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Panpan cucul – Chapitre 1

Panpan cucul - Chapitre 1



Elle est envahissante et c’est comme cela depuis son arrivée…

Je ne devrais pas dire cela d’elle, mais ma mère me gonfle. Elle est venue s’installer chez moi un beau jour, Papa et elle avait fini par divorcer il y a un an et comme elle s’ennuyait ferme à la maison elle était passée voir son fiston et cela fait maintenant trois mois qu’elle squatte à l’appartement.

Au début c’était plutôt confortable, je rentrais du travail la lessive, le ménage et le dîner étaient prêts. Maman range tout dès que je m’absente et le pire c’est qu’elle s’immisce dans ma vie privée. J’ai vingt trois ans, elle quarante six et elle ne comprend pas que je suis un homme et plus son petit garçon.

Elle a réorganisé mes placards, déplacé des meubles, redécoré l’intérieur parfois avec plus de goût que j’en ai; mais les jours passant elle fouille dans mes affaires et cela m’énerve.

Je n’ai plus la moindre intimité.

J’ai mis ma sexualité en sommeil, je rentre vite fait du boulot sinon je me fais gentiment rappelé à l’ordre… Je lui ai demandé de ne plus aller dans ma chambre mais elle trouve toujours un prétexte, linge à ranger, lit à faire, aspirateur à passer…

Je la soupçonne de violer mon intimité, mon PC en particulier. J’aurai dû mettre un code d’accès, ou lui créer un compte pour qu’elle se connecte. Elle a besoin régulièrement de l’ordinateur, mais j’avoue, j’ai été trop occupé pour le faire et maintenant je m’en mords les doigts.

Je sais qu’elle lit mes mails, qu’elle fouille dans mes dossiers, qu’elle regarde mes fichiers. J’ai, du moins j’avais une libido active et virile. J’échange pas mal avec mes conquêtes féminines, j’aime que dans nos relations épistolaires, elles me livrent leurs fantasmes les plus licencieux.

Maman a certainement lu tout mes e-mails et cela doit sûrement la choquer.

Tout ce vice, cette débauche pleinement assumée, elle a probablement une bien mauvaise opinion de moi.

Tout a dérapé d’un coup, pourtant la soirée avait bien commencé, ma mère cuisinait, moi je sortais de la douche, je me préparais pour sortir ce vendredi soir.

Je ne revois en train de boutonner ma chemise, je viens de lui dire qu’elle restera seule et elle s’est retournée avec ce regard mauvais.

« – Tu vas aller baiser et punir tes putains ! ».

Tout de suite je l’ai entendu me balancer un chapelet d’injures. Je suis pour elle un porc, un déviant, un obsédé, une ignominie… mais à cet instant je sais avec certitude qu’elle a tout découvert de mon quotidien de célibataire libertin.

« – Tu mériterais une bonne correction, cul nu ! ».

En entendant cela mon sang n’a fait qu’un tour. Elle abuse, c’est elle qui est en faute. C’est bien elle qui a dépassé les bornes, violé mes secrets et qui mérite d’être punie, elle est allé bien trop loin.

Je me précipite sur elle, je viens de la retourner avec force, elle a atterri penché sur la table et moi j’ai levé mon bras.

C’est là que j’ai vu son étrange regard.

Elle n’est pas furieuse, elle me sourit avec malice, elle m’a poussé volontairement à bout et je viens de le comprendre.

Elle ne bouge plus, elle reste vautrée sur le plateau, le dos courbé, la croupe bien relevée, comme si elle me la présentait. Je ne bouge toujours pas, alors elle tortille son popotin sous mes yeux, elle me provoque.

Je n’ai pas réfléchi, puisque c’est cela qu’elle veut je vais le lui donner.

Je lui ai envoyé quelques belles taloches sur les fesses et les claquements secs ont résonné dans la salle. Je viens de foutre une fessée à ma mère, les coups sont tombés sur sa croupe sans que je puisse les arrêter.

Elle s’est pris une bonne déculottée, je ne suis plus moi même, je suis malheureux, je viens de lever la main sur elle…

Je ne sais pas quoi faire, les claques ont été sèche, ma main me fait souffrir, elle est bien rouge, mais son cul doit être dans un état pitoyable.

J’espère tout penaud que sa jupe a amorti les baignes.

