TORRIDE INVITATION
Samedi soir. Annie et Philippe sont invités chez Joseph et Sylviane.
— Tu crois que Michel et Isabelle seront là?
— Jen sais rien, répond Annie en fermant la porte à clé. Pourquoi tu me le demandes?
— Sils sont invités eux aussi, nous pouvons nous attendre à une soirée chaude.
— Oh! Ty penses pas! Ils noseront pas! Pas devant toi.
Ils entrent dans lascenseur.
— Permets moi den douter. Tu mas bien raconté quils te caressaient après avoir fait lamour entre eux.
— Oui, mais tétais pas là toi!
— Je suis sûr que les deux hommes aimeraient ten faire plus.
Ils sortent de limmeuble et se dirigent vers la bouche de métro.
— Pour sûr que tu as raison! poursuit Annie, mais Isabelle et Sylviane le leur interdisent.
— Sauf si elles soccupent de moi.
— Oh! Je tinterdis de tattaquer à elles!
— Daccord, je serai un modèle de sagesse.
— Ne te moque pas de moi. Tu promets? Tu auras droit à un gros câlin quand nous reviendront.
— Tu es un amour.
Ils descendent sur le quai.
— Et si cest ta sur et Isabelle qui me provoquent? Quest ce que je fais? Je fuis?
— Ne dis pas de bêtises!
— Je me laisse faire alors?
— Tais toi, ça narrivera pas.
Il est persuadé du contraire.
— Mais si ça arrivait quand même?
La rame qui entre dans la station évite à la jeune fille de répondre. Le couple grimpe dans le wagon, trouve un coin pour senlacer. Annie réfléchit. Dans ce cas rien nempêcherait les hommes de sattaquer à elle. Sattaquer? Le terme la fait sourire, il est mal choisi! Elle embrasse son copain sur le coin de loreille.
— Alors je me vengerai avec Michel et Joseph!
Il la serre contre lui. Les usagers du métro les regardent amusés.
Effectivement Isabelle et Michel accueillent le couple avec Sylviane et Joseph. Les embrassades de bienvenues sont dagréable prétexte à un pelotage en règle. Annie jette un coup dil à Philippe. Aurait il raison? Vont ils participer à une baise commune à six? Va-t-elle connaître enfin les deux hommes? Tout à coup elle en a envie et serait déçue si cela ne se produisait pas. Elle devine à leurs regards empruntés quils ne prendront pas linitiative malgré leur désir. Devra-t-elle faire le premier pas? Non, elle aurait trop honte, surtout après avoir interdit à Philippe de séduire Isabelle ou Sylviane. Il ne lui reste quà espérer que lune dentre elles, ou les deux pourquoi pas, se lancent à la tête de son copain.
Passablement excitée Annie prend place sur le canapé, vite rejointe par Isabelle.
— Alors ma chérie, comment se passe la vie en couple? Raconte moi.
La jeune fille baisse la tête. Elle ne tient pas à dévoiler combien le sexe est devenu important dans son existence.
— Je vois que toses pas devant tout le monde. Viens avec moi, cela ne sortira pas de mon oreille.
Elle se lève et tend la main pour entraîner Annie.
— Ah non! sécrit Michel. Ça suffit vos apartés! Annie nest plus la pure jeune fille que nous devons protéger. Elle est devenue notre égale.
— Oh! Elle est encore si jeune, se plaint Sylviane.
— Peut être mais regardez la! Voyez comme elle resplendit.
— En effet, admet Isabelle. Tu rayonnes de bonheur! Il fait si bien lamour ton Philippe?
La jeune fille confuse baisse les yeux.
— Voyez ça, la timide! Elle nous donnerait envie de tester.
— Je ten prie, sourit Michel en caressant un sein dAnnie, te retiens pas, jai ici de quoi me consoler.
— Veuillez bien vous taire espèces de débauchés! les gronde Sylviane.
Isabelle ne lécoute pas et sagenouille devant Philippe, ouvre la braguette et sort le sexe du garçon.
— Oh! Quil est mignon! On en mangerait!
— Quest ce que tattends! dit Joseph qui samuse comme un fou.
— Chiche! la défie Michel.
