— Laisse-moi tattacher.
— Mais pourquoi faire ?
— Ça mexcite, me murmura-t-il en me regardant dans les yeux.
Nous étions sur son lit, lui contre moi. Mes bras relevés au-dessus de ma tête quils tenaient fermement. Je ne portais plus quun boxer couleur chair, il mavait complètement déshabillé. Quant à lui, je réussis uniquement à lui défaire les boulots de sa chemise noire, il avait gardé son jean de la même couleur. Cétait le lendemain de lépisode au restau où il mavait prise dans les toilettes
— Je ne comprends pas, pourquoi est-ce que ça texcite ? Tu ne préfères pas que je te touche ? Jai envie de te toucher moi.
— Sil te plaît Lola.
Il appuya son front contre le mien et ferma ses yeux, haletant. Je joignais ma bouche à la sienne, avide. Je voulais quil me prenne, maintenant. Je collais mon bassin contre le sien mais il me forçait à rester en place. Je devais céder à son envie dabord.
— Très bien, attache moi, lui dis-je, à mi-voix.
Il sempressa de mattacher les poignets avec un long foulard quil entortilla aux barreaux de la tête de lit, concentré. Je le regardais faire et cela me fit un drôle deffet, cétait tellementsexy.
— Quest-ce que tu veux mattacher dautre ? le questionnais-je, pour le taquiner.
— Ça suffira pour cette première fois.
Il ne faisait même pas attention à moi, trop occupé à mentraver les poignets.
— Maintenant, baise-moi !
— Cest quoi ce langage petite insolente ? Attends moi, jai envie dessayer quelque chose.
Comme si je pouvais men aller.
Il revint quelques minutes plus tard, des glaçons plein la main. Je le regardais, les yeux grands ouverts.
— Quest-ce que tu veux faire avec ça ? Remets ça où tu las trouvé !
— Ça va te plaire, ten fais pas.
Un grand sourire aux lèvres, il les déposa sur la table de chevet et se pencha sur moi. Ses lèvres retrouvèrent les miennes quil abandonna rapidement pour descendre vers mon cou quil lécha, embrassa pendant que ses mains titillaient la pointe de mes seins en les tirant et en les roulant entre ses doigts. Je sentis ma culotte shumidifiait instantanément. Sa bouche rejoignit ses mains. Il caressa de sa langue mes tétons déjà hypersensibles, passant de lun à lautre. Le bout de sa langue tournoyait sur mes seins, sans relâche.
— Sil te plait
Il releva la tête, un sourire aux lèvres.
— Sil te plait quoi ?
— Lèche-moi…Plus bas.
— Ou ça, plus bas ?
— Mon…ma chatte.
Ma voix était presque inaudible. Javais honte de parler aussi vulgairement et il le savait.
— Tu veux que je moccupe de ta petite chatte ? Cest ce que tu demandes ?
Un sourire malicieux se dessina sur son visage. Il glissa ses mains de mes seins à mon ventre, doucement. Il écarta mes jambes et vint se poster entre celles-ci. Ses doigts se baladaient à la lisière de ma culotte. Il descendit son index par-dessus où une tâche humide sétait déjà dessinée. Il me massait mon clitoris de son doigt en me regardant pour voir leffet que cela me faisait. Ses mouvements étaient lents, circulaires mais il me frôlait à peine. Jessayais dapprocher ma chatte contre son doigt pour lappuyer dessus mais je ny arrivais pas, il faisait en sorte de garder le control. Après y avoir jeté un bref coup dil, il releva la tête et me lança un sourire en coin :
— Mais cest que tu as mouillé ta culotte Lola.
Il se pencha entre mes jambes écartées, et me retira ma culotte collante. Il remonta jusquà moi pour prendre un glaçon. Je sentis sa queue contre ma chatte. Seul le tissu nous séparait. Je gémis encore en ondulant du bassin, tout contre lui pour apaiser la chaleur qui me dévorait de lintérieur.
Il ne se redressa pas et se pressa contre moi en frottant sa bite à travers son jean entre mes jambes. Il déposa le glaçon entre mes seins sans sarrêter. Le contact glacé me fit comme un choc contre ma peau brulante. Il le glissa sur la pointe de mes seins. La chaleur couplée à leau froide, ma chatte trempée, mes seins gonflés dexcitationcétait une sensation complétement folle. Le glaçon séchappa jusquà mon nombril où il se dissout, provoquant une petite flaque deau quil sempressa de léchait en se relevant. Sa langue redessina le trajet du glaçon, il me lécha les seins, jusquà mon nombril. Cen était tellement bon. Mon entre cuisse, gluante, ne voulait quune chose, cétait accueillir sa grosse bite et de laspirait autant quelle le pouvait. Mon corps, cambré, tendu, nattendait que ça.
— Je te veux en moi, je ten supplie Daniel !
— Ce nest pas ce que tu voulais tout à lheure, si ? HumJaime te voir complétement épilée.
Son sourire ironique se perdit entre mes jambes. Ses mains sur mes cuisses quil écarta au maximum. Je sentis son souffle chaud sur mon sexe en feu. Je voulais sa langue juste là, je voulais quil me dévore jusquà ce que je perde la tête Le premier coup de langue me fit leffet dune décharge qui me fit directement jouir, je criais sous ses coups de langue qui ne faisait que durait mon orgasme.
