Chloé venait d’avoir 18 ans lorsque nous avons commencé à sortir ensemble. C’était une jolie brunette aux cheveux longs et avec un très joli sourire. Elle avait une belle poitrine et de très jolies formes. De mon côté, j’avais déjà 24 ans et quelques aventures sans lendemain derrière moi. Mais cette fois-ci, je sentais que cétait la bonne.
Aussi, quand l’été suivant, alors que nous étions ensemble depuis déjà un an, Chloé me proposa de partir en vacances avec ses parents, je ne pus qu’accepter. J’avais déjà rencontré brièvement Nicole, la mère de Chloé, et Bruno, son beau-père, que Nicole avait épousé quelques années plus tôt. Nicole était encore jeune puisqu’elle avait eu Chloé avant sa majorité et Bruno avait dépassé la quarantaine. Nous sommes arrivés tous les quatre dans un gîte dans les Alpes. Nicole nous invita, Chloé et moi, à nous installer dans une chambre et Bruno et elle prirent la seconde.
Le soir venu, nous nous sommes installés chacun dans notre chambre. Et, alors que Chloé tentait une manuvre d’approche, nous avons entendu des gémissements venant de la chambre d’à côté. Nicole et Bruno étaient en train de faire l’amour. Au travers d’un mur trop fin, nous entendions les gémissements et les râles de plaisir du couple. Perdu dans mon écoute, je me rendis à peine compte du manège de Chloé qui me caressait le sexe. Elle descendit alors vers ma verge tendue et l’emboucha. Elle entama alors une douce et experte fellation qui me fit vite exploser. Je jouis à grands jets au fond de la gorge de ma petite amie qui avala tout sans sourciller.
Dans la chambre d’à côté, le silence était revenu et nous avons sombré dans le sommeil.
Le lendemain matin, sachant que Chloé adore les viennoiseries, je lui proposais d’aller jusqu’à la boulangerie. Elle accepta, ravie, et m’informa qu’elle prendrait sa douche en attendant mon retour. Avant le réveil de Nicole et Bruno, je me levais et m’habillais pour aller faire mes petites emplettes à la boulangerie d’à côté. En rentrant, j’entendis l’eau couler dans la salle de bain. Il me vint alors l’idée de surprendre Chloé sous la douche.
Discrètement, je montais à l’étage. Voyant la porte encore fermée de la chambre de Nicole et Bruno, j’en déduis qu’ils dormaient encore. Tel un chat, j’allais vers la salle de bain et je stoppais net en voyant la scène dans l’entrebâillement de la porte. Bruno était nu, adossé au lavabo. Devant lui, Nicole, à genoux, était en train de lui sucer le sexe. Le regard de Bruno était fixé sur Chloé sous la douche qui se caressait doucement. J’étais abasourdi par la perversité du couple et celle de Chloé.
Nicole finit par se relever et, posant ses mains sur le lavabo, tendit ses fesses vers Bruno. Je ne pus m’empêcher de détailler le corps de la mère de Chloé. De beaux seins un peu lourds, une taille fine, de longues jambes fuselées et de belles fesses galbées. Intérieurement et malgré moi, j’eus l’impression de commencer à la désirer. Bruno qui tenait son sexe fermement l’avança vers Nicole et s’enfonça en elle.
« Elle est bonne ta queue, lâcha Nicole.
— Tu as bien raison, maman, répondit Chloé.
— Vous l’aimez les filles ?
— Oh oui !, s’exclama Chloé. »
Après quelques minutes à besogner Nicole, Bruno sortit de sa femme et la fit se remettre à genoux. Pointant sa verge vers la bouche de son épouse, il juta abondamment. Nicole, la bouche grande ouverte, récupéra tout le sperme et l’avala. Toujours subjugué par la scène, je bandais déjà ferme dans mon caleçon. C’est alors que je m’aperçus que Chloé me regardait. Je ne savais pas depuis combien de temps elle m’observait mais elle ferma les yeux et jouit. Je profitais alors de l’occasion pour quitter ma position.
Je retournais dans la chambre et fus vite rejoint par Chloé.
« Tu as tout vu ?
— Oui.
— Je sais que j’aurais dû te le dire mais ils adorent faire ça devant moi.
— Et tu aimes ça toi aussi. Je t’ai vue te caresser.
— Oui Je suis désolée mais ça m’excite.
— Il n’y a pas que ça que tu aimes.
— Comment ça ?
— Je t’ai entendue aussi.
— Tu as entendu quoi ?
— Tu aimes SA queue Tu as déjà couché avec ton beau-père ?