Ni une ni deux, Isabelle enfourne le gland pendant que Sylviane, contaminée par lambiance, descend pantalon et slip sur les genoux puis sur les talons. Philippe soulève un pied après lautre pour les dégager. La jeune femme lui ôte le t-shirt et samuse à titiller les tétons pendant quIsabelle suce consciencieusement. Sans lâcher la verge, elle soulève la tête.
— Excuse moi Annie, je tai pas demandé la permission, tu men veux?
La jeune fille ne peut répondre occupée quelle est à embrasser Michel pendant que celui ci lui ôte le corsage et que Joseph tire sur la jupe.
Isabelle sourit et reprend la queue en bouche. Elle sactive comme si elle était pressée den finir. Philippe mord ses lèvres sur le gémissement qui lui échappe. Il veut retirer son sexe, Isabelle résiste et reçoit sur la langue loffrande du sperme du jeune homme.
— Mmmmh!
Elle se redresse se frottant contre son corps et lembrasse lui faisant goûter son sperme. Souriante, elle veut se dégager, mais il la rattrape dans son dos et soulève la jupe sur les fesses.
— Oh!
Il pousse un cri de surprise en découvrant que la jeune femme a omis de porter une culotte. Il se reprend vite. Il caresse les fesses, la raie, insinue les doigts entre les cuisses, sur le sexe. Isabelle est trempée. Elle gémit sous les attouchements. Elle regarde autour delle. Sur le canapé, son mari et Joseph sempressent auprès dAnnie. Michel est le mieux placé juge-t-elle, cest lui qui va se la payer en premier. Tout à coup, elle sent une grosseur tendre remplacer les doigts. Ce nest pas la queue de Philippe, non, pas si vite après une éjaculation! Si! Avant quelle ait esquissé un geste de défense, le garçon sest introduit.
— Oh Michel gémit elle dune petite voix.
— Oui ma chérie?
— Il il ma eue!
— Cest pas ce tu voulais, persifle Sylviane un peu jalouse que son amie monopolise le garçon.
Michel se retourne pour sourire. Son épouse a été prise à son propre jeu. Il sait quelle avait prévu de chauffer le garçon avant de labandonner au dernier moment et de placer Sylviane entre ses bras! Cela na pas marché comme prévu. Son épouse, vu sa figure, ne le regrette pas, tant mieux. Il lui adresse un baiser du bout des doigts. Joseph en profite pour le supplanter. Il a dégainé son sceptre et lenfonce dans le sexe dAnnie, qui écartelée, attendait avec impatience une queue, nimporte laquelle. Philippe pousse Isabelle qui prend appui contre le fauteuil. Elle supporte lassaut avec détermination. Elle ne voulait pas en arriver là mais, puisque le vin est tiré, il faut le boire. Elle sapplique à goûter les ondes de jouissance qui irradient de son ventre, fourmillent jusquà la pointe des pieds pour revenir amplifiées vers son sexe.
— Aaammmh!
Son gémissement est étouffé par la bouche de Sylviane dont la langue danse entre ses lèvres.
Michel, un peu vexé que Joseph lait supplanté, suce pour se consoler les seins dAnnie en attendant mieux. La jeune fille est aux anges. Il y avait longtemps quelle avait envie de Joseph. Ce nest que la crainte de froisser sa sur qui la retenait. Sa sur? Où est Sylviane? Ah! Elle caresse Isabelle que Philippe baise. Tout est pour le mieux! Elle se laisse entraîner par la jouissance. Lorgasme se prépare, monte, éclate enfin.
— Aaaah!
Son cri déconcentre Joseph qui ne peut se retenir.
— Aaaah!
Encore trois allers et retours et il seffondre sur la jeune femme. Michel le pousse sur le coté et prend immédiatement sa place.
— Aaaah!
Annie se rend à peine compte de léchange. Elle flotte sur un nuage rose, un nouvel orgasme la secoue. Elle sourit à Michel. De lui aussi elle rêvait. Cette soirée voit la réalisation de deux de ses plus anciens phantasmes.
— Aaaah!
Isabelle reçoit les jets de sperme. Ses jambes flageolent. Elle saffaisse sur le fauteuil. Sylviane tire Philippe en arrière.
