Le soir, lorsque je suis sortie du travail, j’ai vu la voiture avec Ernest au volant. Sans me poser de questions, je suis montée à l’arrière. Ernest démarra. Le trajet se fit sans un mot ni de ma part, ni du sien. Lorsque nous sommes arrivés à la maison, nous avons été accueillis par Sofia.
« Bonsoir Ô.
— Bonsoir Sofia.
— Pardon ? Me dit-elle avec un regard assez noir.
— Bonsoir Madame.
— C’est mieux. Charles ne va pas tarder. En attendant, va dans la chambre et déshabille-toi. Ce que tu portes n’est pas une tenue pour une femme de ton rang. Quand Charles arrivera, il choisira ta tenue pour la soirée. »
J’allais dans la chambre et commençais à me dévêtir. Une fois entièrement nue, je m’assis sur le lit en attendant la suite. L’attente me parut extrêmement longue et je ne pus m’empêcher de penser à ma situation. J’imaginais ce que penseraient mes collègues, mes amis, ma famille de moi s’ils savaient que, chaque week-end, j’allais chez un couple de mon plein gré pour subir ces humiliations et assouvir leurs envies… Enfin, j’entendis la voix de Charles. Étonnement, elle me parut salvatrice. Quelques trop longues minutes plus tard, Charles et Ernest entrèrent dans la chambre.
« Bonsoir.
— Bonsoir Monsieur.
— Écarte les cuisses… Ça ira pour ce week-end, tu n’auras pas à aller chez l’esthéticienne, dit-il en observant le rasage de mon sexe. »
Il se dirigea vers le placard et en sortit une robe, une paire de bas et une paire de chaussures. La robe se composait en deux parties : le bas était assez court – mes bas n’y arrivaient pas – et noir tandis que le haut était en tissu transparent ne cachant rien de ma poitrine. J’enfilais tout de même cette tenue ne serait-ce que pour me sentir couverte. Charles m’envoya à la salle de bain pour me maquiller puis il m’invita à la suivre dans le salon.
« Tu sais ce que j’aime en rentrant d’une longue semaine de travail ?
— Oui Monsieur.
— Alors, à genoux et fais-moi du bien. »
Je me suis agenouillée devant lui, ai sorti son sexe, l’ai équipé d’un préservatif et ai commencé ma fellation. Durant tout l’acte, je n’ai fait que penser à ce que j’avais fait à Gérard durant la semaine. Je ne pouvais m’empêcher de penser à son gland frappant au fond de ma gorge. Je pensais à son plaisir, à ses soupirs. Je pensais au goût de son sperme dans ma bouche, à son étonnement en me voyant l’avaler complètement. Je savais que je l’avais rendu heureux et j’en étais heureuse. Mais ce moment fut aussi coupé par Charles qui appuya sur ma nuque.
« Gérard m’a dit que tu l’avalais plus que ça. Montre-moi. »
Il enfonça sa verge au plus profond de ma bouche. Je dus me débattre pour pouvoir respirer un peu car sa main m’en empêchait. Sa verge plastifiée au fond de ma bouche finit par me donner des nausées mais il ne sembla pas s’en inquiéter. Je fus ravie quand, quelques secondes plus tard, il se mit à râler laissant échapper son plaisir au fond du préservatif.
En me levant, j’ai croisé mon regard dans le miroir. Je me vis, les seins bien visibles sous la robe et le maquillage débordant autour de mes yeux et ma bouche. J’avais honte de moi mais ne pus m’empêcher de me dire que je faisais ça pour mon homme, l’amour de ma vie et notre couple, notre avenir. Cette pensée me donna un peu de courage.
« Maintenant, prépare-nous le repas. Sers-nous et on prendra le dessert avec toi… »
Docilement, je suis allée préparer le repas commandé par Sofia et Charles. Je les ai servis à table les laissant glisser leurs mains vicieuses sous ma robe. Ils tripotaient mes fesses, mes seins et mon sexe. Ils profitaient de chaque instant n’hésitant pas à commenter mon anatomie laissée à leur perversité. Ils m’ont ensuite permis de manger mais au sol, à quatre pattes. Dans cette position indécente, leurs mains et leurs doigts n’eurent aucun obstacle pour fouiller mon sexe et mon anus.
