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N'épousez pas une pute – Chapitre 3

N'épousez pas une pute - Chapitre 3



Trente minutes après nous étions à l’hôtel. Pour Sylvia, la nuit avait été courte. Elle se glissa dans le lit après une bonne douche. Quant à moi, ayant dormi plus longtemps, j’allai déjeûner puis je partis à la découverte de l’hôtel et de sa piscine. Et finalement je fis une sieste. Vers seize heures, Sylvia ne m’ayant toujours pas rejoint, je montai la chercher. J’entrai dans la chambre. Un mec était en train de la sauter dans le lit !

"Putain mais tu t’arrêtes jamais ! C’est qui celui- là ?"

C’était un employé de l’hôtel qui était venu faire la chambre… Il ne prit même pas la peine de s’arrêter. Elle me demanda de les rejoindre mais je refusai. Je lui dis de me retrouver dès qu’elle aurait fini pour qu’on aille se balader un peu.

Au bout d’une heure, en ayant ras-le-bol d’attendre, je remontai. Un autre mec était en train de la prendre en levrette. Elle m’expliqua que le précédent une fois parti, elle avait prit une douche. Mais il avait rencontré un collègue à qui il avait raconté sa bonne fortune et celui-ci était aussitôt venu voir si elle n’avait besoin de rien. Comme sa queue dépassait de sa braguette au moment où il avait fait cette question et comme cette queue, comme elle me l’avait fait remarquer, était de fort belle dimension, elle n’avait pas eu le coeur ni le cul à refuser. Le mec finit de la tringler sans être troublé le moins du monde par ma présence et il lui lâcha une grande rasade dans la chatte.

Le soir, dans la salle du restaurant, les regards des serveurs et du personnel masculin, les mains portées subrepticement à la braguette en regardant ma femme des yeux, ma femme servie de très près… tout me montra que le bruit s’était répandu facilement et que chacun espérait son tour.

"Tu vois, tu t’es fait une réputation de pute. T’as vu comme il te regardent ?"

— Oh, tu vas pas faire ton jaloux ?

-C’est pas ça mais je trouve que tu en fais trop là.

— Tu m’as jamais reproché d’aimer la bite ?

— Plus bas, on nous entend…

En effet, un couple assez jeune, à côté de nous souriait.

Je continuai en chuchotant : "Et puis tu es imprudente. Tu ne te protèges jamais… Hier soir, chez Athanase, tous ces mecs sans capote… tu vas finir par choper et me refiler quelque chose !"

— j’vais faire attention. Je te promets.

Nous terminâmes notre repas. Nous sortîmes pour nous promener sur la plage. Avant, Sylvia partit aux toilettes. Un mec s’approcha de moi, très grand, tout sourire, un peu timide. C’était le mec du jeune couple qui était assis à côté de nous. Il était seul. Il se présenta. Il s’appelait Thierry et était en voyage de noces, comme nous, avec sa jeune femme Lætitia. Puis il entra dans le vif.

"J’ai un peu entendu votre conversation avec votre femme, désolé…"

— Non, non, c’est moi. On aurait dû être plus discrets…

— Euh… j’ai cru comprendre que vous étiez très …libres…

— Surtout ma femme…

— Elle est superbe…

— Merci…

— et… euh… vous faîtes de l’échangisme ?

— En fait, on pourrait mais jusqu’ici nos plans n’ont concerné que des mecs célibs ou sans leur femme. Et vous ?

— J’avoue que j’aimerais bien…

— Et votre femme…

— Je ne lui en ai jamais parlé.

— Pourquoi ?

— Je suis pas sûr qu’elle veuille…. mais euh… si elle voulait…. vous et nous… il y aurait moyen ?

Je n’avais pas bien regardé sa femme mais je répondis oui sans hésiter d’autant que,dès le début de la conversation, avec ses questions, j’avais vu tout de suite où il voulait en venir . Pour une fois que moi aussi je pourrais faire quelque chose…

Sylvia arriva sur ces entrefaites. Je lui présentai Thierry et lui exposai la question. Sylvia se fit fort de convaincre Lætitia. Nous convînmes de nous retrouver au bar quand il aurait récupéré sa femme mais sans donner l’impression que nous nous étions vus. Ils arrivèrent tous les deux. Nous échangeâmes quelques bonjours puis nous fîmes les présentations.

Nous abordâmes différentes questions sans intérêt. Nous avions prévu de laisser les filles seules, Sylvia laissant son portable allumé pour que nous puissions entendre la conversation. Au bout d’un moment, prétextant d’aller aux informations sur différentes activités possibles, nous nous éloignâmes.

Nous nous écartâmes assez loin pour les surveiller pendant leur dialogue. Sylvia attaqua sans détours.

