En ce matin dautomne, où le soleil darde de ses premiers rayons la capitale, à peine sortie du lit, je moblige à mon heure de gymnastique et dassouplissements. Exercice indispensable à ma bonne forme tant pour la danse que pour la contorsion que je pratique assez régulièrement. Pour toi cher lecteur, si tu lignores encore, chez moi, je suis toujours à poil. Et cest bien sûr également dans la tenue dEve que jeffectue ces exercices, au milieu de ma grande terrassepour le plus grand plaisir de mes voisins toujours aussi assidus..
Ce tout début de matinée me semble bien calme. Trop calme à mon goût. Avant de commencer, debout, je menduis le corps dhuile. Mes mains sattardent sur ma poitrine. Je fais pointer mes tétons. Puis mes mains descendent sur mon ventre, mes hanches, mes fesses, les couvrant uniformément dune huile bienfaitrice. Je massoie et fait courir mes mains, étalant le produit sur mes jambes. Jécarte les cuisses et en caresse lintérieur en remontant vers ma chatte que mes mains viennent explorer. Jy glisse deux doigts.
En quelques secondes je suis toute excitée et je me branle sans retenue, pressant fort mon bouton pour déclencher lorgasme. Je ne vois personne derrière les fenêtres, et pourtant je sens une présence, là, qui mépieBien sûr !… cest le voisin du dessous, un petit papi très gentil qui vient parfois se rincer lil. Perché sur un escabeau posé sur sa terrasse plus avancée que la mienne, sa tête dépasse juste au dessus du sol de ma terrasse. Faisant mine de ne pas lavoir vu, je change mon programme, différant ma séance de gymnastique pour lui faire un show sur mesure. Là, assise au bord de lestrade, cuisses ouvertes à peine à un mètre de son nez, je me branle la chatte de la main puis je maccroupis en appui arrière, avançant mon cul encore plus près de lui.
Jignore si à son âge il bande encore, mais je suis sûre de lui avoir apporté un instant de joie dans sa vie si morne, aux cotés de sa rombière qui doit se douter de quelque chose lorsquelle le voit sur son escabeau, au prétexte de tailler le lierre qui pend !…
Toute occupée à me donner du plaisir ainsi quà mon vieux voisin, jentends retentir le carillon de ma sonnette. Ce doit être Pierre, le photographe rencontré lautre jour au magasin de bricolage. Il ma appelé hier pour solliciter le shooting que je lui avais proposé. Mais il est bien matinal je ne lattendais pas si tôt. Le temps de menrouler dans ma petite serviette de bain, jouvre ma porte et cest bien mon sexagénaire qui se présente à moi. Dun coup, jallume mon plus beau sourire et linvite à entrer puis à me suivre.
— Bonjour Pierre, je ne vous attendais pas si tôt !…vous prendrez bien le café avec moi !..
— Avec plaisir !..
Je linvite à sasseoir au bar.
— vous permettez que jôte cette serviette de bain. Jespère que çà ne vous choque pas, chez moi je suis toujours nue. Pierre reste un instant bouche bée, enveloppant dun regard curieux tout mon corps. Puis il me répond par une série de compliments et de remerciements qui éclairent avantageusement sa physionomie. Jadore rencontrer ainsi des presque inconnus et partager avec eux des instants de plaisir.
Notre café avalé et quelques banalités échangées, jentraîne Pierre sur la terrasse, lui proposant ce cadre pour notre shooting. Avec pour fond la verdure de mes nombreuses plantes et les canisses. Le soleil donne à fondje lui propose de se poster près de la balustrade et lui précise que je minstalle sur mon estrade de gymnastique pour dérouler mes poses. A lui de saisir linstant où je fige mon mouvement. Je dois me retenir pour ne pas lui montrer à quel point cette situation me ravie et mexcite. Déjà chauffée par mon voisin je sens couler des gouttes de cyprine sur mes cuisses. Ça ne se voit pas trop, avec la bonne dose dhuile dont je me suis enduite. Mon photographe est posté, accroupi, près à me photographier.
Malgré les poses sages que jadopte pour démarrer la séance, je vois son visage peu à peu silluminer, et ses mains tremblantes trahissent son émotioncomme il doit être heureuxPour le conforter, je lassure que poser nue devant un photographe me plait beaucoup. Il ne doit pas se douter de ce que je lui réserve. Jenchaîne les postures, et progressivement je lui fais un numéro très spécial de contorsions. Exhibant mon intimité joffre à son objectif dans la plus totale impudeur mes trous luisants de cyprine autant que dhuile et de plus en plus béants sous leffet de mes doigts autant que des poses. Cela fait maintenant un bon quart dheure que mon photographe me mitraille sous tous les angles.
Pierre nose plus se lever, tant sa bite a gonflé dans son pantalon je dois le soulager. Je lui propose un nouvel angle de prise de vue. Lui, allongé sur le dos, et moi le chevauchant, jambes écartéesdans le soleil, ma chatte et mes fesses vues den dessous. Plus que satisfait de ma proposition, il sexécute sans pouvoir cacher la bosse de son pantalon. Penchée en avant, Tandis quil se régale de gros plans sur mon cul bien cambré par la position, je dégrafe son pantalon et memploie à libérer son chibre qui se dresse à la verticale. Je maccroupis et viens en lécher le gland turgescent. Il a posé lappareil photo. Je le chevauche jusquà poser ma vulve ouverte et dégoulinante sur sa bouche. Nous nous suçons en un parfait 69. Sa langue sactive adroitement sur mon bouton moffrant un bel orgasme tandis que trois doigts visitent les parois de ma cavité avant dy inviter toute sa main, marrachant cette fois un violent orgasme. Je le branle si bien et si fort que je sens très vite monter un flot de semence qui gicle au fond de ma gorge et inonde ma bouche dun goût savoureux.
Cest assis sur le canapé, Pierre habillé et moi toujours à poil, sirotant un whisky que nous regardons maintenant sur le grand écran télé les belles photos quil vient de faire de moi. Certains gros plans révèlent des détails anatomiques qui mavaient échappés, mais que jassume totalement. Quant à la majorité des photos alternant des prises de vue très soft avec dautres très crues, elles iront enrichir labondante collection de mes book. Se confondant en remerciements Pierre mavoue quaujourdhui il en restera là et me propose galamment de minviter au resto.
— Merci Pierre pour tout !…et si tu as envie de moi pour baiser, tu reviens quand tu veux !…