Histoires de tromper Histoires érotiques au travail

Nouvelle – Chapitre 11

Nouvelle - Chapitre 11



— Nous allons partir en voiture. Une promenade vers l’inconnu.

— D’accord, j’avais envie de quitter cet endroit de toute manière.

— Tu vas rester habillée comme tu es. Il faut juste que tu retires ta culotte.

La jeune femme s’exécuta et fit glisser son petit slip blanc qu’elle déposa sur le canapé. Puis elle suivit son ami P. vers le vestibule. Le majordome était toujours là. Il remit son sac à la jeune femme et les salua cordialement. Ils montèrent dans la voiture de P. et roulèrent vers l’aventure. L’ami aux yeux verts dit:

— Pour savoir qui tu es, nous aurons besoin d’une autre personne et c’est ce que nous allons chercher maintenant. Il nous faut un homme. Ne t’inquiète pas j’en choisirai un sobre et pas trop mal. Ensuite, il faudra que tu me laisses faire et tout ira bien.

— Je te suis, j’ai confiance.

Ils roulèrent à travers les rues encore animées malgré l’heure tardive. Les lieux de fêtes ne dorment jamais avant le lever du soleil à Paris. P. se gara non loin d’un attroupement de noctambules et sortit du véhicule.

— Attends-moi dans la voiture. Je vais vite revenir.

Il observa attentivement le groupe et repéra un homme d’une trentaine d’années qui semblait un peu en retrait. Une barbe naissante mais bien taillée, des cheveux bruns avec la mèche rebelle au désordre soigneusement organisé. Ses tempes sont coupées court, son visage est beau et ses traits plutôt fins. P. avait remarqué qu’il fumait tout en regardant discrètement avec envie une belle jeune femme qui discutait au milieu de ses amis. P. alla vers lui. De la voiture, la jeune femme les vit discuter longuement. Son ami P. semblait très à l’aise et finalement ils revinrent tous les deux.

L’inconnu monta derrière et P. reprit sa place au volant. La voiture démarra et ils roulèrent un moment sans échanger le moindre mot. La jeune femme sentait les yeux de cet homme sur ses épaules et sa nuque. Ils avaient croisé leurs regards furtivement à travers le rétroviseur central mais elle avait tout de suite détourné les yeux. C’est alors qu’elle sentit la main de son ami P. sur sa jambe. Comme si cela était naturel, il lui caressait doucement la cuisse en remontant le bord de sa robe. Elle se rappela les règles du jeu et posa sa tête en arrière contre son siège. Elle voulait se détendre le plus possible et profiter de cette nouvelle expérience. P. continuait lentement à glisser sa main sur sa peau et passa ses doigts sur l’intérieur de sa cuisse. L’inconnu ne perdait pas une miette de ce qui se passait et ses yeux étaient écarquillés de désir. Plus la main de P. s’aventurait haut et plus il faisait découvrir au nouveau passager la peau fine des cuisses de la jeune femme. L’homme croisé au hasard des rues sentait sa verge se raidir et son cur s’accélérer.

Ils sortaient à présent de la ville et les lumières urbaines s’estompaient peu à peu. La voiture s’arrêta à l’orée d’un petit bois, désert à cette heure de la nuit. Les trois passagers descendirent sans se parler et chacun respirait l’air rafraichissant. Les arbres tout autour étaient immenses et leur feuillage laissait passer l’abondante clarté de la pleine lune. Tous se voyaient distinctement sans effort et on entendait par moment le hululement d’une chouette dans le silence de la nuit. P. prit sa jeune amie par le bras et l’approcha du capot de sa voiture. L’inconnu les regardait en attente de nouvelles sensations fortes. Alors P. caressa la joue de son amie puis descendit lentement la fermeture de la robe colorée et la fit glisser à terre. La jeune femme regardait devant elle, les yeux dans le vide et le visage impassible mais elle sentit les yeux du passager la dévorer avidement. Surpris par cette nudité, il contemplait avec convoitise ses seins offerts et son petit triangle brun. Il avait imaginé, sans trop y croire, durant tout le trajet, que cette jeune femme était nue sous sa robe.

Ce qu’il voyait comblait ses espérances et son appétit se fit grandissant. Il ne put s’empêcher de poser sa main sur son entrejambe comme pour calmer le démon qui grondait en lui. P. lui dit:

— Elle est à toi, je te l’offre. Fais-toi plaisir mon ami.

L’inconnu resta quelques instants interloqué par cette torride proposition. La jeune femme sentit un nouveau désir monter en elle. Cette expérience sensuelle et totalement inédite fit dresser ses seins qui pointaient orgueilleusement. Bien qu’indépendante de caractère, elle se surprit à aimer l’idée d’être l’objet du désir de deux hommes. Elle attendait avec délice et inquiétude la décision de l’homme de la rue. Il ne resta pas longtemps à réfléchir et, enlevant sa veste, il s’avança d’un pas décidé vers ce corps offert à la nuit. Il l’embrassa goulument tout en pressant ses seins et dans un souffle il dit à P.:

— Je n’ai pas fait l’amour depuis plus de trois mois. Je peux vraiment y aller avec elle?

