A Juliette…
Comment ai-je pu en arriver là ?
Moi, la célibataire qui refusait même l’idée d’une quelconque union, trop attachée à ma liberté surtout sexuelle ; à la possibilité de passer d’un partenaire à un autre, homme ou femme, quand ce n’était pas à plusieurs autres !
Cet après-midi, je me prépare à enfiler une robe de mariée, avec l’aide de Carine, l’amie et la complice de mes aventures débridées. Elle sera mon témoin, avec Arthur, et elle vient de me maquiller et de me coiffer.
Je suis quasiment nue, dans ma chambre. Pour cette journée, mes sous-vêtements se limitent à un tout petit string en dentelle, d’une blancheur virginale. On peut même se demander à quoi il sert, puisqu’il est fendu au niveau de mon minou, permettant d’accéder à mon clito et à ma grotte sans l’enlever.
J’enfile des bas dim-up, en résille, blancs eux aussi j’ai toujours détesté les porte-jarretelles, même si ça fait fantasmer beaucoup d’hommes.
Enfin, Carine m’aide à revêtir ma robe.
C’est un long fourreau en voile translucide blanc, fendu sur un côté, jusqu’à ma hanche. Le voile est constellé de petites fleurs brodées, blanches elles aussi, mais qui n’empêchent pas de voir, par transparence, les courbes et les pointes de mes seins, ni le sillon séparant mes fesses nues.
Je mets mes chaussures, des stilettos aux fines lanières couleur argent, aux talons impressionnants, et j’admire mon reflet dans la glace. J’imagine le regard de Juliette, quand elle va découvrir cette tenue, qu’elle n’a pas eu le droit de voir avant la cérémonie !
Je sors de chez moi, et je monte dans la voiture de Carine, qui doit me conduire jusqu’à l’église.
Nous roulons un long moment à travers la campagne, avant d’atteindre une petite chapelle, perdue dans une clairière au milieu d’une forêt appartenant au domaine d’un vieux château.
Lorsque je descends de voiture, j’aperçois tous les invités. Et surtout, Juliette, qui me dévore des yeux, avec un regard plein de tendresse et de désir.
Elle porte un smoking noir, ressemblant à ceux que portent les hommes. Rien sous la veste, fermée très bas par un seul bouton, et qui ne laisse aucun doute sur l’absence de soutien-gorge. Un nud papillon noir autour du cou, elle aussi est juchée sur des talons aiguilles, et ses longs cheveux blonds sont tirés en arrière.
Elle vient à ma rencontre, et me prodigue un très long baiser, nos langues ne se lassant pas de jouer ensemble.
Nos témoins se joignent à nous, pour rentrer dans la chapelle.
Pour Juliette, c’est Chloé mon homonyme, qui partage parfois sa vie, et Patrick, son ancien amant. Pour moi, c’est Carine, et Arthur, qui se charge de satisfaire ma sexualité insatiable, quand je suis seule.
Nous sommes accueillies par le prêtre, un grand black d’une trentaine d’années, dont le physique me fait aussitôt penser aux joueurs de basket américains. Il porte une grande chasuble, richement décorée de broderies couleurs or et argent. Rien de surprenant, si ce n’est qu’il est manifestement entièrement nu, sous cette chasuble.
Il est entouré de deux « enfants de churs ». Mais ce sont des jeunes filles, blondes au teint clair, portant elles aussi une tenue de cérémonie inattendue. Une sorte de pagne, noué autour de leur taille, dont les pans descendent au niveau du pubis. En dehors de ça, elles sont nues, montrant sans gêne leurs seins menus et leurs fesses rondes et cambrées.
Sous les flashes, je remonte la nef, au bras de Juliette, suivie de nos témoins, après que les invités se soient installés de part et d’autres, et le prêtre nous fait asseoir sur deux sièges, face à l’autel.
La sono, qui diffusait une musique soul au rythme lent et obsédant, se tait, pour nous permettre d’écouter le prêtre. Après avoir prononcé ce qui ressemble à des prières, dans une langue incompréhensible, il s’adresse à Juliette et à moi, pour nous rappeler nos droits et nos devoirs.
« Votre union repose sur une totale complicité sexuelle.
Chacune doit à l’autre le respect de sa liberté, de ses goûts, de ses désirs, de son droit à jouir, partout où elle en a envie, avec qui elle en a envie, et autant de fois que nécessaire pour la complète satisfaction de sa libido.