Lorsque mon repas fut fini, Sofia m’invita à me mettre à genoux à côté du canapé. Tout en me caressant les cheveux comme elle l’aurait fait avec un animal de compagnie, elle commença à discuter avec son mari.
« Tu ne m’as pas raconté ce que t’as dit Gérard. Elle lui a fait quoi cette petite cochonne pendant la semaine ?
— Elle a avalé son sperme.
— Ah ! Elle avale donc cette petite perverse ! Et il l’a enculée ?
— Bien sûr ! Elle aime avoir une bite dans le cul…
— C’est normal pour les femmes comme elle.
— Et il la fessée aussi.
— Elle lui a demandé ou il l’a fait de son propre chef ?
— C’est elle…
— Tu es une bonne petite cochonne, c’est très bien… »
Cette conversation finit de faire lâcher prise et je me mis à pleurer de honte. Au fond de moi, je commençais à croire ce qu’il venait de dire parce que j’avais aimé me donner à mon homme. Mais avec Sofia et Charles, il en était tout autrement. Je subissais leurs attouchements, leur vice par amour pour mon homme, pas par envie. Ils le savaient très bien et me poussaient toujours plus loin. Lorsqu’il se fit tard, Charles appela Ernest. Il lui tendit une lettre en lui disant d’aller me mettre au lit car demain risquait d’être une longue journée. En arrivant dans la chambre Ernest me dit en souriant :
« Pas la peine de te dire ce qui est écrit sur cette lettre?
— Non, j’imagine… Tu dois être content?
— D’après toi ?… Allez, va te démaquiller avant de venir te coucher. On dirait que tu as chialé toute la soirée.
— C’est un peu vrai…
— Parce que tu te rends compte petit à petit de qui tu es vraiment ? »
Outrée, je me suis rendu dans la salle de bain et me suis démaquillée. En revenant dans la chambre, Ernest m’y attendais, nu comme un vers. Il n’attendit même pas que je me déshabille et me fit assoir sur le bord du lit. Il présenta sa verge tendue devant mon visage. Docile et résignée, j’ai commencé à le prendre en bouche. Je le suçais avec application mais sans tendresse. Je voulais qu’il jouisse pour pouvoir aller me coucher sans risquer une deuxième fois de devoir m’occuper de lui. Sa verge glissait dans ma bouche mais je ne le laissais pas aller trop loin au fond. A plusieurs reprises, il m’arrêta comme s’il voulait profiter de ce moment. Lorsqu’il s’est senti proche du plaisir, il me repoussa et m’ordonna de me mettre nue.
Une fois débarrassés de nos vêtements, il me prit en missionnaire, malaxant sans douceur mes seins. Il me prit assez violemment mais contrôla tout de même son plaisir pour ne pas venir. Il me besogna de longues minutes avant de me demander de me mettre en levrette sur le lit. Il se plaça derrière moi et s’enfonça de nouveau en moi. Il me prit ainsi un certain temps en faisant attention de ne pas jouir. Il profita de la position pour flatter ma croupe sans douceur mais sans violence non plus. Il laissa même ses doigts glisser entre mes fesses sur mon petit trou. Je le laissais faire, pensant ces caresses innocentes.
Aussi, je ne pris pas très bien le fait de sentir son sexe sortir de moi pour se poser sur mon anus. Mais, n’ayant d’autre choix que de céder aux caprices pervers de Sofia et Charles, je laissais Ernest prendre possession de mes fesses. Il m’agrippa fermement par les hanches et poussa à l’entrée de mes fesses pour y entrer. Lorsqu’il fut dedans entièrement, il commença des coups de butoir assez violents. Il me prit ainsi, oubliant toute retenue. Quand son orgasme vint, je le sentis remplir le préservatif au fond de moi. Il jouit en soupirant profondément comme s’il avait attendu cet orgasme depuis longtemps. Il se retira, se nettoya et m’invita à le rejoindre au lit.
La nuit fut assez calme et Ernest ne me reprit que le matin. Encore une fois, il usa de ma bouche, mon sexe et mes fesses. Lorsqu’il eut fini, il me tendit la lettre. Je fus offusquée par ce qui y était écrit. Cette lettre ne donnait aucunement le droit à Ernest de disposer de moi. Il se joua de mon erreur pour me baiser à deux reprises. Cette lettre indiquait uniquement ce que je devais porter le lendemain et quel rôle je devais tenir vis-à-vis d’un invité. Verte de rage, je me dirigeais vers la chambre de Charles puis, ne l’ayant pas trouvé vers son bureau.