P. hocha la tête en signe d’acquiescement. L’inconnu la regarda droit dans les yeux puis la serra fort et plaqua ses mains sur les fesses rebondies de la jeune femme. Il embrassait avidement son cou en haletant et appuyait vigoureusement son sexe contre celui de la jeune nouvelle. Elle avait l’impression d’être palpée, pétrie de toute part comme s’il avait des dizaines de mains affamées. Elle se laissa faire, curieuse de cette situation inattendue qui lui donnait des frissons de désir. L’inconnu glissa sa main sur sa toison, caressa sa vulve et introduisit un doigt. Il sentit la chaleur trempée du sexe de la jeune femme qui semblait s’émouvoir de tant de convoitise sauvage. Alors, il l’allongea sur le capot encore tiède de la voiture et prit ses cuisses pour les placer de chaque côté de ses hanches. Instinctivement, la jeune femme croisa ses pieds derrière le dos de cet homme et posa sa tête. Elle expirait plus vite maintenant et le mouvement de sa respiration soulevait son ventre et ses seins tendus de désir.

L’inconnu la regarda un instant en reprenant son souffle puis, brutalement, il abaissa son pantalon jusqu’au bas de ses fesses. Elle sentit l’extrémité brulante de sa verge dressée contre sa toison. Puis l’homme souleva les hanches de la jeune offerte en plaçant ses mains sous ses fesses et d’un coup de reins fervent, il s’engouffra en elle.

Elle agrippa de ses mains les bords du capot et ressentit vivement cette verge qui avançait au plus profond de son ventre. Elle gémit de volupté et bascula sa tête sur le côté pour lancer un regard vers son ami P. Il restait debout, à épier la scène sans rien exprimer. Seuls ses yeux trahissaient l’immense satisfaction qu’il éprouvait. Un nouveau puissant coup de reins la fit cambrer et elle devait se tenir fermement aux bords métalliques de la voiture pour ne pas basculer au sol. L’inconnu ne se contrôlait plus et accélérait de plus en plus ses assauts virils. Il plaça une de ses mains sur le cou de la jeune femme la plaquant contre la tôle et garda son autre main sur les fesses qu’il serrait de toutes ses forces. Il ondulait du bassin par saccades brusques et ininterrompues. P. voyait les fessiers et les reins de l’inconnu se contracter, aller et venir à un rythme impétueux. La jeune femme contracta les muscles de sa vulve pour attiser ses sensations et celles de son amant. Elle sentait monter le plaisir lentement, inexorablement.

Mais le fougueux passager accéléra encore et s’emporta si fort qu’il jouit soudainement en elle dans un long râle de plaisir. Elle sentit dans son intimité la verge s’agiter de soubresauts, se spasmer alors qu’elle recueillait sur sa poitrine la tête haletante de son amant. Elle n’avait pas eu d’orgasme mais elle caressait maintenant la nuque du bel inconnu à qui elle avait été offerte en cette nuit d’été.

L’inconnu remonta son pantalon sans un mot et alla s’asseoir sur une souche d’arbre, un petit sourire aux lèvres, pour reprendre son souffle. La jeune femme était restée allongée sur le capot, les jambes pendantes devant les phares. Elle regardait le ciel éclairé par la lune ronde, un peu déçue par ce plaisir si fort qui était monté en elle sans pour autant l’avoir totalement satisfaite. P. avait remarqué l’absence de jouissance de son amie, alors il s’adressa au jeune homme:« Maintenant mon ami, je te propose de regarder et peut-être de t’instruire ». Il s’approcha de la jeune femme et lui murmura: « Je vais finir ce qu’il a commencé. Je crois que tu es prête pour une toute nouvelle expérience, pour un tout nouveau plaisir ». Il fit descendre son amie de la voiture et la tourna en lui plaçant les mains sur le capot. Les deux hommes fixaient les voluptueuses fesses blanches éclairées par la lune. P. s’agenouilla et commença à caresser le bas du dos de la jeune nouvelle. Elle se détendit, respira lentement et attendait avec impatience ce plaisir promis par son ami tout en savourant les regards concupiscents posés sur elle.

P. avait posé ses mains sur les hanches de la jeune offerte et embrassa tendrement ses fesses.

Puis ses baisers se firent plus appuyés et la jeune femme sentit à nouveau une douce chaleur monter en elle lorsque celui-ci saisit ses hanches pour déposer sa bouche sur l’endroit sensible ou les fessiers se rejoignent. Elle se cambra un peu pour lui offrir davantage sa croupe alors P. pressa de ses mains les rondeurs blanches si féminines. Il s’appliqua à lécher par endroits cette peau douce guettant les tressaillements de plaisir de la jeune nouvelle. L’inconnu dévorait des yeux la charmante scène et sentit que son désir revenait déjà. Il regrettait d’avoir été si bref, de ne pas avoir pris le temps de savourer davantage son offrande.