La jalousie vous est interdite.
Chloé, tu seras la petite pute soumise de Juliette, chaque fois qu’elle le voudra. Tu feras tout ce qu’elle te demandera, sans tabou. Tu t’exhiberas pour elle, tu offriras ton corps aux partenaires qu’elle te désignera.
Mais, lorsque tu le souhaiteras, les rôles seront inversés.
Juliette, tu useras de Chloé comme bon te semblera, tu auras le droit de l’humilier, dans les limites qu’elle-même te fixera.
Cependant, tu auras le devoir de la faire jouir, et de lui laisser toute latitude dans sa recherche du plaisir.
Et lorsqu’elle le voudra, tu devras être à ton tour sa petite pute soumise, dans les mêmes conditions qu’elle. »
Pendant son discours, les deux « enfants de chur » s’étaient agenouillées devant le prêtre, et avaient soulevé sa chasuble. Elles avaient commencé par le branler, et en quelques secondes, la longue hampe couleur d’ébène s’était déployée, jusqu’à atteindre des proportions impressionnantes.
Maintenant, les deux jeunes filles sucent alternativement la queue du black, qui continue son discours sans manifester son excitation.
Vient maintenant le moment, pour nous, d’échanger nos consentements.
A moi d’abord, le prêtre demande :
« Chloé, acceptes-tu de t’unir à Juliette, d’être sa partenaire, sa complice, dans tous les jeux sexuels dans lesquels elle voudra t’entraîner ?
Acceptes-tu de lui révéler tous tes désirs, même les plus inavouables, d’entendre les siens, et de réaliser tes fantasmes et les siens, sans pudeur ?
Renonces-tu à toute forme de jalousie, et es-tu prête à accepter et à encourager toutes les relations sexuelles dont elle aura envie ? »
Après que j’ai répondu par un « oui » ému à chacune de ses questions, le prêtre les pose à Juliette.
Puis, il nous déclare unies devant Vénus et Aphrodite, sous les applaudissements de nos invités, et il nous invite à nous embrasser.
Je tends mes lèvres à Juliette, qui s’en empare d’abord tendrement. Puis sa main se glisse sous ma robe, la mienne découvre un de ses seins, et nos langues se mêlent dans un baiser passionné.
Les invités se sont approchés, et nous mitraillent littéralement avec leurs appareils photos et leurs téléphones.
Pendant ce temps, les « enfants de chur » ont mené le prêtre au bord de l’éjaculation. Il les écarte, et nous demande, à Juliette et moi, de nous agenouiller devant lui, et pose ses grandes mains sur nos têtes.
« Pour sceller votre union, vous allez maintenant recevoir et partager ma semence, symbole de l’accomplissement du plaisir. »
Nos doigts enserrent la longue tige sombre dressée, coiffée par un impressionnant gland rose, entièrement décalotté. Nous le parcourons toutes les deux, avec nos lèvres et nos langues, jusqu’à ressentir des tremblements agiter cette superbe bite.
Je sens mes seins durcir, pointer à travers le voile de ma robe, et ma chatte couler par la fente de mon string. Juliette est dans le même état que moi, si j’en juge par ce que j’aperçois par l’ouverture de sa veste.
Le black dirige son pieu vers moi, et je le prends difficilement dans ma bouche. Juste à temps. Il pousse un long grognement, et le premier jet d’un foutre crémeux et tiède envahit ma bouche. Un second suit, et je sens le sperme couler sur mon menton.
Il parvient néanmoins à se contrôler, et il se retire de ma bouche pour se tourner vers Juliette. Le mouvement ne dure qu’une seconde. Heureusement, car dès qu’elle a entrouvert ses lèvres, le prêtre éjacule encore, à trois reprises, inondant la bouche et les joues de ma Juliette.
Le prêtre retire enfin son sexe, toujours bandé, et nous nous partageons toutes les deux les dernières gouttes de la liqueur coulant de son méat.
Nous nous regardons toutes les deux dans les yeux, sensuellement, et nos lèvres se rejoignent pour un long baiser, au goût douceâtre de sperme.
Nous nous relevons, sous les applaudissements des invités, qui se succèdent pour nous féliciter et nous embrasser.
Puis, nous sortons de la chapelle, pour une longue séance photos, et nous reprenons les voitures, pour rejoindre, en cortège, la salle du château où nous allons fêter l’évènement.
Juliette et moi rentrons les premières dans la vieille bâtisse, suivies de nos invités.
