Les élèves arrivent séparément dans l’institution. L’enseignement est particulier : les parents savent bien ce qu’ils font en envoyant leur enfants au château, surtout les filles qui ne sont admises qu’à partir de 16 ou 17 ans.
En gros c’est comme un lycée, pour l’enseignement général, sauf que tout le monde est pensionnaire. Les dortoirs sont tous sur le même étage, les filles d’un coté, les garçons de l’autre.
Les professeurs savent tous ce qui attend les élèves le soir ou la nuit. Parce que l’enseignement le plus important est sous la coupe d’un couple marié. Lui, Robert,est taillé comme un rugbyman, elle, Martine, au contraire est fine comme une déesse. Ils s’aiment depuis toujours, ils aiment surtout les plaisir qu’ils se donnent. Les seuls moments les plus prisés pour eux, ce sont les vacances, au moins il font ce qu’il veulent autant de fois qu’il veulent.
Donc à partir de 20 heures, après les heures d’études, le repas et le moment de détente, commence la leçon pris en commun, filles ou garçon souvent mélangés. La salle est simplement un dortoir. Là où leur montre tout ce qui fera d’eux des filles et des garçons du grand monde. Monsieur Robert, se met en tenu, c’est à dire nu. Madame Martine reste habillée légèrement. Le spectacle du corps de Robert intéresse au plus haut point les filles, à degré moindre les garçons qui restent admiratif des dimensions du sexe au repos. La première leçon commence par l’apprentissage des bonnes façon de se masturber. Tous les élèves se regroupe autour du professeur. Robert a la faculté de ne pas avoir de pudeur et surtout de bander sur commande. Tous les garçons regardent la bite monter et gonfler. Les filles regardent la même chose avec des yeux différents. Les garçons regardent pour prendre une réelle leçon de branlette. Robert leur montre les diverses façons de prendre un plaisir solitaire. Comme il est long à jouir, il peux demander aux élèves, filles ou garçons de venir lui toucher la bite. Les filles curieuse viennent toutes le toucher, lui caresser la bite, certaines même posent leur lèvres sur le gland.
La leçon s’arrête vite, sauf qu’il y a un prolongement, destiné aux filles : branler un homme. Là, c’est Martine qui après un streptease en règle vient contre son mari, l’embrasse sur la bouche. Elle prend ensuite la queue de son mari, l’embrasse un peu avant de la prendre à pleine main. Elle fait coulisser sa main sur la queue. Si elle est lente au début, elle fait remarquer qu’elle va de plus en plus vite. Les filles regardent toujours intéressées les mouvements.
Presque tous les garçons se branlent en regardant le spectacle. Certaines filles en font autant. Souvent Martine arrête les mouvements, Robert n’aiment pas jouir trop vite. Martine fait approcher les filles pour voir comment elle finit et surtout voir le sperme jaillir. A la fin, la main de Martine s’agite très rapidement, jusqu’au moment ou Robert jouit. Son jet de sperme va très loin avec une force insoupçonnée. Certaines filles en reçoivent sur le peu de vêtements qu’elle portent
Le lendemain, c’est le tour de Martine. Elle arrive nue pour ne pas perdre de temps. Elle reste debout entourée de tous. Elle commence par se caresser les seins, un long moment. Quand elle sait qu’elle mouille elle écarte les jambes à la recherche de son bouton. Avant de satisfaire son désir, elle prend sa chatte entière dans une main. Ensuite, elle caresse son clitoris longuement en arrêtant souvent : elle veut faire durer son plaisir. Si les garçons se masturbent en la regardant, la plupart des filles font comme elle : elles sont nues ou presque, passent leur mains sur leur sexe bien mouillé.
Quand Martine pose un doigt sur l’anus, la plupart ne croient pas qu’elle en ai un plaisir particulier. En regardant de plus près on peut voir le doigt s’enfoncer dans le rectum qui en connaît d’autre. Martine aime se branler souvent, pour elle c’est un genre de récompense. Elle enseigne bien au fille que se masturber le cul est comme se masturber la chatte. Certaines essayent par curiosité.