« Monsieur.
— Tu n’as pas mis ce que je t’ai demandé !
— Non mais c’est Ernest…
— Quoi Ernest ?
— Il m’a prise sans votre accord, Monsieur.
— Et pourquoi tu t’es laissée faire ?
— Je croyais que c’était ce qu’il y avait dans la lettre.
— C’est lui qui te l’a dit ?
— Oui… »
Ernest se leva et alla chercher Ernest.
« Tu lui as dit que je t’avais donné le droit sur elle ?
— Non, Monsieur.
— Et elle m’a dit que tu las prise. C’est vrai ?
— Oui, elle s’est jetée sur moi. Je n’ai pas réussi à refuser. C’est une vicieuse, Monsieur.
— Je te crois…
— Mais… tentais-je.
— Tais-toi. On reparlera de tout ça demain. Ve te préparer, vite ! »
Je partis vers la chambre suivie par Ernest, fier de lui. Sans lui adresser le moindre regard, j’enfilais ma tenue du jour. Tout d’abord un ensemble shorty et soutien-gorge noir avec des touches de rouge. Ensuite un porte-jarretelles dans les mêmes couleurs et des bas résille noirs. Enfin, une jupe noire légèrement évasée et un chemisier dont les premiers boutons devaient rester ouverts pour laisser voir ma lingerie. Le tout fut complété par une paire d’escarpins noirs et un maquillage voulu visible mais léger. Je devais jouer la secrétaire particulière de Charles lors de la réception d’un client. Cette secrétaire devaient se laisser tripoter par un patron qui ne lui plaisait pas mais l’accepter sans envie pour garder son boulot.
Le « client » arriva assez tôt le matin et je dus passer à mon rôle assez vite. Les deux hommes s’enfermèrent dans le bureau avec moi qui jouait mon rôle au mieux. Alors que j’étais résignée à devoir subir les attouchements de Charles, je jouais les faussement agacée. Je tentais d’éviter ses mains et, quand il les posait, je m’esquivais au plus vite. Les deux hommes parlaient de leurs affaires mais aussi de moi, à demi-mots. Ce petit jeu dura toute la matinée, lors du repas et jusqu’en début d’après-midi. Au bout d’un moment, l’homme s’arrêta en plein milieu dune phrase et se tourna vers moi, l’air inquiet.
« Tu as confiance en elle ?
— Pourquoi ?
— Elle ne va pas répéter ?
— Elle sait ce qu’elle risque si elle le fait, dit Charles en me faisant signe d’approcher. »
Avec force, il me plaça les mains sur son bureau et me fit me pencher légèrement. Il souleva ma jupe et une main ferme vint s’abattre sur mes fesses. L’homme se leva pour rejoindre Charles derrière moi. Je sentais leurs mains sur moi, caressant puis fessant mon postérieur à peine caché sous le shorty.
« Je te la laisse… Dans le premier tiroir… »
Charles, sur cette phrase, quitta la pièce me laissant seule avec l’homme. Il continua à me fesser quelques instants puis il me retourna vers lui et se recula. Il ouvrit sa braguette et sortit son sexe.
« Premier tiroir… »
En l’ouvrant, je découvrais une boite de préservatifs mais d’autres accessoires peu professionnels. Je sortais un préservatif de la boîte et m’approchais de l’homme dont la verge commençait à se tendre. Délicatement, j’ai installé le préservatif. Une pression sur mes épaules me fit comprendre qu’il souhaitait que je m’agenouille. Dans cette position, il engouffra sa verge dans ma bouche. La main appuyée sur ma nuque, il imprimait un mouvement lent mais profond. Puis, petit à petit, ce mouvement s’accéléra jusqu’à ce qu’il m’attrape la tête à deux mains pour me baiser la bouche. Il allait et venait entre mes lèvres sans douceur ni ménagement. Puis il s’arrêta net.