A ma grande surprise, nous sommes accueillis par le prêtre qui nous a unies. Il a revêtu un smoking, et joue maintenant le rôle de maître d’hôtel et d’animateur de la fête. Il nous conduit dans une grande salle, aux murs lambrissés, éclairée par d’énormes suspensions accrochées au très haut plafond.
Sur les côtés de la salle, un magnifique buffet est dressé sur des tables, une estrade trône au milieu de la pièce et, dans un angle, un DJ est debout devant sa platine. Une musique romantique accompagne notre arrivée.
Tout le monde s’égaye dans la salle et, quelques minutes plus tard, deux jeunes serveuses nous apportent le champagne. Une autre surprise nous attend : les serveuses ne sont autres que les "enfants de chur" qui ont sucé le prêtre à l’église ! Leurs tenues sont tout aussi indécentes que lors de la cérémonie. Elles portent des minirobes noires, dont le décolleté impressionnant laisse leurs seins nus, et dont le bas est ouvert devant en V inversé, jusqu’au nombril. Rien ne cache donc leurs chattes, surmontées par le duvet d’une toison blonde épilée en ticket de métro.
Les invités lèvent leurs verres, et portent des toasts en notre honneur. Les flûtes se vident très vite, et nos serveuses tournent parmi nous dans un ballet sensuel pour les remplir.
Puis, avant d’attaquer le buffet, nous découvrons nos cadeaux. Ils sont disposés sur une table, dans un coin de la salle, et Juliette me prend tendrement par la main pour m’y conduire.
Il y a plusieurs paquets, entourés de papiers multicolores et de rubans brillants, et deux enveloppes. Juliette en ouvre une, moi l’autre : il s’agit d’une invitation VIP pour deux personnes dans un club libertin, et d’un chèque cadeau pour une semaine de location dans le village naturiste du Cap d’Agde. Un concert d’applaudissements et de commentaires s’élève de nos invités, lorsque nous montrons à tous le contenu de ces enveloppes…
Nous passons ensuite aux paquets, chacune de nous deux en ouvrant un, alternativement, pour en révéler le contenu.
Nos invités nous connaissent bien : il y a là toute une série de sextoys dont un spectaculaire gode double et un magnifique gode ceinture, que j’ai hâte d’essayer des livres érotiques, une paire de menottes, un collier en cuir avec sa laisse, deux superbes Rosebud identiques, une roue à pics, et deux micro-bikinis se réduisant à des jeux de lanières…
Je sens déjà l’excitation et le désir dans les yeux brillants des femmes et des hommes qui nous entourent, lorsque nous passons parmi eux pour les remercier en les embrassant. Il faut dire que nous avons déjà baisé, Juliette et moi, avec la plupart d’entre eux…
Mais pour l’instant, nous nous dirigeons vers le buffet, sur lequel sont disposés des montagnes de canapés et de petits fours.
Pendant près de deux heures, nous grignotons en buvant du champagne, nous interrompant de temps en temps pour danser.
Comme dans tous les mariages, c’est Juliette qui m’invite pour ouvrir le bal. Tout en dansant, étroitement enlacées, elle m’embrasse à pleine bouche, me murmure des cochonneries à l’oreille (je devrais rougir…) et me caresse à travers le mince tissu de ma robe. Je mouille comme une folle, et ses seins durs et pointés trahissent aussi son état d’excitation.
D’autres couples nous succèdent, aussi lascifs, et nous nous séparons pour danser avec les invités. J’apprécie le goût très sur du DJ, qui sait choisir des musiques vraiment sensuelles.
Soudain, la musique s’interrompt, et notre "prêtre" s’empare du micro.
« J’ai eu le plaisir de célébrer votre union cet après-midi. Maintenant, le moment est venu de la consommer !
Mais vous n’êtes pas un de ces couples traditionnels, qui s’enferment en tête-à-tête dans leur chambre, pour faire l’amour tous les deux. Non seulement c’est devant nous que vous allez vous donner du plaisir, mais vos invités pourront participer à votre jouissance.
Juliette… Je crois que tu as quelque chose à dire. »
Ma Juliette saisit le micro que lui tend le black, et annonce en me regardant :
« Devant vous, nous nous sommes promises la plus grande liberté sexuelle, de ne pas nous replier sur notre couple ni de renoncer à d’autres partenaires. C’est le moment de tenir cette promesse !
