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Pere adoptif et amant – Chapitre 1

Pere adoptif et amant - Chapitre 1



Lorsque je me suis marié avec Isabelle, il y a dix sept ans, elle était enceinte de six mois, rien dexceptionnel ? Non, a part que ce nétait pas moi le père de lenfant quelle portait

Jétais amoureux fou disabelle mais elle ne voyait que Vincent, mon copain qui profitait de lamour quelle lui portait pour la baiser, tout simplement, dés quil a connu son état de grossesse, il sest enfui refusant de faire face a ses responsabilités

Jai tout fais pour la conquérir, elle a accepté tout en me prévenant quelle maimait bien sans plus, au fil du temps elle a changé davis devant mes prévenances, je nai jamais été privé de sexe et de fantaisies amoureuses

Isabelle a accouché dune magnifique petite fille rousse, que jai aimée peut être plus quun père, je lai vue grandir, se développer, Carla ne sest jamais gênée, tout comme nous, pour se balader nue

Lorsque les gens lui demandaient si elle avait un petit copain à lécole elle répondait : jen ai trois ! Mais cest avec papa que je veux me marier ! Évidement cela faisait rire tout le monde

Sa joie suprême, dés quelle a su marcher, cétait de venir nous retrouver au lit tous les dimanches matin, blottie entre nous deux, gaie comme un pinson

  Je lai vue se transformer en femme, sa joie de me montrer son premier poil pubien, et sa déception lorsquil est tombé le lendemain, mais très vite remplacé par de nombreux autres

Jai beau me dire que cest un peu ma fille je nen reste pas moins un homme qui sait apprécier la beauté dune jeune femme de dix sept ans, et parfois ne pas pouvoir retenir une érection lorsque dans certaines positions impudiques quelle nhésite pas à réaliser, sa toison clairsemée laisse apercevoir le rose nacré de sa fente entrouverte

— Chérie, il serait peut être temps de dire la vérité a Carla sur son père biologique non ?

— Tu as raison, je le ferais ce soir, quoiquil en soit ne lui refuse jamais, rien même si cela doit aller très loinjen prends la responsabilité, tu as beaucoup fait pour nous deux et je ten serais éternellement reconnaissante, je pense quelle a senti que vous naviez pas les mêmes gènes et elle est véritablement amoureuse de toi

Le soir Carla est venu regarder la télé avec nous, assis en robe de chambre entre les deux femmes je suis assez gêné car les nuisettes quelles portent ne cachent pas les minis slips de dentelle qui eux même laisse apercevoir les buissons, et encore moins les aréoles des seins dont les tétons repoussent le tulle

Les deux mains posées sagement sur mes cuisses je regarde dun il distrait lécran, soudain isabelle, comme elle le fait régulièrement, me prend le bras et le passe autour de son épaule, ma main a seulement quelques centimètres dun sein, dhabitude je nhésite pas a le malaxer, comme elle voit que jhésite cest elle qui me plaque la main sur son mamelon

Cela ne passe pas inaperçu au regard de Carla qui se recroqueville contre moi sans doute un peu jalouse, alors je pose lautre main sur son épaule, elle soupire longuement, faisant gonfler très fort sa poitrine, ses doigts agrippent les miens comme pour tirer ma main ou elle veut… sur son sein, sa maman me donne un coup de genou afin de me faire comprendre daccepter la situation

Mes doigts tendus effleurent le téton, sans oser toucher ce sein en béton, cest la première contraction de mon membre qui me fait céder, malgré moi mes mains se crispent sur les nichons de mes femmes qui soupirent daise, je serre les cuisses afin de contenir ma queue désormais raide, bien cachée a leurs yeux, isabelle sen rend compte et pose la main dessus, pétrissant a pleine main ma bite par-dessus la robe de chambre

— Carla chérie ?

— Oui maman ?

— Il faut que nous te révélions un secret

— Aaaahh ?

— Nous tadorons, ton père peut être encore plus que moi !

— Sauf que ?

— Ce nest pas facile à dire

— Ne vous fatiguez pas je sais tout ! papa nest pas celui qui ma crée

— Qui te la dit ?

— Le connard qui ta engrossée il y a seize ans, et sest tiré comme un malpropre

— LUI ??

— Oui, lui, pour lénerver, je lui ai dit que je donnerais ma virginité à celui qui ma élevée et adorée comme une princesse

— Carla ! il ne faut pas dire cela voyons !

— Si papa, je dois vous avouer que jai rencontré un garçon, il veut coucher avec moi

— Tu es en âge, nous navons rien à dire chérie

— Je vais coucher avec lui, mais il naura pas mon pucelage car il y a neuf chances sur dix pour quil se tire après mavoir faite femme, donc papa va me dépuceler avant !

— Il faut que je sois daccord tout de même !

— Tu sais bien que te ne peux luter devant mes charmes, tu me touche simplement un sein et tu bande a fond !

— Beeeeennnnnn

— Beeeeennnnnn ? cest tout vu !

— Je vais me coucher

— Moi aussi chéri, je te suis

— A demain matin dans votre lit ? comme dhabitude ?

Isabelle sest allongée sur le lit les cuisses ouvertes, sa petite culotte est tachée dune auréole humide

— Vient chéri il faut que tu répète les gestes à faire sur ma fille !

— Isa

— Avoue quelle te plaît ? ce nest pas ta fille, il ny a pas inceste, fait moi plaisir, fait LUI plaisir

Jai prodigué de tendres préliminaires a isabelle comme si cétait Carla qui se trouvait sous moi, cest elle que je voyais les yeux fermés lorsque je donnais de grands coups de queue dans la matrice ouverte et dégoulinante, je lai maintenue nerveusement lorsque jai tout balancé au fond de son ventre

— Chéri tu es merveilleux, elle va apprécier jen suis sûre !