— Oui, murmura-t-elle.
— Tu es perverse !
— C’est vrai mais tu ne peux pas nier que ma mère Je t’ai vu la regarder.
— Et alors ?
— Si tu veux la prendre, elle ne dira pas non. Elle te trouve à son goût. Elle me l’a dit. »
D’un bon, je quittais la pièce et la maison. J’ai erré tout le journée en revoyant la scène et en entendant les mots de Chloé. Elle tenta de m’appeler plusieurs fois, je n’ai pas répondu. Je ne pouvais pas rester avec elle ainsi. Mais je ne pouvais pas la quitter. J’étais très amoureux, trop amoureux pour la quitter. En fin de journée, lorsque mon téléphone sonna pour la vingtième fois, je me décidais à répondre. « Je rentre… » C’est tout ce que j’ai dit.
J’arrivais devant la maison vers 19h. Sans dire un mot, j’entrais et trouvais Chloé, Nicole et Bruno dans le salon. Chloé avait les yeux rougis de pleurs. Mais j’avais une idée en tête. Je m’approchais de Nicole, je sortais mon sexe et l’attrapais par la nuque. Sans un mot ni même un geste pour éviter l’inévitable, Nicole ouvrit la bouche et y laissa entrer mon sexe. Elle referma ses lèvres et commença à me sucer. Sa bouche douce, sa langue experte et ses mains caressantes faisaient merveille. J’étais dur comme du bois et prenait un plaisir immense à cette fellation.
Chloé s’approcha alors.
« Je suis désolée
— De quoi ?
— De tout ça
— Tu ne devrais pas. Ta mère suce très bien. C’est elle qui t’appris à faire des pipes ?
— Oui.
— Je m’en doutais En suçant Bruno ?
— Oui, répondit-elle en baissant les yeux. »
Je me retirais de la bouche de Nicole et la relevais. A ma demande, elle se dévêtit. Je l’attirais avec moi vers la table pour l’y installer. Je me positionnais entre ses cuisses et la pénétrais. J’entrais dans ce sexe déjà béant et trempé. Elle mouillait d’envie pour moi. Et cela m’excitait. Je me mis à la besogner avec vigueur. Je n’avais jamais bandé aussi fort même pour Chloé. Nicole, le regard embué de plaisir gémissait. Je malaxais ses seins lourds dont les tétons étaient déjà bien tendus. Je la baisais, oubliant la présence de Chloé et Bruno à nos côtés. Puis Nicole fut prise d’un orgasme. Elle cria son plaisir et je sentis son sexe vibrer autour de ma verge. Je ne pus alors retenir mon plaisir plus longtemps. Je me retirais et fis jaillir mon sperme sur le ventre de Nicole.
Je me retournais alors vers Chloé qui me regardait avec les yeux visiblement plein d’amour. Je m’approchais d’elle et elle attrapa mon sexe. De sa douce langue, elle lécha la goutte de sperme qui perlait encore sur mon gland. Puis elle se blottit dans mes bras.
« Je t’aime, me dit-elle.
— Je t’aime. »
Chloé me lâchant, alla vers Bruno. Elle tomba alors à genoux et commença à défaire la pantalon de son beau-père. Elle extirpa le sexe déjà à moitié bandé. Elle le prit en bouche et se mit à le sucer. Je voyais les lèvres de ma petite amie aller et venir le long de la verge de son beau-père qui se tendait. De sa langue, elle léchait le gland violacé de Bruno. J’étais affreusement jaloux mais mon regard se posa sur Nicole, nue. Cette belle jeune femme que je venais de baiser me retira toute jalousie. C’est alors que Chloé se mit à quatre pattes, releva sa jupe et baissa sa culotte comme une invitation à l’attention de Bruno. Celui-ci ne se fit pas prier et vint se mettre derrière Chloé. Il pointa sa verge à l’entrée du sexe de ma petite amie et la pénétra. Visiblement excitée, Chloé accepta sans difficulté cette pénétration. L’agrippant par les hanches, Bruno se mit à la baiser. Ma petite amie gémissait et haletait de plaisir. Au bout de quelques minutes, Chloé jouit et Bruno se retira pour jouir sur les fesses de ma petite amie.
A partir de ce moment-là, les vacances prirent une nouvelle tournure. Si Nicole passait la nuit la plupart du temps avec Bruno et Chloé avec moi, les deux femmes demandèrent à changer de partenaire. Ainsi, je pus baiser quelques fois la mère de ma petite amie. Pendant ce temps, Chloé se faisait prendre par son beau-père.
