Quelques jours se passent tranquillement car nous sommes en pleines révisions. Aujourd’hui je fais un peu relâche et en profite pour flâner dans les rues.
Vers 16h, je rentre à la maison.
En passant devant la maison de marie, je l’aperçois qui arrose ses plantes.
« Bonjour Marie. Myriam n’est pas là ? »
« Non elle n’est pas encore rentrée mais elle ne va pas tarder. Je t’inviterais bien mais elle risque d’arriver. Il faut que nous restions sages. Une autre foi. »
« Ok Marie, à plus »
Maman a dû rentrer plus tôt du boulot car sa voiture est devant le portail.
En entrant dans la cuisine, je perçois de drôles de bruits accompagnés de murmures., je m’approche du salon, la porte est fermée mais je distingue bien
« Oui c’est bon baise-moi encore, mon cul est en feu, mon con dégouline, je vais jouir »
S’ensuit un fort gémissement puis le calme.
Craignant être découverte, je descends au garage me cacher pour voir qui va sortir.
Enorme surprise c’est Myriam qui était probablement la partenaire de maman.
Petite salope sainte n’y touche aux petits seins qui m’avait émoustillée l’autre jour sans résultat.
Je remonte dans le salon. J’appelle maman :
« Maman tu es là ? »
« Oui ma chérie je prends une douche »
« Tu es rentrée plus tôt ? »
« Oui j’avais une réunion qui a été annulée »
Maman sort en peignoir de bain en brossant ses cheveux mouillés.
« Et toi tu as fait ce que tu voulais en ville ? »
« Oui, je suis passé voir Myriam mais elle n’était pas encore rentrée. Marie m’a dit qu’elle ne devait pas tarder, je vais revenir voir si elle est de retour »
J’observe maman pour voir sa réaction mais elle reste impassible !
« Bon, j’y vais, à tout à l’heure »
Malgré ma tenue de ville, je suis assez sexy en talons avec mes bas et ma jupe mini et mon corsage dilaté par ma poitrine.
Je rencontre Marie qui sort de chez elle.
« Myriam est rentrée, elle prend sa douche, moi je vais faire quelques courses. »
Je sonne à la porte.
« C’est Elodie ! »
« Entre Elodie, j’arrive »
J’attends dans l’entrée.
Myriam descend les escaliers drapée dans une nuisette transparente laissant deviner ses petits seins mais quand même appréciables. La nuisette s’ouvre légèrement sur ses cuisses. Apparemment, elle n’a pas de culotte, je distingue nettement une abondante toison brune.
« Salut Elodie, tu vas bien ? Toujours sexy dans tes tenues. »
« Tu n’aimes pas Myriam? »
« Si j’aime bien mais je suis jalouse de ta poitrine »
« Tu sais Myriam,ta tenue est aussi excitante. Approche-toi que je vois mieux »
« Non, je vais aller m’habiller »
« Tu es sûre que tu ne veux pas me montrer ton corps »
« Je veux bien si tu fais pareil »
M’approchant d’elle, je la saisis par les cheveux et plaque ma bouche contre la sienne. Elle se débat un peu, ses dents font barrière à ma langue mais elle se laisse embrasser légèrement.
J’abandonne sa bouche pour entrouvrir sa nuisette et sucer un de ses tétons.
« Elodie qu’est-ce que tu fais ? »
« Tu m’as excitée avec ta tenue et j’ai envie de toi. Tu n’as jamais fait l’amour avec une fille ?»
« Une fois, je me suis laissé caresser par Nadine à la Fac. Tu sais je t’avais dit qu’elle est gouine »
« Est-ce que ça t’a donné envie ? »
« Ça m’a excitée mais ce n’est pas allé plus loin. Je me suis masturbée dans les toilettes »
Pendant que nous échangions, j’ai glissé une main sous sa nuisette et lui caresse les cuisses jusqu’à essayer d’atteindre son entrejambe. Elle serre les cuisses et fait barrage.
La salope sainte n’y touche! si elle savait que je l’ai presque surprise avec ma mère !
Je reprends la caresse d’un de ses tétons avec ma langue.
« Elodie je dois te faire une confidence. Quand Nadine m’a caressée, je l’ai laissé faire. Comme je te l’ai dit, elle m’a tellement excitée que je n’ai pu résister à ses baisers et quand elle est descendue vers ma chatte et m’a aspiré le clito, j’y ai pris un tel plaisir que depuis, je la revois quelques fois et me masturbe en cours en la regardant. Toi aussi, quand je te vois, je flash sur tes seins mais je n’ose pas franchir le premier pas. J’ai peur que nos mères se rendent compte de quelque chose. Là tu me facilites l’approche et j’ai vraiment envie de toi. »
C’est elle qui se met à me caresser les cuisses, remonte ma jupe et se plaque contre moi en suçant mes seins à travers mon corsage. Je lui attrape à nouveau les cheveux et lui dévore la bouche. Nos ébats nous font basculer sur le tapis de l’entrée et nos chatte sont collées dans un mouvement de baise frénétique.