"Lætitia… je peux vous appeler Lætitia… Vous avez entendu ma conversation avec mon mari à table tout à l’heure ?"

L’autre rougi jusqu’aux oreilles.

"Oui, un peu…"

— On ne vous a pas choqués ?

— Ben, vous savez, on n’a pas tout entendu…

— Parce que vous pourriez avoir une mauvaise opinion de moi…

— Après, on comprend pas toujours ce que les gens disent et puis chacun fait ce qu’il veut.

— Vous savez, mon mari et moi, nous avons une vie très libre.

— Ah, oui ? Autant que vous le disiez ?

— Pas vous ?

— Ben, normale quoi…

— Moi, reprit Sylvia, mon mari me laisse voir tous les hommes que je veux.

— Comment cela ?

— Vous avez compris… je peux coucher avec qui bon me semble. Pas vous ?

— Non, oh non.

— Et votre mari ?

— Quoi ?

— Vous ne les laissez pas voir d’autres femmes ?

— Sûrement pas.

— Moi, mon mari peut.

— Vous n’êtes pas jaloux l’un de l’autre ?

— Au contraire.

— Vrai?

 – Tenez, si vous voulez coucher avec mon mari, je suis sûre que vous lui plaisez.

….

— Il est très bien monté. C’est un excellent coup.

 il y eut un silence encore plus long. Lætitia était écarlate, cela se voyait d’où nous étions. Elle ne savait plus quoi répondre. Sylvia repris en tutoyant

— Et moi, ton mari me plait vachement.

— Ah ?

— Il est beau. Il est bien monté ?

— Ben …. j’sais pas, normal quoi.

— Par rapport aux autres mecs ?

— Ben, je n’en ai pas connu beaucoup.

— Tu crois qu’il aimerait me baiser ?

L’autre s’étrangla. En les écoutant on était plié tous les deux. Thierry n’était pourtant pas très optimiste mais je lui dit qu’elle y arriverai.

Lætitia répliqua : "oh ça m’étonnerait. Il tient trop à moi."

— Tu parles tous les mecs sont de gros queutards.

— Tu généralises peut être un peu.

— Non, j’suis sûre. Tiens, si mon mec te baise, le tient me baisera, tu paries ?

— J’vois pas comment tu peux faire.

— Viens voir, j’vous invite à un jeu et quand ils seront à poil, tu verras s’ils ne veulent pas échanger.

Visiblement, elle hésitait. Sylvia insista : "Il te plaît pas Vincent ?"

— Si il est plutôt beau mec….mais

— Vingt centimètres bien raides… Ton homme en fait autant ?

— J’sais pas.

— Aller, viens, on y va.

Et sans lui laisser le temps de répondre elle la prit par ma main et vint vers nous. L’autre était dans une gène épouvantable. Elle regardait ses godasses.

"Les garçons, Lætitia et moi on a un jeu à vous proposer!"

— Quoi comme jeu ma chérie ?

— AH AH, suivez nous !

Et elle repartit à toute vitesse tractant Lætitia qui jetait des regards de plus en plus désemparés vers  l’arrière, c’est à dire vers son mari. Nous les suivîmes. Je glissai à Thierry : "Prépare ta bite, ça va chauffer;"

Arrivés dans notre chambre je dis à Sylvia : "Tu veux encore jouer à un de tes trucs érotiques ?"

— hmmm, hmmm…

— Ecoute, ça va peut être gêner nos amis…

Ils n’eurent pas le temps de répondre que nous étions déjà assis par terre pour le jeu de la bouteille. On fait tourner une bouteille vide au sol et lorsqu’elle s’arrête, le goulot désigne celui qui doit enlever une fringue. Le jeu n’allait pas durer longtemps. J’avais juste un short, mon slip et un T-shirt, Thierry, un bermuda, un slip et un polo, ma femme portait juste une longue robe d’été sans rien dessous évidemment et Lætitia une jupe courte qui, une fois qu’elle était assise montrait toute sa culotte et un haut qui recouvrait les seins.

Comme de juste, Sylvia fut la première complètement nue, mais il suffisait pour cela que la bouteille s’arrêtât une fois devant elle. L’excitation de Thierry était manifeste. Je me retrouvai vite en slip, comme lui… qui bandait visiblement. Puis Lætitia après avoir perdu sa jupe courte dut enlever le haut, libérant de tous petits seins, mais très ronds et surtout avec un téton très pointu et très dur. Sans doute s’excitait-elle aussi. Thierry dut baisser son slip. Sa queue circoncise se déploya, longue de 14 à 15 cm avec un gland presque rond, des boules parfaitement dessinées, grosses et légèrement pendantes dans une toison fournie et très noire. Professeur d’arts martiaux de son état, sa stature de géant (deux mètres) était toute en muscle. Un vrai mannequin.

