Paul, un souvenir qui reste gravé.
C’est grâce à mon grand-père que j’ai connu mes premiers émois de jeune fille, par des attouchements qui, avec le temps, sont devenus de plus en plus précis. Par la suite, alors que j’allais avoir 19 ans, il m’a fait découvrir l’art de la fellation puis du sexe.
Mon mari et certaines personnes qui sont au courant m’ont questionnée, ont voulu connaître la manière dont il s’est pris, si j’avais été soumise à cela par obligation…
Les premières fois, je ne m’étais même pas rendu compte de ses gestes qualifiés de "déplacés" pour beaucoup, mais tout doucement, alors que ses mains sur moi devenaient de plus en plus curieuses, je me suis rendu compte de ce qu’il faisait.
Je savais, vu mon éducation, que ce n’était pas bien, mais dans le même temps, j’appréciais vraiment ce genre d’attentions qu’il me témoignait.
Au final, je suis devenue sa maîtresse et le suis toujours occasionnellement.
Mais aujourd’hui, je veux vous raconter comment il m’a "offerte" à son ami Paul.
Il y avait presque 1 an que papy et moi "jouions" ensemble quand, alors que j’étais chez lui, il m’a demandé d’aller rapporter des outils chez Paul.
Je devais y aller, mais j’ai mal au dos et il compte dessus aujourd’hui.
Je n’imaginais pas le piège qui m’était tendu, j’y suis allée bien naïvement.
Lorsque je suis arrivée chez Paul avec le sac contenant les outils, je suis entrée chez lui sans crainte, car je l’avais déjà vu quelques fois chez mon grand-père. Il m’a demandé d’attendre, car il voulait voir si sa foreuse fonctionnait toujours. Il m’a invitée à m’asseoir et a branché la foreuse qui a démarré au quart de tour.
Tu veux un coca ? m’a-t-il demandé, j’ai accepté.
J’étais assise dans un fauteuil très profond et j’ai vu son regard qui s’attardait sur mes jambes.
Nous étions en août, il faisait extrêmement chaud et je n’étais vêtue que d’une petite jupe écossaise qui dévoilait mes jambes à mi-cuisses vu ma position au fond du fauteuil.
J’ai voulu tirer sur le tissu pour la redescendre, mais malencontreusement, un pan s’est écarté et ce fut encore pire !
Il a souri et s’est exprimé mot pour mot comme cela :
Ton grand-père a raison, tu as des jambes magnifiques.
Un peu gênée, je l’ai remercié en pensant que papy avait de drôles de conversations me concernant.
Est-ce vrai ce qu’il dit concernant ta peau ? Qu’il n’en a jamais connu d’aussi douce ?
J’ai senti une chaleur m’envahir, pas due à une excitation quelconque, d’ailleurs je ne saurais la définir.
Tu veux bien que je regarde si c’est vrai, a-t-il continué tout en s’approchant de moi et en posant une main sur ma jambe.
Je suis restée immobile, ne sachant que penser ou que dire. Papy lui avait-il parlé de ce que nous faisions ensemble ?
Quand sa main s’est aventurée jusqu’à ma petite culotte, j’ai voulu la retenir, mais il a insisté et l’a pénétrée.
Je suis au courant de ce que ton grand-père et toi faites ensemble, il m’a également dit que tu suces régulièrement certains copains de l’école.
Il me parlait et sa main ne cessait de me caresser, jusqu’au moment où il glissa un doigt dans ma fente qui, je le reconnais, était tout humide.
Cela a duré un certain temps, j’avais fermé les yeux et je n’avais aucune envie de partir.
Il a retiré sa main et s’est redressé en me disant sur un ton assez sec :
Lève-toi et déshabille-toi entièrement.
Avec papy, généralement, nous faisons cela dans une certaine pénombre, là, la lumière du jour inondait la pièce et ce n’était certainement pas le léger voile des rideaux qui allaient me dissimuler à la vue des passants. Je le lui ai dit et il m’a répondu qu’à cette heure-là, il n’y avait personne qui passait. A ce moment-là, je n’ai même pas réalisé que ce qu’il disait n’était que foutaise et je me suis dévêtue.
Lorsque je fus totalement nue, il a pris ma petite culotte et l’a posée sur son visage, il la sentit, et me fit la remarque qu’il y avait une petite odeur d’urine; " mais j’apprécie ", a-t-il dit.
Honnêtement, j’étais un peu mal à l’aise, nue devant cet homme (71 ans), mais je n’avais pas peur. Je savais ce qui allait se passer et cela ne me dérangeait pas. Au contraire, j’en ai même eu envie !
J’ai donc fait comme généralement avec papy, je me suis agenouillée et ai entrepris de détacher le pantalon de Paul et de baisser son slip, puis j’ai directement mis son sexe en bouche.
Il m’avait bien dit que tu es une petite putain qui aime la queue, je ne le croyais pas, mais je constate qu’il ne mentait pas.
Moi, je le suçais les yeux fermés, m’imaginant que c’était papy, à la seule différence que Paul avait une bien plus grosse !
Arrête.
Je m’y suis allongée, mais il voulut que je me retourne et que j’écarte les jambes. Il m’a tirée jusqu’à ce que mes jambes pendent dans le vide puis a écarté mes fesses avec force afin de me lécher l’anus. J’aime bien quand on me fait cela, mais à cette époque, il n’y avait que papy.
Quand il y a glissé un doigt, je lui ai dit que je ne voulais pas qu’il me prenne par-derrière. Il a rouspété un peu, mais je suis restée ferme en précisant qu’il n’y avait que grand-père qui pouvait me le faire.
Il m’a doigtée de longues minutes, son gros majeur allant et venant et me faisant parfois mal.
Ensuite, il est allé s’asseoir dans le fauteuil et m’a demandé de venir à califourchon sur lui. D’un coup sec, il est entré en moi !
C’est moi qui donnais les mouvements, de plus en plus vite et de plus en plus nerveusement. Je ne me suis même pas rendu compte qu’on pouvait nous voir en passant devant la fenêtre, ce n’est qu’une fois terminé, et alors que je prenais ma respiration, que j’ai vu des gens passer.
Je dois reconnaître que j’y ai pris beaucoup de plaisir, pourtant je n’ai jamais voulu recommencer avec Paul.
Lorsque je suis repartie et suis retournée chez papy, avant même que nous n’échangions un mot, il m’a prise par la main et m’a emmenée dans sa chambre où nous avons fait l’amour. Il était déchaîné, l’heure que j’avais passée chez Paul avait dû bien travailler son imagination et j’ai été comblée.
Par après, il m’a demandé de tout lui raconter et a voulu savoir si je lui en tenais rigueur. Comme je lui ai répondu que non; que pour lui, je ferais tout; quelque temps plus tard, il m’a présenté un autre de ses amis avec lequel nous avons passé plusieurs fois l’après-midi.