Tu m’as excité, ma salope! Dit Michaël quand son père eut refermé la porte. Laisse-la moi, P’pa! Il faut que je me la fasse maintenant.
Pierre le laissa attraper Maryline par le bras et l’emmener dans le salon. Il allongea la jeune fille sans ménagement dans le canapé, sur le dos. Puis il dégrafa son pantalon, et le baissa en même temps que son boxer. Son sexe surgit, raide comme un piquet. La lycéenne ne se faisait aucune illusion sur ce qui allait se passer, mais elle n’osait pas bouger. Elle avait plus ou moins déjà pensé à ce moment, et faire l’amour avec Michaël ne lui déplaisait pas. Mais les circonstances étaient particulières, et pour le garçon était-ce un acte d’amour ou seulement du sexe? Elle n’eut pas le temps de penser davantage à tout ça. Le grand gaillard lui souleva une jambe et la cala au creux de son coude, puis il abattit tout le poids de son corps sur elle. La petite black, comprimée, laissa échapper un râle d’étouffement et se sentit écartelée alors que son genou était ramené à hauteur de son épaule. Son râle n’eut même pas le temps de se terminer qu’il se transforma en cri de douleur et de plaisir mêlés. Le pénis du jeune homme venait de s’enfoncer avec force dans son vagin. Elle sentit son ventre soudainement rempli de la virilité de son partenaire. Celui-ci, tout excité, ne resta pas inactif. Il bougea immédiatement, se retirant presqu’entièrement pour s’enfoncer de nouveau jusqu’à la garde. Maryline cria encore une fois, cette fois-ci plus de plaisir que de douleur. Le garçon recommença ses mouvements, une fois encore, puis encore. Il bougeait de plus en plus vite. A chacun de ses coups de boutoirs, tout le corps de la petite black était bousculé sur le canapé. Elle était toute petite par rapport à lui. Son visage était collé à la poitrine du jeune homme, et elle sentait l’odeur de sa transpiration dans sa fine toison. Elle gémissait maintenant au rythme des mouvements de son partenaire et de sa respiration, qui s’harmonisaient. Michaël se mordait les lèvres. Il mettait toute son énergie lorsqu’il projetait ses hanches en avant, comme s’il voulait transpercer la jeune fille. Il voulait prendre son pied car l’image de cette fille qui se masturbait sur le pas de sa porte l’avait excité au plus haut point, mais il voulait aussi que cette séance de baise soit exceptionnelle pour elle et qu’elle lui fasse oublier ce qu’elle avait pu connaître auparavant. Lorsqu’il sentit qu’il ne tiendrait plus très longtemps et qu’il allait éjaculer s’il continuait, il arrêta ses mouvements. C’est à ce moment qu’il remarqua que son père avait pris l’appareil photo. Celui-ci fit un mouvement circulaire du doigt sur le côté de l’appareil, et Michaël comprit que ce n’était pas des photos qu’il prenait, mais qu’il était en train de filmer. Maryline le vit aussi et fut sur le point de dire quelque chose, mais elle fut soudain soulevée du canapé comme une plume. Le garçon la portait contre lui, debout, son pénis toujours fiché en elle, et il la laissa peser de tout son poids afin qu’il aille au plus profond d’elle. La petite black s’accrocha à lui et gémit la bouche grande ouverte comme si elle allait manquer d’air. Michaël voulut la soulever de nouveau un petit peu, mais il manquait d’équilibre. Il alla alors plaquer la lycéenne contre un mur. Il la tint par les fesses et là il put la pilonner de nouveau de toute sa force, soulevant tout son corps à chaque coup de boutoir. Son père ne manquait rien de la scène, filmant leurs ébats en petites séquences de quelques secondes. La petite black criait à chaque coup de bite qu’elle recevait. Elle jouissait et chaque pénétration prolongeait son orgasme. L’envie d’éjaculation du jeune homme revint rapidement, mais il ne voulait pas jouir dans le vagin de Maryline. Il la souleva alors un grand coup et se retira d’elle. Puis, les jambes fléchies, il la tint quasiment assise sur ses propres cuisses. Et là, son pénis dressé devant elle, il éjacula. La première giclée de sperme atteignit le menton et la poitrine de la jeune fille, et la deuxième son ventre. La troisième n’avait plus assez de puissance et coula le long de la verge. Le garçon laissa alors la petite black glisser jusqu’à terre, et elle se retrouva assise sur les fesses. Elle était pantelante. Elle se retrouva soudain avec le gland humide de Michaël contre ses lèvres, et levant les yeux elle rencontra le regard pénétrant du jeune homme. Elle devinait ce qu’il voulait et ouvrit la bouche, obéissante. Le gland s’enfonça entre ses lèvres et elle sentit le goût salé du sperme mélangé à sa propre mouille. Elle n’avait pas une grande expérience de la fellation, n’en ayant fait que deux ou trois fois à son ex-petit copain. Elle ne sut donc pas vraiment quoi faire, et suçota le gland comme un bâton de glace.
