Après notre première aventure au bois, nous avons quitté la France pour déménager au Québec. Le temps de nous installer et de prendre nos repères dans notre nouveau pays, ma femme me faisait part, désormais de plus en plus souvent, de ses fantasmes jusqu’alors cachés et quelle pensait être capable de vouloir vivre.
La première expérience quelle mavait offert semblait lavoir libérée et elle se laissait aller à me confier ce quelle avait, probablement si longtemps, étouffé et enfoui au fond delle.
Souhaitant tester ses nouvelles aptitudes en douceur, je tentais tout dabord, dintégrer dans nos conversations et peu à peu dans nos activités sexuelles, la présence dun de nos amis, Claude, qui lui plaisait bien, récemment divorcé. Javais commencé à le mettre dans nos scénarios quand nous parlions de ses fantasmes et pendant nos préliminaires où je lui demandais de fermer ses yeux et de penser à lui.
Au début, elle émit des réticences envers ce jeu car il sagissait dun ami et que, pour elle, il était hors de question que nous mêlions nos familles et amis à nos activités sexuelles, mais, je lui ai fait comprendre que je voyais bien quil lui plaisait et que, visiblement, le courant passait bien aussi avec lui de son côté, il ny avait pas de mal à sen servir comme stimulant et rien quen imagination. Ça a marché et ça fonctionnait même très bien puisqu’elle jouissait plus fort, même quand je la pénétrais.
Nous avons, dès cette période, et à plusieurs reprises après le succès de ces orgasmes liés à lui, organisé des rencontres Café ou bières ou vin ou dîner ou souper… Histoire de le sortir de ses pensées de célibataire et pour nous de jouer nos jeux coquins. Je dois avouer que je souhaitais tenter une approche en lien avec notre fantasme à vivre.
Et dès les premières fois, javais demandé à ma femme de faire en sorte quil puisse plonger ses yeux dans son décolleté. Ce quelle aimait, car très fière de sa poitrine. Puis, peu à peu, jai insisté pour quelle sarrange pour porter des robes ou jupes et quelle fasse en sorte que, sous prétexte de ne pas le vouloir ou sen apercevoir et surtout de ne pas le faire volontairement, il voit sa culotte…. Bien que rétive les premières fois, nous en parlions parfois quand il était là mais loin de nous, et surtout après son départ, elle sexcitait de la situation. De plus en plus fréquemment, elle jouait de ses charmes et Claude ne loupait rien du merveilleux spectacle quelle lui donnait. Lui-même avait semble-t-il du mal à cacher les érections quelle lui procurait. Nous pouvions, par moment, voir le superbe résultat de son côté voyeur.
Pour ma part, je bandais à lidée de la baiser avec lui ou de le regarder la prendre et la faire crier son plaisir et je suis sur quelle commençait aussi à simaginer prise par sa belle bite.
Cest presque naturellement, quelle me fit, un beau jour, part de son désir dôter sa petite culotte pour lui, afin quil puisse admirer son sexe. Puisquelle était excitée quand elle sexhibait pour lui, je lui conseillais de tenter lexpérience de lui montrer dabord quelle portait une lingerie et que, sur mon signe, quand jaurai pu constater, quencore une fois, il promenait discrètement ses yeux sur les charmes offerts, elle se rende dans la toilette et enlève sa lingerie mouillée et odorante mais quelle labandonne sur la laveuse/sécheuse proche et quelle nous rejoigne et lui laisse découvrir son beau minou et ses poils luisants.
Finalement, son excitation avait prit lascendant sur sa raison et nous avons pu convenir que nous jouerions pleinement ce jeu, sans fixer de limite ni de réserve, si suite il y avait. Nous allions assumer notre jeu jusqu’au bout.
Forte de son désir, nous avons reçu notre ami à notre coin repas, au jardin.
Jassurais le service et laissait ma femme avec lui, le plus souvent possible, surveillant par les baie vitrée et fenêtres, si notre stratégie fonctionnait.
Japercevais le regard de Claude qui, lorsque ma femme regardait ailleurs, plongeait entre les cuisses négligemment entrouverte. Le bout de dentelle blanche ne pouvait échapper à aucun regard, pas même le mien.
Quand je le rejoignais, Ma femme se leva et sabsenta, nayant, de mon côté, pas eu le temps de lui donner le signal. Jen fus surpris.
Cependant, dès son retour, avec le si beau sourire quelle arborait, je compris. Claude neut pas à attendre longtemps, non plus, avant de sapercevoir quelle était nue sous sa robe et, à son tour, sexcuser pour se rendre aux toilettes. Ma femme a pu constater quil avait au moins touché à sa culotte et surement sniffé.
Pendant labsence de notre « victime », elle me confia quelle voyait et sentait tellement les yeux de Claude sur sa féminité quelle mouillait abondamment et que sachant que jadorais que ces petits poils luisent de son jus denvie, elle avait souhaité lui offrir tout autant quà moi se sentant fin prête.
Pourtant et malgré tout, nous navons jamais, par contre, pris linitiative de lui proposer une baise à 3, même si au fil de certaines de nos conversations, nous avions tenté daborder le sujet.
Ma femme nosait vraiment pas plus que lexhibition quelle offrait déjà. Bien que, je crois pouvoir dire que, les regards de Claude sur ma femme étaient devenus plus insistants et délibérément plus appuyés, Claude nosait pas franchir le pas qui restait à faire, pas plus que mon épouse.
Mais, les fantasmes de celle-ci grandissaient et évoluaient encore au fil du temps.
Cest suite à ce petit jeu qua surgit notre aventure avec Mohamed.
(voir lhistoire à paraître)
Je dois, ici, préciser que ma femme aime beaucoup les arabes, pour avoir vécu avec lun deux pendant près de 10 ans.
Après Mohamed, et, dans le même temps que je fouillais le web à la recherche dun jeune de +18 ans pour combler une autre folle envie de mon épouse dans sa nouvelle quête, elle finit par me confier, après avoir longuement hésiter et tourner autour du pot, que, peut-être, mais pas certaine encore, elle essayerait bien de donner du plaisir à un homme âgé qui soit seul et encore présentable ! Elle ne savait pas trop ce quelle voulait, en fait. Probablement, juste une fellation… Peut-être quil la touche. Elle voulait juste que je cherche et lui propose SI JE TROUVAIS !
Dans ma tête à moi, jai, soudainement, cru quelle voulait se donner à son père…
(Mais ça, cest la justification dun autre de ses fantasmes qui sera à lire dans les suites de nos aventures)
