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Petite-fille et fille, perverses ou nymphos. – Chapitre 4

Petite-fille et fille, perverses ou nymphos. - Chapitre 4



Chapitre 4 : Confidences

Dans la matinée, Laurine se réveille la première et doit être très excitée car je me réveille avec ma bite enfoncée dans sa gorge. Ma petite fille fait des gorges profondes !

Je regarde sa petite bouche monter et descendre sur mon sexe et au réveil on dirait vraiment une gamine perverse qui suce son sucre dorge. Après quelques minutes à profiter de cette vision paradisiaque, je capture un de ses tétons entre mes doigts et je le pince légèrement en le tortillant. Je suis récompensé par un profond gémissement autour de ma bite enfouit profondément dans sa bouche. Elle retire sa bouche et me dit.

— Huuummmm, elle est délicieuse le matin, ça vaut largement un croissant !

— Bonjour, ma puce. Tes une gourmande ! Dès laube il te faut ta dose de sexe ?

— Oui, papy, jen ai besoin et ta bite était toute dure, devant mes yeux, quand je me suis réveillé.

— Et tu nas pas hésité de me réveiller !

— Impossible papy ! Quand je la vois si belle, il me la faut ! Et maintenant que tu es réveillé, je vais me la mettre dans ma chatte.

Si je me posais encore des questions, maintenant je suis fixé. Apres cette nuit et ce matin, ma Laurine est une salope avide de sexe !

Elle se redresse et me saute dessus et ma bite se retrouve engloutie par sa chatte en 2 secondes.

— Ooooohhhh, papy ! Je te sens bien. Cest formidable de lavoir dans son ventre !

Et elle se tortille sur moi pour la sentir encore mieux.

La chaleur de sa chatte entoure ma bite et ses muscles caressent et compriment ma bite. Puis Laurine remonte lentement son cul et redescend pour faire un petit trot sur ma queue tendue. Je caresse ses beaux seins et roule ses tétons entre mes doigts. Ses contractions vaginales samplifient et ses mouvements aussi. Elle ne tarde pas à jouir en sécroulant sur moi en me disant puis en me suppliant.

— Je jouiiiiissssssss.ouiiiiiiiiiiiii. Continue, papy, narrête pas !

Je prends le relais et je baise sa chatte dégoulinante tout en continuant de titiller ses tétons tout durs.

Son orgasme atteint un sommet et elle presse sa chatte sur ma bite en gémissant.

— Putain que cest bon ! AAAaahhhh que jaime jouir ! Continue !

Ma bite toujours dans sa chatte, je la fais rouler sous moi, lève ses jambes pour les coincer sous mes bras, et avoir un meilleur accès à sa chatte. Laurine a encore les yeux fermés et profite de son bonheur sous la prolongation de son orgasme entretenu par mon pilonnage continu. Laurine halète de plus en plus et quand je trouve son clitoris elle arque son dos pour avaler toute ma bite en enveloppant ses jambes autour de mon dos. Je continue de frotter son clito tout en la baisant vigoureusement et quelques minutes après, un deuxième orgasme balaie le premier.

— Ouuuuuiiiii, papy ! Continue je jouiiiis ! Putain je jouis encore ! Jaime ton doigt sur mon clito et ta bite dans ma chatte, papy. ContinueeeeeeeAAAAaaahhhhhouiiiiiiiiiiiiiiii

Je nai jamais entendu une femme me dire quelque chose comme ça, et autant exprimer son plaisir. Je laisse son orgasme un peu diminuer et lorsque sa chatte méjecte sous une pression incroyable de son vagin, je gueule de plaisir et jarrose son ventre de mon sperme blanc avant de la ré empaler et de me finir dans son antre chaud.

Dix minutes plus tard nos corps se séparent et appuyé sur un coude jadmire son jeune corps en sueur et ses seins qui bougent au rythme de sa respiration. Si ce nétait pas la fille de Brigitte, je tomberais amoureux de cette demoiselle malgré notre différence dâge.

Laurine ouvre ses yeux et me regarde avec un air énamouré avant de dire.

-Merci, papy. Cest encore mieux que dans tous mes rêves. Je suis comblée et infiniment heureuse.

Je souris et je me décide de lui poser la question.