Lèche bien! Nettoie-moi la bite! Lui dit Michaël pour la guider.
Epuisée par cette séance de baise acrobatique et avec un sexe dans la bouche, Maryline ne chercha pas à discuter. Elle fit tourner sa langue tout autour du gland, puis le retira de sa bouche et entreprit de lécher le sperme qui avait coulé le long de la verge. Elle ne se posa pas de questions et l’avala petit à petit. Elle descendit jusqu’aux bourses et en lécha la base, là où quelques gouttes avaient terminé leur course.
Oui, ça c’est bon, lâcha le jeune homme d’une voix plus rauque. Suce-moi les couilles, ma belle, vas-y!
La petite black obéit et goba un testicule qu’elle suça bruyamment tel un bonbon à la menthe. Puis elle prit l’autre de la même manière. Elle suça alternativement les deux bourses, et Michaël respira bruyamment, gémissant presque. Maryline leva les yeux et sourit, satisfaite de voir qu’elle donnait du plaisir à son partenaire. Celui-ci la regarda à son tour, et lui caressa les cheveux.
C’est bien, lui dit-il. Est-ce que tu as déjà sucé beaucoup de bites?
La jeune fille fut surprise par l’audace de la question, et elle répondit en hésitant:
Non… non!
Ca se voit, dit le garçon. Je t’apprendrai comment il faut s’y prendre, ce qu’on veut nous les garçons. Tu deviendras la meilleure suceuse qu’on aie jamais vue.
Pierre se fit soudain entendre en se râclant la gorge.
Hem! Désolé d’interrompre cette conversation passionnante, dit-il, mais maintenant que vous vous êtes bien amusés, moi j’aimerais bien qu’on s’occupe du repas.
Les deux jeunes gens avaient presque oublié que le père de Michaël était là. Maryline se releva, et fut envahie de honte en se rendant compte dans quel état elle était, avec des filets de sperme qui lui coulaient sur le ventre et la poitrine. Michaël, lui, alla ramasser son pantalon et l’enfila directement à même la peau.
Maryline, tu vas t’occuper de la cuisine avec moi, ordonna Pierre en posant l’appareil photo sur l’étagère d’une bibliothèque. Mais d’abord va prendre une douche, je ne voudrais pas de cet assaisonnement dans mon assiette.
Michaël rit à la blague de son père, et fit signe à la lycéenne de le suivre.
Suis-moi! Je vais te donner une serviette.
Elle put ainsi prendre une douche, et resta longuement sous le jet d’eau bien chaude. Lorsqu’elle eut terminé, elle s’enroula dans la serviette et alla trouver Michaël. Il s’était assis dans le canapé devant la télé et buvait une bière.
Je peux avoir ma robe s’il-te-plaît? Lui demanda-t-elle.
Il faillit s’étouffer en avalant une gorgée de bière.
Tu rêves! Fit-il. Ta punition n’est pas terminée. T’en as pour toute la soirée. Et puis t’es trop bandante à poil! D’ailleurs, t’as pas besoin de ça.
Il attrapa un coin de la serviette et la lui arracha d’un coup sec. La petite black se retrouva de nouveau complètement nue. Pierre, qui sortait de la cuisine où il était affairé, ajouta:
Michaël a raison. C’est bien plus agréable que tu restes nue. J’aimerais bien trouver une aussi jolie femme nue à chaque fois que je rentre chez moi.
Tiens! Mais ça me donne une idée, ça! S’exclama Michaël. On va instaurer une nouvelle règle.
Une nouvelle règle? S’interrogea tout haut son père.
Oui, P’pa! Je vais t’expliquer, j’ai mis au point certaines règles avec Maryline. C’est un peu comme un code de conduite qu’elle est obligée de suivre. La règle numéro un, c’est qu’elle doit oublier les soutien-gorges où tout sous-vêtement qui couvre ses nichons. Maintenant elle n’en met plus.
Je vois, acquiesça Pierre. Tu as raison, une poitrine qui se tient bien toute seule n’a pas besoin de ça.
La deuxième règle, c’est qu’elle ne doit porter que des jupes ou des robes. Pas de pantalon, de caleçons, de collants, ou de choses comme ça.
C’est intéressant.
Et donc, je vais ajouter une troisième règle, dit-il en fixant Maryline dans les yeux. A partir de maintenant, dès que tu viendras dans cette maison, tu devras y être nue.