Bien sur, je vais faire jouir ma petite pute, en public. Mais je veux que vous participez activement à cet instant de plaisir absolu. Et d’abord, que vous admiriez ce superbe corps nu et impudique que certains connaissent déjà. »
Je rougis un peu, malgré mon impudeur, lorsque Juliette prend ma main, et me fait monter sur l’estrade, qui occupe le milieu de la pièce, et tous les invités se rapprochent au maximum, excités par la perspective de ce spectacle inhabituel.
Juliette s’est placée derrière moi. Je regarde, comme à travers un brouillard, les femmes et les hommes qui me font face. Ses mains sont dans mon dos, dégrafant ma robe. Mes seins pointent, à percer le tissu, et ma sève coule le long de ma cuisse, pendant que Juliette, doucement, fait glisser le voile sur mes épaules. Elle descend le long de mes bras, libère mes seins, et je me cambre pour les faire saillir, tout en déboutonnant la veste de Juliette. Je sens ses tétons s’écraser contre mes omoplates, pendant que la robe passe mes hanches, découvre mon ventre et mon string, avant de tomber à mes pieds.
Juliette approche un pouf, que je n’avais pas encore vu, et me fait poser un pied dessus, en écartant ma cuisse. Dans ce mouvement, la fente de mon string s’ouvre, dévoilant mon minou d’où s’écoulent de minces filets de cyprine.
— Regardez… dit-elle, en écartant mes lèvres de la pointe de ses doigts, et mon petit bouton darde hors de son étui, pendant que je ferme les yeux de plaisir. J’aime tant quand ma Maîtresse m’exhibe…
Pendant quelques instants, Juliette fait saillir mon clito, ouvre mon petit coquillage, que les invités des deux sexes viennent admirer, au pied de l’estrade. Certains surtout des femmes d’ailleurs n’hésitent pas à me toucher, et goûtent même ma cyprine, qu’ils recueillent sur leurs doigts. Être ainsi transformée en objet, au lieu de m’humilier, m’excite incroyablement, et mes tétons se tendent, provocants.
Puis Juliette me fait descendre de l’estrade, et me conduit vers une grande table, qui a été débarrassée. Elle fait signe à nos deux "enfants de chur", qui se positionnent de chaque côté de la table.
D’un geste sûr, Juliette fait sauter deux petites agrafes en plastique, et mon string rejoint ma robe, sur l’estrade. Je reste nue, immobile, seulement vêtue de mes bas résille et de mes hauts talons, et je ferme les yeux à demi, savourant l’impatience de l’attente.
Alors, les deux jeunes filles, toujours incroyablement sexy avec leurs robes qui découvrent leurs petites poitrines et leurs monts de Vénus, me font étendre sur la table. Chacune saisit un de mes poignets et une de mes chevilles, et je me retrouve offerte sans défense, les bras et les jambes écartées.
En signe de soumission de ma part, Juliette prend entre ses doigts mes petits tétons, et les fait saillir, pour installer deux pinces à seins, qui les écrasent. Ils sont reliés par des chaînettes à une autre pince, qui vient enserrer mon petit bouton d’amour, et je gémis lorsqu’elle les règle pour intensifier la douleur.
Puis elle s’agenouille, à l’extrémité de la table, entre mes cuisses. Je sens sa longue chevelure blonde qui les effleure, sa bouche qui se pose sur mon sexe… Je gémis de plus belle, mais de bonheur cette fois. D’autant plus que des spectateurs mâles se sont rapprochés…
Ils sont nus aussi. Les deux "enfants de chur" guident mes mains, pour que je saisisse deux verges, dures et tendues… Je sais que je vais plonger dans la spirale du plaisir et des orgasmes…
La langue de Juliette s’active. Elle me connaît par cur, elle sait toucher mes points sensibles, avec une adresse diabolique. Alors, il ne lui faut que peu de temps pour m’arracher mes premiers petits cris, lorsqu’elle lèche ma fente, s’insinue à l’entrée de ma grotte, remonte sur mon clito.
Elle le libère de la pince qui la gêne, pour le prendre entre ses lèvres, le sucer, l’aspirer. Je sens ses dents… Elle le mordille, faisant naître de petites décharges, dont je ne saurais dire s’il s’agit de vraies douleurs, tant je suis excitée.