« Je te sens mouiller ma salope, moi aussi je coule, vas-y Myriam, mouille, mouille, nos jus vont se mélanger »
« Je vais jouir Elodie. Ahhhh c’est bon ! »
Soudain la porte s’ouvre nous stoppant net dans l’action.
C’est Marie.
« He bien les filles à quel jeu jouez-vous ? vous vous battez ?
Mais non, je devine votre jeu. Alors Elodie la mère ne te suffit pas il faut que tu baises la fille maintenant ? tu es une vrai petite salope »
Myriam toute hébétée regarde sa mère fixement :
« Qu’est-ce que tu racontes maman ? Toi et Elodie ? à ton âge ? »
« He oui ma fille, il n’y a pas d’âge pour se faire du bien si on a un partenaire à la hauteur et tu as dû t’apercevoir qu’Elodie est experte. Regarde-moi cette paire de seins agressifs, quand elle se frotte à moi cela m’excite tellement que je mouille immédiatement. J’avoue qu’en vous voyant j’ai très envie d’une partie à trois. »
Nous nous relevons en mettant de l’ordre dans nos vêtements et en regardant Marie je lance :
« Je proposerais plutôt une partie à quatre serais tu d’accord Marie ? si tu vois ce que je veux dire ?»
Myriam ne comprenant évidemment pas nous interroge :
« Qu’est-ce que vous tramez toutes les deux ? il y a quelqu’un d’autre qui est au courant de vos petits jeux ? »
« Oui, ma mère »
« Lucie ? ta mère ? Elodie tu ne vas pas me dire que ta mère est au courant que tu baises avec la mienne ? »
« Si et même je peux te dire que nos mères baisaient ensemble en notre absence »
Très excitée par la discussion, Marie s’est rapprochée de moi et commence à me caresser. À la vue du manège de sa mère, Myriam se met à se caresser sa petite poitrine, descend un doigt vers sa chatte velue et se rapproche de moi pour me dire à l’oreille :
« Puisque vous m’avez dit vos petits secrets, je peux te dire que cet après midi j’ai baisé avec Lucie. Ta mère est vraiment bonne, elle m’a tout appris et le plus sublime, c’est quand elle m’encule avec son gode ceinture »
« Je m’en doutais, petite salope, je suis rentrée plutôt et je vous ai entendu jouir »
« Maman, il faut que je te dise qu’un jour je me suis laissée prendre au jeu de Lucie, cet après-midi j’étais chez elle mais c’est parce que ton corps ressemble au sien, en particulier ta poitrine, que tu m’excites quand je te vois à moitié nue et que je n’ose pas franchir le pas. Lucie m’a offert ses seins et sa chatte et je n’ai pas pu résister. Baiser la mère de ma copine rajoutait du piment à la chose »
« Calmons-nous les filles, je propose d’aller voir Lucie demain si ton père est absent Elodie. Mais d’ici là Elodie tu devras préparer ta mère. »
« OK, elle va être surprise mais je crois qu’elle va aimer. »
Nous nous quittons sur ces bonnes paroles et j’essaie d’imaginer comment je vais lui présenter la chose.
Arrivée à la maison, maman Lucie est seule, papa n’est pas rentré. Elle s’est rhabillée sommairement en tenue d’intérieur et s’affaire à la cuisine pour préparer le dîner.
Je m’approche d’elle par derrière et lui envoie une tape sur les fesses qui ressemble plutôt à une caresse appuyée.
« Allons Elodie, reste tranquille j’ai du travail. Il faut oublier ce qui s’est passé hier, nous en reparlerons et pourquoi pas avec papa. »
« Tu as changé d’avis ? ce n’était pas bon ? Tu préfères faire l’amour avec une femme de ton âge comme Marie ? »
« Non pas forcément mais ça me paraît plus logique »
« Maman, il faut que je te dise que cet après-midi j’ai découvert et caressé le corps de Myriam, je crois qu’elle est un peu gouine. Ça te dirait d’essayer avec elle ? Dans la conversation elle m’a dit qu’elle flashait sur ta poitrine et qu’elle te trouvait très excitante »
« Moi aussi je la trouve très sexy et désirable, j’ai regretté qu’elle n’ait pas pu venir avec Marie l’autre soir »
Une fois de plus, j’ai ferré le poisson. Maman s’est un peu trahie.
« Que dirais-tu d’un petit cocktail sympa entre nous quatre avec Marie, Myriam pourra peut-être t’exciter ?»
