Chapitre 4 : Intégration
Lorsqu’Éloïse se réveille, le soleil brille déjà haut dans le ciel. La jeune fille émerge difficilement de sa nuit agitée par la séance de baise torride avec son colocataire Adrien. Elle le voit, profondément endormi dans son lit, son torse nu dépassant des draps. Romain n’est plus dans son lit, ni dans la salle de bain. Après tout, c’est Dimanche, et les internes du week-end ont quartier libre. Éloïse décide de profiter de ce temps pour faire le point. Depuis hier, jour où elle a enfin rejoint sa meilleure amie Marie pour la Terminale et le bac à la fin de l’année, elle a sucé le surveillant pour négocier sa place à l’internat, elle s’est masturbée comme une folle sous la douche puis a sucé Romain lorsqu’il l’a surprise, a branlé Adrien avec ses seins, s’est à nouveau masturbée avant de se coucher et a baisé avec Adrien. Éloïse a toujours adoré le sexe, mais elle se dit qu’elle est peut-être en train de devenir une salope, ce qu’elle n’avait jamais envisagé. Elle se sait libertine et n’a jamais été très fidèle à ses petits amis, mais n’a jamais pensé être une salope. L’idée ne la dérange pas, elle raffole de sexe, de luxure et adore multiplier les partenaires.
Elle repense à sa baise d’hier soir avec Adrien. C’est un sacré pervers mais un excellent partenaire. Le coquin dort paisiblement dans son lit, mais Éloïse remarque que son drap léger s’est considérablement soulevé au niveau de son sexe. La blondinette s’amuse de cette érection matinale et décide de profiter une nouvelle fois de la bite d’Adrien. Discrètement, elle enlève son drap et s’allonge entre ses jambes écartées. Elle contemple un moment le membre fièrement dressé du guerrier ensommeillé, et se demande de quoi il peut bien rêver. Peut-être de la nuit d’hier. Ou bien d’un autre fantasme réveillé par l’ardeur sexuelle de sa nouvelle colocataire interne. Éloïse lèche la bite d’Adrien de la base au sommet, s’attardant sur le gland. Elle veut lui montrer qu’elle sait faire une fellation sensuelle, au-delà de la simple action perverse de sucer. Elle la cajole de sa langue habile. Le chanceux émerge lentement, et soupire de satisfaction :
— Tu ne peux plus t’en passer maintenant ? demande-t-il à la magnifique blonde qui joue avec sa bite. Tu es vraiment une sacrée salope Éloïse.
Éloïse salive abondamment sur le sexe d’Adrien, et le prend entre ses seins pour le masturber :
— J’ai cru comprendre que tu aimais mes seins, petit pervers
— Pervers ? Ce n’est pas moi qui ai commencé
L’heureux élu profite de cette branlette espagnole et de cette occasion inespérée de réaliser ses fantasmes. Depuis qu’il a rencontré cette blonde hier, sa vie est un véritable rêve éveillé ! Si sa préférence va aux petites latines brunes comme sa Cloé, cette blonde pulpeuse est définitivement dans ses standards. Il compte bien en profiter toute l’année, et en faire profiter ses potes. La salope malaxe sa bite avec ses gros seins tout en suçotant son gland. Adrien se sent venir. Il saisit discrètement son téléphone sur sa table de chevet Éloïse est trop passionnée par sa bite pour s’en rendre compte et prend quelques photos de la muse en action. Il n’en peut plus, et lâche tout sur son visage. Il prend une dernière photo du visage d’Éloïse recouvert de sperme, de la bouche au front en passant par les yeux, et repose son téléphone.
— Tu te régales ? Tu vas me vider les couilles en permanence à ce rythme-là.
— Tu as intérêt à continuer ta branlette, je ne compte pas m’y substituer, lui répond Éloïse avec un clin d’il.
Le reste de la journée de Dimanche se passe sans encombre. Éloïse passe sa journée avec Marie, lui raconte toutes ses aventures et se familiarise avec son nouveau lycée.
Le lundi matin, après les deux heures de philo de 8h à 10h, Éloïse découvre ses camarades de classe. Elle y retrouve Marie et ses deux acolytes, Emma et Eloa, ainsi qu’Adrien, Romain et leur groupe d’amis qu’elle avait rencontré au self samedi soir. Le cours de maths qui suit ne l’intéresse pas le moins du monde, de la même manière que son voisin de table, un dénommé Victor, qui semble plus concentré sur la poitrine de sa voisine que sur les suites arithmético-géométriques.
— Alors comme ça tu viens juste d’arriver ici ? demande Victor pour entamer la conversation
— Oui je suis arrivée ce week-end, du sud-est de la France.
