Javais 20 ans à lépoque où se passe cette histoire. Je venais à peine de découvrir les plaisirs quoffraient les orgies en club. Cétait un ami, homosexuel lui aussi et avec qui je couchais parfois, qui mavait invité à une de leurs soirées dans une boîte échangiste à 20 minutes de chez moi. La première fois, jy suis allé avec lui. Trop timide, je navais fait que regarder mais ça mavait tellement excité quen rentrant chez moi, je me suis masturbé 3 fois à la suite. Je comptais y aller une deuxième fois, cette fois avec lintention de participer, mais mon ami ne pouvant pas venir, nous avons remis ça à la semaine suivante, mais jen avais tellement envie que jai décidé dy aller sans lui, quitte à être un peu perdu.
Jy suis donc allé ce soir-là et à lheure où jarrivais la soirée battait déjà son plein : certains étaient au bar, dautres faisaient déjà lamour par terre, à deux, à trois, à quatre… Moi, je métais mis en tête dêtre le petit chien de la soirée, javais pour idée de me balader dans la salle à quatre pattes et de sucer et me faire baiser par quiconque le voudrait. Je suis allé me changer rapidement dans les vestiaires, et je suis revenu pratiquement nu, javais juste mon caleçon sur moi. A terre, les gens me regardaient un peu bizarrement au début, mais je savais quils comprendraient vite. Jai remarqué un homme seul dans un coin en train de se masturber, je me suis donc rapproché de lui, le sourire aux lèvres. Il était chauve et dans une tenue de cuir, un masque sur les yeux. Nous ne nous sommes pas dit un mot, je me suis juste approché. Mais lorsque jessayai de le mettre en bouche, il retira son sexe à la dernière minute. Au vu de son sourire, je compris rapidement quil voulait jouer avec moi. A chaque fois que je tentais de le mettre en bouche, il me refusait ce plaisir. Je me mis à gémir comme un chien en pleurs ; cela le fit encore plus bander.
— Renifle, mais rien dautre, mordonna-t-il alors.
Je sentis son sexe et me mis à me branler en même temps, mais lorsque je tentai de le sucer, il me gifla.
— Tu y auras droit quand je le dirai, me dit-il avec un sourire. Lèche mes pieds en attendant.
Et comme un bon petit chien, je me suis abaissé et je me suis exécuté. Je lui suçai son gros orteil et lui léchai la plante des pieds. Ma langue rappeuse contre sa peau. Cela lui faisait un effet fou. Cest étrange : je ne suis pas aussi soumis dans la vie de tous les jours. Mais quand il sagit de sexe, je suis le parfait petit esclave. Il bascula la tête en arrière pour profiter du plaisir que je lui donnais. Mais déjà la jouissance lui venait :
— Tu veux ta ration de sperme, mon toutou ?
— Wouaf !
Il se mit alors à éjaculer de bons gros jets de sperme par terre ; javais pourtant ouvert la bouche pour tout recevoir, mais cétait un énième plaisir quil me refusait. A la place, il voulait que je nettoie le sol sale avec ma langue. Et cest ce que je fis sans rechigner. Une fois bien vidé, il pointa sa queue vers moi, moffrant finalement son sexe à nettoyer. Tout en le branlant, pour bien faire sortir les dernières gouttes, je mis son gros gland tout de suite en bouche et il put me sentir aspirer et déglutir ce quil lui restait de sperme. Notre petit spectacle a dû plaire puisque juste après, jentendis quelquun siffler, comme on siffle un chien. Je me retournai et je pus voir un homme, tout nu, en plein milieu de la salle qui me faisait signe de venir. Je mapprochais de lui à nouveau à quatre pattes, mon petit cul se balançant. Le sexe épais et poilu de lhomme était déjà luisant de salive et dès la mise en bouche, je savais quil avait déjà été dans un cul ce soir. Un cul que jétais en train de goûter ; cette pensée redonna une grande vigueur à mon érection. Rapidement, deux autres hommes se joignirent à nous : javais maintenant trois queues à assouvir du mieux que je pouvais.