Les mains posées sur le capot, la jeune femme penchait légèrement la tête en arrière laissant ses longs cheveux caresser son dos. Elle sentait des frissonnements de volupté remonter du bas de ses reins. P. massait à pleines mains les fesses fermes et dans le mouvement, il aventura un doigt autour du petit orifice. Il le caressa délicatement en faisant de petits tours afin qu’il se détende. Puis il écarta les rondeurs charnues de la jeune nouvelle et avec une infinie sensualité, il introduisit un doigt. Elle se laissa faire et semblait, à en juger par les mouvements subtils de son bassin, vouloir goûter encore un peu de cette volupté. Alors P. retira son doigt et, de sa langue experte, courtisa longuement l’auréole sensible.

L’inconnu sentait sa verge durcir peu à peu et retrouver toute sa vigueur. P. introduisit à nouveau un doigt et commença de délicats allers-retours qui firent frissonner la jeune femme. La voyant réceptive, il glissa son autre main vers sa vulve et entreprit de caresser ses lèvres entre-ouvertes. Puis il décida d’ajouter un deuxième doigt afin de détendre davantage son amie. Elle ferma les yeux et ressentit tous ces effleurements avec délice. L’inconnu ne put résister à l’envie de prendre sa verge en main et il commença, les yeux fixés sur cette scène d’un érotisme absolu, à se caresser lentement.

P. sentit que son amie était prête et, se redressant sur ses jambes, il posa sa main sur le dos de la jeune femme afin qu’elle se penche jusqu’à poser son visage sur le capot. En regardant avec désir la croupe offerte de la jeune nouvelle, il sortit son sexe dressé et le plaqua contre le sillon fessier. Il fit d’enivrants va et viens entre ces délicieuses fesses et sa verge se tendit encore plus. Alors, la respiration impatiente, il posa l’extrémité de son sexe entre les fesses blanches et pénétra doucement la jeune femme. Elle sentit cette tête chaude s’engouffrer petit à petit en elle puis s’arrêter. P. avait remarqué que sa partenaire n’était pas assez détendue et encore trop serrée. Alors, dans un moment d’impétuosité, il plaqua fermement la jeune femme contre le capot et donna un vigoureux coup de reins. La douleur fit cambrer la jeune nouvelle et comme elle tentait de se retourner, il l’appuya de nouveau contre la tôle de la voiture. Elle poussa un gémissement aigu de protestation mais P. s’engouffra encore plus loin jusqu’à ce que ses hanches se plaquent contre les fesses de son amante. Elle ressentit une vive brulure mais le plaisir n’en était pas tout à fait absent. Une découverte inédite pour elle: souffrance et volupté mélangées. Elle ne détestait pas cette rudesse qui allait et venait à présent en elle. Cette zone inexplorée de son corps semblait se réveiller pour la première fois et lui envoyait des sensations inconnues, surprenantes de plaisirs. Pourtant la douleur était vive, déchirante et faisait grimacer la jeune femme.

L’inconnu se caressait maintenant sans retenue, le regard rivé sur cette scène bestiale presque tribale. P. se pencha sur le dos de la jeune femme et glissa une main sur ses seins tandis que l’autre s’agrippait à sa hanche. Les deux corps n’en formaient plus qu’un et P. continua ses coups de reins qui faisaient onduler par saccades la longue chevelure noire. Il embrassait sauvagement le cou et la nuque de son amie en haletant. Puis il se redressa, plaça ses mains pour tenir fermement les hanches de la jeune nouvelle et repartit à l’assaut. Ses sensations étaient décuplées par l’étroitesse du chemin dans lequel il s’engouffrait puissamment. Il contemplait le dos arrondi de son amie et se délectait de voir sa nuque baissée. Puis il remarqua les mains agrippées au capot et entendit les gémissements plaintifs de la nouvelle. Cette vision déchaina son désir et il accéléra encore ses estocades.

C’est alors que, n’y tenant plus, il jouit en elle, ses mains agrippées à son corps, en expirant longuement par à-coups. La jeune femme sentit la verge se tendre en elle et se libérer de plaisir. Elle entendit son ami P. jouir violemment et sentit son souffle d’extase sur la peau de son dos. Elle regarda l’inconnu de la rue éjaculer à son tour le long de sa main en un abondant jaillissement de semence. Alors, comme si leurs désirs faisaient exploser sa tête, elle ressentit une première violente contraction au fond de son ventre. Puis son périnée se contracta brusquement en une multitude de secousses délicieuses. Comme pour retenir encore cette verge en elle, la nouvelle serra ses fesses et alors, brutale, implacable, une houle de plaisir jaillit soudain si fort que la jeune femme cria sa jouissance extatique jusqu’au fond de la nuit.

Le ciel commençait à blanchir, aux premières lueurs du matin d’été. Jamais la jeune femme n’avait vécu une soirée aussi intense, aussi surprenante. Elle en restera transformée à jamais, comme marquée au fer rouge sur sa peau et dans son âme.

A propos de l'auteur

HistoiresDeSexe

Laissez un commentaire