— Dis donc, Laurine ce nest pas la première fois que tu as des relations sexuelles ? Et tu étais toujours vierge. Et tu mas dit : Fais-moi lamour par devantSi tu me racontais tes frasques sexuelles

Ma petite fille semble réfléchir et me répond.

— Je veux bien mais tu ne me fais aucun reproche. Promis ?

— Promis ma puce. Au point où nous en sommes, je suis mal placé pour te faire quelque reproche que ce soit !

Et calée contre moi, sa main sur mon sexe, que décidément elle ne veut pas lâcher, elle me raconte ses débuts dans le sexe.

Mes premières expériences cest en colonie avec des copines. Javais 15 ans et on couchait à deux par chambre. Ma compagnes de chambre sappelle Céline, elle allait sur 16 ans, probablement mulâtre ou des Antilles car elle a la peau foncée et des cheveux bouclés noirs, très court, avec de magnifiques yeux verts.

On faisait un sacré duo avec moi blonde, aux yeux bleus, a la peau blanche et elle, brune aux yeux vert bordés dor et la peau dorée.

Un matin Céline me regarde mettre mon soutien-gorge et rigole franchement. Jai limpression quelle se moque de ma poitrine qui a pourtant une belle forme pour mon âge.

— Pourquoi tu mets un soutien-gorge, Laurine. Avec de beaux seins comme les tiens, moi je les mettrais en valeur plutôt que de les enfermer dans un carcan.

Et elle marrache mon soutien-gorge et passe ses doigts légèrement sur mes petits seins et puis elle caresse mes mamelons.

Ça me fait frémir car cest la première fois que quelquun dautre caresse mes seins.

Je me suis laissé faire tellement cétait bon et Cécile me demande.

— Cest la première fois que tu te fais peloter les seins par une fille ?

— Oui

Je nai pas osé dire que cétait la première fois tout court. Jaime ça, mais la cloche a sonné pour le petit déjeuner.

Toute la journée je suis resté sans soutien-gorge et de savoir que tout le monde pouvait voir en transparence mes tétons tout durs, jen avais des frissons dans le ventre.

Le soir, Cécile me demande.

— Alors cest bon de sentir ses seins libres.

— Cest très différent mais cest excitant de voir les garçons me fixer différemment.

— Et quas-tu ressenti ?

— Ça me fait des choses bizarres dans mon bas ventre. Est-ce que ça fait pareil quand un garçon nous touche ?

— Cécile ne répond pas directement à ma question et men pose une autre.

— Tu tes déjà masturbée ta chatte, Laurine ?

— Non, jamais

-Cest pourtant le meilleur endroit pour se donner du plaisir, dit Cécile. Tu veux que je te montre ?

Me souvenant comment jai aimé quelle me caresse mes seins, je murmure un timide « oui ».

Cécile se met nue et commence à me caresser les seins et les tétons.

Je mapproche delle et je touche délicatement le gros téton de Cécile.

— Vas-y, nest pas peur, jadore quon me triture le bout des seins.

Je pince un peu et je tire dessus.

— Oui, comme ça geint Cécile.

Je regarde ses tétons tout rouges au bout de ses gros seins. Elle a vraiment une grosse poitrine pour son âge. Jen prends un dans ma main et je dis.

— Whaouils sont lourds !

— Fais comme moi, me dit Cécile.

Et elle se penche pour sucer mes tétons.

Je geins en disant.

— Huuummm cest bon !

— Alors suce les miens.

Cécile me tend ses seins et jouvre la bouche pour aspirer un de ses tétons puis je fais courir ma langue dessus et autour.

— Ouii, Laurine, cest bon. Continue comme ça.

Mes premiers plaisirs ont commencés comme ça et jai vite aimé nos baisers et attouchements surtout quand elle sest mis peu de temps après, à me toucher ma chatte, à lembrasser et mettre ses doigt entre mes lèvres pour me faire jouir en caressant mon clito. Jai eu mes premiers orgasmes avec elle et je lai bien fait jouir aussi, car au fur et mesure, je devenais aussi accro au plaisir du sexe quelle létait.

Un jour jai même réussit à la faire jouir en quelques minutes avec ma bouche qui bouffait sa chatte toute rouge et mes doigts dedans et dans son trou du cul.