La jeune fille soupira intérieurement, un peu soulagée. Elle avait craint le pire, mais cette règle n’était pas si terrible. Après tout, elle était déjà nue.
D’accord, s’empressa-t-elle de dire afin de montrer sa bonne volonté.
Super! S’exclama Pierre en souriant. On devra t’inviter très souvent alors!
Lui et Michaël éclatèrent de rire. La petite black rit aussi, mais de moins bon coeur que les deux hommes.
Allez viens, Maryline! Ordonna Pierre. On a un repas à préparer.
Elle le suivit dans la cuisine. Le père de Michaël voulait préparer un plat de pâtes avec une sauce aux petits légumes, et il se mit sérieusement au travail en donnant ses consignes à la jeune fille. Celle-ci se sentait mal à l’aise de travailler en cuisine complètement nue, mais ça ne semblait pas choquer Pierre. Au contraire, il était tout enjoué et en profita pour lui donner des petites tapes sur ses fesses rebondies. Maryline sursauta la première fois, puis elle s’y habitua. Alors qu’elle épluchait et coupait les légumes en petits morceaux, les tapes se transformèrent en caresses. Une main s’arrêtait sur ses fesses, puis une autre venait empoigner un sein. Pierre ne pouvait s’empêcher de toucher la jeune fille toutes les deux minutes. Celle-ci s’en accommoda et fit comme si de rien n’était.
Quand le repas fut prêt, Pierre lui fit dresser la table. Michaël se leva enfin de son canapé, et remercia la lycéenne en l’embrassant dans le cou et en lui pelottant les fesses. Tous trois s’assirent à table et dînèrent en regardant la télé. Michaël et son père discutèrent de choses et d’autres, principalement de football. Maryline participait de temps en temps d’une phrase ou deux, mais elle ne se sentait pas assez à l’aise pour discuter normalement. Lorsqu’ils eurent fini de manger, Pierre lui demanda de débarrasser la table et elle obtempéra. Ils firent la vaisselle à deux, et le père de Michaël eut de nouveau les mains baladeuses, mais cette fois elles étaient mouillées, et la jeune fille se retrouva avec de l’eau sur tout le derrière, ainsi que sur les seins et même sur le bas-ventre et les cuisses. En effet, Pierre n’hésitait plus à la caresser à ces endroits, en finissant toujours par glisser une main vers son entrejambe. Maryline avait eu un premier mouvement de recul, mais un regard ferme de Pierre lui avait fait comprendre qu’il ne valait mieux pas qu’elle joue les saintes nitouches. Et du coup, les caresses de ses mains humides qui allaient jusqu’à la fente de son sexe commençaient à produire leur effet, et la petite black se sentit vaguement excitée.
La vaisselle terminée, ils allèrent s’asseoir dans le canapé pour regarder la fin d’un film, la jeune fille lovée entre les deux grands gaillards. Michaël remarqua qu’elle était mouillée de partout.
Ha! Qu’est-ce qui s’est passé? Demanda-t-il en ricanant. Il y a eu une inondation?
Mmmm, pas vraiment, mais peut-être qu’elle avait chaud la petite? Répondit Pierre.
Ouais, je vois ça, fit Michaël d’un air narquois.
Il visita de ses mains les endroits humides du corps de la petite black, et lui écarta les cuisses pour accéder à son sexe. Il laissa échapper un sifflement quand il vit les grandes lèvres mouillées entrouvertes sur une intimité toute rose.
Ha ben oui! Là c’est clair, elle avait très chaud. Et je crois que ça ne va pas s’arranger, ajouta-t-il en posant la main sur la toison pubienne luisante d’humidité.