De toute manière, je ne peux plus crier. Une énorme queue remplit ma bouche. C’est celle de Patrick, l’ancien amant de Juliette. Elle m’avait toujours dit qu’il était monté comme un taureau ; elle était encore en dessous de la vérité…
Mais pour l’instant, les doigts de Juliette s’activent dans mon antre d’amour. Un bruit humide ponctue les va-et-vient de son majeur et de son index, pendant qu’elle continue de dévorer mon petit bouton. Elle est penchée en avant, cambrée, et j’aperçois, derrière elle, le "prêtre", qui s’est débarrassé de son smoking, en train de la doigter aussi.
Un autre invité est en train de caresser une des deux très jeunes filles, qui tiennent mes poignets et mes chevilles, et il la débarrasse de sa robe impudique. Qu’est-ce qu’elle est excitante, avec son corps de femme enfant, et son regard à l’innocence perverse !
J’ai déjà connu des situations… chaudes, mais celle-ci les surpasse. Jamais je n’ai été à ce point l’objet de l’attention et du désir d’un "public" aussi nombreux. Mes petits nichons pincés me font mal, tant ils sont gonflés et tendus. Je coule sur la main de ma Juliette, et je feule de plaisir.
Je me tortille sur la table, en ondulant des hanches, et Juliette est en train de porter mon désir au paroxysme.
— Ça te plaît, de te montrer comme ça devant tout le monde, ma petite pute, me demande-t-elle, en se relevant ?
— Oh oui ! Fais moi jouir, ma Maîtresse adorée.
— N’y compte pas ! Pas pour l’instant, nous nous devons d’abord à nos invités.
— Mais après…
— Oui, ne t’inquiète pas, je m’occuperai de toi, mais pas toute seule. Et tu vas t’en rappeler longtemps.
Elle s’éloigne, et m’abandonne aux autres invités. Je suis dans un état second, partagée entre l’appréhension, et mon désir que Juliette a exacerbé.
Patrick m’a délaissée, pour s’occuper de notre deuxième "enfant de chur". Je me demande s’il pourra la baiser une telle queue, pour une fille de ce gabarit ; même si je pense qu’elle n’est sûrement pas vierge. Mais je n’ai guère le temps d’y réfléchir. Notre "prêtre" guide vers moi deux hommes d’une quarantaine d’années, très grands, d’une beauté sévère, que j’ai aperçus pendant la soirée.
— Chloé, je te présente Kevin et Carl. Ce sont deux hardeurs, que t’offrent quelques uns et quelques unes de vos invités, en cadeau de noces. Ils se proposent de te prendre tous les deux, par tous tes orifices. Je leur ai dit que tu apprécierais sans doute une intention si délicate.
— Oh, merci ! Bien sur, ça me fait vraiment plaisir.
Toujours installée sur la table, appuyée sur mes coudes, je contemple mes nouveaux amants. Maintenant, ils sont nus, et je découvre leurs sexes. Ils ne bandent pas, malgré l’ambiance qui devient torride, mais les deux verges au repos sont d’une taille… respectable.
Les deux hommes ouvrent grand mes cuisses, et leurs mains partent explorer mon corps. Malgré leur force, ils sont incroyablement doux. Carl joue avec mes petits nichons, tirant sur les pinces pour en allonger les pointes, pendant que Kevin masse ma chatte, qu’il trouve trempée après le cunni de Juliette.
Je prends leurs queues dans mes mains, et je commence à les branler, en les regardant dans les yeux avec une expression gourmande. Je sens les longues tiges épaisses gonfler et se dresser instantanément. Ces deux types doivent bander sur commande, aussi longtemps qu’ils le veulent. J’ai envie d’eux. Ma chatte est en feu, après cette journée, et les caresses de Juliette. J’ai besoin qu’on me baise, maintenant.
Ils n’ont pas besoin que je le leur dise. Ils ont compris, et c’est Kevin qui s’enfonce le premier dans mon minou, d’une seule poussée. Je pousse un cri aigu, quand je sens mes petites lèvres et mon fourreau distendus par l’énorme dard. Aussitôt en moi, il commence à me prendre de toutes ses forces, à grands coups de reins, et je dois me cramponner aux bords de la table pour ne pas tomber.
C’est un feu d’artifice de sensations dans mon ventre. La bite sort presque entièrement, avant de replonger au fond de mon ventre, le gland touche à chaque fois mon point G. Je gémis, je crie, mais Carl plante à son tour son sexe dans ma bouche. Je suis bâillonnée, à demi étouffée. L’air me manque. Et ces gens autour de moi, qui me regardent, qui commentent ce formidable coït…
Leur vue me stimule encore plus. Je passe mes jambes autour des reins de Kevin, pour bouger mon bassin et le lancer à sa rencontre. Il se déchaîne. La sueur ruisselle sur mon corps, et ma mouille coule de mon abricot juteux comme d’une source.
