Salut c’est votre folle de lycra
Voilà quelques années, je vous avais raconté une histoire vraie, qui à mon grand regret, n’avait eu que peu de succès. L’aventure que j’avais vécue avec cette femme d’une quarantaine d’années qui m’avait impressionné, je la prénommerais Sandrine car, à ma grande honte, j’en ai oublié le prénom. Je remercie encore cette quadra pour ce qu’elle m’a fait vivre. Ce coup-ci je vais donner une suite mais qui n’est qu’un fantasme, cela n’entame en rien les bons souvenirs que m’a laissé cette dame. Voilà donc que Sandrine me recontacte une dizaine d’années après, elle m’avoue avoir retrouvé un répertoire et elle voulait savoir ce que je devenais après tant d’années. Je lui ai un peu raconté ma vie, elle a fait de même et finalement nous avons fini par poser une date pour nos retrouvailles. Nous avions convenu que nous ferions un simple restaurant puis derrière, un ciné, car nous étions tous les deux cinéphiles. Rendez-vous fut donc pris un vendredi soir à Denfert-Rochereau dans un petit restaurant italien à côté duquel se trouvait un petit cinéma sans prétention mais qui passait de très bons films, souvent d’art et essai.
Nous nous sommes donc retrouvés en face du restaurant, dans le petit square, une bonne heure avant de passer à table. Cela me faisait tout drôle de la revoir car elle avait pris un coup de vieux mais gardait regard vif, son esprit libéré mais surtout elle était toujours aussi belle, j’étais conscient que pour moi aussi le poids des années commençait à se faire sentir, ne serait-ce qu’au niveau des cheveux grisonnants. Il n’y a pas à dire nous étions contents de nous retrouver, et rapidement elle m’a montré qu’elle n’avait pas changé au niveau de sa prise d’initiative. Un baiser fougueux qui n’en finissait pas et surtout des mains baladeuses qui ne faisaient que me filer la gaule. Elle était toujours habillée style bohème et cela lui allait toujours à merveille. En une heure passée dans ce petit square, elle m’avait déjà donné ses doigts pleins de cyprine à sucer et surtout elle avait déjà saisi mon sexe sans vraiment me demander mon avis. Déjà je n’en pouvais plus et j’avais une énorme envie de lui sauter dessus, heureusement que nous étions en hiver et que la nuit était tombée déjà depuis pas mal de temps.
Voilà à peine soixante minutes que nous nous étions retrouvés, qu’elle me faisait déjà éjaculer par terre, elle n’avait pas perdu son coup de main. J’aimais subir les assauts de cette femme qui n’était jamais à court d’idées. Nous avons fini par nous rendre au resto où nous nous sommes fait un plat de tagliatelles chacun. Durant ce tête-à-tête très sympa, nous fîmes plus ample connaissance tout en nous racontant ce qui nous était arrivé ces dix dernières années. Tout en venant régulièrement me caresser le sexe sous la table avec son pied déchaussé, j’avais l’impression qu’elle s’ennuyait avec moi car elle était toujours en train de regarder son téléphone. Comme tout à l’heure dans le square elle me donnait ses doigts recouverts de cyprine à sucer. Je trouve qu’il y avait un super côté érotique et excitant dans cette façon de faire. Je ne sais pas si le serveur avait vu son pied entre mes jambes, ou ses doigts dans ma bouche qui sortaient de son minou, toujours est-il qu’il était un peu mal à l’aise à chaque fois qu’il venait s’occuper de nous.
À la fin du repas j’ai réglé la note et Sandrine m’a immédiatement emmené dans les toilettes, bien évidemment elle est partie dans celui des hommes et nous nous sommes retrouvés face à face dans ce petit endroit exigu. Je n’ai pas eu le temps de réaliser que nous étions à l’étroit dans cet endroit, que déjà elle était en train de descendre mon pantalon, la seconde d’après elle était à genoux en train de prendre mon sexe en bouche. On aurait dit qu’il y avait un contre-la-montre tant elle avait l’air pressée de me faire une petite turlutte, heureusement qu’elle ne m’a pas pompé jusqu’au bout. Nous avons ensuite quitté le restaurant sous le regard du serveur qui manifestement avait tout compris. À ma grande surprise en sortant du restaurant une femme superbe nous attendait.
Je te présente Muriel, c’est une copine.
Quand elle a su que j’allais au cinéma, elle a voulu vous accompagner. Son amie était dans notre tranche d’âge, par contre elle était carrément mignonne, à tel point que quand nous nous sommes fait la bise j’avais envie de lui rouler une pelle. Elles se ressemblaient beaucoup, exception faite des attributs mammaires de Muriel qui devait lui mettre au moins trois tailles de bonnet dans la vue.