Sous le regard bienveillant de son père, ses doigts glissèrent vers la fente rosée et en parcoururent toute la longueur. Puis il s’amusa à tapoter la petite chatte. Maryline était gênée et se mordillait la lèvre inférieure. Elle n’osait pas regarder Pierre qui se délectait de voir cette jeune fille nue se faire caresser par son fils. Celui-ci s’attardait à présent sur le clitoris, massant doucement à l’endroit où il se trouvait, cherchant à le faire sortir de sa cachette. La petite black commençait à onduler imperceptiblement du bassin. Puis le jeune homme descendit de nouveau entre les petites lèvres, y glissant son majeur. C’était abondamment lubrifié, et lorsqu’il arriva à l’entrée de la cavité vaginale, son doigt y entra naturellement. Il en explora l’intérieur, en fit tout le tour, s’y enfonçant davantage, et Maryline laissa échapper un gémissement. Il sortit alors presqu’entièrement son doigt, mais ce ne fut que pour son index puisse le rejoindre. Il entra les deux doigts d’un seul coup, ce qui fit bruyamment sursauter la lycéenne. Elle s’appuya un peu plus dans le canapé, et son bassin glissa vers l’avant, à la rencontre de Michaël. Il comprit le message et enfonça ses doigts autant qu’il le put, caressant les parois du vagin. Puis il fit quelques va-et-vient rapides qui arrachèrent des gémissements aigus à la jeune fille, et un flot de cyprine lui inonda la main. Maryline releva les jambes pour appuyer les cuisses contre sa poitrine, ouvrant ainsi plus grande son intimité. Le jeune homme en profita pour insérer un troisième doigt. Ce fut un peu difficile, mais le passage s’écarta et il put reprendre ses mouvements, juste un peu moins vite. La petite black ferma les yeux, gémissant maintenant au rythme saccadé des doigts de son amant. Elle sentit à peine la main de Pierre qui attira une cuisse vers lui pour les écarter encore plus. Michaël la fouilla vigoureusement à l’intérieur, massant les parois du vagin et écartant les doigts par intermittence. Puis il se retira soudainement, et la petite black ouvrit les yeux, le regard implorant pour qu’il continue.
Retourne-toi, lui dit-il avec autorité.
Ce que fit Maryline, s’agenouillant à terre et se mettant à plat ventre de travers sur le canapé. Le jeune homme dégraffa son pantalon et sortit son sexe en érection, puis il écarta les fesses de la lycéenne et guida de la main son pénis vers l’orifice vaginal. Puis il donna un grand coup de bite qui enfonça le visage de la petite black dans le canapé. Son cri fut étouffé, et Michaël la baisa vigoureusement, sur un rythme rapide. On entendait le claquement de sa chair contre les fesses de sa partenaire, et le clapotis de la chair humide. Il la besogna ainsi pendant de longues minutes puis, haletant, il ralentit la cadence, et enfin se retira pour répandre un filet de sperme chaud sur le haut des fesses de la jeune fille. Mais celle-ci n’eut pas le temps de souffler, que déjà un pilon de chair s’introduisait de nouveau dans sa chatte et la baisait. Le rythme était plus lent mais à chaque pénétration le membre s’enfonçait profondément en elle. Il était bien dur et la remplissait et la petite black se demanda comment Michaël pouvait encore avoir autant de vigueur alors qu’il avait déjà joui. Elle sentit elle-même les spasmes de l’orgasme l’envahir alors, et elle cria son plaisir par de petits jappements aigus. Son amant continuait ses va-et-vients, plus rapidement à présent, et Maryline laissait échapper un râle continu de plaisir alors que son orgasme se prolongeait par vagues. Lorsque son partenaire se retira brusquement, elle tourna la tête et ne put retenir un cri de surprise. C’était Pierre qui était là, la queue à la main, et il envoya un jet de sperme sur son dos. Michaël était à côté de lui, l’appareil photo en main, immortalisant l’instant. La jeune fille était encore sous le coup de l’orgasme qu’elle venait d’avoir, mais elle ressentit tout de même une honte immense et des larmes lui montèrent aux yeux. Elle enfonça son visage dans le coussin du canapé pour sangloter en silence. Le père de Michaël, lui, essuyait son gland sur les fesses noires, essayant d’en extirper les dernières gouttes de sperme.
Et bien, j’en avais vraiment besoin! Dit-il avec un air de soulagement. Tu es très excitante, ma belle, et je n’aurai pas pu passer la soirée sans visiter tes charmes.
Il se rhabilla, et lui et son fils se rassirent dans le canapé. Maryline se leva. Elle avait ravalé ses sanglots mais ses yeux étaient encore humides.
Va te nettoyer les fesses, lui dit Michaël. Le film n’est pas terminé, et si tu veux voir la fin, tu ne peux pas t’asseoir dans cet état. Tu vas salir le canapé.
Lui et son père partirent d’un éclat de rire. La jeune fille sentit les sanglots revenir de plus belle, et elle partit précipitamment dans la salle de bain. Elle y resta longuement, à la fois pour reprendre une douche mais aussi pour faire le point sur ce qui lui arrivait. Elle se sentait anéantie. Que Michaël lui fasse l’amour, ce n’était pas désagréable et elle pouvait même dire qu’elle en avait eu envie; que son père assiste à leurs ébats, là ça devenait carrément glauque mais elle avait pu en faire abstraction malgré sa honte; mais que celui-ci la baise à son tour, malgré elle, sans rien lui demander, c’était quelque chose qu’elle ne pouvait pas imaginer, et pourtant ça venait de lui arriver. Que pouvait-elle faire? Michaël avait menacé de montrer ses photos intimes au lycée. Est-ce qu’il aurait mieux valu le laisser faire? Quitte à être la honte de ses camarades, celle qu’on aurait surnommé « la pute du lycée »? Elle avait voulu discuter avec Michaël, et voilà où ça l’avait menée à présent. Et maintenant, il avait bien plus que des photos d’elle à poil… quand elle y pensa, elle se prit la tête dans les mains. Des films où il la baisait contre un mur et où son père la prenait par derrière sur le canapé! Et elle avait eu des orgasmes! Elle se demandait même comment c’était possible. Avait-elle pu aimer ça? Elle était complètement désorientée.