Des hommes autour de nous se branlent, certains caressent leurs compagnes ou se font sucer. C’est trop excitant. Je viens brutalement, presque sans avoir senti l’orgasme arriver. Je crie, je me tords sur la table, et soudain, un des voyeurs décharge sur moi.
Mes deux partenaires se font alors un petit signe, et échangent leurs places. Le sexe de Kevin est un peu moins gros que celui de Carl, mais il s’en sert tout aussi bien. Il me fait lever haut mes jambes écartées, et plonge au plus profond de mon intimité, pendant que son copain investit ma bouche à son tour. Retrouver le goût de ma cyprine sur son gland… J’adore.
Je sens le plaisir revenir à toute vitesse. D’autant plus que je viens d’apercevoir Juliette ma Juliette à genoux, sur l’estrade. Elle est en train de se faire prendre en levrette par Arthur ! Nous échangeons des regards complices, voilés par la luxure, et nous nous offrons toutes les deux avec encore plus de fougue à nos amants d’un instant.
Pendant quelques secondes, je me demande ce qui se passe… Kevin s’est retiré de ma chatte, et s’écarte de moi.
Très vite, je comprends. Carl me soulève, et me prend dans ses bras. Je me retrouve debout, je m’accroche à son cou, je passe mes jambes autour de sa taille, et d’une main, je guide son gland vers ma chatte grande ouverte. Puis, je me laisse glisser doucement, pour m’empaler sur son énorme mandrin.
Je commence à bouger, mais il m’intime l’ordre de rester immobile. Je sens alors les mains de Kevin écarter mes fesses. De ses doigts pleins de salive ou de mouille, il prépare mon petit trou.
Oh, c’est délicieux. Il me doigte, comme personne ne l’avait fait aussi bien avant, et ma rondelle s’ouvre lentement, sans effort. Un deuxième doigt rejoint le premier, et ils se mettent à tourner et à s’écarter dans mon anus serré. Je gémis de nouveau, de plus en plus fort, au fur et à mesure que mon petit cul est dilaté.
J’ai hâte que Kevin me prenne aussi. L’attente me paraît interminable. Et enfin, je sens qu’il écarte mes fesses, que son gland appuie contre mon petit illet, et force le passage… C’est encore meilleur que ce que j’espérais, quand il s’enfonce en moi, distendant mes parois.
C’est moi qui, m’accrochant au cou de Carl, commence à monter et descendre sur les deux sexes plantés dans mes deux orifices. Ma fente et mon petit trou sont dilatés au maximum, j’ai l’impression qu’ils vont se déchirer, mais le plaisir que j’éprouve est indescriptible, et je l’extériorise par des cris aigus, assourdissants.
Le "prêtre" a rameuté les invités à l’origine de ce cadeau, et ils m’encouragent. Ils applaudissent, tapent dans leurs mains au rythme de mes va-et-vient sur les deux verges, comme dans un concert de rock.
Mes tétons frottent à chaque mouvement contre le torse puissant de Carl, Kevin malaxe mes fesses, et je ne pense plus à rien d’autre que ma chatte et mon cul, baisés sauvagement.
Je voudrais que ce trio ne s’arrête pas, mais je ne parviens pas à réprimer ni à retarder davantage l’orgasme qui vient. Je me mets à crier, de toutes mes forces.
— Je vais jouir !… Oh, regardez-moi… Comment je me fais baiser… C’est trop bon ! Je… Ooooh ça y est ! Je jouis, putain, je jouis !!!
Le plaisir m’emporte encore. Chaque orgasme de cette soirée est plus fort que le précédent. Je me demande comment tout cela va finir.
Mes deux amants d’un instant me soulèvent, retirant ainsi leurs sexes de ma chatte et de mon petit trou, qui restent béants. Mais eux n’ont pas éjaculé ! Je suis bluffée par leur endurance.
Je ne suis pas la seule ! A peine se sont-ils éloignés de moi, après m’avoir embrassée, qu’ils sont littéralement assaillis par plusieurs femmes, qui ont assisté à nos ébats.
Pour retrouver des forces, je décide de déambuler dans la salle, toujours nue avec mes bas résille, et juchée sur mes talons aiguilles, pour observer nos invités en pleine action. Je ne suis pas déçue !