Je commençais à être très chaud : je suçais goulûment les queues que lon me présentait. Lun deux me mit un sachet en plastique sur la tête, troué à la main pour quune bite puisse y passer. Je ne servais alors que de vide-couilles. Javais limpression que tout le bar nous regardait et une 4e personne rejoignit notre groupe peu après. Je me mis à le branler, pendant que ma bouche sattelait à dautres tâches. Quand je passais finalement au nouveau venu, alors que jallais poser mes lèvres toutes mouillées sur lui, il me demanda :
— Retire ton sac, jaime bien voir dans qui je me vide.
Au son de sa voix, mon estomac se souleva et je retirai le sac en plastique. Mon cur se mit à battre à la chamade lorsque nos regards se croisèrent : javais devant moi mon père entièrement nu, ses grosses boules et son sexe juste en face de moi. Il avait la bouche ouverte tant il était surpris ; nous ne savions rien de lhomosexualité de lautre. Ce soir-là, jétais sûrement pris dune certaine folie, ou était-ce peut-être lexcitation du moment, mais plutôt que de partir, jai pris les couilles de mon père en main et je me suis mis à le sucer. Aussi surprenant que le choix que javais fait, mon père se mit à gémir bruyamment et décida de ne pas partir non plus. Pour loccasion, je donnais le meilleur de moi-même : je me régalais avec sa bite en bouche, je branlais doucement son gland, je léchais les couilles qui mavait mises au monde. Je voulais quil jouisse.
Pour mon plus grand plaisir, mon père mit ses mains sur ma tête pour enfoncer sa queue au plus profond de ma gorge. Javais le nez enfoncé dans ses poils pubiens, je pouvais sentir lodeur de sa peau. Jadorais quil ny allait pas de mains mortes. Javais limpression que ma bite allait exploser. Lun des hommes autour de nous a alors dit :
— Vas-y, tourne-toi, mon beau, on va voir si ton cul est aussi bon que ta bouche.
Mais au lieu de me retourner vers lui, je me retournai vers mon père, lui présentant mon cul déjà un peu béant et lubrifié par les doigts que mavaient mis ces messieurs. Je balançais mon cul pour lui donner envie. Il sabaissa un peu et se planta dun trait en moi ; nous gémîmes tous les deux longuement. Personne dans le bar ne se rendait compte quun père était en train de baiser son fils sous leurs yeux. Tant il était excité, mon père commença doucement ses va-et-vient en moi, il avait sûrement peur de jouir trop vite. Jeus tout le plaisir alors de sentir son gros sexe me transpercer. Je cambrais mon corps pour madonner entièrement à lui, puis petit à petit, ses mouvements se sont accélérés jusquà atteindre une vitesse de croisière où il me pilonnait le cul. Jadorais sentir ses jambes et ses couilles contre moi ; plus je réalisais par qui jétais baisé, plus je bandais, mais si je touchais à mon sexe, je savais que jallais me déverser sur le sol. Mon père prenait aussi un plaisir fou à me ramoner, je pouvais lentendre à ses gémissements, à sa bite qui gonflait dans mon cul, à son gland qui me raclait les parois.
Malgré le monde autour de nous, pour le coup, nous étions dans notre bulle, il ny avait plus que nous deux. Cela a dû rendre les autres un peu jaloux puisquun des hommes à demander à papa de laisser le tour à un autre. Reprenant ses esprits, il ma mis deux derniers coups de bite bien profonds, en me malaxant les fesses. Deux hommes se mirent alors à me pénétrer : lun dans mon cul encore, lautre dans ma bouche. Mais du coin de lil, je ne regardais que mon père, impatient quil me revienne. Celui-ci se branlait doucement, avec la mouille de mon cul, en regardant son propre fils se faire prendre en sandwich. Les hommes ont tournés et ce fut bientôt à nouveau le tour de mon père, il était cette fois posté devant moi, sa queue toute luisante devant mes yeux. Je lai tout de suite mis en bouche, goûtant ainsi à mon cul. Ses couilles se sont contractées contractées et ne pendaient plus autant ; se retenait-il de jouir ? Je passais ma langue dessus, la faisant glisser aussi le long de sa tige pour redescendre toujours plus bas. Trop bas, car ma langue humide près de son trou avait donné une idée à mon père : il se retourna, écarta les fesses pour moffrir son trou du cul à manger. Il neut rien à dire, je plongeai la tête dedans, le reniflant, le goûtant. Je suçais, léchais, perforais son trou. Jétais comme en trance, tellement que lun de nos spectateurs se mit à dire :
— Wow, il y a de lalchimie dans lair !