Quand elle retourna au salon, le film était terminé, et la télé éteinte. Les deux hommes étaient affairés dans leurs chambres. Maryline approcha de leurs portes respectives, et Pierre sortit à sa rencontre. Il la prit par la main et sur le pas de la porte de l’autre chambre, il demanda à son fils qui était nu et sortait des vêtements d’un placard:
Michaël, qu’est-ce que tu fais d’elle?
Je vais la prendre dans ma chambre, répondit-il. Elle dormira là.
La jeune fille eut un hoquet de surprise.
Je… Je ne peux pas rentrer chez moi?
Ha non, tu restes là pour la nuit! Dit Michaël sur un ton qui n’amenait aucune discussion.
Très bien, fit Pierre. Je vous laisse tous les deux alors. Bonne nuit!
Il fit entrer la petite black dans la chambre de son fils et ferma la porte derrière elle. Maryline se sentait encore plus perdue. Elle avait espéré pouvoir se rhabiller et retourner chez son cousin. Elle ne l’avait même pas prévenu. Si elle était rentrée dans la soirée, il n’aurait rien dit. Elle était déjà sortie pour parfois rentrer un peu tard. Mais jamais elle n’avait découché. Elle ne savait pas comment il réagirait. Ce n’était pas son père, mais elle vivait sous son toit et il était un peu responsable d’elle.
Michaël avait étalé des vêtements sur le dossier d’une chaise, et interrogea du regard la lycéenne.
Tu es prête à dormir dans mon lit cette nuit? Mais je te préviens, il y a une condition.
Maryline se frottait les pieds l’un contre l’autre, mal à l’aise.
Une condition? Laquelle?
Je vais te baiser encore une fois, mais cette fois… dis-moi, est-ce qu’on t’a déjà sodomisée?
Que… Qu’est-ce que tu veux dire? Demanda la petite black avec un air effrayé. Tu ne comptes quand même pas…?
Je t’ai posé une question, réponds-moi avant toute chose.
Non, on ne m’a jamais… fait ça.
Et ben ce sera une première alors! Fit Michaël avec un grand sourire.
Il s’assit sur le lit et tapota du plat de la main à côté de lui.
Viens à côté de moi, ma puce!
Non, non! Non, je ne peux pas! S’exclama Maryline en secouant la tête. Vraiment, c’est déjà beaucoup pour ce soir, mais ce que tu me dis, là… la sodomie, non vraiment, je ne peux pas!
Elle était de nouveau au bord des larmes. Elle ne s’était pas attendue à ce que lui demandait Michaël, et c’était la goutte qui faisait déborder le vase. Elle avait déjà eu de nombreuses émotions dans la journée, et elle n’était pas prête à accepter ça en plus.
Le jeune homme avait un air grave, et la jeune fille se demanda ce qui se passait dans sa tête. Allait-il la forcer? Il pouvait l’y obliger.
Bon, je vois, dit-il. C’est vrai qu’aujourd’hui je t’ai fait accepter beaucoup de choses. Il ne faut peut-être pas aller trop vite. Mais tôt ou tard, je me ferai ton cul, il est trop attirant.
Maryline soupira de soulagement, même si la dernière phrase n’était pas encourageante.
En attendant, ajouta-t-il, c’est quand même un refus d’obéir. Et ça, c’est obligatoirement une punition. Tu l’as bien compris, maintenant! Donc, puisque tu me refuses ce que je veux, tu n’auras pas le droit de dormir dans mon lit.
Où je vais dormir alors? Demanda la lycéenne en haussant les épaules.
Il désigna le sol du doigt.
Par terre, là… juste à côté du lit.
Maryline se demanda s’il blaguait ou s’il était sérieux.
Heu, mais… il y a le canapé, ce serait pas mal aussi! Proposa-t-elle.
Ho, tu essaies encore de discuter mes ordres? Fit le jeune homme d’un air faussement outré. Bien! Je sais comment on va arranger ça.