— Je ne sais pas si je pourrais faire ça .

— Tout ira bien, bonne nuit mon amour .

Jétais réveillé lorsque la porte de la chambre sest ouverte, comme a son habitude Carla sest faufilée entre nous deux, mais cette fois elle est nue, entièrement nue moi aussi décontractée, elle nous dit bonjour accompagné dune bise sur la joue, jessaie de rester stoïque, les mains sous ma tête, quand son corps brulant se colle au mien, Isa gesticule

— Hooouuuu ! Jai envie de faire pipi, je me lève, ensuite jirais faire du café, restez au lit les amoureux !

La porte à peine refermée Carla se tourne vers moi, un genou sur ma cuisse, ses poils chatouillent ma hanche, son sein sécrase sous mon bras

— Câline moi papa pose ta main sur moi

— Chérie, ce nest pas bien

— Il fait chaud ! jai chaud !

Sans me demander mon avis, elle rejette le drap mettant au jour ma demi-érection, tel un reptile elle rampe sur moi, pas pour venir face à face, mais en sens inverse, sous mes yeux un magnifique petit derrière dodu sécrase sur mon torse, deux mains agrippent ma queue désormais bandée a mort, elle me décalotte, recalote plusieurs fois avant de poser sa langue sur mon gland suintant, elle respire fort, ses fesses se trémoussent minvitant à les toucher

Vaincu, je pose mes grosses paluches sur ces demi-sphères rebondies, la dernière fois que je les aie touchées elle était bébé, cétait pour les poudrer, je ne les reconnais plus

Mes pouces écartent la raie, découvrant lillet plissé entouré de poils follets, juste dessous sa toison séparée au milieu montre son coquillage luisant de rosée, un succulent effluve de sexe effleure mes narines, jagrippe son bassin pour poser sa chatte a hauteur de ma bouche, sentant mon souffle chaud sur sa vulve elle avale carrément mon gland en geignant de plaisir

De part et dautre cest un festival de léchouilles, succions, dégoulinade de cyprine pour elle, et giclées de foutre pour moi, chacun sévertue de ne rien perdre, Carla se retourne rayonnante, les lèvres barbouillée de ma semence

— Tu mas faite jouir avec ta langue papa ! cétait divin ! Et moi ? cétait bien ?

— A ton avis ? jamais je nai déchargé aussi vite, comment trouve-tu le sperme ?

— Jadore !

— Tu va prendre ta douche à présent ?

— Tu veux mexpédier sans me pénétrer avec ce gros engin toujours raide ? pas question ! regarde je suis prête !

Carla est allongée les genoux repliés sous ses seins, sa craquette béante appelle le mâle, il ne me reste plus qua la satisfaire, en appuis sur les mains je rampe au dessus delle jusquà ce que ma bite entre en contact avec son buisson parsemé de gouttelettes, les yeux dans les yeux je tâtonne avec le bout du gland, je suis sur la fente, le clitoris glisse sous ma queue, il me suffit de descendre de quelques millimètres pour la perforer a jamais

— Tu ne le regretteras pas Carla ?

— Oh non ! va-y papa, enfonce-toi dun coup

— Respire fort et serre les dents HAAAANNNNNNN !

— AIIIIEEEEEEE Hooooouuuuuuouuuuuuuiiiiiiii ! ça fait du biiiiiieeeeeeennnnnnnnn ! tu es au fond ?

— Presque, je touche ton utérus, maintenant je vais étirer ta gaine vaginale, ensuite je ne bougerais plus afin que tu thabitue a ma présence

— Ça me fait des trucs dés que te déplace dans mon con

— Fais des exercices, serre tes muscles sur ma bite, bouge ton bassin afin de découvrir tes zones sensibles

— Aaaahh ouuuuaaaais, là comme ça, cest booooooonnnnnnnnn ! va-y papa défonce moi

La porte souvre, isabelle passe sa tête dans lentrebâillement

— Jai entendu crier, cest fait ? ça cest bien passé ?

— OUIIIII maman ! je suis femme ! papa me fait du bien !

— Tu va voir quand le sperme gicle cest fabuleux ! continuez mes chéris, je vous laisse

De nouveau seuls, je saisi ma jeune maitresse sous les fesses et la pilonne de toutes mes forces, elle rie, elle pleure, elle dit oui, elle dit non, sa chatte se vide sur mes bourses, soudain je la bloque sur moi ma queue tressaute en évacuant des litres de foutre, Carla hurle telle une biche blessée avant de retomber inerte sur le drap

Jattends quelle reprenne une respiration normale avant de me retirer lentement, ça suffit à la réveiller

— Cest finit ? Tu ten va déjà ?

— Tu en veux encore ?

— Beeen oui ! jaimerais essayez comme ça

La belle pouliche se met a quatre pattes dun bond félin, la tête sur ses mains, le cul en lair, me provoquant de nouveau avec son entre jambes poisseux mais combien désirable ma semence coule par paquets le long de ses cuisses, ma queue se dandine de gauche a droite devant moi, je pose mes mains sur ses hanches et pointe mon nud sur la cramouille, dune seule poussée je lui mets tout, lair et le jus expulsé provoque un gargouillis immonde, lair lui manque, elle crispe se doigts dans les draps et se cambre, je la secoue comme un prunier , nos chairs claquent lune sur lautre comme si je lui donnais un fessée carabinée, sa mère accoure de nouveau et verse une larme devant ce tableau, elle murmure.

    – Cest magnifique ..

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