Un soir, alors que nous nous apprêtions à partir au restaurant, les deux femmes apparurent dans la pièce. Elles étaient vêtues toutes les deux d’une belle robe à bretelle. J’eus alors une idée qui plut beaucoup à Bruno.
« Mesdames, on va tirer à pile ou face. Vous choisissez ?
— Pile pour moi, me répondit Chloé.
— OK ma chérie, je prends face, lui dit sa mère.
— Mais qu’est-ce qu’il y a à gagner ? Demanda ma petite amie.
— Celle qui gagne pourra garder ses sous-vêtements, dis-je pendant que Bruno lançait la pièce.
— Désolé, dis alors Bruno en regardant Nicole. »
La mère de ma petite amie retira sa robe puis ses sous-vêtements, se retrouvant nue devant nous. Elle remit sa robe et nous sommes partis au restaurant. Dans la rue, Bruno et moi nous sommes amusés à soulever la robe de Nicole et à lui caresser les fesses. En revenant, Chloé me dit qu’elle était indisposée. Alors que je m’apprêtais à passer une nuit sage, Bruno vint me voir.
« Nicole a adoré ton idée.
— C’est gentil.
— Et elle ne veut pas te laisser ainsi. Tu veux venir ? Me demanda-t-il.
— Je ne sais pas trop, lui répondis-je en me retournant vers Chloé.
— Deux bites pour ma maman ? Je serais ravie pour elle, dit-elle. »
Je quittais donc la chambre et Chloé avec Bruno pour rejoindre Nicole qui nous attendait nue, assise sur le lit. Elle nous fit signe d’approcher. Lorsque nous sommes arrivés auprès d’elle, elle dégrafa nos pantalons et fit jailli nos verges. Elle commença à nous sucer l’un après l’autre. Quand sa bouche s’occupait d’un sexe, elle masturbait le second. Sa bouche douce et chaude faisait des merveilles. Bruno et moi bandions très dur. Nicole réclama alors qu’on la prenne.
Bruno fut le premier à profiter du sexe de son épouse. Il se coucha sur le lit et Nicole vint le chevaucher. Après avoir profité de ce spectacle quelques secondes, j’approchais de nouveau mon sexe de la bouche de la mère de ma petite amie. Elle se remit à me sucer avec avidité pendant qu’elle montait et descendait sur la verge de son mari. Ses gémissements de plaisir étaient étouffés par mon sexe qui remplissait sa bouche.
Puis elle se mit à quatre pattes sur le lit et m’invita à venir la pénétrer. Je me positionnais derrière elle. Après avoir caressé ses belles fesses fermes, j’attrapais mon sexe couvert de la salive de Nicole et le pointais vers son sexe trempé. Je la pénétrais pendant que Bruno prenait un peu de repos en nous regardant. Je baisais la mère de ma petite amie avec vigueur. Je ne lésinais pas sur les coups de reins. Nicole gémissait de plus en plus fort. Au bout de quelques minutes, Bruno vint se mettre à mes côtés et réclama son épouse. Je lui cédais alors la place. Ainsi, nous nous sommes échanger Nicole qui jouit plusieurs fois.
Elle finit par me demander de m’allonger sur le lit. Elle m’enjamba et fit pénétrer ma verge dans son sexe trempé. Elle se semblait pas encore repue. Elle se mit à coulisser sur mon sexe tendu couvrant de sa mouille mon pubis déjà humide. C’est alors que Bruno vint nous rejoindre sur le lit. Il caressa les fesses de Nicole puis je sentis au travers de la fine paroi qui sépare le sexe de l’anus qu’il insérait des doigts entre les fesses de son épouse. Il les retira peu après puis pointa son sexe à l’entrée de l’anus. Je sentis la verge de Bruno progresser dans Nicole. Je restais immobile. Lorsqu’il fut au fond, Nicole se remit à bouger. Les deux verges allaient et venaient en elle. Ses gémissements étaient de plus en plus fort, elle semblait presque animale ainsi prise par les deux trous. Elle jouit une fois de plus puis demanda grâce. Bruno vint alors se déverser dans la bouche de son épouse et j’éjaculais sur ses seins. Je quittais alors la pièce et retournais auprès de Chloé qui semblait dormir.
Le lendemain matin, au petit déjeuner, Chloé aborda le sujet dès l’arrivée de sa mère.
« Bonjour maman. Alors bien baisée hier soir ?
— Oh oui ! s’exclama Nicole. Nos hommes sont d’excellents amants.
— Tu as bien joui alors ?
— Oui surtout quand ils m’ont prises tous les deux en même temps.