— Oh, le changement de climat ne doit pas être facile !
— C’est sûr, la Bretagne, ce n’est pas vraiment la vallée du Rhône, lui répond Éloïse avec un clin d’il. Mais ça ne me dérange pas, je suis naturellement chaude. Enfin, j’ai chaud naturellement plutôt.
La jeune fille chauffe Victor, qui semble marcher au quart de tour puisque son regard a de plus en plus de mal à se détacher des seins de sa voisine pour la regarder dans les yeux. Il faudra qu’elle demande à Marie s’il a une réputation sexuelle.
— Tes parents ont décidé de déménager ici ?
— Non, je suis venue en internat rejoindre ma meilleure amie, Marie.
— Ah, Marie Je comprends bien que vous vouliez rester ensemble.
Sa bombe de voisine est la meilleure amie de cette autre bombe arrivée au début de l’année ? Victor jubile, cette année, il va bien pouvoir profiter S’il arrive à se rapprocher de cette petite blonde, il pourra éventuellement atteindre Marie, qui semble intouchable au commun des mortels. Il s’imagine déjà baiser Marie en levrette tout en malaxant les seins d’Éloïse. Il faut absolument qu’il arrive à choper au moins son numéro.
— Si tu peux sortir de l’internat, je pourrais te faire visiter la ville et ses environs si ça te dit, je connais des coins que Marie ne doit pas connaître vu que j’habite ici depuis toujours.
— Oh ce serait super ! Je proposerai à Marie si tu es un bon guide et que ça l’intéresse. Je peux prendre ton numéro ?
Victoire ! Victor célèbre intérieurement cette première réussite. Le soir venu, le cochon se tape une queue bien méritée en imaginant ce qu’il ferait à sa nouvelle proie. Fort des photographies postées sur le profil Facebook d’Éloïse, Victor nourrit son imagination si débordante. Il se voit déjà la prendre dans une levrette enragée, malaxer ses seins tout en fessant son cul d’enfer. Il la voit déjà à genoux devant lui, comme dans les pornos qu’il regarde régulièrement, le branler frénétiquement en lui réclamant son sperme. Il n’en faut pas plus à Victor pour copieusement éjaculer sur son ventre et son torse, mettant ainsi fin à sa branlette.
De son côté, Éloïse travaille dans la salle d’étude. Depuis que les internes ont le droit de travailler dans leur chambre, ces salles sont assez vides. Romain vient la trouver et lui demande de le suivre dehors pour discuter d’un sujet important. Les deux jeunes gens se rendent donc dans un espace vert du lycée, désert à cette heure-ci :
— Que puis-je faire pour toi Romain ?
— Eh bien en fait Éloïse, j’ai appris que tu étais la meilleure amie de Marie
— Oui, depuis toutes petites, lorsque l’on s’est rencontrées. C’est pour ça que je suis là, je l’ai suivie dans son déménagement.
— Vous êtes vraiment proches J’imagine que vous vous racontez tout ?
— Oui c’est vrai. Où veux-tu en venir Romain ? Tu as un message à lui faire passer, c’est ça ?
Le jeune homme rougit et détourne son regard d’Éloïse.
— J’avoue qu’elle ne me laisse pas indifférent. Comme tout le monde je crois, ajoute-t’il avec un rire nerveux.
— Oui, tu ne crois pas si bien dire, lui répond Éloïse en repensant à leurs parties de jambes en l’air. En tout cas si tu es intéressé, et pas seulement pour tirer un coup parce que Marie n’est pas une salope, tu ferais mieux de te manifester maintenant.
— Pourquoi ?! Elle est déjà intéressée par quelqu’un ? s’exclame Romain, paniqué
— Non ne t’inquiète pas, lui répond Éloïse en riant doucement, mais tu dois te distinguer si tu veux attirer son attention.
— Elle ne t’a jamais parlé de moi ?
Il semble un peu déçu. Romain repense soudain à ce qu’il s’était passé dans la chambre avec Éloïse. Pris de panique, il lui demande si elle en a parlé à Marie.
— Que voudrais-tu ? Que je lui en ai parlé ou non ?
— Non bien entendu ! Je ne veux pas qu’elle pense que je suis un pervers sexuel
— Ce que tu es pourtant un petit peu. Mais tu es surtout un gentleman qui t’es excusé après notre petite aventure, et m’a protégé des folies d’Adrien.
Tout en disant cela, la jeune fille se rapproche de Romain. Ils sont tous les deux assis dans l’herbe d’une petite clairière artificielle, havre de paix et de quiétude dans le lycée, protégés par l’ombre des arbres et le silence du soir qui tombe.