« Tu as bien failli me faire jouir… Tu es une bonne suceuse. Charles a de la chance de t’avoir à sa merci »
Il s’installa sur le petit canapé du bureau et m’invita à le rejoindre. Il posa sa main sur ma cuisse et la fit glisser le long de mon bas. En remontant, il repoussa ma jupe pour découvrir à nouveau mon shorty. Il m’intima l’ordre de le retirer. Il commença alors à caresser mon sexe qui s’humidifia rapidement à mon grand étonnement. Il m’invita ensuite à venir le chevaucher. Je commençais à bouger sur lui et il sembla apprécier. Il déboutonna mon chemisier et me le retira. Alternativement, il pétrissait mes seins ou mes fesses puis il me claquait les fesses. Dans ma position, je ne pouvais que subir ses envies. Ensuite, il retira mon soutien-gorge et se mit à gober mes tétons goulument. Un de ses doigts fit chemin vers mon anus qu’il pénétra doucement. C’est alors que Charles et Sofia firent irruption dans la pièce. Je me sentis gênée tant par leur irruption que par le fait de commencer à apprécier cette pénétration par un parfait inconnu.
« Je vois qu’on travaille bien, lança Sofia,
— Oui, je m’investis, ricana l’homme.
— Elle est à votre goût ? Demanda Charles.
— Oui, c’est une bien belle et bonne salope que vous avez là… »
Sur cette blessante phrase, Charles et Sofia nous laissèrent. L’homme m’ordonna de descendre et de me mettre à quatre pattes sur le sol. Il vint s’installer derrière moi et retroussa ma jupe. Il me pénétra en me tenant fermement par les hanches. Il recommença à claquer mes fesses avec vigueur et je me surpris à aimer ce traitement. Soudain, je sentis du cuir sur ma croupe. Il avait défait sa ceinture et me donnais des coups avec celle-ci. Cette nouvelle sensation ne sembla pas déplaire à mon corps puisque j’y répondis avec plaisir. Puis il lâcha sa ceinture au sol et un doigt commença à glisser dans le sillon de me fesses. Tout en me besognant, il glissa son pouce à l’intérieur de mon anus. Le plaisir que j’ai alors ressenti était immense.
Quelques secondes plus tard, je sentis son sexe quitter le mien. Son gland se présenta à l’entrée de mon anus. Il poussa fermement et me pénétra sans trop de difficulté. Il attrapa de nouveau la ceinture et repris les coups sur mes fesses. L’action combinée de son sexe en moi et de sa ceinture eurent raison de ma résistance et je jouis dans un concert de gémissements. Lorsque je repris mes esprits, je vis l’homme, toujours la ceinture à la main, qui masturbait doucement son sexe découvert.
« Approche! »
A quatre pattes, je me présentais à lui. Il me fit me redresser puis il dirigea son sexe vers mes seins. Quelques caresses plus tard, un jet puissant de sperme éclaboussa ma poitrine. Il ne prit pas la peine de me dire quoi que ce soit et sortit de la pièce ma laissant au sol, seule et souillée. Il fut remplacé par Charles qui me donna le chemisier.
« Mets ça et va préparer le repas. Ce n’est pas le tout de se faire baiser, tu as des choses à faire… »
La fin de journée et la soirée se passèrent sous les insultes et les attouchements de Charles et Sofia. Au soir, Charles me dit que j’allais dormir dans leur chambre cette nuit parce que je ne sais pas « me tenir en présence d’une bite ». Dans la chambre, je dus donner du plaisir avec ma bouche à Charles puis à Sofia avant de me coucher nue entre eux vêtus de pyjama.
Au matin, Charles me fit me lever et, après le petit déjeuner me demanda de venir dans son bureau. Je m’y présentais, juste vêtue de mes chaussures à talons. Au bureau, il y avait Charles, placé sur son fauteuil, Sofia à sa droite et Ernest à sa gauche.
« Ô, je voudrais revenir sur l’incident de la nuit de vendredi à samedi avec Ernest.
— Je n’ai rien fait, c’est lui qui…
— Je ne t’ai pas donné la parole !