Elle est déçue. La queue du garçon pend entre ses jambes. Cest raté pour cette fois. Un gros soupir soulève ses épaules pendant quelle joue avec le sexe.
— Oh! Cest pas possible!
Le morceau de chair grossit et durcit entre ses doigts. Philippe qui récupère avec une facilité déconcertante, enlace la jeune femme. Il fait glisser la culotte sur les cuisses. Elle sen débarrasse rapidement, pousse le garçon sur le canapé et sempale sur la tige prête de nouveau à remplir son office.
— Aaaah!
Sylviane se presse, elle a du retard sur les autres. Elle se démène comme une diablesse sous le regard amusé de Joseph et Isabelle qui se sont rapprochés lun de lautre.
— Il baise si bien que ça ce Philippe? se moque-t-il.
— Tu peux pas comprendre, réplique son amie.
A coté, Michel fait jouir Annie. Il la pilonne à grands coups de rein. Le plaisir augmente, la jouissance envahit sa queue, le sperme monte dans la tige. Lorgasme secoue les deux protagonistes et les laisse pantelants, essoufflés.
Philippe a retourné Sylviane comme une crêpe. Cest lui qui domine la jeune femme. Il est fier de la faire jouir, de les avoir fait jouir. La possession de personnes expérimentée est une chose admirable. Sous ses coups de rein, Sylviane se tord, mord dans un coussin, frappe le garçon de ses poings serrés. Ses jambes se raidissent dans un spasme de jouissance.
— Aaaah!
Philippe continue.
— Aaaah!
Leurs amis font le cercle. Joseph passe un mouchoir sur le front de sa compagne. Annie, entre Isabelle et Michel qui lui caressent chacun un sein est fière de la performance de son Philippe. Il avait raison de prédire une soirée chaude. Et cela ne fait que commencer!
— Aaaaah!… Mmmmh!
Sylviane pousse un long gémissement. Les orgasmes successifs lont brisée! Philippe sentant que la jeune femme se détend ouvre les vannes de son plaisir et lâche sa semence un peu moins abondante que les premières fois. Il se retire. La verge laisse une trace humide sur les cuisses. Il se penche et applique un baiser sur la main de Sylviane. Ce geste émeut la jeune femme jusquaux larmes. Elle sy prend à deux fois pour se relever.
— Allons nous débarbouiller, propose Joseph, nous en avons besoin. On vous prête des déshabillés et des robes de chambre, puis nous mangerons.
Ils reviennent au salon après le repas. Sylviane a du mal à accepter ce quils ont fait. Sa petite sur! Les hommes lont baisée et elle les a laissé faire! Comment cela a-t-il commencé? La faute à Isabelle.
— Quand je pense que javais fait la leçon à Joseph! Il mavait promis de laisser Annie tranquille. Faites confiance aux hommes après ça!
— Je suis comme toi, réplique-t-il. Jai fait quimiter Michel qui le premier sest jeté sur Annie.
— Vous navez pas honte de rejeter la faute sur les autres! sindigne faussement Isabelle. On dirait que vous regrettez. Moi pas du tout!
— Moi non plus, affirme Michel.
— Et toi Annie? Quen penses tu?
La jeune fille se colle contre Philippe.
— Cétait je vous remercie tous
— Ah! Tu vois Sylviane, continue Isabelle, tout le monde est content, quest ce que tu veux de plus!
Elle sétire sur sa chaise. Son déshabillé souvre sur la toison brune de son sexe. Joseph se précipite à genoux devant elle.
— Permet moi de mabreuver à ta source.
— Seulement si Sylviane est daccord. Tu permets ma chérie?
En guise de réponse celle ci prend la figure de Michel et applique sa bouche pour un long baiser. Joseph penche la figure. Ses doigts extraient le petit clitoris que ses lèvres happent. Isabelle joue avec la chevelure et appuie la tête contre son sexe.
— Aaah!
Michel allonge Sylviane sur lautre canapé.
— Cest comme ça quils se comportaient quand tu étais là? demande Philippe à loreille dAnnie.
— Oui.
— Et toi quest ce que tu faisais pendant ce temps?