Elle me fixe sans pudeur, elle passe et repasse sa main sur son derrière, puis par provocation elle tapote dessus pour réclamer un supplément. Elle n’arrête pas de m’attiser, elle en veut davantage et elle me le fait savoir sans la moindre décence. Elle minaude, elle se trémousse, elle joue les dévergondées, je la sens impatiente que je recommence. Elle fait tout ce qu’elle peut pour m’exciter, elle tend son popotin en offrande et je ne l’ai jamais vu comme cela.

 

J’ai filé sans demander mon reste, j’ai déguerpi fissa et je suis allé chez Béatrice, une copine.

Béa c’est un coup facile, une des filles que je baise en fonction de mon emploi du temps. Tout comme moi elle aime l’amour vache, elle est un peu soumise, masochiste aussi et j’aime bien cela. Nos retrouvailles commencent mal, je ne décolère pas et pourtant à ma rage s’ajoute certes un sentiment de honte, mais le plus étrange c’est que je ne peux m’empêcher de me dire que Maman l’avait amplement mérité.

J’ai osé lever la main sur ma mère, je suis un fils indigne, mais plus j’y pense et plus je me dis que j’ai eu raison de sévir. Elle y regardera à deux fois avant de se mêler de choses qui ne la regardent pas.

La Miss ne dit rien, elle me sert un autre apéro, elle me voit bouillonner sur place et elle attend patiemment que j’en parle. Je ne me calme toujours pas, j’ai encore pas mal d’agressivité en moi et je n’arrive pas à l’évacuer.

Je lui explique, les mots ont de la peine à sortir, mais peu à peu je lui raconte ce qui s’est passé. Ses incursions dans mon quotidien le plus secret, ce jugement moral qu’elle m’a envoyé à la figure, ma furie, mon indignité et surtout ce mon trouble qui ne me quitte plus…

« – J’aurai dû la punir davantage… ».

Je balbuties quelques excuses, je ne suis pas dans un bon état d’esprit, je m’en rends compte et c’est elle qui en fait les frais.

Tout s’emmêle dans ma tête, ma violence, mon déshonneur et ce plaisir pervers que j’ai eu à la corriger. J’essaye de mettre des paroles sur mon malaise et ce n’est pas chose aisée.

Béatrice s’est levé, je la vois baisser sa culotte puis elle s’appuie contre le buffet et relève sa robe. Elle reste immobile, la lune à l’air, elle se tourne vers moi et me fixe avec ce regard étrange et espiègle.

« – Maman a été méchante ! », me dit-elle en se tapotant la fesse.

Je n’hésite pas, Béatrice veut être punie et de la plus tordue des manières.

Je pose ma paluche sur son derrière, doucement je le caresse, je l’amadoue lentement jusqu’à ce qu’elle baisse sa garde. Ma main glisse sur sa peau et elle se laisse griser, je continue mes effleurements, je suis tout léger, espiègle aussi, j’attends qu’elle réagisse et cela ne tarde pas.

Elle couine de plus en plus, mes frôlements la régale, elle frissonne sous mes doigts, alors je lui envoi une première frappe, bien sèche.

Elle serre les dents, mais je sais qu’elle se délecte. Je frappe de nouveau avec plus de rudesse, je vais la faire gueuler. Je cogne, je fustige sa croupe, l’empreinte de ma pogne marque son fion. Il rougit de plus en plus, les traces de mes doigts laissent leurs marques profondes sur son cuir écarlate. Je ne quitte pas des yeux sont popotin, Maman et elle ont quasiment le même, sauf que celui ci est moins large, moins gros aussi. La maternelle a le séant beaucoup plus généreux, mais bizarrement l’illusion est bien là.

Ce n’est plus vraiment Béa que je fesse, plus je la frappe et plus c’est ma mère que je châtie. C’est exaltant et pervers, comme si je voulais aller jusqu’au bout de ce que j’avais fais.

J’y vais avec force et violence, Béatrice me motive, elle se prend au jeu et joue à la perfection la vilaine mère qui doit être sanctionnée.

Elle s’emballe, elle répète sans fin cette phrase qui m’enflamme…

« – Punie Maman ! ».

Je ne retiens plus mon bras, je vais lui incendier sa lune et elle va crier sa souffrance.

Elle vient de beugler, Béatrice a joui.

Je cesse immédiatement la déculottée, je suis paumé, je viens de foutre une rouste à ma mère par procuration et j’ai adoré.

Je veux prolonger cet instant, maintenant que je suis calmé je ne suis plus que douceur, légèreté sur ce postérieur que je viens de malmener comme le plus abject des fils.