— Ernest, explique-nous ce qu’il s’est passé… »
Et Ernest se mit à expliquer que je lui ai sauté dessus, lui permettant d’user de moi autant qu’il le souhaitait. Il expliqua dans les moindres détails tout ce que nous avions fait. Il détailla les différentes positions, les différentes pénétrations de mon sexe ou de mon anus. Il exagéra sur mon implication lorsque je lui ai fait une fellation. Il raconta qu’il put abuser de moi toute la nuit. Il mentit de nouveau en disant que j’avais joui à plusieurs reprises lors de nos rapports. Il finit en disant qu’il avait honte d’avoir céder à mes envies.
« A la vue de ce que nous a décrit Ernest, il est évident que tu as abusé de tes charmes.
— Mais…
— Ne me coupe pas ! Donc, il faut que tu sois punie pour ton attitude. Sofia…
— Je pense qu’il faudrait la contraindre à donner du plaisir à chacun d’entre nous avec sa bouche…
— Excellente idée… Ernest…
— Il faudrait peut-être ajouter une autre personne ou avoir le droit d’abuser de ses fesses.
— Très bien, je passe un coup de téléphone. Et moi, je pense qu’une petite séance de punition corporelle est nécessaire.
— Humm… Je sens qu’on va passer une bonne journée, dit Sofia. »
Elle se dirigea vers le canapé, enleva sa culotte et s’assit sur le canapé en écartant les jambes. Elle me montra son sexe m’indiquant que je devais m’occuper d’elle. Docilement, je me suis avancée vers elle et me suis mise à genoux devant elle. J’ai doucement commencé à lécher son sexe déjà bien humide. Elle commença à gémir sous mes caresses. Elle passait sa main dans mes cheveux pour me maintenir en place contre elle. Je la léchais nerveusement pour la faire jouir très vite. D’ailleurs, elle ne fut pas longue à prendre son plaisir. Elle jouit bruyamment en inondant mon visage de son plaisir.
Je me redressais et vis Ernest, le sexe sorti attendant son tour. Il vint s’assoir sur le canapé aux côtés de Sofia. Elle attrapa son sexe et, après quelques caresses, il fut assez dur pour être équipé d’un préservatif. Je pus alors commencer ma fellation à Ernest. Sa verge s’engouffra dans ma bouche et je lui donnais le plus de plaisir possible. Il haleta et je sentis qu’il ne serait pas long à venir. Effectivement, peu de temps après, il se figea et, secoué par des spasmes, remplit le préservatif au fond de ma bouche.
A peine remise, je me suis aperçue que Charles avait rejoint Sofia et Ernest. Il était prêt à recevoir sa fellation. Toujours à genoux, je me suis mise devant lui et l’ai pris en bouche. Je le suçais avec application. D’une main ferme, il pressa mon visage pour que j’enfonce sa verge au plus profond de ma bouche. Son gland frappa à de nombreuses reprises au fond de ma gorge. Dans un râle, il se vida dans le préservatif qui gonfla dans ma bouche.
Ils m’envoyèrent alors dans la cuisine car il était grand temps que je m’occupe de leur repas du midi. Toujours entièrement nue, j’ai préparé, j’ai mis la table et ai servi Charles, Sofia mais aussi Ernest, invité à leur table. De mon côté, je pris mon repas à quatre pattes par terre.
En début d’après-midi, les trois compères m’entraînèrent dans le bureau de Charles. Celui-ci m’installa les mains sur le bureau, penchée en avant et les jambes légèrement écartées. Sous le regard vicieux de Charles installé à son bureau, les deux autres se mirent à me donner de petites fessées. Celles-ci se firent de plus en plus fortes. Ils ricanaient en voyant que je bougeais pour tenter d’éviter leurs coups. Mes fesses commençaient alors à me faire mal quand Charles approcha ses mains de mes seins. Il en attrapa chacun dans sa main et commença à les serrer de toutes ses forces. Bizarrement, la douleur de mes fesses ne fut pas la plus difficile à supporter. Il finit par mes pincer les tétons avec vigueur. Des larmes commencèrent à couler de mes yeux. Je me répétais : « Pour Gérard, je fais ça pour lui… Pour nous… ». Soudainement, ils arrêtèrent et Charles décrocha son téléphone.
« Elle est prête. Tu peux venir quand tu veux… »
Charles m’attacha un bandeau autour des yeux. Je restais ainsi quelques minutes avant d’entendre la porte du bureau s’ouvrir.
« Nous l’avons attendrie pour vous.
— Elle commence à être bien docile, vous allez aimer.
