Encore tout en sueur et émoustillés l’un comme l’autre par notre périple dans les rues piétonnes de la vieille ville, nous traversâmes l’Isère à la conquête de la Bastille, tels les sans-culottes plus de deux siècles plus tôt. Certes, ce n’était pas la même Bastille et, pour ce qui nous concernait, seule Céline navait pas de petite culotte au moment d’emprunter le pont… mais le parallèle historique nous allait bien.
Il y avait de fait beaucoup moins de monde de ce côté-là de la rivière mais tous ceux que nous croisions, se retournaient immanquablement pour mater les putains de jambes de Céline… à moins que ce fusse plutôt mon physique avantageux de grimpeur ?! On peut toujours se faire des films, ça ne mange pas de pain !
En tout cas, ma belle et grande blonde aimait être l’objet de toutes les attentions et continuait donc à faire remonter sa robe quand elle percevait un regard un peu plus insistant… avec toujours l’effet escompté.
Nous nous engageâmes dans le parc des Dauphins, jetant un coup dil sur le fort RABOT tout éclairé, juste au-dessus de nous. Mais quand même manifestement un peu trop loin… me fit comprendre Céline, comme si elle était déjà toute essoufflée.
"Je ne vais pas pouvoir attendre jusqu’à là-haut, Manu… j’ai envie de sentir ta queue tout de suite, moi ! Pfff !…
Le soupir bien appuyé de la fin était là pour me faire comprendre qu’elle ne comptait pas dépasser le prochain banc public, ses jambes ne pouvant la porter plus loin sans un petit réconfort. Et, par le plus pur des hasards, j’étais d’accord avec elle ; il fallait se ménager si nous voulions aller loin et tenir le coup ! La révolution ne se fait pas en un jour…
— Le premier sur le banc suce l’autre !
— Ah ben non ! J’ai déjà gagné tout à l’heure et je n’ai pas eu mon lot… alors c’est moi qui suce !
— T’es vraiment une belle petite salope, mon amour !
— Pour vous servir, monseigneur ! Baisse ton froc et viens par ici !
Son petit sourire angélique me fit fondre sur place…
Elle s’était assise sur le premier banc, qui était sans doute aussi celui le plus éclairé de l’allée. Toute personne passant par le parc était sûre de ne pas nous louper, même en fermant les yeux !
Mais bon, cela ne semblait pas lui poser le moindre problème, puisqu’elle me choppa la queue à peine l’avais-je sortie de mon bermuda, et commença à sucer le bout de mon gland avec délectation. Sa langue s’enroulait autour… alors que ses lèvres entamaient un léger et très délicat va-et-vient, sa main droite amplifiant le mouvement sur la hampe tandis que la gauche caressait, malaxait mes testicules.
Une douce chaleur se propagea à travers tout mon corps, en même temps que je laissais divaguer mon esprit et mon regard dans la pénombre de la nuit. J’étais bien… surtout que Céline avalait à chaque fois un peu plus ma verge dans sa bouche, des bruits de succion venant se rajouter aux rumeurs de la nuit grenobloise.
Un couple arriva par le haut du parc, leur discussion nous alertant de leur présence.
J’eus le réflexe de vouloir me dégager de la bouche de Céline pour ranger mon sexe dans son écrin de tissu… mais elle ne l’entendait manifestement pas de cette oreille, me maintenant fermement pour que je ne puisse m’échapper. Au contraire même, avec son autre main, elle fit glisser mon bermuda et mon slip jusqu’aux chevilles avant que je réussisse à les agripper.
Je me retrouvai donc cul nu, avec ma sublime blonde empalée sur ma queue et toujours en action… quand le couple passa à notre hauteur.
J’osai une petit "bonsoir" auquel ils ne répondirent pas, bien sûr… ce qui ne les empêcha pas d’y aller de leurs commentaires quelques mètres plus loin.
— Mais tu as vu un peu cette obscénité !?… Faire une fellation en pleine rue à son homme… je n’ai jamais vu ça !
— Tu as raison… Il n’y a vraiment plus aucune éducation, plus aucune morale… c’est ahurissant ! Ma pauvre, dans quelle société vivons-nous ?!
— Encore des jeunes laissés à eux-mêmes par des parents soixante-huitards… quelle honte ! On devrait réinstaurer la morale à l’école !…
Cela n’empêcha pas le mec de se retourner cinq à six fois pour mater la scène qui devait sans aucun doute l’exciter plus qu’autre chose. Bobonne allait sûrement ramasser grave ce soir… à moins que ce soit le genre de pékin qui fait de grands discours sur la morale, mais qui sera probablement le premier à utiliser le minitel rose ou à aller aux putes !
Cette fois-ci, c’est moi qui empêchai Céline d’extirper ma bite de sa cavité buccale, afin d’éviter un flot d’insultes à leur encontre. Mais son énervement se ressentit dans ses coups de langue encore plus intenses et me provoqua des frissons dans tout le corps. J’étais sur le point de tout lâcher dans sa bouche !
