C’était un mardi après-midi, je rentrais des cours.
Je venais de rater lamentablement un test prévu deux semaines à l’avance, j’avais de toute évidence besoin de me changer les idées.
J’entrai chez moi par la porte de derrière et me dirigeai tout droit vers le salon. J’avais à l’esprit qu’étant seul à la maison, une bonne glace par ce temps de chaleur et un bon film à la télé serait suffisant. Mais j’entendais que la télé était allumée. C’était ma sur. Elle s’était faite deux couettes et son t-shirt blanc qu’elle avait mis pour faire de la gym devant une cassette d’aérobic laissait apparaitre son nombril, tellement il était court. Elle portait aussi un shorty noir et une paire de basket. Qu’est-ce qu’elle était bonne, dans ce petit short !
Je partis chercher une glace à la cuisine et revint me poser dans le salon. Je la matais pendant qu’elle faisait son sport. A la vue de ce joli petit cul se dandinait, je commençai à bander. Ma sur le remarqua et me demanda :
— Alors comment tu trouves mon nouveau shorty ?
— Trop sexy ! Répondis-je tout en léchant ma glace.
— Tu sais quoi ? J’ai envie que tu me lèches comme tu lèches cette glace
— Mais et ton sport ?
— Je perdrai autant de calorie en baisant. Argumenta-t-elle tout en me faisant un clin d’il.
Elle se coucha sur le divan, je m’approchais doucement le sourire aux lèvres, tout en déposant ma glace sur la table. Je n’en avais que faire qu’elle fonde. Il ne fallait pas que ma sur fonde J’abaissai son short lentement et je vis ce magnifique vagin. Je ne comptais plus le nombre de fois où j’avais joui dedans maintenant. Je léchai donc ma sur, le long de ses lèvres pour commencer, puis son clitoris en insistant. Ma main gauche massait inconsciemment le contour de son sexe, pendant que la droite s’occupait du clitoris, lors que je lui bouffai le minou. Les gémissements de ma sur ne tardèrent pas. Elle commençait même à se mordre les lèvres et à me tenir les cheveux avec sa main.
— Hum c’est bon là. Dit-elle.
Je ne répondais pas, j’avais la bouche pleine ! J’enfournai ensuite mon index et mon majeur à l’intérieur de son vagin, en prenant soin de stimuler son point G au passage. De mon autre main, je commençai à peloter ses seins. Au fil que mes mouvements accélèrent, sa respiration accélère. Je sens qu’elle ne va pas tarder à jouir.
— Ca y est, ça vient ! Elle criait de plus en plus fort. Oh oui, Quentin !
L’orgasme arriva et des spasmes suivirent. Je sentais une pression contre mes doigts. Je les retirai et lors de leur sortie, un liquide jaillit du sexe de ma sur. Elle éjaculait ! Ma sur était une femme fontaine !
— Oh mon dieu, cria Nina.
Tout son corps tremblait, je la retenais et sur un coup de folie elle m’embrassa. Nos langues se mélangèrent. C’était la première fois que l’on s’embrassait non pas comme deux partenaires sexuels, mais comme deux amants. Ce qui est très différent. Cela me faisait bizarre, mais m’excitait en même temps. Ma sur mit ses mains autour de mon cou et me regarda droit dans les yeux :
— Je te veux en moi.
Ce regard déterminé, cette langue qui se lèche les babines, cela me faisait bander incroyablement. Je sortis enfin mon engin. Mais je ne l’entrai pas tout de suite dans le vagin de Nina, je le laissai à son entrée. Puis je la regarda d’un air joueur :
— Tu le veux hein ? Elle me dit : "
— Allez ! S’il te plait ! Je ne tiens plus…
Elle commença à faire des va et vient avec ses jambes en proie à une trop grande excitation. Enfin pour la surprendre, j’entrais mon sexe d’un coup jusqu’au plus profond d’elle. Elle lâcha un gros soupir libérateur, et jeta sa tête en arrière tout en mordant ses lèvres. Quant à moi, j’avais sentit ses parois rugueux me frotter tout le long du pénis. C’était exquis. Et je commençai donc à ramoner ma sur. Je butais à chaque coup contre l’entrée de son utérus, mais la sensation était trop bonne autant pour elle que pour moi. Elle me caressa les couilles pendant que je la limais en missionnaire. Quelques minutes plus tard, nous changeâmes de position. Je la pris en levrette. Ses petites lèvres serrées contre ma bite, je ne vous dis pas comme c’était bon ! Je devais me retenir pour ne pas tout lâcher. Le haut de mon gland qui frottait contre sa paroi vaginale. Sa main qui passait entre ses jambes pour me caresser les couilles. Un délice ! Je pense que je n’avais jamais baisé comme ça Nina. Elle, elle jouit encore une fois. Je retirai quelques secondes mon sexe, pour laisser sortir son liquide éjaculatoire. Tout en continuant mes vas-et-viens je lui dis :
— Tu m’avais caché que tu étais une femme fontaine !
— Tout bonnement parce que je ne savais pas moi-même.
Oui, décidemment c’était notre meilleure baise. Il était temps pour moi d’éjaculer, je n’en pouvais plus.
— Nina je vais jouir.
Elle continua ses gémissements quelques instants puis me dit :
— Ok, frérot, éjacule en moi, je veux te sentir.
Sur ces mots, j’expulse tout mon sperme du mieux que je peux au plus profond de son ventre. J’éjacule par plusieurs saccades et il y en a tellement que j’ai l’impression de tremper mon pénis dedans. Je ressors ma bite encore dure, couverte de sperme. Ma sur est exténuée et remplie. Ma semence coule le long de sa jambe.
— C’était vraiment bon ! Me dit-elle.
— Oui On a fait du sport là.
Elle rigole. Moi, je prends un mouchoir dans le tiroir du meuble dans le salon pour me nettoyer. Mais ma sur m’interrompt :
— Qu’est-ce que tu fais ?
— Ben je vais me frotter la bite, y’a du sperme partout !
— Non, ce serait du gâchis.
Nina se rapproche de moi et commence à me sucer afin d’enlever tout le sperme qu’il y a dessus. Sa langue joue sur mon engin, elle avale tout. Je n’ai pas cessé de bander, au contraire, je me sens de nouveau prêt à éjaculer. Ma sur l’a vite compris avec ma respiration haletante et me branle d’une façon dont elle a le secret. Je sens la sauce qui remonte ! Lorsque je jouis, mon sperme jaillit et éclabousse le visage de Nina. Il y en a moins qu’avant, mais cela reste tout de même conséquent.
C’est à ce moment là que ma mère arrive, un paquet de course entre les bras, elle le dépose sur la table et regarde la scène avec de grands yeux.
— Qu’est-ce que c’est que ça ?
Je jette un il autour de moi : La mouille de Nina est sur tout le canapé, des gouttes de spermes se retrouvent partout dans le salon, ma sur est nue sur le sol, moi mon gland est rouge. Et il doit y avoir très certainement une odeur de transpiration dans la pièce.
— Euh essaye de s’expliquer ma sur, on s’ennuyait alors
— Qu’est-ce que c’est que ça ? répéta ma mère tout en pointant du doigt quelque chose.
Je suivis son regard et découvrit qu’en fait elle parlait de la glace qui avait fondue sur la table.
— Oh ça, dis-je, c’est rien, je vais nettoyer !
— Y’a plutôt intérêt. Et aller vous lavez, vous allez m’aider à préparer le repas
Puis elle tourna les talons et partit vers la cuisine.
Je vous jure quelle famille !