— Je mamusais à passer dun couple à lautre, ajouter mes câlins à leur plaisir. Après, seulement après, ils me caressaient tous les quatre, les hommes en haut, jusquà me faire jouir.
— Dis, si on faisait pareil? Tu toccupes dIsabelle et Joseph et moi de Sylviane et Michel.
— Quest ce que tu veux leur faire?
— Tu verras.
Annie grimpe à genoux sur le canapé à coté dIsabelle. Elle embrasse la jeune femme et caresse un sein sous le déshabillé. Philippe promène son sexe sur la joue de Sylviane qui sourit. Elle prend la queue et la porte en bouche pendant que Michel ouvre le déshabillé et savance entre les cuisses qui sécartent.
-Mmmaaah! gémit elle lorsque la verge de son ami la pénètre.
Les coups de rein de Michel la secouent trop. Elle ne peut garder le gland en bouche. Philippe récupère son bien et soulève la robe de chambre de lhomme. Les fesses nerveuses sont serrées. Il caresse la raie du bout du sexe. Michel gémit et pourfend Sylviane de plus belle. Encouragé, Philippe explore du doigt et caresse le tour de lanus. Les cuisses sécartent comme par enchantement. Le garçon crache sur sa paume et enduit son sexe de salive avant de le présenter sur la rondelle brune.
— Mmmh! sursaute Michel lorsque le gland franchit le barrage des muscles.
— Aaaah! répond Sylviane en écho.
Isabelle découvre le sort réservé à son mari.
— Oh! Il il ne lui fait pas ma ?
— En donne-t-il limpression? lui murmure à loreille Annie que la situation divertit. Laisse les faire et amusons nous.
Joseph après lavoir fait jouir par ses caresses se relève dentre les genoux dIsabelle. Il remonte en léchant le ventre, les seins, le cou et sarrête sur la bouche. Sa main guide son sexe. Il tâtonne pour trouver la bonne ouverture et senfonce dun coup de rein.
Des gémissements plus forts sur le canapé voisin lui font tourner la tête.
— Oh! On dirait que Michel est dans une drôle de posture!
— Ça te fait rire? interroge Isabelle vexée quon se moque de son mari.
— Je vais pas pleurer!
A coté, la double sollicitation dans le cul et sur la verge a raison de la résistance de Michel. Il seffondre sur Sylviane à qui les frémissements de son partenaire ont procuré plusieurs orgasmes. Philippe un peu désappointé de la rapidité de léchange, sourit à la vue des fesses de Joseph. A lautre, décide-t-il en savançant flamberge au vent! Il croise le regard dIsabelle. Elle comprend que Joseph va faire les frais de la vigueur du garçon. Cela la venge de la réflexion précédente. Elle lencourage dun sourire. Annie prévenante, tire sur les lobes du cul.
— Oh! Que faites vous? sécrie Joseph surpris.
— Cest à ton tour, déclare Isabelle. Il y a une justice ici bas!
La verge luisante senfonce sans difficultés.
— Aaaah!
Joseph ne sait plus où il en est entre les deux corps. Lui et Philippe coordonnent leurs mouvements. Michel caresse la joue dIsabelle pendant que Sylviane dépose un baiser sur le front de son compagnon. Puis elle enlace Annie.
— Espèce de cachottière! Tu ne nous avais pas dévoilé tous les talents de ton copain. Viens ici que je te punisse comme tu le mérites.
En riant Annie se laisse transporter sur lautre canapé. Les deux surs se placent tête bêche, Sylviane au dessus et se donne mutuellement du plaisir pendant que Joseph jouit doublement.
Isabelle sextrait de lentassement des corps. Philippe souffle un peu. Il sassied à coté de la jeune femme que Michel a rejoint.
— Elles sont belles nest ce pas? demande-t-elle.
Philippe ne répond pas. Une idée lui vient. Saura-t-il la concrétiser? Aura-t-il assez de forces? Si! Déjà il ressent le fourmillement précurseur au gonflement du sexe. Il hésite, les deux surs seront elles daccord? Surtout Sylviane. Il ne peut leur demander! Tout juste obtenir lapprobation dAnnie. Il se lève et sapproche du couple à létonnement de Michel. Ce nest pas fini, devine celui ci devant la lueur qui anime le regard du garçon qui savance vers les deux femmes. Il serre Isabelle contre lui.