— Si tu me montres tes nombreuses autres qualités, je pourrais lui vanter plus facilement
Éloïse pose sa main sur la cuisse de Romain et commence à déboutonner son pantalon tout en lui soufflant ces mots doux dans l’oreille. Romain est complètement hypnotisé par la voix sensuelle d’Éloïse. Il la regarde sans réagir, profondément absorbé par le regard intense de sa partenaire. Il voudrait lutter, protester, lui prouver et se prouver à lui-même que seule Marie compte à ses yeux. Mais Romain ne peut ignorer la demoiselle aux charmes ravageurs qui dévore des yeux son pénis dressé. Il ne peut oublier ce qu’ils ont vécu ces derniers jours. Il l’embrasse fougueusement pendant qu’elle commence à le branler doucement.
Éloïse, de son côté, est ravie. Elle a réussi son pari, elle a réussi à faire craquer ce beau gosse. Depuis qu’il l’a surprise en pleine masturbation sous la douche, Éloïse ne rêve que de profiter du corps d’Apollon de Romain et de sa douceur. Elle a vraiment apprécié l’amour luxurieux et passionné d’Adrien, mais la jeune fille recherche autre chose avec Romain. Elle ne peut s’empêcher de ronronner de plaisir lorsqu’il la déshabille tendrement, embrassant ses seins et léchant ses tétons avec gourmandise.
Romain se régale. Abandonnant ces seins qui ne demandent qu’à être cajolés, il retire le short d’Éloïse et admire sa culotte mouillée d’excitation. Il se félicite de l’effet qu’il semble faire à sa partenaire, oubliant complètement Marie et la fidélité qu’il pensait lui devoir il y a encore quelques minutes. Il embrasse et caresse les cuisses de la jeune fille, qui sallonge dans l’herbe pour profiter du traitement qu’elle va recevoir. Ses baisers se rapprochent dangereusement du fruit défendu. Il commence finalement à lécher les lèvres humides d’Éloïse qui se languissait d’impatience, lui arrachant un frisson de plaisir. Il déguste tendrement le puits d’amour de sa partenaire, prêtant attention à ses gémissements pour apprendre ce qu’elle apprécie particulièrement. Son clitoris finalement accessible, Éloïse plonge dans un océan de plaisir. Romain lui offre sans conteste le meilleur cunnilingus de sa vie sexuelle. À chaque mouvement de sa langue sur son clitoris, elle ne peut s’empêcher de gémir. Le jeune homme lui introduit un doigt dans le vagin, puis deux, tout en continuant le travail de sa langue agile et mesquine.
Finalement, Romain arrête son cunnilingus pour venir se positionner au-dessus de sa divine partenaire. Il la pénètre doucement, profitant de ce vagin chaud et humide qui n’attendait que lui.
Il savoure chaque instant, chaque va-et-vient lent et intense dans cette caverne d’amour. Les deux amants s’embrassent à pleine bouche. Romain accélère. Il prend vraiment son pied à faire l’amour à cette nymphe. Éloïse est aux anges. Son amant a vraiment compris les mouvements qui lui procurent le plus de plaisir. Finalement, il se retire et Éloïse comprend qu’il veut changer de position. D’elle-même, elle se positionne à quatre pattes et se cambre, proposant à Romain son fessier exquis. Il ne se fait pas prier et commence une levrette animée. La tendresse avec laquelle il lui faisait l’amour se transforme progressivement en passion avec laquelle il la baise. Romain profite de sa sensation de domination pour malaxer les seins opulents de sa partenaire tout en la besognant. Il savoure le généreux fessier et la poitrine abondante d’Éloïse. Oubliant toute tendresse et sensualité, il prend la blonde violemment, cherchant à la faire crier le plus fort possible. Éloïse ne tient plus. Elle adore cette nouvelle facette de son partenaire, et ne peut retenir son orgasme. Prise de spasmes, Éloïse perd toute notion du temps et de l’espace. Les contractions de son vagin forcent Romain à se retirer pour éjaculer copieusement sur les fesses d’Éloïse.
— Mmmmh, Romain
— Éloïse Je C’était vraiment super.
— Voilà de nouvelles qualités que je ne manquerai pas d’exposer à Marie, lui répond-elle avec un sourire espiègle devant l’air de panique de Romain.
— Tu vas vraiment lui parler de ça ? J’ai tellement honte
— Tu es trop chou. Laisse-moi faire, je vais t’arranger tout ça. Mais tu dois me promettre une chose.
— Tout ce que tu veux !
— N’utilise jamais Marie comme un prétexte pour ne pas me baiser.