Je me mis à poil aussitôt pour le mettre à l’aise, en prenant bien soin de baisser mon froc juste devant le visage de sa jeune femme. Les deux hommes nus, ma queue agitée des pulsations de l’érection naissante, debouts nous faisions face aux femmes.

"J’ai perdu, j’ai un gage" dit Sylvia. Et elle enfourna ma queue dans sa bouche.

Je regardai alternativement nos deux compères, lui debout, tendu, raide, survolté, et elle toujours assise, la culotte sur le cul et ne sachant que faire. "Mettez-vous à l’aise". Comme s’il attendait cette invitation qu’il prit plutôt comme un ordre, Thierry s’approcha, saisit la tête de sa femme et plaqua son sexe sur la bouche qui s’ouvrit mécaniquement.

Côté à côte, nous tapant sur les épaules, nous serrant la main, nous nous congratulâmes de cette félicité. Les deux femmes suçaient, la mienne frénétiquement comme à son habitude et l’autre plus timidement.

Sylvia libéra ma queue : "Allez on change." Et, joignant le geste à la parole, elle écarta Lætitia et goba le sexe de Thierry dans une gorge profonde dont elle a le secret. Le zob disparut entièrement; il ne resta plus que les poils sombres dépassant à attester de l’existence d’un sexe sur ce bas-ventre où tétait avidement une bouche gourmande.

Laetitia avait la bouche étroite et avalait mon gland avec peine. Je sentais parfois le contact des dents et je dus commencer à la guider pour apprendre à faire une bonne pipe. Sylvia lui montra comment jouer avec la main, le bout de la langue, les lèvres, sur tout le relief de la pine. Elle progressait rapidement et mon excitation montait. Pendant qu’elle s’entrainait à mieux me sucer, Sylvia s’était relevée, s’était retournée et, écartant les jambes, avait offert sa chatte toute humide à l’athlète qui maintenant la pilonnait par derrière.

A mon tour je décidai de bourrer le trou de ma partenaire. J’y allais sans ménagement. Je relevai la fille, la basculai sur le lit, lui écartai les cuisses pour introduire mon sexe immédiatement. Comme sa bouche, sa chatte était étroite. On aurait dit une pucelle. Elle lâcha un cri quand les parois s’écartèrent pour laisser la place à mon énorme nud gonflé à bloc. Bien qu’elle fût déjà toute humide, la pénétration ne se fit pas sans mal. Mais, une fois que j’eus coulissé un petit peu jusqu’au fond, je la sentis se détendre et elle commença à gémir et à parler un peu, alors qu’elle s’était tue jusque là. Encouragé par la voix de sa femme, Thierry se mit lui aussi à exprimer ses impressions. Sa satisfaction était sans bornes. Il se régalait et le faisait savoir. Il vinrent s’allonger à côté de nous et il interrogea sa femme : "Alors ma chérie, tu aimes ? Elle est agréable la grosse bite du monsieur ? Elle est plus grosse que la mienne hein? Tu kiffes une bonne grosse queue comme ça hein ?". Pour toute réponse, elle ne sut dire que "oui" tout en plantant ses ongles dans mes fesses. Thierry me dit : "Vas-y, éclate-lui la chatte à fond!"

Je ne me fis pas prier pour troncher comme il fallait ce minou étroit qui enserrait ma bite comme dans un étau. Il y avait longtemps que je n’avais senti une telle sensation, ma femme étant habituée à de plus gros calibres et à des doubles qui lui avaient dilaté le vagin comme un vrai hangar à bites qu’il était.

Je la mis en levrette et attrapai ses petits seins très durs et très doux. Sylvia intervint : "C’est le temps de lui faire une double les gars. Qui dans la chatte, qui dans le fion ?" Il y eut objection. Elle n’avait jamais fait cela et elle n’était pas prête. Son mari, lui, l’était. Les femmes s’éloignèrent donc dans la salle de bain le temps de dispositions d’hygiène qui s’imposaient. Elles y mirent de longues minutes pendants lesquelles je soupçonnai qu’il y eût un peu de gouinage ou des tentatives en ce sens de la part de ma femme.

Cet intermède nous fit du bien. Nous débandâmes. Notre conversation porta sur la dimension de la bite et la façon de s’en  servir. Thierry était avide de conseils.

Quand les femmes revinrent, les queues se remirent au garde à vous illico. Sylvia demanda à Thierry de s’allonger puis, face à son homme, Laetitia vint s’empaler sur lui. Sylvia lubrifia elle même le trou du cul de sa nouvelle copine puis j’y mis mon gland. A ma grande surprise il entra sans difficulté. La petite garce était bien chaude, avait déjà mouillé du cul, et la rondelle s’assouplit sans trop d"efforts. Couilles contre couilles, je me mis à la perforer avec vigueur. Ma femme, après avoir léché les deux paires de boules vint jouer à broutte-minou avec Thierry qui se mit à manger cette chatte avec appétit. Visiblement il s’emballait et je décidai d’agir avant qu’il n’éjaculât.

