Nous sommes dans un coin isolé ou le Bon Dieu a du perdre sa savate. Il y fait bon, malgré la chaleur en plaine. Mon chéri est photographe professionnel : il travaille à la commande. Il s’occupe actuellement de petites bestioles sur l’herbe. Je regarde de loin moi qui ai une peur irraisonnée des araignées poilues ; Je me moque de lui : il est presque nu, à genoux, la tête collées au sol, son foutu appareil visé à lil. Son slip contient avec peine sa bite. Je préférerais la voir directement plutôt que la deviner. Je récupère de la chaleur de chez moi, je me dévêts lentement pour mieux savourer l’air frais. Je sens mes tétons prendre le large. Je roule même le haut du string sur les hanches. Je ferais mieux d’être nue, ce serait plus normal. Un reste un vague reste de pudeur me retiens.
Et lui qui ne me regarde même pas. Je fini d’étaler une couverture, j’y suis mieux que sur l’herbe. Mon mec suit à la trace, comme dans la chasse à cour un genre de sauterelle qui vient vers moi. Il trouve le moyen de faire son cliché quand le monstre est sur un de mes orteils.
Ça le fait rigoler. Moi pas tellement. Il m’oublie, il oubli que j’ai une chatte, un sexe et ce qui va autour. C’est la goutte d’eau : je me mets nue, toutes nue dans la nature : personne ne viendra m’en empêcher, comme personne n’empêchera de toucher doucement la chatte. Je n’ai pas l’intention de me masturber : de suite les grands mots. C’est simplement agréable de se caresser doucement.
Et puis je vois la queue de mon mec gonfler dans sa cage. Il ne va pas bander quand même, comme ça sans raison évidente.Alors je me remémore d’ancien souvenirs, quand nous étions plus jeunes, pleins de sève.
Notre première fois, quand je n’osais pas montrer ce que je savais faire, ce que je préférais, ce que j’aimais. Il me sortait d’un tunnel.
Je ne fréquentais que des milieux tourmentés consacrés à des baises crapuleuses. J’étais une adepte du mélange des couples, des sexes. Je me donnais volontiers à une lesbienne à qui je plaisais particulièrement. J’aimais alors (je ne le déteste pas maintenant) les enlacements lesbiens doux, légers, pleins de tendresses.avec des lèvres mangeant la chatte. Il me semble encore avoir sa langue entre mes fesses, dans la raie, près de mon petit trou qui cherchait à y entrer.
Que j’aimais ses enlacements non conventionnels, si bon, si délicats, si féminins en un mot. J’aimais me prélasser dans des bras de mon sexe. Il a fallut qu’un soir il soit là, qu’il mimpose sa loi de mâle. Pourtant il navait rien de particulier, sinon sa queue bandée. Je crois me souvenir que c’est la forme de son gland qui m’a séduite. Il n’était pas plus gros que les autres, sans doute sa couleur pâle. C’est ce que j ai commencé à lécher. Il avait un bon goût de mâle, de sel, de sperme, de ce que je désirais sans doute depuis longtemps. J’avais besoin sans lavouer d’un queue. Je n’en avait pas eu depuis longtemps. Elle était là,je me la suis appropriée.
Je venais juste de finir un orgasme intéressante avec une de nos meilleures lécheuses Je devais finir de jouir quand sa queue est venue me rendre visite. Il a complété mon orgasme en entrant dans le vagin. Il me faisait du bien. Je voulais recommencer avec lui. Il m’a demandé d’attendre un peu pour se recharger. J’ai attendu il recommençait à bander. Je l’ai pris dans la bouche pour goûter : fameux, il descendu vers mon sac. Ses vas-et-vient mont vaincue. Depuis je n’ai plus,léché de foune. Dommage, j’en aimais ce goût fade, un peu caramélisé, des fois sucré.
Nous avons passé le reste de la nuit avec les autres, nous pouvions voir les autres s’aimer. Il aimait nous voir baiser. Qu’est ce qu’il m’a mit. Je ne crois pas qu’il ait épargné une entrée. J’aimais particulièrement sa façon de m’enculer : à la fois doux, brutal, pénétrant. J’écartais mes chairs devant sa poussée je savais quil irait à son but : jouir dans mes intestins. Il me limait l’anus, je sentais ce drôle de plaisir envahir mes fesses. Quand il giclait en moi, il me semble encore sentir la force de son jet de semence.
Nous sommes parti ensemble, je le suivais. Chez lui il a recommencé, il voulais mon con que j’ai donné facilement. Sa queue est entrée en majesté dans le ventre. Ses couilles battaient contre moi.
Il ’a tourné sur le ventre, les fesses en l’air. Je mattendais à la pire des exigences. Il m’a simplement mordue.
Nous avons vite habité ensemble. Son corps me manquait, sa bite me manquait. Que de baises nous avons faites, que d’orgasme nous avons eu, que de litre de sperme j’ai bu.
J’étais folle de lui : j’en arriver louper des ventes en pensant à nos baises. Avant davouer que je le voulais, lui seul, je me suis payé une dernière nuit de folie. Je ne regrettes pas du tout les orgasmes que j’ai eu. Jai-pu réaliser mon rêve davoir plusieurs bite en moi. J’ai pris le premier amant par les fesses. J’étais sur lui, je mettais sa queue juste sur mon cul,je me laissai tomber pour être pénétrée. Je le sentais en entier dans le cul.J’ai attitré le deuxième en montrant ma chatte vide, libre de toute occupation il avait une grosse queue. Il me faisait un peu mal en entrant, mais jétais presque comblée de cette double pénétration. Un autre dernière qui se présentait, je la prenais dans ma bouche, je léchais mordais, je le faisais éjaculer dans la bouche. Je ne pense pas avoir été aussi remplie de sperme.
Maintenait je suis une femme parfait, sinon que j’aime me masturber souvent : es-ce tromper son mari ? Éternelle question.
Il commence à bander sérieusement. Il sort sa bête de la cage. Elle est énorme. Il va me la mettre, c’est sur, mais où. Finalement je n’ai pas de préférence. Il m’embrasse, sa langue entre dans ma bouche. Il me tourne. J’obéis en montrant le postérieur.
C’est justement mon cul qu’il veut : putain c’était la foufoune. Il passe des doigts dans les fesses. Je mouille. Il insiste pour venir mettre un seul doigt sur le cul. J’accorde la politesse. Il me met en levrette, son intention est évidente. Je lui donne mon cul.Il est délicat quand il me sodomise : un rien ferait rater le plaisir, le sien et le mien. J ouvre mes muscle anaux. Infiltre facilement. Je le laisse aller et venir dans mes fesses. Je jouis trop vite, il attend encore : je jouis encore juste en même temps que lui.
Mon cul est plein de sperme, je m’en fous, j’ai joui.