Je pose le plat de mes deux mains sur son fessier, elles tournent, virevoltent. Je ferme les yeux, j’ai encore envie de croire que c’est ma mère qui est là, que je malaxe son cul, que je le pétrie, puis que je m’enfonce dans sa raie.

Béatrice a tout deviner de mon trouble, elle se colle à moi, redresse sa tête et la cale dans le creux de mon épaule et dans un souffle je l’entends me murmurer…

« – Viens mon tout beau, viens baiser Maman… », alors je l’ai enculé…

Je suis rentré, je ne suis pas fier de moi, j’ai eu une attitude affligeante envers Maman. Il est deux heures du matin et j’espère que ma mère est au lit et qu’elle dort. J’ouvre la porte, il y a de la lumière dans le salon, je vais voir d’un pas timide. Elle est là, en robe de chambre, assise sur le canapé, l’air penaud et moi je n’en mène pas large non plus.

Elle se lève dès que j’entre, moi tout de suite je veux lui présenter mes excuses mais son index sur mes lèvres me forcent à garder le silence. Elle me regarde les yeux plein d’amour et alors que je restais tétanisé et franchement con, je l’entends prononcer ses paroles…

« – Pardonnes moi mon cur, j’ai été trop loin… »

« – Moi aussi… », ai je bredouillé

« – Je l’ai mérité… Je vais essayer de faire plus attention… ».

Elle m’embrasse et s’en va se coucher, en passant devant moi je l’ai vu tripoter son arrière-train, comme si elle souffrait encore. J’ai suivi le mouvement de sa menotte qui cajolait subrepticement son fessier, je suis à deux doigts de lui proposer un peu de baume pour atténuer ses contusions, mais je n’ose pas.

J’ai peur qu’elle le fasse devant moi, ou pire encore qu’elle me demande de l’étaler.

Elle stoppe une seconde pour attraper un tube de pommade, elle ne lance un regard canaille…

« – Ne t’inquiètes pas, dorénavant je vais être plus sage, sinon… ».

Je tourne et je vire dans mon lit, une pensée m’obsède, je pense au cul de maman, dès que je ferme les yeux j’imagine les rougeurs, les marques, les bleus qui apparaissent peu à peu dessus. J’ai tapé fort je le sais, je n’ai pas retenu mon bras.

Elle doit serrer les dents, elle doit déguster, sûrement ne peut elle même pas se mettre sur le dos. Je repense sans cesse à la crème apaisante qu’elle a amené avec elle, elle doit être en train d’en verser une grosse noisette dans sa paume et elle doit maintenant l’appliquer pour calmer l’inflammation. Je peux voir sa main grasse aller et venir sur ses tuméfactions, elle va calmer ses brûlures, du moins essayer.

J’aimerai bien l’étaler moi même, faire preuve de gentillesse de douceur après tant de sauvagerie. Je voudrais qu’après cette tempête furieuse qu’elle se sente aimée, choyée, pardonnée aussi et moi je pourrais enfin expier.

Je l’ai fait sur le cul de Béa juste après mes sévices et j’ai adoré. Je venais de la sodomiser avec puissance, ma queue avait défoncé son colon, j’avais retroussé ses muqueuses, dilaté son fion sans vergogne, tapé jusqu’au fond de son conduit et emporté par l’excitation, j’avais joui bien vite, l’encrassant jusqu’au fond de ses entrailles.

Béatrice s’était éclipsée une minute et à son retour elle m’avait ensuite donné un gel apaisant, elle avait compris que j’en mourais d’envie. Ma pogne couvrait ses meurtrissures d’une couche épaisse, je la faisais bien pénétrer et je ne pensais plus comme je le devais.

C’était le derrière de Maman que je choyais, c’était bel et bien le sien que je maternais pas celui de ma belle.

Je n’arrivais pas à m’enlever cette idée de la tête, c’était plus fort que moi.

Je bande en me remémorant cet instant, je vais rester dur et tendu. Je n’ose pas me branler, je n’ai pas envie d’atteindre l’orgasme avec à l’esprit l’image de ma mère et pourtant, je sais que si je le faisais mon orgasme va être effroyable.

Au matin Maman a préparé le petit déjeuner, on ne parle pas de ce qui s’est passé hier. Elle me beurre mes toasts, me sert un café chaud, elle est toute attentionnée.

Elle s’installe enfin devant moi, en en s’asseyant elle crispe sa mâchoire, elle souffre encore, mais le plus étrange vient de se produire.

Ma mère a immédiatement esquissé le plus merveilleux des sourires… 

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