Il se leva et Maryline eut un pas de recul, mais il ne vint pas vers elle. Il chercha en bas de son placard, puis en sortit une paire de rangers. Il en défit méthodiquement les lacets. Puis il vint vers la petite black et lui attrapa le poignet.
Viens te mettre là!
Il la força à s’asseoir à terre, juste au pied du lit. Puis il lui attrapa les deux mains et commença à enlacer ses poignets avec les lacets de chaussures. La jeune fille bougea, essaya de l’en empêcher.
Hé! Mais qu’est-ce que tu fais? Demanda-t-elle avec une pointe d’angoisse dans la voix.
Ne bouge pas! Ou je serrerai encore plus fort, dit le jeune homme en serrant les dents.
Il maîtrisa sans difficulté la petite black, qui renonça rapidement à lutter. Elle se retrouva avec les deux poignets saucissonnés l’un contre l’autre. Puis Michaël attacha les bouts de lacets qu’il avait laissés libre au pied du lit. Il les doubla et les serra suffisamment pour que Maryline n’ait pas de marge de manuvre. Elle était coincée.
Voilà! Fit le grand gaillard d’un air satisfait. Comme ça il n’y a aucune chance que tu ailles te réfugier dans le canapé pendant la nuit.
Au mieux la jeune fille pouvait s’asseoir, mais elle ne pouvait sûrement pas se lever. Pour dormir, elle devrait trouver une position qui ne soit pas trop inconfortable. Heureusement il y avait de la moquette sur le sol, mais elle songea qu’elle aurait peut-être un peu froid malgré tout. Des larmes perlèrent aux coins de ses yeux. Michaël eut tout de même l’attention de lui déposer un doux baiser sur les lèvres, mais cela la réconforta à peine. Puis il alla se coucher dans le grand lit chaud et éteignit la lumière.
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Vendredi 11 septembre
Maryline avait eu énormément de mal à s’endormir. Elle n’avait pas réussi à trouver une position qui ne lui cause pas de douleur ou d’engourdissement, et la nuit avançant elle avait de plus en plus froid. Elle avait fermé les yeux par intermittence, et n’avait sombré dans un sommeil profond qu’au petit matin. Elle eut l’impression d’avoir à peine fermé les yeux quand elle fut réveillée par des tiraillements dans les poignets. Michaël était en train de la détacher. Il était habillé, et une timide lumière du jour éclairait la chambre.
Allez, lève-toi ma belle! Tu as assez dormi. Il y a de quoi te faire un petit déj’ sur la table du salon: des céréales, du pain de mie, de la confiture, Nutella et autres… Tu as aussi de l’eau et du lait chaud, avec du chocolat, café ou thé; comme tu veux. Mais dépêche-toi, sinon on va être en retard. Je t’ai laissé dormir trop longtemps, et on a encore quelque chose à faire avant d’aller au lycée.
Il aida la petite black à se lever. Elle avait encore les yeux pleins de sommeil et les membres courbaturés, et ne tenait pas assurément sur ses jambes. Le jeune homme la mena par les épaules jusqu’au salon, où il lui tira une chaise pour qu’elle s’assoit. La table était en effet bien garnie, et Maryline se servit un café au lait et se prépara une tartine de Nutella. Cela lui remit les idées en place et lorsqu’elle fut totalement réveillée elle remarqua que Michaël avait sorti des affaires d’école et faisait des devoirs sur un coin de table. Elle se frappa le front.
Merde! Moi non plus j’ai pas fait mes devoirs!
Michaël la regarda d’un air navré.
T’auras pas le temps pour ça, on a autre chose à faire. T’auras qu’à les faire au bahut, avant les cours.
Et en plus, j’ai sport cet aprèm’! Se plaignit-elle de nouveau. J’ai même pas mes affaires dans mon sac!
Tu as ta tenue de pom pom, je l’ai mise dedans, dit le garçon avec une pointe d’ironie.
Hin,hin! Très drôle! Tu me vois faire sport en jupette de pom pom?… Putain! Nan, franchement, la journée s’annonce galère.
Elle essaya de terminer son petit déj’ sans se projeter vers les ennuis qui se profilaient. Lorsqu’elle eut terminé, elle alla laver sa vaisselle dans la cuisine, puis vint à côté de Michaël.
Où est ton père? Lui demanda-t-elle.
Il est déjà parti au boulot, répondit-il en travaillant un exercice de maths. Il prend la voiture et il part tôt à cause des embouteillages.
Il tourna la tête vers la lycéenne.
Va prendre ta douche, lui ordonna-t-il. Tu laisses la porte ouverte, et après tu te brosses les dents et tu m’attends. Je vais m’occuper de toi.