Maintenant nous allions au cinéma voir un film que je qualifierais d’art et d’essai, car il n’est pas destiné à un grand public vu le sujet abordé. Quand j’ai vu la queue qu’il y avait pour voir ce film, je me suis dit qui n’était pas prêt de gagner de l’argent. Nous étions six spectateurs au total dans la salle qui devait pouvoir en accueillir plus d’une centaine. Nous nous sommes mis sur le rang du fond et les trois autres personnes se sont mises plutôt sur la première moitié des sièges. Je me suis retrouvé entre les deux femmes et immédiatement leurs parfums ont commencé à me troubler. Une fois dans l’obscurité Sandrine est passée à l’assaut de mon corps et peu de temps après Muriel fit de même. On aurait pu croire que ces deux femmes sortaient de prison tant elles étaient pressées d’accéder à mon corps et surtout mes parties génitales. En peu de temps mon pantalon s’est retrouvé au niveau de mes genoux et Sandrine avait déjà pris mon sexe en bouche. Pour ne pas se sentir inutile Muriel s’était mise à m’embrasser d’une façon on ne peut plus gourmande, j’étais en train de me faire combler par deux femmes.
Rapidement notre invitée s’est mise à faire comme Sandrine, à savoir me donner à sucer ses doigts pleins de sa cyprine. Elle n’était vraiment pas farouche, tout comme son amie et savait prendre des initiatives pour mon plus grand plaisir. Pour ne pas être que passif, ma main droite était en train de s’occuper du minou de Muriel, tandis que ma main gauche s’occupait de celui de Sandrine. Nous faisions attention à exercer notre activité coquine en toute discrétion, histoire de ne pas attirer l’attention des trois autres malheureux spectateurs dans la salle. J’étais en train de réaliser que notre invitée était habillée exactement de la même façon que ma partenaire, aucune des deux ne portait de culotte. À ma grande surprise, elles ont interverti les rôles et se sont embrassées au moment du changement de rôle. Bien évidemment, dans la bouche de Sandrine, j’ai retrouvé le goût de mon sexe, pendant ce temps Muriel était en train de me faire une fellation d’anthologie. En même temps elle me caressait l’entrecuisse, cela me faisait un effet monstre.
Pour une première Muriel me sortait le grand jeu, je n’arrêtais pas de me tortiller sur mon siège tant les caresses de ces deux femmes étaient d’une efficacité monstrueuse. En même temps je me disais que je ne connaissais pas vraiment ni l’une ni l’autre. Pour le rapport sexuel que nous avions eu voilà dix bonnes années dans la rue, je ne pouvais pas me targuer de mieux connaitre Sandrine que Muriel. Notre invitée s’aventurait maintenant au niveau de ma sortie la plus intime, elle se permettait de déposer de la salive pour la lubrifier et surtout y glisser un voire plusieurs doigts. Heureusement qu’il y avait six ou sept rangées de sièges entre nous et les autres spectateurs, car ce n’était pas les bruits de nos cris qui se faisaient entendre mais surtout le bruit du frottement de nos vêtements. C’est vrai que dans le silence de la salle de cinéma, où seule la bande-son perturbait l’absence de tout bruit, il était impossible de ne pas nous entendre. Pour ne pas crier je m’arrangeais toujours à embrasser une de mes partenaires ou leur embrasser le cou ou une main voire même délicatement les mordre à travers leurs vêtements.
Mon sexe n’avait pas dix secondes de répit, il était sans arrêt sollicité par l’une ou l’autre de mes accompagnatrices. Le plus beau c’est que maintenant, en plus de s’occuper de moi, les deux femmes s’occupaient d’elles en même temps. C’est vrai qu’en même temps, même si je mettais du cur à les chauffer, les deux femmes étaient quand même expertes pour se mettre en condition. En plus des bruits de froissement de tissu que nous gênerions, il commençait à y avoir une très agréable odeur de sexes féminins et ça aussi ça m’excitait. Finalement Sandrine, estimant que nous étions prêts, est venue se positionner devant moi pour littéralement s’asseoir sur mon sexe. Je n’ai pas eu trop le temps de réagir, c’est elle qui dirigeait les ébats, j’aurais bien voulu qu’elle prenne tout son temps pour la pénétration. Pendant ce temps Muriel se chargeait de nous embrasser et en même temps de chatouiller le clito de son amie.
