, la situation m’échappe :
— Maman, je vais venir !
Elle lâche prise pour m’observer avec son beau visage rayonnant puis elle se remet au travail de plus belle. Je jouis et j’éjacule dans sa bouche, elle avale tout et lèche consciencieusement les bavures.
Elle se relève et vient me faire un bisou sur la bouche, rapidement nos langues s’enroulent et j’ai l’odeur de ma semence qui se mélange avec nos salives, ce qui redouble mon excitation.
Elle écrase mon sexe de son ventre. On continue à s’embrasser et se frotter l’un contre l’autre.
On est toujours tous les deux nus dans le couloir entre les chambres, nos habits jonchant le sol :
— Mon chéri, où veux-tu dormir ?
— Maman, avec toi, dans ton lit, je veux dormir dans ton parfum
Elle m’enserre dans ses bras, mais cette fois avec avidité et nous repartons pour un nouveau baiser d’amour plus passionné que jamais. Elle frotte frénétiquement son ventre gonflé contre mon bâton, ses seins contre mon torse.
Je crois que je vais exploser !
Elle me conduit dans la chambre, sa main est moite, nerveusement elle ouvre le lit. Son visage est grave et sur son invitation nous nous allongeons sur le drap blanc, dans les bras l’un de l’autre.
Je l’entends qui murmure :
— Mon chéri j’espère que ce n’est pas ta première fois, car je ne suis pas une grande experte dans ce domaine
Cette humilité me touche et me trouble. Quelle vie son mari, mon père, lui a fait mener ?
J’ai envie de la protéger, de jouer le grand frère avec elle (si un grand frère à un tel rôle à jouer ?) :
— Ca n’a pas d’importance, tu es ma maman chérie, je t’aime de tout mon cur
Nous restons un moment tendrement enlacés, dans un câlin passionné, le temps de mettre nos curs et nos corps en harmonie. Sa chaleur et sa gentillesse doucement m’inonde.
Je la couvre de baisers.
Et puis, d’un coup, je réalise ce qui m’arrive, comment les choses évoluent J’étais venu ici en vacances pour me reposer, tenir compagnie à ma mère et me voici avec elle dans son lit !
Cet éclair de lucidité me trouble et renforce encore mes sentiments envers elle, j’ai le cur qui déborde d’amour et de tendresse pour cette femme. Toute la culpabilité d’un acte interdit s’envole doucement
Mais bientôt elle reprend l’initiative, elle me serre plus fort, se frotte contre moi passionnément
Nos câlins deviennent plus fougueux. Nos langues s’enroulent et se déroulent, nos corps se cherchent et s’emmêlent avec vigueur. On roule l’un sur l’autre, chacun étant alternativement dessus dessous, comme dans une lute ou un ballet.
Ce n’est pourtant pas une confrontation déterminant un vainqueur mais un besoin de sentir l’empreinte de l’autre marquer son propre corps. Je sens son ventre passionnément s’appuyer sur mon sexe bandé et malmené, sa poitrine s’imprimer, rouler sur mon buste.
Puis elle profite d’être dessus pour se dresser sur ses bras, son regard dans le miens avec un rictus de passion et d’inquiétude :
— Ne suis-je pas trop lourde et trop brute avec toi mon chéri Je ne te fais pas mal ?
Surpris, je la rassure lui redisant tout mon amour et que ses étreintes passionnées me donnent encore plus envie d’elle, de la posséder avec la même fougue
Elle m’explique qu’il faut que je sois indulgent car avec l’excitation elle devient incontrôlable
Mon défunt père lui reprochait ces débordements qu’il jugeait indignes d’une personne civilisée. Avec lui, il ne fallait pas de ces manifestations « déplacées » pendant les échanges sexuels, d’ailleurs il préférait que ces derniers restent plutôt brefs du genre « Toc, toc et salut ! »
Je continue sur ma surprise, quel mufle, lui assurant qu’avec moi, elle peut se lâcher, que je ne crains pas les partenaires exubérantes, au contraire Et puis notre maison est suffisamment éloignée des voisins pour ne pas risquer de les affoler par des bruits intempestifs ou de cris subjectifs !