« C’est une idée, papa ne rentrera pas ce soir, on peut les inviter vers 20h mais je te soupçonne de me cacher quelque chose »
« Non, je voudrais te voir avec Myriam puisqu’elle a envie de toi et que tu la trouves sexy »
« Tu me parles d’un petit cocktail sympa mais tu penses "baise sympa" »
« C’est vrai, je mouille rien que d’y penser, je les appelle »
« Allo Marie ? c’est Elodie Maman est ok pour une rencontre vers 20h avec toi et Myriam. Tenue sexy exigée. »
« D’accord, je vais dire à Myriam de se préparer »
Comme je sais que Myriam aime se faire baiser avec un gode ceinture, je demande à maman de se préparer dans ce sens.
20h le carillon de la porte sonne. C’est moi qui vais ouvrir. Je suis nue en porte jarretelles bas noirs talons hauts sans soutien-gorge.
Nos deux invitées se présentent couvertes chacune d’un long manteau de fourrure.
« Entrez mesdames, vous êtes ravissantes, passons au salon, asseyez-vous »
Maman avait préparé le salon : lumière tamisée échantillons de godes dont un énorme noir tous étalés sur la table. Au milieu, une bouteille de Champagne.
« Asseyez-vous. Lucie, j’éviterai de l’appeler maman pour la partie, est entrain de se préparer ».
En s’asseyant, le manteau des deux gouines s’entrouvre légèrement Laissant apparaître des jambes galbées, gainées de nylon noir pour Myriam et rouge pour Marie.
N’ayant pas de culotte, leurs toisons noires cachent un moule que j’ai envie de dévorer.
Je me plante devant elles :
« Pour commencer, sucez-moi chacune à votre tour en commençant à vous branler ».
Nos gémissements sont interrompus par l’arrivée de Lucie. Elle s’encadre dans la porte en offrant un déshabillé violet d’où émerge un respectable gode ceinture noir. Elle soutient son opulente poitrine de ses mains et joue avec ses seins.
« La queue de Lucie c’est pour Myriam en particulier car elle nous a dit que quand Lucie la pénétre, c’est sublime »
« Qu’est-ce que tu as raconté Myraim ? » interroge Lucie.
« Oui, j’ai dit à Elodie que nous avions fait l’amour cet après-midi »
« He bien au moins, tout est clair. Alors suce moi cette queue Myriam.
Elodie, prépare lui le cul pour que je la baise, et toi Marie, viens me sucer les tétons »
J’enlève le manteau de Myriam et lui branle le clito jusqu’à la faire mouiller comme une salope (qu’elle est). Lorsque son jus coule le long de ses cuisses, je le lape pour le transporter sur son orifice arrière et m’affère sur sa rondelle.
« Oh oui Elodie, continue, ta langue dans mon cul c’est bon ! »
Lucie se détache de Marie qui lui bouffait les seins et vient se positionner derrière Myriam.
Le gode pénètre sans difficultés, on dirait que cette salope de sainte nitouche de Myriam a l’habitude de prendre des queues.
Lucie ramone Myriam avec frénésie.
Pendant ce temps, Marie qui avait repéré l’énorme gode ventouse noir sur la table basse du salon, se branle pour le lubrifier avec sa mouille et s’empale ardemment avec un cri de jouissance. Elle se lime elle-même et au bout de quelques secondes, s’écrie :
« Je sens que ça monte, je vais jouir. Ho ho ho c’est bon je pars »
Même scénario chez Myriam qui crie de plaisir, j’en profite pour me placer entre ses cuisses pour recueillir son jet de cyprine. C’est une véritable femme fontaine.
« N’avale pas Elodie m’intime Marie, fais nous en profiter »
Nos quatre bouches se rejoignent et nous échangeons le précieux liquide avec moulte léchage de langues.
Maintenant, nous allons boire une coupe bien sagement nous invite Lucie.
Ceci fait nous nous séparons en échangeant des caresses sur nos chattes respectives en guise d’aurevoir.
« Tu vois maman, c’était une bonne partie mais je crois que la prochaine fois il nous faudrait un homme bien membré en guise de jouet sexuel. »
« Tu as raison ma fille, j’ai une petite idée mais allons nous coucher. Bonne nuit »
« Bonne nuit maman Lucie, fais de beaux rêves » « Bonne nuit Elodie, Il faut que je nettoie le salon avant que papa ne revienne »
Après m’être attardée un peu dans la cuisine pour manger un fruit, je repasse par le salon et surprise, maman est empalée sur le gros gode noir et se lime abondement.
« Tu n’es pas fatiguée maman ? »
"Non, je n’ai pas eu mon compte. En fait à part me faire bouffer les seins et enculer Myriam, ma chatte n’a rien eu et j’ai encore envie de me faire jouir »
« Je te laisse à ton plaisir. A demain maman »