J’étais vraiment un homme chanceux, le contexte dans lequel nous faisions ça m’excitait encore plus, la peur d’être vus, la peur d’être pris. Ça y est maintenant ma partenaire était bien emboitée en moi et elle commençait à monter et descendre sur mon pieu. C’est vrai que c’est peut-être un peu prétentieux d’employer un tel terme, mais si vous saviez dans quel état ces deux femmes me mettaient, vous comprendriez. À chaque fois que Sandrine sortait de mon sexe elle contractait son vagin ce qui me faisait un bien fou. Elle se servait du dossier devant elle pour se relever, heureusement qu’il n’y avait personne devant. Le problème c’est que les sièges grinçaient un peu, du coup cela faisait un bruit régulier qui finalement devenait suspect. Muriel essayait d’appuyer sur le siège devant moi, sur lequel Sandrine avait prise, dans l’espoir d’en limiter les grincements. À force de monter et descendre sur mon Priape, ma partenaire avait fini par trouver une position qui n’était pas bruyante par rapport aux grincements.
De mon côté c’était le bonheur j’avais l’impression de me souvenir du rapport que nous avions eu voilà une dizaine d’années. Tout comme son amie, Sandrine avait le minou tout lisse, cela faisait tout drôle, j’avais l’impression de faire ça avec une jeune fille innocente. Ce que j’étais en train de vivre me donnait beaucoup de plaisir, mais j’avais l’impression que ma partenaire en prenait encore plus, j’en étais arrivé à me demander si elle n’allait pas prendre son pied dans quelques instants. Elle était maintenant complètement déchainée et se laissait littéralement retomber sur moi pour que mon sexe s’enfonce en elle. Elle produisait de la mouille comme vous n’imaginez pas, à ce rythme-là, elle allait me tremper mon pantalon de cyprine. Étant conscient qu’il allait falloir que je satisfasse les deux femmes, j’ai essayé de tenir pour de ne pas partir en Sandrine. J’ai eu le nez fin car quelques minutes après elle s’est mise à jouir, heureusement que Muriel était là pour la faire taire, sinon elle aurait couvert les bruits du film.
Pour l’occasion elle avait saisi mes bras pour me planter ses ongles dedans, il y avait un côté érotique qui m’excitait énormément même si c’était vraiment très douloureux. Ma partenaire a continué encore quelques minutes à monter et descendre sur mon sexe, avant de se retirer pour aller s’asseoir de nouveau à mes côtés. Muriel s’est empressée de prendre la place libérée pour venir à son tour s’empaler sur moi, je n’ai pas eu le temps de souffler j’étais de nouveau sollicité sexuellement. De temps à autre nous regardions quand même le film, sans trop comprendre car il était en russe et sous-titré. Ma nouvelle partenaire avec le vagin plus étroit, c’était vraiment bien plus agréable, elle n’avait pas besoin de contracter son vagin pour me serrer le sexe. Vu qu’elle lubrifiait, elle aussi énormément, il n’y a pas eu de souci. Muriel avait veillé à trouver la position dans laquelle elle ne faisait pas grincer les fauteuils. Contrairement à son amie, elle ondulait du corps, cela faisait que mon sexe ne descendait pas tout droit dans son vagin, mais il frottait un peu plus les parois c’était divin.
Pendant ce temps, pour occuper mes mains quand elles ne se faisaient pas griffer, comme je l’avais fait auparavant avec son amie, j’avais saisi ses seins que je malaxais avec grand plaisir. La poitrine de mon actuelle partenaire était vraiment opulente, je pense qu’elle devait avoir au moins un bonnet F, peut-être plus. Personnellement je ne suis pas du tout adepte des fortes poitrines mais la nature donne ce qu’elle désire à chacune des femmes qu’elle crée. Je préfère largement les seins de Sandrine qui doivent être en bonnet C, après vous me direz que le plus important est la sensibilité qui accompagne cette poitrine. Personnellement je prends grand plaisir à exciter les tétons et les voir s’ériger, à mes yeux le plus important c’est la sensibilité de la poitrine lors d’un rapport amoureux. Pour ce qui est de la taille je pense que chacun trouve midi à sa porte. J’ai connu une femme qui avait une poitrine énorme, peut-être que cela faisait fantasmer les hommes mais elle, elle considérait cela comme un handicap. Voilà mon petit interlude autour de la poitrine prend fin ainsi.
Au bout de longues minutes à ma grande surprise Muriel s’est retirée et a saisi mon sexe pour aller le positionner à l’entrée de son issue de secours. J’avais un peu peur de lui faire mal, car mon sexe était de belle taille, elle a commencé à se caresser un orifice avec la pointe de mon gland. Vu qu’elle ne se tenait que d’une main au siège de devant, ce dernier grinçait un peu, mais une fois mon sexe rentré dans son anus, elle s’est à nouveau agrippée des deux mains. J’ai été agréablement surpris de constater au combien son sphincter était dilaté, il y avait limite plus de place dans ce dernier que dans son vagin. À la voir s’activer sur mon dard en érection, il n’y avait pas de doute elle prenait plus de plaisir par derrière que par devant. À chaque fois qu’elle redescendait sur moi, elle dandinait des fesses et je peux vous garantir qu’elle était consciente que cela me faisait un bien fou. De son côté Sandrine était en train de reprendre ses esprits, et elle est rapidement revenue m’embrasser ou plutôt nous embrasser à tour de rôle.