Tranquillisée, elle se recolle à moi pour de nouveaux baisers passionnés. Je sens la force de son étreinte. En gigotant nous roulons encore, elle m’entraine dessus, puis elle bloque le mouvement en écartant les jambes et prenant appui sur ses pieds.
En glissant son ventre et basculant son bassin je sens qu’elle place délibérément sa fente contre l’extrémité de mon sexe. Cette sensation brulante et humide contre mon gland m’excite encore un peu plus.
Tiraillé par mes derniers scrupules, je me pousse sur les bras, j’ai besoin de questionner son visage. Ses yeux Langoureux d’amour me réconfortent et m’encouragent. Mon envie d’elle l’emporte dans une poussée impétueuse d’hormones et de désirs archaïques
Mon gland glisse maintenant doucement en elle. Je vois, accompagnant la pénétration, ses traits qui se troublent, ses yeux qui se révulsent. Du plus profond de sa gorge monte un râle, comme une plainte.
Elle replie complètement les jambes pour me permettre d’aller au plus profond d’elle.
Je bute maintenant pubis contre pubis, elle reprend son souffle, ouvre un instant des yeux suppliants :
— Vas-y, achèves-moi !
Je n’avais pas besoin de ce signal pour partir dans un ample pistonnage, l’instinct avait pris les commandes.
Elle se cramponne à mon dos de ses ongles, elle accompagne le mouvement, basculant son bassin en cadence et frottant son ventre avec force contre le mien ; son étreinte est intense.
Le mouvement s’accélère inexorablement. Elle râle, elle gémit.
Brusquement, je sens ses muscles qui impérieusement se tendent, maintenant c’est elle qui mène la cadence de ce pilonnage infernal, alternant des reprises de souffles et des hurlements sauvages à me donner la chair de poule.
Et soudain ses mouvements de bassin deviennent saccadés. Les traits de son joli visage arborent une sorte de grimace de douleur, mais si agréable à regarder.
Puis son corps se cabre, j’ai l’impression qu’elle suffoque, ce qui me fait un peu peur et je relâche un peu mon étreinte. Dans un spasme final elle lâche un rugissement étrange dont je n’aurais jamais cru ma mère capable.
A ce moment je m’aperçois que j’ai déchargé et me suis vidé en elle presque sans m’en rendre compte, aspiré et tellement impressionné par sa propre jouissance.
Maintenant lentement elle revient au présent, essoufflée, son visage se détend, son corps transpirant de l’effort.
Je lui souris pour accrocher l’attention de ses yeux encore hagards. Elle m’esquisse un sourire :
— Oh mon chéri Mon chéri, tu vas me tuer si tu me fais des trucs comme ça !
Rassuré de la voir revenir à un état normal et débordant d’amour pour cette femme je la couvre de baisers passionnés.
Puis me plaçant à ses cotés, en me serrant contre elle langoureusement, je continue à l’inonder de câlins chaleureux.
— Ma petite maman chérie, si tu savais comme je t’aime !
Elle semble exténuée, elle m’avoue qu’elle n’a jamais joui comme cette fois. Elle s’inquiète encore si ses réactions ne m’ont pas gêné.
Je la rassure comme je peux, avec ma petite expérience de jeune homme je n’avais pas encore rencontré une amoureuse si passionnée. Mais j’aime et je vais m’y adapter avec plaisir.
J’en ressens même une fierté, peut-être un peu déplacée, que cette amoureuse soit ma mère
Nous restons tous les deux bouleversés de ce qui vient de se passer, il nous faut un moment pour digérer, maman vient se blottir dans mon épaule, on se caresse doucement.
Je suis ému d’enlacer cette nouvelle amante serrée dans mon bras et qu’elle amante !
Est-ce ce coté transgressif ou cette débauche de passion qui nous sidèrent le plus ?
Je serais bien prêt de recommencer sur le champ mais elle ne semble pas avoir trop envie Je respecte son trouble et son besoin de calme, j’en sens aussi une résonnance en moi. En nous détendant, nous ne tardons pas à nous endormir dans un sentiment de plénitude.