Et je lui ai posé la question fatidique.

— Et avec un garçon cest aussi bon ?

— Oh, absolument ! Cest même encore plus excitant !

Et sans me demander mon avis elle a téléphoné à un moniteur pour lui donner rendez-vous dans notre chambre la nuit suivante.

Ce soir-là, Cécile sest faite belle en se maquillant les yeux et les lèvres et contrairement à ce que je mattendais, elle ma dit.

-A plus, Laurine, amuse-toi bien et prend du plaisir. Moi jai un rencart.

Quelques minutes après mavoir quitté, Christian le moniteur, a frappé à la porte. Je lui ouvre et après un bonjour et une bise sur la joue je lui offre une bière et, assis au bord du lit, on entame une conversation banale. Puis la conversation devient plus personnel et enfin il se penche sur moi et membrasse.

Sa bouche est chaude et douce. Il me caresse ma langue avec la sienne et explore ma bouche doucement. Jaime sa langue qui danse avec la mienne, elle a bon goût. Nos langues tourbillonnent lune sur lautre et je sens sa main qui passe sous mon t-shirt pour caresser un de mes seins puis ses doigts roulent mon téton qui est déjà bien dur.

Sans un mot il retire mon t-shirt et dit.

— Tu as une jolie poitrine pour ton âge.

Et il se penche et commence à sucer mes tétons. Ils sont tellement sensibles et durs que jai cru jouir tout de suite. Mais il doit avoir lhabitude des filles car il arrête et se déshabille et moi, tout naturellement, je fais comme lui.

Mais quand je vois sa longue bite mes yeux sagrandissent de surprise. Elle nest pas grosse, mais fine et longue. Il me dit.

— Caresse-moi.

Je me retiens pour ne pas sauter dessus et je lenveloppe de ma main pour la branler. Je crois que cest à cet instant que je suis devenue une petite salope. Sa bite est chaude, douce, tout en étant bien dure. Jai des frissons dans tout mon corps et jadore avoir en main ce sexe en me disant quil est pour moi.

En bon professeur il ma appris à branler un mec puis comment bien sucer une bite pour les rendre dingues. Bien sûr il ma arrêté avant de jouir pour soccuper de ma chatte.

— Tu as une très belle chatte, Laurine. Tu feras des heureux.

Et il ma brouté mon minou et jai faillis encore jouir. Quand il ma dit.

— Je pense que tu es prête petite Laurine, tu mouilles bien et je vais te dépuceler.

Jai eu dans ma tête une vision. Ta bite, Papy ! Cest ta bite que je voyais entrer dans ma chatte. Et cest à cet instant que jai décidé que cest toi qui me prendra ma virginité et je me suis rappelé ce que Céline ma dit.

« Si tu ne veux pas te faire déflorer tout de suite, offre lui ton petit cul, il adore ça. »

Jai crié.

— Pas par devant ! Par derrière, met là moi dans le cul !

— Comme tu veux, petite, jaime autant les trous du cul que les chattes.

Et après une préparation de mon anus avec sa langue et ses doigts il ma enculé avec une telle douceur que je nai pas eue mal et jai joui dès quil a été complétement en moi et que ses couilles sont venues frapper ma chatte.

Il ma laissé jouir sans bouger et quand je me suis calmée, il ma baisé mon cul dune manière magistrale, en titillant par moment mon clito, et nous avons jouis ensemble.

Mon cul nétait plus vierge et jétais heureuse.

— C’était incroyable, mieux quavec mes copines.

Il souriait et ma dit.

— Tu seras une belle salope, Laurine. Tu mouille rapidement et tu jouis vite, tu aimeras le sexe ! Je pourrais te revoir ?

— Quand tu veux !

Et il est revenu, très souvent et avec ses copains.

Crois-moi, jen ai eu des pines dans le cul et dans la bouche. Jai compris rapidement que jétais devenue une sacrée salope qui ne pense quau sexe, mais cest tellement bon que cest comme une drogue pour moi. Mais jai respecté ma promesse, jai gardé ma chatte pour mon Papy.

Je nen reviens pas ! Ma petite-fille, nonma Laurine est une nympho !

Phantome

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