Je rentre chez mes parents pour le week-end. J’habite à Paris, ils habitent à Toulouse, je rentre les voir à peu près une fois tous les deux mois, histoire de passer un peu de temps avec eux. Je suis fille unique.
Mes parents sont un joli couple de 58 ans pour mon père et 52 pour ma mère. Ils ont toujours été très ouverts, mon frère et moi pouvions leur parler de tout. Ils étaient aussi ouverts dans un autre sens… mon père se promenait souvent nu dans la maison de telle sorte que, encore aujourd’hui, à 30 ans, je me souviens très bien de la forme de son sexe, de sa taille, de sa forme. Ma mère était plus pudique mais je l’ai tout de même vue nue de nombreuses fois.
Je les ai souvent entendus faire l’amour, à toute heure du jour ou de la nuit, ma mère gémissant sous les coups de bite et les grognements de mon père.
Dans le train qui me conduit chez eux, je repensais à cet épisode.
Un jour, plus jeune, je me suis couchée après leur avoir dit bonne nuit, les laissant au salon devant un film et montant dans ma chambre. Je tentais de m’endormir mais j’avais une dent douloureuse. Au bout d’une demi-heure, je décidais de me lever, j’allais dans la salle de bains et cherchait un médicament pour me soulager. N’en trouvant pas, je décide d’aller demander à ma mère si elle n’avait pas ça dans sa chambre. Je me dirige vers le salon quand j’entends des gémissements de femmes et une voix d’homme qui l’insulte, qui lui dit qu’elle est une bonne pute, qu’elle a de bonnes mamelles de femelle. Je reste figée sur place, n’osant plus avancer, je suis choquée, me demande si ce sont bien mes parents qui émettent ces bruits. J’entends maintenant deux femmes qui gémissent. Je ne comprends plus rien. Je sens ma chatte se mouiller et ma culotte se tremper. Je suis surexcitée. Il faut que je vois ce qu’il se passe au salon.
J’avance dans le couloir et me cache dans un coin, dans l’ombre, ils ne peuvent pas me voir, la porte du salon est vitrée, j’ai une bonne vue sur ce qui se passe au milieu, un spectacle obscène et dégradant. Je sens des gouttes de mouille couler le long de ma cuisse, ce spectacle m’excite comme une chienne.
Mes parents sont au milieu du salon, mon père debout, en t-shirt, le pantalon baissé jusqu’aux chevilles, ma mère devant lui mais de dos, est assise sur un pouf, de façon à ce que son dos soit collé aux jambes de mon père, et il lui malaxe les seins. Elle a la tête renversée en arrière et tête les grosses couilles de mon père pendant qu’il lui pétrit ses gros nichons. Elle a des seins énormes, des mamelles, de bonnes grosses mamelles de femelle. Je vois mon père se pencher pour lui téter les bouts. Ma mère gémit comme une chienne en chaleur. J’entends toujours la deuxième femme. Je cherche des yeux dans la pièce et finit par repérer la télé dans le fond de la pièce. Mes parents n’ont même pas attendu la fin du film qu’ils regardaient pour se mettre un petit porno bien hardcore dès que j’étais partie me coucher.
A la télé, une jeune fille blonde suce une bite. Je ne vois pas très bien, je suis assez loin… Lentement, je me déplace sans qu’ils me voient pour m’approcher encore plus. Je suis tellement excitée, j’ai une chatte trempée entre les jambes, ma petite fente a faim, elle a envie de se faire fourrer de bites et de foutre, et ce spectacle obscène que me livrent mes parents ne fait que décupler mon envie de me faire prendre à la chaîne.
Ma mère prend la bite de mon père en bouche, la tête toujours renversée en arrière, elle lui tète le gland, lui masse les couilles en même temps… il lui baise la bouche pendant quelques secondes, lui lâche la tête pour la laisser respirer et en profite pour cracher sur ses gros seins de pute sur lesquels elle étale la bave de mon père.
Mon regard se retourne une nouvelle fois vers la télé. Je vois mieux, une grosse bite en gros plan, que j’ai l’impression de connaître. On voit la bouche d’une petite salope travailler la grosse queue. Puis la caméra remonte et le visage de la chienne apparaît… C’est moi ! C’est une vidéo de moi avec un ex avec qui je ne suis plus depuis 10 ans… Je lui suce la queue comme une bonne chienne, je bave, il me crache au visage, je me prends des claques, il me malmène et me traite de pute et de chienne tout le long. Je gémis avec sa bite dans ma bouche. C’était moi, la deuxième femme. Je n’en reviens pas. Mon père, qui malaxe toujours les seins de ma mère en se faisant pomper, regarde l’écran régulièrement en lâchant des "ohhhh salope… putain ma fille… quelle bonne putain… chienne à queues… pompe à jus… mmmm c’est ça ma fille, suce la grosse bite…".
Je n’en peux plus, je glisse ma main sous ma chemise de nuit, j’enlève discrètement ma culotte, de toute façon, Papa m’a toujours dit qu’il fallait dormir sans culotte pour l’hygiène, et je commence à branler ma petite chatte trempée. Je masse le clitoris et rentre deux doigts, je suis comme en chaleur, j’ai envie de gémir et d’appeler mon papa à me défoncer mais je me retiens.
Je finis par jouir comme une bonne salope en les regardant se manger mutuellement, la bite, les couilles et les seins, avec une pointe de jalousie envers ma mère d’avoir le privilège de servir la grosse bite dressée de mon père. Je laissais une belle flaque de jus de chatte devant la porte du salon et retournais discrètement dans ma chambre.
J’en voulais plus.
A suivre)