Je me retirai du cul et vint m’appuyer, bite contre bite, à l’entrée de la moule pour une double vaginale. Il me fallu forcer le passage entre la queue enflée et dure comme de la pierre et la cavité étroite. La fille gémit mais mon sexe finit par entrer. L’autre baiseur, quasiment immobile, râlait de plus ne plus quand sa langue permettait d’articuler un son, une fois qu’elle ne ravinait plus la chatte de ma femme.

Une fois bien installé, je me mis à aller et venir en prenant garde de ne pas faire ressortir les deux pines ce qui arriva deux ou trois fois. Mais la petite garce se refichait sur son mec et je lui rentrai dedans à nouveau. Finalement le mec se cambra et dans un flots de jurons et de cris, ses couilles se vidèrent. Je sentis son sperme inonder la cavité et ruisseler entre nos deux verges. Je continuai à pilonner mais, redevenue flaccide, la bite de Thierry s’échappa dans un "plop" sonore, comme un bouchon qui saute. Je me retirai donc à mon tour et me fit décrasser la bite toute foutreuse du sperme de son mâle par la petite donzelle qui y répugna un peu d’abord. Puis je dis aux deux femmes de se mettre l’une contre l’autre, nichons contre nichons et d’une vigoureuse masturbation, je précipitai le dénouement en déversement toute ma sauce sur les mamelles. Celles de ma femme, tellement plus opulentes en reçurent la meilleure part, mais elle s’empressa de caresser l’autre meuf avec ses seins mouillées pour étaler le plus possible l’odorante semence.

Thierry restait allongé sur le dos, vaincu par l’exploit. Quant à moi, je me mis à rebouffer la petite chatte pleine de jus tout en doigtant ma femme et vice versa. Moins endurante, la petite novice eut un nouvel orgasme simplement au contact de ma bouche et de ma langue. Je la sentis se cabrer et onduler quand sa moule tout entière était absorbée par ma bouche.

Cette activité dura cependant suffisamment de temps pour que je rebande. Je les fis mettre toutes les deux en levrette et les sodomisai alternativement. Lætitia fut priée de bouffer les testicules de son mâle mais il ne put se remettre au garde à vous. Enfin je m’allongeai sur le dos et elles vinrent tour à tour s’empaler sur mon vit, le faisant dans tous les trous,  ou elles me présentèrent leur chatte à dévorer.  Sylvia me fit une branlette espagnole mais les nibards de Lætitia étaient trop petits pour qu’elle pût en faire autant. Elles me léchèrent la lance et me sucèrent avec ardeur jusqu’à ce que j’éjacule à nouveau.

Le séjour se poursuivit dans la même ambiance. Le personnel masculin de l’hôtel était aux petits soins pour nous. Certains clients s’enhardirent à draguer ouvertement ma femme devant moi. Un jour que nous étions tout les deux dans l’ascenseur, un jeune mec lui mit carrément la main entre les jambes. Je m’interposai vivement. Il me répondit que comme elle baisait tout le monde, il avait bien le droit d’en profiter aussi. Je le remis à sa place et il n’y revint plus.

Une nuit, Thierry vint nous rejoindre sans prévenir. Désireux de dormir, je pris son passe et allai m’allonger dans son lit à côté de sa femme et je m’y endormis. Je me réveillai alors que Lætitia me faisait une fellation. Elle m’avait trouvé là à son réveil et en avait déduit la situation avant d’en profiter à son tour. Je la pris ensuite en missionnaire, doucement profitant du calme qui tranchait avec le déferlement d’ardeur de ma femme quand elle faisait l’amour. Je profitai du con étroit enserrant bien mon gros membre dont chaque coup, bien à fond, déclenchait un petit cri. J’aimais bien cette petite femme qui se livrait normalement, comme si c’était à chaque fois son dépucelage, qui ne prenait aucune initiative mais s’abandonnait complètement aux désirs de mon chibre. Cela me reposait de mon insatiable épouse. J’aimais comme celle-là s’agrippait à mes fesses quand je la bourrai, comment elle repliait ses jambes autour de moi en s’accrochant à mon cou, j’aimais ses orgasmes plaintifs. Je me demandais comment elle allait désormais se contenter du sexe plus modeste de son homme mais je me disais que ma femme lui en apprendrait assez pour qu’il compense par les gestes appropriés.

Néanmoins, le séjour prit fin. Nous rentrâmes en métropole.

A suivre

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