C’est à partir de la fin de ce cours que les filles surveillées par le couple peuvent au su de tous se branler dans leur dortoir. Presque toutes suivent les meneuses vers la salle d’eau. Là se déroulent les leçons particulière du couple enseignant. Certaines se font masturber par Martine ou Robert. Elles n’ont pas de préférence. D’autres s’arrangent entre elles. La toilette du soir devient souvent un début de partouze, encouragée par des profs qui vont baiser tout à l’heure. Tout le monde est nu, tout le monde voit de sexe de l’autre, surtout la bite du Prof. Robert aime cette ambiance de filles en chaleur, il bande toujours, quelque fois encouragé par une main de gamine. Le quartier libre se termine. Tous doivent rejoindre leur lit. La plupart profite ce sera pour la prochaine fois.
Pour Robert et Martine enfin il peuvent s’aimer comme un couple presque normal. Sauf que Martine s’est laissée masturber par une des filles les plus salopes. Ce n’est pas cette petite faveur qu’elle a eu qui remplace ce qu’elle adore : la bite dans le ventre ou dans la bouche, elle jouit pareil. Nus ils étaient, ainsi ils sont libre de se coucher. Leur chambre n’est séparée du dortoir que par un cloison ouverte la plus part du temps : ainsi ils peuvent montrer tous les ébats. Comme tous les premiers jours, après les masturbations les filles restent prostrées de fatigue : elles sont trop jeunes encore pour jouir longtemps.
Le lendemain comme tous les soirs, Robert et Martine donnent leur cours. Les choses sérieuses commencent. Les élèves vont commencer à apprendre à bien baiser. Avant il fait expliquer les règles de la jouissance, les garçons pensent que le simple fait d’entrer dans une fille suffit à lui donner du plaisir. Les filles plus pratiques espère se faire bien caresser avant de se faire mettre. Le couple d’enseignant se déshabille devant les élèves comme tous les jours. Cette fois il n’est pas nécessaire de dire pour se mettre tout nu. Le peu de pudeur a déjà disparu. D’ailleurs certains couples se forment.
Robert couche Martine sur le lit. Ils s’embrassent longuement sur la bouche. Robert entame la partie préférée de Martine, il embrasse ses seins, lui suce les tétons, passe sa main sur le sexe de sa femme pour lui caresser le clitoris, c’est oublié des garçons. Robert bande fortement, ce qui attire la main de sa femme.
Tous les élèves sont excités, certains se masturbent devant leur camarades, d’autre entame des liaison pas encore apprise, surtout les filles qui se masturbent entre elle. Les garçon sont plus « sage » : aucun ne branle l’autre sinon un couple qui va plus loin en suçant la bite de l’autre : procédé pas encore enseigné.
Robert enfin se positionne entre les jambes écartées de sa femme qui en prenant la bite en main la place comme il convient juste à l’entrée de son puits. Martine, elle pose ses talons sur les hanches du mâle, prête à l’assaut final. La bite va et vient dans son sexe, elle glisse plutôt. Tous les jeunes les regardent de près, examine comment la bite entre et sort, où est le clitoris pendant cette baise. Ils regardent les couilles qui viennent frapper les fesse de la baisée. Certains s’intéressent également au seins écrasés par le poids de l’homme. Le couple oublie qu’il est regardé par des jeunes ; ils baisent, ils vont jouir ensemble c’est la seule chose qui compte. Mais tous emportés par le spectacle vivant ne peuvent faire autrement que se satisfaire.
Ce soir pas de cours privé, chaque pensionnaire doit réviser. Chez les garçons, les discutions vont bon train. Ça doit être bon de baiser, quel est le sommet du plaisir atteint. Les nudités laissent voir les bites bien dures et bandées. La plupart des élève de ce dortoir se couchent nus, parlent encore en se masturbant. Les jets de spermes font que l’odeur s’en repend dans toute la pièce.
Chez les filles, les conversations sont du même domaine que chez les garçons. Il leur tarde de pouvoir baiser, aussi, elles sont nues sur leur lit, les mains entre les jambes pour compenser le manque de bite : elles aussi se caressent dans le seul but de jouir. Les plus gourmandes recommencent une ou deux fois. Un seul couple portée vers le lesbianisme s’aiment en se suçant, bien en avance sur l’enseignement.