— Ahhh ! Attends, ma princesse… j’ai envie que tu viennes t’enfourcher avec ta petite chatte sur ma queue… j’ai trop envie de toi !
— Hummm !…
Elle fit encore quelques longues léchouilles baveuses sur mon rostre afin de le maintenir en pleine forme… puis elle me laissa m’assoir sur le banc avant de venir me chevaucher et s’empaler sur l’objet de ses désirs. Ma belle mouillait comme rarement et mon "presque" double-décimètres n’eut donc aucune difficulté à rentrer quasiment complètement dans son puits d’amour tout chaud et humide d’excitation, malgré la largeur de l’engin. Pour autant, il ne devait pas rester beaucoup de place, ses parois vaginales enserrant mon sexe de toutes parts.
Après quelques longues secondes à rester l’un et l’autre immobiles, comme pour mieux profiter de l’instant et des effluves printaniers qui inondaient notre environnement… Céline commença à se mouvoir lentement, optimisant toute la hauteur de mon sexe. Je ne voulais surtout pas bouger pour ne pas briser la magie qui s’opérait, tout en érotisme et en sensualité… Je regardais ses deux petits seins fermes se balancer légèrement sous sa robe, en cadence avec le reste de son corps.
Un éclat de voix, cette fois-ci en bas du parc, me fit tourner la tête et apercevoir un couple qui s’engageait dans l’allée… mais rien n’aurait pu arrêter nos ébats ! Céline continua comme si de rien n’était, accentuant la cambrure de ses reins pour avaler encore un peu plus mon sexe dans son intimité. Quant à moi, je regardais les deux personnes monter vers nous plus pour voir leurs réactions… et elles furent à l’opposé de celles du couple précédent. Ils s’arrêtèrent à notre niveau…
— Bonsoir les tourtereaux !… Vous savez, vous nous donnez des envies, les jeunes, à vous envoyer en l’air comme ça devant nous…
— J’ai même mon string qui devient tout humide à vous regarder baiser ! Hein chéri… je resterais bien un peu, pour me glisser un doigt dans ma petite chatte tout en les matant !
— …
— Ahhh !… Oh ouiii !… Bonsoir… ahhh !… Encore…
Céline ne me laissa pas le temps à la réflexion, reprenant sa chevauchée fantastique avec encore plus de fougue, comme si la présence de ce couple plus âgé d’une bonne dizaine d’années, décuplait son excitation. J’avais même d’un seul coup le sentiment que tout était devenu possible… que mon fantasme de partouze était en train de se réaliser !
Car même si j’aimais à la folie ma copine, je n’avais depuis quelques minutes plus d’yeux que pour la nouvelle venue, qui avait défait le haut de son pantalon et se caressait le minou à l’autre bout du banc.
Cette dernière nous regarda en se mordant les lèvres, comme si elle prenait déjà du plaisir… Son compagnon était en face d’elle mais il n’avait pour l’instant aucun geste érotique particulier, comme s’il attendait quelque-chose. Et ce quelque-chose…
— Moi, c’est Karine… et mon mari, Frédéric… Ça vous embête s’il se branle en vous regardant baiser ?! J’adore me caresser en regardant ce genre de scène !
— Oh, ouiii… pas de problème, Karine… Ohhh !… Encore !… Si tu veux, Fred… ahhh… je peux même te sucer !… Oh ouiii !…
— Oh oui ! C’est trop gentil pour lui… hein, mon chéri ?!
Et moi, dans tout ça, n’avais-je pas mon mot à dire ?! Et bien non ! L’autre toto avait déjà sorti sa bite et était monté debout sur le banc, à l’opposé de sa femme. Céline, tout en continuant son rodéo sur ma queue toujours au mieux de sa forme, avait pris avec sa main droite, celle du fameux Fred et commençait à faire de petits baisés avec ses lèvres sur le gland…
— Eh… Céline !?…
— Hein ?!… Ah, oui… excuse-moi, mon amour… tu veux peut-être que je partage ?! Oh ouiii !…
— Euh… Oui !…
— …
— Oh oui !… C’est trop génial ! Vous êtes vraiment adorables, les jeunes !… rajouta Karine, semblant complètement emballée par l’idée de voir son mari se faire sucer par un autre homme.
Lui, comme moi d’ailleurs dans le rôle du suceur, n’avions manifestement pas envisagé ce scénario, avec une pratique homosexuelle, l’un taillant une pipe à l’autre… et je sentis un certain désarroi dans ses yeux devant l’enthousiasme de Céline et de sa propre femme. Seulement, nous étions les deux bel-et-bien piégés par nos gonzesses !
Je pris donc l’initiative de rejoindre Céline dans la fellation de Fred. De toute façon, je n’allais pas en mourir puisque presque toutes nos femmes nous en faisaient régulièrement et qu’elles semblaient y prendre du plaisir ! Tout juste ma fierté masculine en prenait un méchant coup !