Un peu partout, ce sont des couples ou des groupes, qui s’exhibent et font l’amour dans toutes les positions, observés par celles et ceux qui font, comme moi, une pause pour reprendre des forces. Même le DJ, qui a abandonné ses platines en laissant une bande musicale se dérouler, est en train de sodomiser Carine, qui me lance en souriant :
— Géniale, ta noce, ma chérie !
— Tu t’amuses bien ?
— Oh oui ! C’est le troisième mec que je me fais, et il m’encule divinement bien… Oooooh !
Je m’éloigne, la laissant à son plaisir, et quelques instants plus tard, je retrouve Juliette, qui se promène, elle aussi, dans la salle. Je remarque les cernes qui marquent ses yeux : comme moi, elle a du beaucoup se donner…
Elle me prend par la main, et nous circulons encore un long moment au milieu de nos invités. Le jour commence à pointer. La fatigue produit ses premiers effets, et beaucoup sont moins actifs, mais nombreux sont ceux qui nous félicitent pour cette fête réussie, et qui nous remercient de les y avoir conviés.
— Je crois que le moment est venu que nous consommions notre union, me dit Juliette à mi-voix, pendant qu’ils sont encore en état d’apprécier le spectacle.
— Tu sais que je ne demande que ça…
Mon regard s’est allumé, dès que Juliette a prononcé ces mots, et le rouge de l’excitation est monté à mes joues, en pensant que nous allions nous faire jouir toutes les deux, en public. Mais sa réaction à ma réponse n’est pas celle que j’attendais, même si je savais qu’elle voudrait que nous surprenions encore nos invités.
Elle me prend par l’épaule et, tout en m’entraînant sur l’estrade, elle me dit tout bas, à l’oreille, ce qu’elle a imaginé. J’ouvre de grands yeux ronds, et je la regarde avec un sourire pervers, pour lui répondre.
— Tu ne pouvais pas me faire plus plaisir. Je n’osais même pas espérer quelque chose d’aussi extraordinaire.
— Mes amis, dit Juliette en se saisissant du micro. Vous attendez tous ce moment. Chloé et moi, nous allons sceller charnellement notre union devant vous. Mais comme nous vous l’avons déjà dit, il n’est pas question de nous réserver l’une à l’autre ! Et pour exposer également notre bisexualité, nous allons chacune choisir un homme dans l’assistance, pour qu’ils se joignent à nous. A toi l’honneur, Chloé…
— Je choisis… le prêtre qui nous a uni, et qui a su si bien animer cette journée et cette soirée. S’il accepte, bien entendu.
— Mais avec plaisir, répond l’intéressé. Je suis très sensible à l’honneur que tu me fais.
— Et moi, reprend Juliette, je choisis Carl, le hardeur dont j’ai pu admirer les performances avec ma Chloé, tout à l’heure.
Nous sommes maintenant tous les quatre sur l’estrade, autour de laquelle nos invités se serrent, et Juliette éteint le micro, pour expliquer à voix basse à nos deux partenaires ce que nous attendons d’eux. Pendant ce temps, je vais chercher, parmi nos cadeaux, le gode double que nous allons étrenner ici.
Lorsque je remonte sur l’estrade, le prêtre s’est étendu sur le dos, sur un grand tatami, et les deux jeunes filles qui nous ont servis le branlent doucement, pour réveiller son érection. Elles lubrifient en même temps l’énorme engin avec leur cyprine, qu’elles recueillent sur leurs doigts.
Le silence, dans la salle, est maintenant impressionnant.
Juliette a posé un pied sur un siège, et écarte grand ses jambes, pour me permettre d’accéder à sa chatte, à la vue de tous. Alors, je glisse ma main entre ses cuisses, et j’ouvre ses petites lèvres, écarlates et irritées après qu’elle ait été déjà tant baisée. Puis j’introduis une des extrémités du gode dans sa fente, qui coule de nouveau.
Juliette se place debout, au bord de l’estrade, pour faire admirer l’autre extrémité du gode qui émerge de son minou tout lisse, imitant à merveille un énorme sexe d’homme. Elle me prend par la main, et me conduit jusqu’au "prêtre". Sa verge sombre, couronnée par un superbe gland rose décalotté, est dressée à la verticale.
