Mon père s’assit sur l’une des chaises du salon et me fit basculer sur lui de manière à ce que mes fesses se retrouvent positionnées sur ses genoux. Les coups se mirent alors à pleuvoir et je découvrai avec étonnement que la douleur, une nouvelle fois, me procurait du plaisir. Mes fesses me brûlaient, néanmoins une sensation agréable se propageait entre mes jambes. La position avait en plus un quelque chose de soumis et de dégradant qui frôlait la perversion. Bref, cette situation m’excitait au plus haut point.
Evidemment, je ne laissai rien paraître et fut bientôt congédiée dans ma chambre. Je la rejoignis tête baissée pour faire illusion mais au fond j’avais juste envie de m’y enfermer pour me masturber à nouveau. Ce que je fis.
Après cela, nous reprîmes notre train-train quotidien. Bientôt, la frustration se mit à me dévorer. Dans l’espoir de provoquer une réaction chez mon père, je pris quelques risques et me dévergondai un peu. J’en avais marre qu’il passe son temps dehors loin de moi, je voulais qu’il me remarque (et aussi qu’il me punisse et qu’il me baise, mais ça je ne me l’avouais pas encore).
Un jour, je décidai de ne porter aucun soutien gorge sous mon T-shirt blanc. Ma poitrine ballotait donc sans retenue. Sans compter que mes tétons se voyaient un peu à travers. Je le portais avec une petite jupe moulante que j’avais relevée sur mes hanches bien plus que nécessaire. Je me sentais pute, mais d’une certaine manière, je me sentais bien. Au moins ainsi on ne pouvait pas m’ignorer, je sortais de mon insignifiance habituelle.
Mon père et moi étions attendus chez des amis et contrairement à mes attentes, il ne me fit aucune remarque désobligeante. Je compris vite que c’était sa manière de me tester, de voir si j’irais jusqu’au bout. Sans doute ne me croyait-il pas capable de sortir ainsi vêtue. Pour mettre son plan à exécution, il se permit même quelques remarques un peu limites.
« Quand on a de beaux seins, il faut les laisser libres, tu as bien raison, déclara-t-il ainsi en souriant.
— Tu me rassures, répondis-je, j’avais peur d’être trop provocante.
– Mais non pas du tout, je serai fier d’avoir une jolie fille à mes côtés.
– Et ma jupe, ajoutai-je, comment la trouves-tu ?
– Parfaite, elle met tes fesses en valeur. Sans parler de tes jambes !
– Eh bien, que de compliments !
– Je ne fais que dire la vérité. Au fait, on prend la moto, ajouta-t-il avec un sourire en coin.
Je compris immédiatement son manège. Il pensait certainement me décourager de porter cette jupe, mais il n’allait pas être déçu.
— Chouette répondis-je !
Son sourire flancha mais il ne fit pas machine arrière et je le suivis dans le garage. J’écartai ostensiblement les jambes pour monter derrière lui et il démarra. Quelques minutes plus tard, nous nous arrêtâmes à un feu rouge et lorsqu’il vit qu’un automobiliste me reluquait, je crus sérieusement qu’il allait s’énerver. Pourtant, il laissa paraître l’exact opposé, comme s’il souhaitait au contraire m’exhiber, voire même me vendre.
Je me sentis comme une pute et cela me procura un pincement d’excitation. Ainsi, il m’écarta encore plus les jambes et plaqua ses deux mains sur mes cuisses pour remonter ma jupe. L’automobiliste eut un sourire et je vis sa main passer sous son jean. Nos regards se rencontrèrent et restèrent accrochés tout le temps qu’il se masturba. Au fond de moi, j’aurais aimé être avec lui dans la voiture et lui téter le gland avec application. Il était franchement laid, mais cela m’excitait encore davantage. Décidément ce soir là mes hormones étaient en feu.
Arrivés chez nos hôtes, je m’installai sur le canapé de manière à ce que la personne en face de moi, à savoir l’ami bedonnant de mon père, puisse apercevoir ma petite culotte. Il ne se gêna pas pour me reluquer toute la soirée. Cela me déconcentra assez pour me faire faire une bêtise : je renversai mon verre de vin rouge sur le tapis blanc. Je me confondis en excuses et ramassai les morceaux avant de me diriger vers la cuisine.
Je sentis alors une présence dans mon dos qui vint se plaquer contre moi. Une bouche humide vint tout contre mon oreille.
« Tu seras bientôt punie, murmura alors mon père avant de s’éloigner. »
Il me laissa tremblante de désir. Etait-ce moi ou son attitude n’était-elle pas seulement un jeu ? Ressentait-il, lui aussi, cette excitation qui me dévorait ?
Lorsque, en allant aux toilettes, je sentis de nouveau une présence dans mon dos, je crus que le moment était venu. En me retournant, je me retrouvai face au petit homme bedonnant que j’avais chauffé toute la soirée. Il me poussa dans les toilettes, ferma la porte à clé et déboutonna son pantalon. Soudain, je ne me sentais plus si sûre de moi. Il sortit sa queue et m’obligea à m’agenouiller devant.
« Bah alors salope, c’est pas ce que t’attendais ? Suce-moi petite pute ! »
Comme j’hésitais, il s’empara de ma tête et m’empala la bouche sur sa bite, manquant de m’étouffer. Je fis donc ce qu’il demandait en m’appliquant de mon mieux. Il faut dire que je n’avais jamais rien fait de tel auparavant. Je léchai, je tétai, j’aspirai. Je dus bien m’y prendre car bientôt sa prise sur ma nuque se raffermit et il éjacula, me forçant à tout avaler.
« Oh c’était trop bon, t’es vraiment trop bonne pour une gamine. Ecarte les jambes que je te suce ! »
Interloquée, je m’assis sur la cuvette des toilettes et obéis. Il s’agenouilla et mis son gros visage dégoûtant entre mes jambes. Je sentais son souffle sur mes lèvres et ça me fit mouiller. Il sortit sa langue et la rentra dans ma chatte. Cette sensation me parut étrange mais divine. Les mains agrippées à mes cuisses qu’il écartait toujours plus, il me téta aussi le bouton et je jouis.
C’est toute fière que je retournai au salon. Mon père me regarda revenir sans se douter une seconde de ce qui venait de se passer dans les toilettes. Malgré ma tenue, je m’amusais à jouer les innocentes.