Les premières lueurs du matin me réveillent, maman dort toujours lovée dans mon épaule. Sensible à mon mouvement elle entrouvre les yeux, son gentil sourire m’accueille, elle étend ses muscles et me gratifie d’un premier câlin.
Elle me susurre :
— Bonjour mon chéri, As-tu bien dormi ? Si tu savais comme je suis comblée et heureuse ainsi dans tes bras
Je me sens franchir une étape dans la proximité avec ma mère. Ce que je devine me donne envie d’être encore plus protégeant et chaleureux avec elle. Comme si les rôles s’inversaient. Comme si je devais l’aider à vivre une nouvelle possession de ses sens et de sa sexualité.
Nous bavardons un peu, entre autre elle évoque hier soir, elle s’inquiète encore si sa bestialité ne me choque pas, elle en semble même complexée Je la rassure comme je le peux, car si ses réactions sont surprenantes par rapport un tempérament habituellement doux et mesuré, mais elles me plaisent énormément. Je découvre cet autre aspect de maman, la femme de caractère passionné qui m’enchante plutôt.
Les frôlements de ce corps féminin ne laissent pas indifférent mon sexe qui reprend sa vigueur. Est-ce le reflexe matinal ?
Je caresse maman qui a l’air d’apprécier cette passion naissante. Elle la souligne d’un câlin très sensuel en y mettant sa force dans l’étreinte et son amour dans le baiser.
Je suis même surpris de la vivacité de cette entrée en matière, d’autant qu’elle enchaine un glissement sur mon ventre très cavalier pour venir s’empaler sur mon membre. Je la découvre affamée de sexe et de passion. Elle s’est maintenant redressée pour me chevaucher, mon bâton remplissant son ventre.
Elle se lance dans un galop infernal.
Voir ce beau corps féminin s’agiter sur mon sexe, à genoux, les jambes pliées de chaque coté de mon bassin, le visage esquivant un sourire mais les yeux partis dans un autre ailleurs.
Je suis subjugué par le mouvement du bout coloré de ses seins, auréolés de ronds plus clairs. Je sombre doucement dans le plaisir et la jouissance en accompagnant son mouvement.
Maintenant elle râle et crie. Ce départ m’a complètement réveillé et excité, je force le mouvement de galopade en poussant violement en cadence mon ventre contre son assise. Mes efforts sont ponctués d’un râle de bucheron soulignant ses cris de jouissance.
Mes mains sur ses hanches la maintiennent sur mon dard pour lui labourer son intérieur. C’en est trop pour moi, des sentiments les plus bestiaux me submergent nous partons dans une cavalcade diabolique où chacun libère ses pulsions les plus secrètes à grands renforts de râles et de hurlements.
Avec maman, j’ai l’impression de découvrir d’autres dimensions de la passion amoureuses que moi aussi je ne m’étais jamais autorisées, dans cette confrontation de nos muscles, de nos sens, chacun extériorise sa violence.
Brusquement j’explose en elle, me vidant à grands spasmes.
Nos ébats ont fait valdinguer la couette, maman, le regard déchiré d’une série d’orgasmes suffoque, puis anéantie, elle se laisse retomber sur moi.
Dans une demi-inconscience tremblante je l’enserre dans mes bras pour un grand câlin sensuel. Nous nous calmons doucement, transformant notre passion en tendresse
Nous sommes tous les deux allongés, l’un près de l’autre, un peu exténués de ce réveil en fanfare.
Cet exercice semble avoir mis ma mère de bonne humeur, elle rigole de notre situation. Elle confesse qu’elle n’avait jamais encore connue cette dimension de sa sexualité.
Très vite, notre échange prend l’allure d’un câlin tendre et passionné. J’éprouve le besoin d’explorer et découvrir chaque parcelle du corps de cette nouvelle partenaire, ma mère que je connais si peu.
Cette clarté de nouveau jour, dans cette chambre que je n’avais que peu pratiquée jusqu’à présent accompagnent mes découvertes. Je couvre tout son corp