Mon amant me réserve une drôle de surprise. Que faire ? 2
Présentation : Je m’appelle Nicole,
Je suis une femme encore assez bien foutue malgré mes 48 ans, les hommes me disent que je suis jolie et certains me font rougir de plaisir en me comparant à ma fille qu’ils prennent pour ma petite sur.
Suite.
Je ne sais pas si la caméra n’avait plus de batterie mais la vidéo s’interrompt à ce moment-là.
Je suis frustrée et complètement trempée. C’est du propre
Après ce que je viens de voir c’est décidé. Il faut que je me le fasse !
Pendant les jours suivants, je l’aguiche mais il ne répond pas à mes avances pourtant assez explicites. Je décide de passer la vitesse supérieure et pour un prétexte de boulot, lui demande de venir à la maison.
Nous passons une heure sur un dossier et je lui propose un verre. Il s’assied sur le divan pour siroter son verre quand discrètement j’allume mon écran géant relié à mon ordi en lui disant que je vais lui montrer l’exposé que je vais présenter demain en réunion.
J’ai fait un petit montage et au bout de quelques minutes, les diagrammes et camemberts laissent la place à l’une de ses vidéos ou il sodomise une de ses conquêtes.
Le silence se fait, uniquement perturbé par les râles de la donzelle. Il me regarde, la bouche grande ouverte, ne sachant plus que faire. Je m’assieds tout contre lui et pose ma main sur son entrejambe en le questionnant :
-Que penses-tu de la promotion canapé ? Est-ce que je peux moi aussi avoir droit à tes faveurs ?
Il se rebiffe un peu et son regard jongle entre l’écran et ma main qui caresse son pantalon.
-Mais que faites-vous, Nicole ? Vous n’y pensez-pas ?
-Oh que si ! Tu crois qu’avec un tel étalon à ma disposition, je vais me priver ? Tu ne me trouves pas à ton goût ?
-Ce n’est pas ça. Vous êtes très belle mais vous êtes ma patronne..
-Et alors. Il n’y a pas que les hommes qui ont le droit de cuissage ! Et il ne fallait pas laisser traîner ces vidéos compromettantes.
Il a vite compris ou je voulais en venir et me laisse faire. Ma main remonte le long de son pantalon, fait sauter le bouton et descend la fermeture éclair. Il me facilite ensuite la chose en soulevant son bassin pour que je puisse descendre le pantalon ainsi que le slip.
Sa verge n’en mène pas large, toute recroquevillée. Et il me faut quelques minutes et toute mon expérience et ma dextérité tactile pour qu’enfin il se détende et que cette partie de son anatomie elle, subisse l’effet contraire.
Les veines de la grosse nouille pulsent du sang en quantité faramineuse dans les corps creux qui, gavés, dilatent les tissus et sous mes yeux. J’assiste à la croissance exponentielle de sa verge.
Il n’y a pas à dire, la 3D est beaucoup plus réaliste qu’un pâle écran, et un sens supplémentaire, le toucher, s’ajoute à la vue de ce merveilleux rostre si dur, si droit.
Je m’agenouille entre ses cuisses et le masturbe à deux mains. Mes yeux fixés dans les siens.
Je crois que le mâle a eu le dessus sur l’employé modèle.
J’approche mon visage, écarte les mâchoires et darde ma langue sur la prune violette, luisante sous la pression sanguine. Il est temps de passer à un sens suivant ; le goût.
Mes lèvres encapuchonnent son gland pendant que ma langue en découvre tous les coins et recoins.
Des frissons de plaisir parcourent son corps, pendant que ma bouche et ma langue jouent avec son prépuce. Une de mes mains caresse ses couilles pendant que l’autre astique la hampe.
— ouiii ! Allez-y, continuez ! Vous sucez trop bien Oui, je vais jouir
— Slurp slurp slurp
-Putain que vous sucez divinement ! Aaaaaah
A ses raidissements, je comprends qu’il est sur le point de décharger. Je sens sa semence venir que je redoute, car en trop grande quantité, pour l’avaler toute.
Je le regarde maintenant dans les yeux pour lui faire comprendre que ce n’est qu’un préambule.
Il me tient la tête de peur que je me retire mais ce n’est pas mon intention. De longs jets remplissent ma cavité buccale et c’est avec gourmandise que j’avale entièrement sa semence, léchant d’un coup de langue les quelques gouttes de sperme qui se sont échappées au coin de mes lèvres, puis nettoyant avec délice la verge encore fièrement dressée.
Rapidement il est à nouveau opérationnel, je l’invite à introduire son membre en moi, je lui ordonne plus que je lui demande:
— Prends-moi ! Je veux sentir cette grosse queue chaude me faire hurler de plaisir
Il me défonce la mâchoire mais ne veut plus être passif. Nous nous retrouvons vite tête-bêche et il me bouffe la chatte qui n’attendait que ça.
L’idée que cette bite énorme puisse s’engouffrer dans mon vagin fait couler de la mouille en abondance dans ma grotte qu’il s’empresse de boire à la source.
Mais j’ai trop faim d’avoir son sexe dans le mien. Je le repousse et place un coussin sous mes reins pour surélever ma croupe.
Il approche son énorme engin, le frotte délicatement sur ma chatte de plus en plus trempée de mouille et, une fois que son gland est à l’entrée de ma vulve, il s’y engouffre avec une facilité déconcertante.
J’ai le souffle coupé de me sentir si remplie. Il commence à onduler du bassin et la chaleur monte dans mon ventre au rythme de ses va-et-vient tout en douceur. Je sens ses couilles qui frappent entre mes fesses sur mon anus
Il est enfoncé au plus profond de ma chatte et me lime pendant un long moment avant de me prendre en levrette me faisant encore plus ressentir les dimensions de sa grosse queue au fond de mon vagin.
Pendant qu’il me tringle, une main s’est égarée sur mes fesses et soudain je sens son pouce s’enfoncer dans mon cul. Mon anus s’est laissé prendre mais mon conduit anal ne pourra pas supporter un tel engin.
Je jouis de nombreuses fois mais mon amant ultra membré n’a toujours pas vidé ses couilles.
Je veux lui montrer ma science et ne le lâcherai qu’une fois qu’il aura vidé ses bourses.
Mais il me faut presque 10 minutes pour arriver à mes fins et qu’il n’arrive au plaisir.
Son éjaculation est aussi disproportionné que la taille de sa poutre. J’ai la chatte pleine de son foutre chaud.
L’acte finit, je redeviens sa patronne et gentiment l’éconduit. Maintenant mon amant que je reverrai le lendemain redeviendra mon subalterne.
Jusqu’à la prochaine fois ??? Bien sûr !
Et je ne m’en suis pas privée, je peux vous le dire
Il ne me reste plus qu’une seule vidéo que je n’ai pas encore visionnée. Je n’y pensais plus maintenant que j’avais l’original.
Mais la stupeur et l’effroi m’ont frappé le jour ou je l’ai regardée..
A suivre.
tu me plais assez le gar c est quand con peut baiser j abite 18 rue manguesabot remire monjoly viens quand tu veux viens me violer je m appelle sarha et j ai 36 ans n hesite pas a inviter des copains a toi por le viol je veux que mon marie me vois attacher aulit et me faire enculer mon con et ma chatte par des grosses bite j ai envie d avoir du sperme dans mon con et ma chatte bisou mon cherie j attends pour me faire encculer