Annie ouvre les yeux, une verge, la queue de son Philippe reconnaît elle, se présente entre les fesses de Sylviane. Elle lève les yeux et croise le regard de son copain. Quest ce quil va faire? Il ne va pas enculer Sylviane comme François le fait à Martine quand elles se caressent, quand même? Mais si! Il approche le gland du petit trou! Vite, enduire lanus de cyprine puisée à la source et tirer sur les lobes du cul. Sylviane ne réalise ce qui lui arrive que lorsque le gland a franchi le sphincter.
— Oooooh!
Joseph se précipite et embrasse les yeux remplis de larmes.
— Tu as mal?
— Nooon! Ooooh! Aaaah!
Annie cherche dans le vagin à toucher la queue quune fine membrane sépare de ses doigts.
— Noubliez pas de me caresser! crie-t-elle.
Sylviane en est incapable. Joseph la supplée. Il est un peu vexé que Philippe soit le premier à sodomiser sa « femme ». Il navait jamais osé le réclamer. Il se rattrapera dorénavant. Michel et Isabelle assistent muets à létreinte. Elle ne jalouse pas Sylviane ni son plaisir manifeste. De trop mauvais souvenirs dans sa jeunesse se rattachent à cette possession. Très peu pour elle.
— Ça te fait pas envie? lui souffle Michel.
— Non, pas du tout, jaime pas la sodomie.
Ce nest pas le cas de Sylviane qui bêle sa jouissance. Ses mains se crispent sur les bras du canapé, griffant le cuir. Philippe donne ses coups de rein à une cadence régulière. Le plaisir est long à venir cette fois. Il ressent la fatigue accumulée depuis le début de la soirée. Ah! Enfin! Le sperme jaillit arrachant un dernier cri à la pauvre Sylviane complètement hors delle.
Le garçon se retire. La verge quitte le cul déposant une goutte sur le nez dAnnie. Isabelle se précipite pour relever son amie et la conduire hébétée vers la salle de bain. Annie laide à monter dans la baignoire. Elles douchent Sylviane, la nettoient, puis voyant les couleurs revenir sur les joues de la jeune femme, se disputent la douchette.
— Attention, vous allez tout mouiller.
Les trois hommes boivent en silence. Ils sont un peu gênés.
— Je crois que nous allons partir, déclare Philippe. Je voudrais pas manquer le dernier métro.
— Tu sais, vous pouvez rester dormir, il y a de la place. Nous vous donnerons des brosses à dents et des serviettes.
— Non, merci, Annie et moi préférons rentrer.
— Moi jaccepte ton invitation, déclare Michel. Je me sens pas de force de conduire jusquà mon appartement.
Les femmes font leur apparition.
— Ça va mieux? Sinquiète Joseph Oui je vois, ajoute-t-il devant le sourire de Sylviane. Michel et Isabelle restent pour la nuit, mais Philippe refuse.
— Je préfère rentrer avec Annie. Tes daccord chérie?
Oui, elle est daccord et se pend au bras de son homme.
— Habillons nous alors.
Ils récupèrent leurs affaires.
Sylviane referme la porte. Elle est crevée, vivement le lit!
— Eh ben! Quel phénomène ce Philippe! déclare Michel.
— Tu las dit! renchérit Isabelle. Je comprends pourquoi Annie est si radieuse, disposer dune telle bête de sexe!
— Si vous voulez discuter, ce sera sans moi, annonce Sylviane, je vais me coucher.
— Nous te suivons
Dans le métro, Annie se colle contre Philippe.
— Tavais raison, tu sais.
— En quoi?
— Ben en prédisant une soirée chaude!
Un petit rire secoue leurs épaules.
— Ça ta plu?
— Oui, murmure-t-elle à son oreille Dis, ajoute-t-elle, pourquoi tas pas voulu rester?
— Parce que je veux te faire jouir. Toute la soirée nous avons été séparés. Je te veux toute à moi, chez nous.
— Embrasse moi !