— J’adorerais ça moi aussi, dit-elle en nous regardant Bruno et moi. Mais, je suis encore vierge de derrière.
— Je suis sûre que tu voudrais bien résoudre ce petit problème, me dit Nicole Et je pourrais vous guider.
— Mon chéri. Je veux te faire ce cadeau. Et tu seras le seul à passer par là. Tu veux ? »
Je mimais un oui’ de la tête qui trahit mon envie.
« Super ! Je vais me faire enculer ! » s’exclama Chloé, visiblement aussi impatiente que moi.
Après avoir passé deux nuits supplémentaires auprès de Nicole et Bruno, Chloé était de nouveau disponible. Elle demanda alors à sa mère de bien vouloir nous apprendre la sodomie. Nicole commença par nous demander de nous mettre à l’aise. Chloé, qui comprenait le langage de sa mère, se jeta sur moi et entama une délicieuse fellation. Bandant déjà bien dur, je me décidais à lui rendre sa caresse en me délectant du sexe juteux de ma petite amie. Puis, une fois que nous avons été bien chauffés, Nicole reprit les choses en main.
Elle dit à sa fille de se mettre à quatre pattes sur le lit puis d’écarter ses fesses. « Caresse son petit trou » me dit-elle. Je posais un doigt sur l’anus de ma petite amie et me mit à faire des petits cercles en appuyant légèrement. Le petit trou de Chloé se mit à frémir légèrement me montrant que ma technique était sûrement la bonne. Nicole me tendit alors un lubrifiant qu’elle me fit passer sur l’anus de sa fille. « Enfonce un doigt, un seul et doucement. » Docile et avide d’apprendre, je m’exécutais. Petit à petit mon doigt entra entre les fesses de Chloé qui semblait toujours autant apprécier. « Dès que tu la sens prête, mets-en un second. » Ainsi, de doigt en doigt, j’ouvrais l’anus de ma petite amie. Elle était maintenant bien ouverte. « C’est le moment. »
Je m’aperçus alors que mon érection ne m’avait pas quitté. Nicole passa un peu de lubrifiant sur mon gland et en remit sur le petit trou de sa fille. Je pointais alors mon sexe sur cette rosette légèrement ouverte. Je poussais un peu et l’anus de Chloé s’ouvrit de plus en plus pour faire place à mon gland. Lorsque celui-ci finit d’entrer, Chloé poussa un petit cri.
« Ça fait mal, maman !
— Je sais. C’est normal la première fois. Mais le plus dur est fait et le reste ne sera que plaisir. Je te le promets Entre doucement, me dit-elle. »
Je m’enfonçais donc lentement. Je voyais avec bonheur mon sexe progresser entre les fesses de ma petite amie. Arrivé au fond de son anus, je marquais une pause comme pour lui permettre de souffler. « Prête ? » Demanda sa mère à Chloé. Ma petite amie répondit d’un oui’ de la tête. Avec douceur, je me mis alors à aller et venir entre les fesses de Chloé. Le lubrifiant me permettait de coulisser aisément. Chloé qui, au début, poussait de petits cris de douleur commençait petit à petit à gémir de plaisir. Avec l’arrivée de ces gémissements, je me mis à la besogner un peu plus vite et plus fort. Mes couilles se mirent à taper sur son sexe trempé produisant un bruit indécent. Puis très vite, il fut difficile pour Chloé de contenir son plaisir. Elle hurla sa jouissance et son petit trou se mit à vibrer au rythme de son orgasme. Ne me retenant plus, je me vidais dans le rectum de Chloé.
Nous nous sommes ensuite écroulés sur le lit. Chloé chercha du regard sa mère qui avait déjà quitté la pièce. Elle se blottit contre moi et frottant ses fesses sur mon sexe ramolli me proposa de remettre ça dès que je me sentais d’attaque. J’ai pris son anus trois fois cette nuit là et une dernière fois au réveil. Elle n’hésita d’ailleurs pas à le lire à sa mère et Bruno. Elle montra aussi son anus rougi par les pénétrations.
« Je vois que ça t’a plu, s’amusa Bruno.
— Oui ! Oui ! Oui ! Mais ça reste notre truc à nous, ajouta-t-elle en me fixant d’un regard plein d’amour. »
Le vacances touchèrent à leur fin. J’avais découvert une nouvelle facette de ma petite amie.
Par la suite, je l’ai partagée avec Bruno. Et aujourd’hui encore, Nicole et lui font partie de notre intimité. Ils sont tellement présents qu’ils ont eu une part active lors de notre nuit de noces.