Maintenant Sandrine se chargeait du vagin de son amie et de temps à autre elle me donnait ses doigts à sucer. Je vais vous avouer que quand mon amie m’a proposé que l’on se fasse un resto avec un cinéma derrière, j’étais conscient que nous ferions des folies dans la salle obscure. Par contre pas une seconde je n’aurais pu imaginer que cela finirait en trio coquin et surtout débridé. Je commençais à être embêté car je sentais que la purée commençait à monter de mon côté, je ne savais pas vraiment où en était l’avancement de la jouissance de Muriel. Je savais ouvertement qu’elle prenait beaucoup de plaisir avec mon sexe, mais je savais aussi que Sandrine lui faisait beaucoup de bien, quand elle glissait ses doigts dans sa foufoune. C’est finalement Muriel qui a pris son pied avant moi et le malheur c’est qu’elle s’est appuyée très fortement sur le siège avant ce qui a fait un bruit monstrueux. Elle faisait en sorte que mon sexe s’enfonce le plus possible en elle, en même temps elle contractait tous ses muscles pour mieux immobiliser mon sexe.
Avec tout ce que me prodiguait Muriel, je n’ai pas pu tenir plus longtemps, j’ai au moins envoyé six ou huit giclées au fond de son trou noir. Nos jouissances se sont suivies de quelques secondes et tout comme Sandrine, Muriel m’a planté ses ongles dans les bras; vous savez, un peu comme le font les chats, sur les couvertures, les oreillers voire nos cuisses quand ils sont heureux. Pour se finir, Muriel a libéré mon sexe de son anus avant de revenir l’introduire dans son vagin, je commençais à avoir peur que ma liqueur dissimulée dans les entrailles de ma partenaire ne finisse par couler sur mon pantalon. Je vais vous avouer que mon sexe commençait à un peu fatiguer mais pour l’instant je continuais à prendre un grand plaisir. Contre toute attente, Muriel s’est mise à jouir une deuxième fois en quelques minutes, décidément où qu’il soit, mon sexe lui faisait de l’effet. Sur un film qui durait à peu près une heure quarante, pour l’instant j’avais dû en voir une minute ou deux. Maintenant plutôt que d’embrasser son amie, Sandrine la bâillonnait de sa main, elle préférait me réserver ses baisers.
Maintenant que tout le monde avait joui, il fallait que nous nous rhabillions et reprenions une tenue correcte. Avant de clore nos ébats, Muriel s’est chargée de me faire une deuxième fellation d’anthologie, j’adorais ses caresses car elles étaient indiscrètes. Vu ce que venait de vivre mon sexe ces dernières minutes, sa fellation commençait à être insupportable tellement je n’en pouvais plus. Mes deux partenaires m’ont aidé à me rhabiller le plus discrètement possible, de leur côté, elles n’eurent qu’à laisser retomber leur jupe car les coquines ne portaient pas de culotte. J’eus le droit une dernière fois de sucer les doigts tout pleins de cyprine de mes deux partenaires. Nos pulsions sexuelles étaient en train de retomber, nous reprenions le train de la vie normale. Nous nous sommes enfin mis à regarder le film dont nous n’avions aucune chance de comprendre le sens. Heureusement que nous venions de finir notre partie de jambes en l’air car le film était sur le point de prendre fin lui aussi.
Une fois le film terminé, nous nous sommes levés pour quitter la salle, nous avons croisé les trois personnes qui se trouvaient devant nous dans la salle. C’est sur un ton moqueur, mais avec un regard complice, que les deux femmes de leur groupe nous ont demandé si nous nous étions bien éclatés pendant le film. Sur ces propos, tous les trois avons piqué un fard, il était donc évident que nous n’avions pas été suffisamment discrets durant nos ébats au fond de la salle. En sortant du cinéma nous avons traversé la rue et nous sommes appuyés le long de la barrière du square pour rester causer un peu. Nos retrouvailles étaient en train de prendre fin, au fond de moi, j’espérai de tout cur que l’on puisse se revoir avant dix ans. Je souhaitais aussi que si un jour on étions appelés à nous revoir, elle me fasse une même surprise, une surprise aussi belle que son amie, une surprise aussi chaude que Muriel.
En espérant que cette fiction, qui donne suite à mon histoire vraie du chapitre un, vous ait plu.
Bisous à vous