Je viens maintenant le chevaucher, en lui présentant mes fesses. Je m’accouve sur lui, je prends appui sur mes bras tendus pour me pencher en arrière, faisant ainsi pointer mes petits seins vers le plafond. Et Juliette guide le pieu érigé vers mon petit trou.
Je suis obligée de serrer les dents pour ne pas crier, lorsque le gland gorgé de sang force ma rosette, car mon anus s’est un peu rétracté. Mais la douleur est de courte durée, vite remplacée par du plaisir, et je me laisse enculer à fond, en ronronnant comme une chatte en chaleur.
Dès qu’il m’a pénétrée en entier, Juliette vient se placer entre mes jambes, que mon partenaire soulève et écarte. Alors, elle présente le gland de silicone entre mes petites lèvres brillantes de mouille, et elle l’enfonce, lentement, mais sans marquer de pause, m’arrachant de petits cris.
— Tu aimes ça, te faire prendre en sandwich, ma petite pute, me demande Juliette.
— Oh oui, tu sais bien.
— Et encore plus le jour de nos noces, devant tout le monde. Dis le que tu aimes ça !
— Oh oui, ma Juliette. J’aime ça ! J’adore ça !
— A toi, Carl, lance-t-elle en se retournant vers le hardeur, qui entretient son érection en se branlant.
Il s’installe derrière elle, il plie les genoux, et je passe mes bras autour des hanches de Juliette, pour écarter ses fesses au maximum. Et aussitôt, il plante son dard dans le petit trou de mon épouse.
Elle se mord les lèvres, mais elle ne peut pas retenir une plainte, tant l’homme est bien membré. Elle avait envie d’une baise sauvage et brutale, et elle a refusé tout nouveau préliminaire. Et il s’enfonce dans son cul, inexorablement.
Les larmes coulent sur les joues de Juliette, pourtant dure au mal, mais à aucun moment elle ne demande grâce, et Carl remplit son adorable cul.
Lorsqu’il s’est entièrement enfoncé entre ses fesses, nous marquons un temps d’arrêt, pour permettre à Juliette de se détendre. De courte durée, car très vite, elle se met à onduler des hanches, pour nous exciter.
Alors, Carl commence ses allées et venues dans le petit illet sombre et distendu de Juliette, donnant ainsi le départ d’une incroyable baise à quatre. Les mouvements du hardeur se répercutent dans le gode planté dans ma chatte, et me font coulisser sur la bite de notre "prêtre", fichée dans mon cul.
Nos quatre corps, ruisselants de sueur, forment un édifice improbable et instable, mais nous parvenons à ne pas nous écrouler.
Ce que je ressens est indescriptible. Je me suis déjà fait prendre par deux hommes, mais je n’avais connu de situation aussi excitante.
— Oh oui, encule moi, Carl !… ordonne Juliette. Oh oui… Le gode me déchire ma petite chatte, chaque fois… J’adore !…
— La mienne aussi, dis-je en criant. Oh putain !… C’est bon… Et mon petit cul ! Ooooh, il va exploser !
— Oh ouiiii ! reprend Juliette.
Des invités sont montés sur l’estrade. Certains malaxent nos seins, à Juliette et moi. Des femmes massent les couilles de nos partenaires.
Ce somptueux coït se prolonge, dans un concert de gémissements, de cris, de rugissements de bêtes fauves. Je n’avais jamais eu autant l’impression de me faire démonter mon petit cul et ma chatte.
Je suis la première à jouir. Mais les trois autres continuent, encouragés par Juliette.
— Allez-y, bordel !… Oui ! Je viens… Encore plus fort !
Bientôt, c’est au tour de ma Juliette d’être emportée par un plaisir dévastateur. Mais Carl continue. Mon "prêtre" n’a pas éjaculé non plus. Alors, je jouis encore, et Juliette me suit de près, dans un orgasme multiple, et je sens le foutre inonder mon anus.
Je me mets à hurler…
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Je m’éveille en criant, sous le regard incrédule et amusé de mon compagnon.
Mes petits nichons pointent. Ma main est enfouie entre mes cuisses, et je suis en train de me doigter.
Petit à petit, je reprends conscience. Je réalise où je suis. Et je m’aperçois, honteuse, que les draps sont trempés, sous mes fesses.
— Je ne sais pas qui est cette Juliette, que tu appelles depuis une heure, et à qui tu as dit des choses à me faire rougir, mais il faudra que tu me la présentes, me dit Arthur.
J’éclate d’un rire forcé, pour masquer ma gêne, et je l’embrasse.