J’aurai préféré retourner à notre cabine mais Béa semble tellement heureuse que je n’ai pas le cur de refuser ; honnêtement, j’ai pris beaucoup de plaisir à la voir comblée par un autre sexe et rien que de savoir qu’elle va à nouveau se faire baiser, je bande à nouveau ; Jean se mettant à genoux entre nous deux nous caresse la poitrine ; les tétons de Béa sont de nouveau raides de plaisir, et je suis surpris de découvrir que les miens réagissent de la même façon ; petit à petit elles descendent vers notre bas ventre, et si c’est le clito qu’il titille, il s’intéresse aussi à ma queue ; à son contact je me raidis, mais je ne me retire pas ; c’est maintenant nos deux sexes qu’ils masturbent.
Béa a écarté ses cuisses et il la fouille deux ou trois doigts entre ses lèvres ; elle s’aperçoit alors qu’il est aussi en train de m’astiquer la bite et que comme elle, j’y prends plaisir « dis donc chéri, je ne savais pas que tu aimais les hommes » rien d’agressif, simplement l’étonnement et un rien de malice dans les yeux. Mais pour moi le plaisir est de voir Béa se livrer aux caresses ; elle s’offre aux doigts qui la fouillent et s’écartant les cuisses c’est elle qui réclame « enfonce-toi, fouille-moi la chatte » bientôt la main disparait entre les lèvres et quand elle tourbillonne dans la matrice, Béa ne peut retenir un hoquet de surprise ; enfoncé jusqu’au poignet, il la pénètre, butant sans aucun doute sur le fond de sa chatte ; « putain que c’est bon,…….. Je sens ses doigts sur mon petit point… je vais jouir. » Puis plus rien ; ses gémissements remplissent le carré, fistée pour la première fois, elle se livre, cambrant ses reins, avançant son bassin vers la main vagabonde.
Jean a quitté ma queue et petit à petit retire sa main, découvrant un antre béant ; la redressant, il la couche sur mon ventre et me prenant la queue il la guide entre les lèvres dilatées ; elle se laisse faire, plantée sur mon chibre nageant dans sa jute ; se collant derrière elle, il lui enduit l’anneau de ses secrétions, dilate le conduit et douce ment son gland pénètre le cul offert ;à son contact elle se raidit, puis quand la queue perfore l’anneau, un cri de douleur, vite étouffé par mes lèvres ; soudain je sens sa queue à travers le fin tissu et quand il commence son lent va-et-vient, Béa se détend et pour moi, j’ai l’impression que sa queue me branle ; sous la double pénétration elle gémit, agrippée à mes épaules, elle geint de plaisir « mon amour il me défonce alors que tu es en moi, pour toi j’ai envie de jouir ; je deviens une salope pour ton plaisir et le mien » ma jouissance déferle et j’explose, me vidant en elle.
Je comprends que mon plaisir est surtout dû au fait qu’elle se fait prendre par un autre homme et qu’elle se livre totalement à la queue qui la sodomise ; enfin il se libère à son tour, se vidant dans ses entrailles « c’est chaud, il me remplit le cul, que c’est bon, vas-y encule moi encore » et quand il se retire, elle ne peut retenir un « oh »
Le reste de la nuit n’a pas été plus calme et Béa a subi nos assauts, avec bonheur et jouissance ; à deux reprises, elle a encaissé une double pénétration, acceptant même à la fin nos deux membres ensemble dans la chatte. Ce n’est que vers neuf heures que nous avons retrouvé notre chambre, épuisés, mais comblés chacun à notre façon ; allongés et tendrement enlacés, nous discutions de notre aventure. Nous avions pris ensemble une nouvelle facette de nos relations.
« Jai eu beaucoup de plaisir à me faire posséder par jean en ta présence ; j’espère que tu vas accepter qu’il soit mon amant pendant le reste du voyage ; je dois même t’avouer que maintenant l’épisode avec les deux jeunes m’excite beaucoup plus ; j’espère que si l’occasion se présente tu m’offriras à eux. « Mais l’occasion ne s’est pas présentée.
En effet, jean a fini le reste du séjour avec nous, la baisant à son gré, parfois même sans ma présence, pour son plus grand plaisir et je dois le reconnaitre pour le mien, car à chaque fois que cela s’est produit, elle revenait vers moi, écartant ses cuisses pour que je puisse lui lécher la chatte, buvant son plaisir et celui de son amant.
Pour la dernière soirée, à nouveau nous avons passé la nuit avec lui et non seulement nous lui avons fait l’amour, tendrement chacun notre tour, mais aussi la prenant à nouveau en double vaginale et en la sodomisant. Comme l’autre nuit, il a joué avec mon sexe, le branlant, le gobant, le suçant jusqu’à m’amener à la jouissance ; alors que j’étais prêt à jouir, il s’est retiré et a dirigé les jets de sperme vers sa bouche, avant de nous donner un baiser à chacun, déversant un peu de son breuvage.
Sur le matin, peu de temps avant de quitter le navire, alors qu’il la chevauchait à nouveau, elle lui a demandé de ne pas jouir en elle, mais de m’offrir sa tige à sucer et de prendre son plaisir en lui jutant dans ma bouche. Pour moi, un peu d’inquiétude mais le regard brillant de Béa m’a ôté toute hésitation, et lui prenant la tige, je l’ai masturbé, jusqu’ à qu’il éjacule dans ma bouche. M’embrasant fougueusement Béa aspira une partie de la semence, puis regardant Jean en riant « comme cela nous aurons eu tous les deux ton sperme »
De retour chez nous, une nouvelle vie a commencé, mais c’est une autre histoire.