Je me présente : Je m’appelle Cris, je suis un jeune étudiant de 22 ans qui habite dans la banlieue parisienne dans un petit village, et je vais vous parler d’une femme qui a pour toujours changé ma vie. Elle s’appelle Catherine. Femme de 45 ans, mariée, mère de deux fils et d’une fille. Dès mon plus jeune age, c’est Catherine a été ma « nounou », c’est à dire qu’elle venait me chercher à l’école, au collège, puisque mes parents ne pouvaient s’occuper de moi à cause de leur boulot. De ce fait, 5 jours par semaine, durant plus de 10 ans, cette femme m’a consacré tout son temps, son affection et son attention. Belle femme haute d’1m60, brune aux cheveux ondulés, d’un beau brin, lui tombant délicatement sur les épaules. Toujours de bonne humeur, femme au foyer, et mère avant tout. J’entend par là : stress, éducation, énervements, bruits etc… Malgré cela, elle garde la ligne, la balance n’affichant un chiffre élevé seulement -selon mon expérience- « à cause » de sa forte poitrine. Ses yeux en amandes et couleur noisettes sont tendres et on ne peut que la regarder droit dans les yeux lorsqu’elle nous parle. Etant devenu ma mère, je suis resté en relation avec elle et sa famille. Et bien qu’elle ne soit plus ma « nounou » aujourd’hui, je passe beaucoup de temps dans leur maison.
Aujourd’hui j’aimerai vous raconter certains épisodes de mon adolescence qui ont changé ma vie et m’ont transformé en homme.
Chapitre 1 : Le coiffeur.
Depuis tout jeune, ma nounou Catherine s’est toujours occupé de me couper les cheveux. Mes parents lui donnaient toute liberté et elle s’essayait à chaque fois de me rendre encore plus mignon. Jusqu’à mes 16 ans, cette « activité » n’avait rien de bien anodin pour moi. C’était divertissant parce que je sortais à chaque fois « nouveau », mais ça mempêchait d’aller jouer avec mes amis ou d’aller sur le pc pour jouer aux Sims. Mais voilà, un beau mois de novembre, il s’est passé quelque chose en moi. Et alors, nos séances de coupage de cheveux devinrent pour moi très étranges, mais surtout très coquines, voire malsaines. Je clarifie la situation. Catherine n’a jamais été coiffeuse, seulement elle savait magner le ciseau. J’entends par là qu’elle n’avait aucun matériel. Une chaise, une serviette et un ciseau lui suffisait. Mais voilà, quand elle n’arrivait pas à obtenir un assez bon résultat, elle me demandait de pencher ma tête en arrière, et posait délicatement l’arrière de mon crâne sur sa poitrine gonflée. Leur taille, leur fermeté, et surtout son soutien gorge qui les maintenait parfaitement en place, faisaient de sa poitrine un agréable coussin pour ma tête. Alors, ainsi calée, elle pouvait me couper les cheveux correctement. Jusqu’à ce jour là, cela m’avait semblé anodin. Cela me rappelait avec plaisir et délice la longue période où elle donnait le sein à sa jeune fille, et où je me plaisais à regarder innocemment ma belle nounou sortir sa lourde poitrine gorgée de lait. Mais ce jour là, alors que quelques mois me séparait de ma dernière coupe, et l’adolescence se faisant sentir, le fait de poser ma tête, de sentir la douceur de sa poitrine contre ma peau, m’avait donné pour la première fois de ma vie… un fantasme. Cependant, cette fois ci, aucune érection ne se fit. C’est seulement quelques mois après, vers le mois de janvier, que, de nouveau collé contre sa poitrine, mon jeune pénis se gonfla de sang, me mettant dans l’embarras. Ses doigts entrent mes cheveux, ses caresses me firent bander. Avant que cela ne puisse se voir -mais peut être l’avait-elle déjà remarqué- je chercha à me lever, prétendant une forte envie de pipi. Je revins rapidement, tout étant revenu dans l’ordre, et une fois la coupe terminée, je lui offris, je pense, un bisou sur la joue beaucoup plus prononcé qu’à l’ordinaire, suivi d’un câlin. Je me rappelle m’être collé à elle pour sentir sa poitrine dans mon cou. Je pensais contrôlé la situation, mais ce câlin m’excita bien plus que je ne l’aurai imaginé. Alors mon petit pénis grandi rapidement, en quelques secondes et tapa sur la cuisse de Catherine… Quelle honte. Mais Catherine ne semblait pas le sentir, ou alors, elle savait très bien ce qu’il se passait. Le câlin dura, et quand elle me relâcha, elle me dit seulement « Tu deviendra un bel homme Christophe ».