Je branlais mon père en même temps. Tout cela devait bien exciter lhomme qui me prenait car ses coups de reins se firent plus brusques, faisant ainsi basculer ma tête contre le cul de papa.
Puis celui-ci se retourna soudainement, et avec autorité, il dit :
— Désolé, les gars, mais il me faut encore de ce petit cul. Je tiens plus là.
Lhomme derrière moi se retira et mon père me fit mettre sur le dos. Tout le monde nous regardait. Il se planta ensuite en moi et vint sallonger sur moi. Je navais jamais été aussi proche de lui, nos visages étaient à quelques centimètres. Pendant quil me baisait, son ventre venait se frotter contre mon sexe ; cela me fait du bien. Dans le sous-sol de ce bar, lair y était chaud, nous étions donc tous deux tout transpirant, collés lun contre lautre. Et nous nétions pas les seuls à être excités puisque un homme vint alors sagenouiller au-dessus de ma tête et me dit douvrir la bouche. Je tirai alors la langue et il se mit à jouir dessus, menvoyant un jet de sperme ou deux au travers du visage. Jétais sur le point davaler lorsque mon père décida plutôt denfouir sa langue dans ma bouche. Jétais ébahi ; papa me roulait un patin ! Nous mélangions nos langues, tout en goûtant à la semence dun inconnu ! Ensuite ce fut lavalanche : plusieurs hommes vinrent se déverser dans ma bouche, on mordonna de navaler quune fois tout le monde vidé. Jétais toujours allongé par terre et mon père me bourrait toujours avec force ; il avait lair de ne plus vouloir sarrêter. Les hommes, eux, déchargeaient de bons gros et épais jets de sperme ; lun deux revint même pour une deuxième éjaculation à moins de deux minutes dintervalle ; son jus de couille était plus liquide quépais. Jessayais tant bien que mal de tout garder dans ma bouche, mais cela nétait pas facile sous les violents coups de bite que je recevais. Et puis soudain, mon père se releva en sursaut, sapprocha de moi, maida à relever la tête et dans un bruyant râle, il se vida les couilles dans ma bouche. Jen avais tellement envie quen voulant lui montrer ma langue je déversais sans le vouloir un peu de sperme sur mon menton.
Javais maintenant la semence de 6 hommes dans la bouche ; elle était pleine. Mais ce qui mexcitait le plus cétait de savoir que dans ce mélange de jus de couilles, il y avait celui de mon père. Tout en le regardant dans les yeux, javalais le tout en une seule déglutition.
— Regardez-moi ça, dit alors un des hommes autour de nous. Cest quil na pas débandé, le monsieur. Puis, se retournant vers moi : je ne sais pas comment tu fais, mais tu lui fais un effet monstre !
— Jai une idée, lança le premier homme que jai sucé de la soirée ; je sais ce qui va les faire jouir tous les deux une bonne fois pour toute.
Ils demandèrent à mon papa qui affichait encore une puissante érection de sallonger sur le dos. Deux autres hommes mont alors soulevé et mont placé au-dessus de lui. Lun deux a aidé à placer le sexe de papa au bord de mon trou, puis les deux autres mont abaissé. Je me faisais ainsi à nouveau pénétrer par mon père. Mais cette fois, cétait différent : nous ne contrôlions plus nos mouvements, nous étions soumis au bon vouloir de ces messieurs. Parfois, ils accéléraient mes montées et mes descentes, parfois ils sassuraient quil était bien au fond de moi. Sans le savoir, ils nous aidaient à commettre linceste. Cest cette idée et bien sûr la grosse bite de papa aussi qui me fit jouir sur son ventre. Il ne tarda pas non plus : il se contracta, essayant de sagripper au sol, et je pus le sentir se déverser une deuxième fois en moi. Mon cul qui jouissait encore serrait sa bite de partout. Seulement une fois sûrs quil se soit bien vidé, les hommes mont soulevé et ce fut la fin de ma soirée dans ce club. Papa prétendit quil avait quelque chose à faire avant de rentrer à la maison, mais je savais que cétait simplement pour quon rentre chacun de notre côté. Il faut dire quon était plutôt embarrassés de ce que nous avions fait. Mais au fond de moi, jespérais que cela allait continuer… FIN ?