Ses derniers mots intriguèrent Maryline, qui n’osa cependant pas demander d’explication. Elle alla à la salle de bain et prit une douche chaude qui fit beaucoup de bien à son corps endolori. Puis elle s’essuya et se brossa les dents. Elle ne s’enroula pas dans la serviette de peur de contrarier Michaël et l’attendit donc comme il l’avait demandé, nue. Lorsqu’il eut terminé son travail et aperçut la jeune fille par l’encadrement de la porte, le lycéen la rejoignit. Il étala une grande serviette à terre.
Allonge-toi ici, sur le dos, dit-il fermement en pointant le doigt par terre. Et tu plies les jambes et écartes les cuisses. Ton entrejambe doit être bien dégagé.
Il prit une bombe de mousse à raser et un rasoir, qu’il passa sous l’eau chaude. Puis il s’agenouilla entre les jambes de Maryline lorsque celle-ci eut pris la pose demandée.
Que… Qu’est-ce que tu veux faire? Demanda-t-elle timidement bien qu’elle en eut déjà une idée assez précise.
J’avais dit qu’il faudrait tailler un peu cette jungle, dit-il en passant ses doigts dans la toison pubienne de la petite black. C’est ce que je vais faire. Et t’as pas intérêt à bouger si tu veux pas que je te fasse mal.
Maryline se mordit les lèvres. Il lui était déjà arrivé de raser les poils qui dépassaient de sa culotte, ce n’était pas le problème. Mais elle se demandait jusqu’à quel point le jeune homme voulait « tailler ». Il n’avait sans doute pas les compétences d’une esthéticienne.
Malgré tout, celui-ci se débrouilla plutôt bien. Il fit ça rapidement, le temps pressant, étalant la mousse puis donnant des coups de rasoir énergiques et précis. Il retira beaucoup de poils et la lycéenne s’inquiéta du sort de sa toison. Le jeune homme prêta particulièrement beaucoup d’attention à la région entourant les grandes lèvres, s’assurant que la peau serait complètement glabre. Il descendit jusqu’au sillon entre les fesses, enlevant les quelques poils qui s’y trouvaient. Finalement, il ne laissa qu’un fin sillon vertical sur le pubis, taillé très court. Il appliqua un baume après-rasage sur toute la région où il avait passé les lames, massant doucement du bout des doigts. Ce traitement eut pour effet de détendre les chairs de la jeune fille, et celle-ci se mordit de nouveau les lèvres, mais cette fois c’était parce qu’elle sentait que son sexe s’humidifiait. Le jeune homme le remarqua, bien entendu, et sourit. Il appuya alors son massage et passa carrément sur les lèvres, et même entre elles lorsqu’elles s’ouvrirent pour l’accueillir. Il massa de haut en bas et de bas en haut, puis s’arrêta sur le capuchon du clitoris qu’il prit entre ses doigts pour le faire rouler. Maryline eut un spasme qui décolla une seconde ses fesses du sol, et lâcha un gémissement aigü. Michaël croisa son regard avec une lueur de prédateur dans ses yeux électriques. Puis il stoppa subitement son massage en regardant sa montre.
On doit y aller! Fit-il comme s’il s’affolait. Il est déjà tard.
Ho non! Nooooon! Supplia la jeune fille.
Elle voulait jouir à présent car le garçon l’avait laissée dans un état d’excitation extrême. Celui-ci lâcha un rire graveleux et lui donna une claque sur la cuisse.
Allez debout, ma belle! Dit-il en se levant lui-même. Je vais te donner tes fringues.
Il quitta la salle de bain, et la petite black poussa quelques soupirs. Elle glissa une main vers sa chatte et la caressa doucement. La chaleur était toujours là. Elle était très humide. Elle accéléra sa caresse. Peut-être pouvait-elle se faire jouir rapidement avant de partir? Son autre main rejoignit la première, et elle se masturba alors furieusement, ne cherchant pas à faire durer le plaisir mais juste à atteindre rapidement son orgasme. Soudain Michaël réapparut à la porte de la salle de bain et hurla.
Non! Arrête!!
Il attrapa les mains de la jeune fille et les éloigna de sa chatte. Elle gémit de contrariété.
Je ne t’ai pas autorisée à te masturber! Cria-t-il très en colère, lui tenant les deux mains dans son poing serré. Tu jouiras quand je l’aurai décidé!
Il tourna la tête dans tous les sens d’un air agacé.
Putain! J’ai encore beaucoup de choses à t’apprendre!… Mais ça va être dur parce que t’es lente à comprendre. Ce que tu as fait, là, ça mérite encore une punition! Mais t’as de la chance, on est à la bourre. Ca attendra plus tard. Mais ne t’en fais pas, je n’oublierai pas!