— Continue, continue, CONTINUUUE !
Je me cambrais dans un dernier effort, perdue, avant de me laisser retomber sur le lit, épuisée par cette première jouissance salvatrice.
Sa langue alternait avec ses lèvres qui aspiraient mon clito, il ne me laissait aucun répit. Sa langue humide me fouillait partout. Les yeux dilataient par le plaisir, il se redressa précipitamment, baissa son pantalon, son boxer. Je sentis son gland aller et venir le long de mes lèvres. Son regard était rivé sur ma chatte, sur ce quil me faisait. Je voulais quil me pénètre, quil me la mette, maintenant. Frustrée, je nen pouvais plus dattendre. Il glissa facilement dans ma chatte jusquà buter au fond. Ses genoux contre mes fesses, ses cuisses contre les miennes. Il mattrapa les jambes en allant et venant en moi. Nos yeux étaient rivés à sa colonne de chair qui disparaissait et réapparaissait de ma chatte inondée. Je sentais sa bite me remplir complétement, il me possédait. Cétait meilleur que tout ce que javais déjà connu, avec lui.
— Vas-y, plus vite, plus vite sil te plait.
— Jaime quand tu me supplies.
Ses mains sur mes hanches, il accéléra le mouvement. Je le sentais entrer et sortir complétement de moi. Il butait au fond de ma chatte, sa bite luisante de ma mouille gonflait en moi. Je gémissais à chaque fois quil me percutait. Mes gémissements se transformèrent en cri que je ne pouvais réprimer. Je me laissais aller à ce plaisir intense qui allait bientôt atteindre le summum. Jencerclais sa taille de mes jambes, son torse écrasait contre mes seins.
— Ta chatte est tellement serrée Lola, je ne pourrais plus men passer.
Sa voix saccadée traduisait de son excitation. Le lit cognait contre le mur, sa bite entrait et sortait brutalement de ma chatte malmenée.
— Rien ne ten empêche Daaaniel ! Putain, cest tellement bon, je ten supplie ne tarrête pas !
Je me contractais dans un dernier cri, mes mains enserraient son dos, je hurlais mon plaisir au moment même où il se déversa en moi, son sperme me remplissait encore et encore. Il me détacha, nos corps en sueur semmêlèrent, sa queue toujours complétement enfoncée en moi.
Après quelques minutes à reprendre notre souffle, jen voulais encore. Je ne pouvais plus me rassasier de lui.
— Jai encore envie de te baiser, quen dis-tu ? Lui dis-je, alanguie.
Je me redressais sur lui, sans retirer son sexe qui était à lintérieur de moi, mes mains appuyées sur son torse que je caressais en le regardant. Il reprit de lampleur, je le sentis durcir, humm.Je rejetais la tête en arrière en bougeant lentement contre son bassin. Je montais et descendais contre lui, son sperme coulait sur ses couilles. Je me penchais sur lui, suçant sa langue qui tentait de sintroduire entre mes lèvres. Mon vagin se contractait autour de son pénis qui vibrait en moi.
— Ralentis ralentis bébé ou je risque de tarroser maintenant.
— Marroser, hein ?
Je partis dans un petit rire avant daugmenter la vitesse, je le sentais bien vivant au fond de moi, cétait exceptionnel. Mes fesses claquaient sur ses cuisses, ses mains sur mes hanches, il essayait de me ralentir, sans succès. Jétais partie, ça montait en moi. Nos gémissements mexcitaient terriblement. Cest à cet instant quil me fit tomber sur le lit, contre le ventre. Surprise, je poussais un cri, jessayais de lui échapper mais rien à faire, il me maintenait fermement.
— Cest moi qui vais te baiser, tu vas bien la sentir ma petite salope !
— Lâche moi espèce de salaud, taurais dû me laisser faire, jai failli jouir !
Il ricana, mentrava à nouveau les poignets.
— Jai un petit truc en plus, pour te faire taire, bébé.
Il attrapa une espèce de bâillon dans un tiroir et sapprocha de moi. Il me défiait du regard, je ne protestais pas, ça mexcitait. Il me retourna à nouveau sur le ventre et passa ses mains sous mes hanches pour relever mon cul quil écarta de ses deux mains. Il me prit brutalement sans que je puisse protester, je le sentais entièrement en moi. Jétais complètement à sa merci. Et jadorais cette sensation.
— Tu as été une méchante fille, tu ten rends compte nest-ce pas ?
Il me caressa mon cul avant dy abattre sa main, il recommença. Une fois, deux fois, trois fois. Sa bite continuait inlassablement sa tâche. Mon cul me chauffait, je le sentais rougir sous ses mains mais cela combinait à sa grosse bite qui me martelait me faisait un bien fou. La douleur et le plaisir mallumaient de lintérieur. La bouche bâillonnée, je jouissais sous lui. Le plaisir était tellement intense que je ne distinguais plus la réalité, jétais complétement partie, perdu dans lextase.
Je découvrais, en même temps que je prenais mon pied, que jadorais cette situation où jétais complétement soumise à son bon vouloir.
Je jouis ce jour-là si fort que les voisins mauraient entendu si je nétais pas empêchée.