— Et elle aime ça ! »
Je repérais les voix de Charles, Sofia et Ernest devant moi pourtant je sentais des mains sur mes fesses rendues sensibles. Ses mêmes mains me retournèrent avec fermeté avant de me mettre à genoux. J’entendis le bruit d’une ceinture et d’une braguette qui s’ouvrait. Quelques secondes plus tard, je sentis un préservatif pousser vers l’entrée de ma bouche. Résignée, j’ai docilement ouvert ma bouche pour laisser entrer cette verge inconnue dans ma bouche. Par des mouvements de bassin, il imprimait son rythme dans ma bouche. J’usais de mes lèvres et de ma langue pour satisfaire ce nouvel intervenant désigné par Charles pour se servir de moi à sa guise. Il exprimait par des soupirs profonds le plaisir qu’il prenait avec ma bouche. Je pensais que je devais le faire jouir de ma bouche mais, soudainement, il se retira.
Il me replaça alors dans ma position originale. Puis un bruit inconnu vint briser le silence comme si un objet fendait l’air. Une douleur vive s’empara alors de mon postérieur. Un objet venait de s’y abattre avec force. Cet objet frappa ensuite mes cuisses, mon dos, mes flancs et bien entendu et avec une préférence marquée, mes fesses. En très peu de temps, mon corps était devenu d’une sensibilité extrême. C’est alors que tout s’arrêta. Une main alors passa entre mes cuisses.
« Tu voies qu’elle aime… Elle mouille… »
Effectivement, mon sexe trahissait ce que je ressentais. La main étala mon jus le long de la raie de mes fesses. Ainsi humidifié, mon anus s’ouvrit sans difficulté à un doigt… puis un second. Ces doigts me donnèrent contre ma volonté beaucoup de plaisir. Puis ils se retirèrent. Je compris vite à quoi je n’allais pas tarder à servir. Effectivement, le sexe se présenta alors à l’entrée de mon petit trou. Il s’enfonça petit à petit au fond de moi. Ce sexe me besogna pendant de longues minutes dans cette position. A on corps défendant, je prenais un plaisir immense à cette sodomie. Alors que je ne m’y attendais pas, la sensibilité de mon corps et la pénétration finirent par me faire jouir puissamment. Je m’écroulais sur le bureau sentant toujours le sexe aller et venir entre mes fesses. Cet homme avait beaucoup d’endurance car il me prit encore un long moment avant de se figer en moi et de jouir, en silence…
Il se retira et je n’osais bouger. J’entendis de nouveau la braguette et la ceinture ainsi que la porte du bureau. Quand on me défit le bandeau qui obstruait ma vue, je me retrouvais face à Charles et Ernest qui me regardaient en souriant.
« Auquel de ces messieurs ? Demanda Sofia derrière moi.
— Allez-y Ernest, répondit Charles. »
Ernest se leva alors et passa derrière moi. J’entendis son pantalon tomber au sol puis son sexe se présenta à l’entrée de mes fesses. Il entra sans douceur et commença à me prendre avec férocité. A cause de mon orgasme, j’eus du mal à accepter cette pénétration que je trouvais douloureuse. Je serrais les dents espérant que celui-ci serait rapide. En quelques minutes, il jouit entre mes fesses. Je n’eus pas le temps de reprendre mon souffle et Charles vint prendre la place laissée libre par Ernest. Il me prit lui aussi sans aucune douceur. Il fit des mouvements amples comme pour se retenir le plus longtemps possible. Il finit cependant par jouir, tout comme Ernest, figé dans mon anus. Il se retira et me dit simplement quErnest allait se préparer à me ramener. Ils quittèrent la pièce.
Un temps que je trouvais très long plus tard, la porte du bureau s’ouvrit et Ernest balança des vêtements au sol.
« Habille-toi. Tu rentres chez ton homme… »
J’ai revêtu les vêtements que je portais à mon arrivée et me retrouvais à l’arrière de la voiture en chemin vers chez moi. En arrivant, Gérard me serra dans ses bras et la pression de ses mains sur mes flancs me rappela ce que je venais de subir. Comment allais-je pouvoir expliquer les traces sur mon corps à mon homme ? C’est alors qu’Ernest tendit un gros sac à Gérard.
« Cadeau de Charles. Profitez-en bien… »