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Pascale, de femme fidèle à dévergondée. – Chapitre 5

Pascale, de femme fidèle à dévergondée. - Chapitre 5



Les Confidences de Pascale.

Nous sommes ensemble après une après-midi câline, elle repose la tête sur mon épaule, ma main caresse son dos, je lui demande:

"Pascale, tu as des fantasmes?

— Moi? Euh, je ne sais pas …

— Allons, voyons, tout le monde en a!

— … Mais euh … je ne vois pas.

— Enfin: des choses que tu rêves de faire, que tu n’as pas encore faites?

— Ah … mouih … je vois.

— Eh bien?

— Oh, bien peu de chose, un peu d ’imagination des songes, de jeunesse, … pas grand chose à raconter.

— Mais encore? Tu n’as quand même pas tout fait! Penses-y: je pourrais t’aider à les réaliser. Sais-tu je l’ai fait pour une ou deux amantes déjà, et elles étaient ravies!

— Je suis comblée, je ne ressens aucun besoin!

— Tu veux dire: ton mari te ravit au lit? Ravioli?

— Ne te moque pas! Non, lui … non. Mais toi oui! Tu m’as beaucoup fait jouir.

— Merci! Mais tu as bien eu des rêveries érotiques, de quoi s’agit-il?

— Oh, étant plus jeune, parfois j’ai songé à ce que ça pourrait faire d’avoir une relation avec un gars très bien bâti.

— Souvent?

— Un peu … quand j’étais plus jeune … Cela revenait.

— C’est revenu souvent?

— Oui à l’adolescence …

— Et plus tard?

— De temps à autre … maintenant c’est comme plus rare,

— Maintenant, quelle fréquence?

— … Je … sais pas! Peut-être une fois de temps en temps … quand je suis seule … en semaine.

— Ah bon?

— Quand je me douche.

— Mais c’est tous les jours alors!

— Pas tous les jours …

— Combien de fois par semaine alors?

— Deux ou trois … ou davantage …

— Ah c’est bien, et que se passe-t-il… dans tes songes?

— Rien, juste une idée …

— Mais tu as bien dû te le représenter, te faire des images de çà? Tu es excitée?

— Oh, et bien le plus souvent c’était à la plage … ou à la piscine …

— Oui?

— Il passait un très beau gars en short, bronzé, séduisant et il me parlait … et voilà.

— Comment çà?

— Je le regardais. Ca m’émoustillait … et il me plaisait et on partait ensemble.

— Et c’est toujours le même gars?

— Plus ou moins, parfois différents gars, de toute sorte …

— Et ensuite?

— Ensuite on s’embrasse, puis finit par faire l’amour! C’est délicat!

— Avec un seul ou plusieurs?

— Tu te caresses quand tu rêve de çà?

— Oui! … J’ai des orgasmes … forts, très forts.

— Tu as des détails précis?

— Eh bien, ils sont pas mal musclés. Un brun et un blond.

— Et bien membrés?

— Plûtot! Hahaha – rit elle à gorge déployée!

— Comment çà?

— Comme … comme dans ces films! Hahaha!

— Longues?

— … et bien épaisses Hahaha!

— Des grosses bites!

— Oui … on a toutes le fantasme de la grosse bite tu sais!

— Comment les aimes-tu? Dans tes songes tu les saisis?

— Plutot deux fois qu’une, Hahaha! Je sens leur belles saucisses dans mes mains …

— Tu les suces? Plusieurs à la fois? Ils giclent?

— Oui, mais ça dépend! Parfois plusieurs …

— Plusieurs?

— Ce n’est que des rêveries! Ca dépend: des fois c’est précis, des fois non. Quelques fois …

— Quelques fois?

-… La pluralité … J’ai rêvé, voulu être prise en groupe … à la file … longtemps … je suis couchée et ils défilent sur moi! Toutes ces queues glissent dans mon ventre! Leurs ventre sur moi, leurs visages aqui veulent m’embrasser!

— Et tu l’as fait dans la vie?

— Oh non jamais osé, Hahaha! Mais ce n’est qu’un rêve!

— Tu n’as eu aucun amant? C’est terrible!

— …

— Vraiment aucun?

— Si …

— Mais encore?

— J’ai cédé quelques fois … à … à des avances.

— Bien, bien, raconte-moi.

— Il ya eu un ami de jeunesse que j’ai revu il y a deux ans, c’était émouvant, on a soupé ensemble deux fois, il a insité … et je lui ai cédé. Mais ça n’a pas duré.

— Comment ça s’est passé?

— Dans son auto, dans les bois. Sur la banquette, on l’a fait deux ou trois fois.

— C’est tout, trois fois seulement, pas d’hotel?

— Peut-être un peu plus quatre, cinq je ne sais plus … c’était pas trop top! Il en voulait trop!

— Par exemple?

— Il fallait que je le suce … et que j’avale.

— Tu m’aime pas?

— Au début , non, je me suis habituée depuis. Et à l’époque je ne connaissais pas la sodomie … il a voulu quand même, c’etait pas doux, pas top! il n’a pas su y faire …

— C’est lui ton premier enculeur?

— Ben … Ou …oui là.

— Il y en a eu d’autres?

— Il y a eu un patient plus âgé que j’ai pansé plusieurs semaines à la cuisse, en haut. J’avais pas trente ans. Il venait le matin, et on a fini par plaisanter ensemble. Il me complimentait avec légèreté. Un jour, pendant que je défaisait son pansement, il s’est mis à bander … on ne disait rien … il était tout droit … plusieurs minutes … j’ai fini et il s’est relevé, rhabillé. Alors que je le raccompagnais il m’a attrapé par la taille et m’a embrassée sur les lévres. Je suis restée sans réaction, il m’a glissé sa langue … on s’est embrassés cinq minutes, puis il m’a invitée chez lui le même jour. Je ne sais pas trop pourquoi j’y suis allée. Il était vicieux, je jouissais beaucoup avec lui. Très sensuel, je devais faire des effeuillages devant lui, il m’adorait,me traitait de déesse, me léchait partout, me doigtait, je coulais de partout, ensuite il me pénétrait quand il bandait et me faisait jouir plutôt vite tant j’étais prête!

— Génial, tu n’est pas une oie blanche alors! D’autres encore?

— Oh juste des coups de canifs dans le contrat de mariage. Soirs d’été, sorties entre fille, soirées de mariage bien arrosées, de beaux parleurs, par orgueil … pour tester ma séduction … Je … me suis faite culbuter saoule dans des jardins! Comme une souillon! Mais les gars n’étaient pas très fins, je n’en ai revu aucun …

— Tu regrettes? Tu aurait aimé vivre tes fantasmes de plage à plusieurs?

— Parfois un peu, oui. Mais la vie est ainsi faite. Je suis très heureuse comme ça!

— Il faudra y penser comme cadeau … d’anniversaire."

Je rebande et roule sur elle en l’embrassant, ses cuisses s’écartent et je pénêtre une chatte inondée. Nous nous connaissons bien et cet instant, qui dure, devient la danse de deux partenaires bien huilés. Nos corps coulissent l’un dans l’autre et la tension monte vers le plaisir. Elle est très ardente, agrippée à moi et je sais que les pensées erotiques évoquées doivent la tarauder. Elle se tord de bonheur et je l’accompagne, pour finir par me donner en elle pendant qu’elle soupire dans mon cou et me griffe les épaules.

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