Il mit la jeune fille debout en la soulevant d’une main. Elle tomba lourdement sur ses pieds et il la traîna dans le salon. Sur le dossier du canapé était posée sa robe gris/violet. Maryline reprit ses esprits, et pour apaiser la colère de Michaël, elle enfila rapidement la robe. Elle était tout de même contente de pouvoir enfin se couvrir, en dépit du décolleté profond. Cependant, elle chercha malgré tout autre chose du regard.
Heu… Michaël, tu n’as pas sorti une culotte? Demanda-t-elle timidement.
Non, excuse-moi, fit le jeune homme sur un ton ironique, je n’ai pas de culottes de femme chez moi.
Mais comment je vais faire? S’exclama la lycéenne, affolée. Je peux quand même pas aller au lycée sans culotte!!
Pff! Et pourquoi pas? Ta robe n’est pas courte, on ne verra rien. Et si tu savais le nombre de filles qui n’ont rien sous leurs jeans…
Maryline lui jeta un regard dépité.
Comme tu dis, sous leurs jeans… Moi c’est une robe, et regarde! Dit-elle en tirant sur le tissu. Même en la baissant au max, elle m’arrive à peine aux genoux!
Et ben on verra tes genoux, il n’y a rien d’exceptionnel, conclut Michaël en mettant son sac au dos et en prenant celui de la jeune fille. Tiens! Mets tes chaussures, il faut qu’on y aille maintenant.
Et merde! Maugréa-t-elle en soupirant. La journée s’annonce encore pire que prévu.
Elle enfila ses escarpins plats et demanda, alors que le jeune homme allait déjà vers la porte d’entrée:
Et ma parka?
Pas besoin, assura Michaël. Il fait assez beau aujourd’hui. Et je crois que t’es assez chaude comme ça, non?
Il rit et ouvrit la porte. La petite black le suivit de mauvaise grâce et il referma à clé derrière eux. Comme l’avait dit Michaël, il faisait plutôt beau temps. On était au mois de septembre et la température était douce. Cependant Maryline frissonna en mettant le pied dehors. Elle se sentait plus nue que jamais avec sa seule robe pour couvrir son corps. Michaël marchait vite, et il lui semblait que ses seins allaient se projeter hors de son décolleté alors qu’ils ballotaient au rythme de ses pas.
Dans le bus, ce fut encore pire. Au petit matin en pleine période de pointe, le transport en commun était bondé, et la jeune fille n’avait aucun espace intime. Elle était serrée entre des silhouettes toutes plus grandes qu’elle. Michaël était contre son dos, et elle sentait son sexe grossir lentement, écrasé contre ses fesses. Il avait une main posée sur son flanc gauche, et avec ses doigts il attrapait doucement le tissu de la robe. La lycéenne ne se rendit pas compte de ce qu’il faisait jusqu’à ce qu’elle baisse les yeux. Elle fut choquée de voir que son décolleté s’élargissait à mesure que le garçon tirait la robe vers l’arrière. Quasiment la moitié de son sein gauche était à l’air libre! Elle tenta, dans l’espace exigu dont elle disposait, de retirer la main de Michaël de sa robe. Mais ce fut lui qui attrapa la main de la jeune fille et la serra pour lui signifier de ne rien faire. Maryline leva alors les yeux. Elle tomba sur un homme en veste et chemise qui lui faisait face mais dont le visage était tourné sur le côté. Il n’avait rien vu. Mais Michaël reprit son manège, et tira franchement sur la robe alors que son autre main venait se poser sur le bas -ventre de la petite black. Celle-ci vit avec horreur que le décolleté se rapprochait dangereusement de son mamelon, et que l’on voyait même le début de l’aréole. L’homme face à elle le remarqua aussi soudainement, et il eut un mouvement de sourcils exprimant sa surprise, puis un sourire complice à l’attention de Maryline. Il croyait qu’elle le faisait exprès pour l’aguicher! La jeune fille tourna les yeux avec une moue embarrassée. Elle n’y était pour rien! Elle serra le bras sur son flanc pour gêner la maneuvre de Michaël, mais même s’il ne parvint pas à en faire plus, le mal était fait. Le voyeur se régalait de la poitrine quasiment dénudée qui s’offrait à lui. La lycéenne n’osa pas affronter son regard de tout le reste du voyage, et fut heureuse lorsqu’enfin ils arrivèrent à leur arrêt. Elle profita de la descente du bus pour remettre son décolleté en place de manière plus décente. Elle n’osa rien dire à Michaël au milieu de tous les autres élèves qui se rendaient au lycée, mais lui lança un regard désapprobateur alors que lui arborait un sourire amusé.
A suivre…