Voila lhistoire dune dérive, « forcée », Il y a maintenant 3ans , je formais avec mon épouse ce quon appelle un couple parfait, mon épouse et moi travaillions dans la même entreprise, elle secrétaire de direction et moi représentant. Mon job mobligeait à être sur la route toute la semaine, avec un collègue ou seul. Il nous arrivait, mon collègue (que jappellerai Marc) et moi de sortir , et même quelquefois de rentrer tard et bien éméché, au point doublier le déroulé des soirées.
Un soir de retour au foyer , jai senti lambiance assez tendu, sans trop comprendre je faisais le dos rond tout en cherchant à savoir ce quil se passait, jai eu assez vite la réponse , au moment de passer à table il y avait une enveloppe sur mon assiette, un courrier que mon épouse avait reçu durant mon absence, je louvris et là au surprise des photos en grand format, on my voyait nu un verre à la main entouré de mon collègue en slip et de quelques dames tt de cuir vêtue, je passais à la suivante et là, stupeur jétais à quatre patte en train de sucer mon collègue , et avec lune des dames harnachée dun énorme sexe en train de menculer, je semblais y prendre grand plaisir.
Je suis resté stoïque face à cet aveu, qui avait pu envoyer ça ?
-tu ne me demandes pas doù ça vient ?
— ben si
-Ton patron
— le salaud
— cest tout ce que tu trouves à dire pauvre salope
-jétais bourré
-ben voyons
-pardonnes moi ce nest pas mon penchant je taime, je ne suis pas homo !
-j-ai une solution, tiens jai un cadeau pour toi.
Elle me tends un sac, je l ouvre, et découvre une cage de chasteté
-dorénavant tu porteras ça toute la semaine
-oui chérie
— pas de chérie appelle moi Madame, tu seras ma lopette dailleurs je tai laissé un peu de linge à laver pour demain.
— oui tout ce que tu voudras
-plus de « tu » non plus
-tout ce que vous voudrez Madame
–et je veux te voir nu à la maison quil y ai du monde ou pas, bonne nuit je vais me coucher je te laisse la vaisselle
Dés le lendemain matin je me présentais, nu devant elle
-bonjour, bon je vais te mettre ta cage , de toute façon ta queue ne servira plus
Je mis la cage , quelle cadenassa puis garda la clef ;
-allez file a tes tâches, je me dirigeais vers la machine à laver pour laver le linge
-tu plaisantes, le linge tu le tris, mes dessous tu les laves à la main.
— attends suis moi avant je vais au toilettes
Je la suivis , elle sest retournée face à moi
-retires moi ma culotte, avec ta bouche
Je mexécute , j attrape lélastique de sa culotte puis entame une descente , mon nez caresse sa chatte humide
-dépêches toi
Puis elle sest assise sur la cuvette les jambes écartées moffrant la vue de sa chatte urinant, une fois terminé elle se lève
-allez essuies moi avec ta langue
Je ramasse les dernières gouttes de son urine, cest raide mais jy prends plaisir et ça se voit
-mais elle aime ça la pute, la prochaine fois je pisserai dans une bouteille et cela fera ton petit déjeuner
-Oui Madame, merci
Ce Dimanche se passa au labeur , ménage , lessive , cuisine, mais aussi pédicure, coiffure de ma Maitresse, Je navais pas vraiment le choix
Le lendemain matin je devais partir en Province, avec mon chef (Marc) celui que javais si bien sucé
-Bonjour Bonniche bien dormi,
— Oui Madame
— pas besoin de préparer ta valise je lai faite pour toi, mais avant jai une autre exigence
-ah
-oui déshabille toi et viens dans la salle de bain
Je mexécute
-tiens enfile ça
Elle me tend une petite culotte en voile noire mais aussi un tampon et une serviette périodique
-allez tend ton petit cul de salope et enfile ce tampon
Je me penche en avant et enfile bien maladroitement ce tampon cela me fait une drôle dimpression en marchand ce qui commence a me provoquer une érection bien vite contenu dans la cage et cela est bien moins rigolo..
— bien maintenant apprends a mettre une serviette dans le fond de ta culotte
elle est effectivement assez grosse on va surement la deviner sous mon pantalon mais bon
allez maintenant rhabilles toi et va déjeuner je tai préparé ton petit déjeuner.
Je redescend puis me dirige dans la cuisine , et la trône sur la table une chope a bière 50 cl dun liquide jaune pâle
-Bois cul sec
Japproche mes lèvres lodeur est assez acre puis je commence à boire, quand elle tiens le verre pour que je boive tout dune traite ça coule sur moi , ma chemise est souillé .
— je vais devoir aller me changer madame
— ah non tu nas qua boire proprement
Elle mattrape la tête et la plaque sous sa jupe allez embrasse la et dégage je tai assez vu pétasse
Je ne demande pas mon reste et charge le sac quelle ma préparé avec la hâte de me retrouver au premier parking pour me changer.
Au bout de 50 kms un parking, je marrête prend le sac et me dirige vers les toilettes et arrivé là je vais pour ouvrir le sac stupeur un cadenas je nai jamais mis de cadenas cest elle qui la mis
De rage je prends mon téléphone et lappelle
-allô ?
-oui , un soucis ?
-euh non !
-je sais pourquoi tu appelles tu as voulu te changer mais le cadenas te linterdit..
-oui
-Oui MADAME
oui Madame
-Eh bien tu la demanderas a ton chef je viens de lui donner au bureau, avec la clef de la cage
Je lentendais rire à lautre bout
-tu nas pas fais ça !
-non mais je commence a le regretter, de toute façon tu nas pas de change, dans le sac il y a des serviettes hygiénique des tampons, un pantalon femme, et des chemisiers blancs transparents, bien sur des culottes propres que je tai acheté
-Non pas ça
-si, rappelle toi nous avons un pacte si tu le romps je te balance au boulot
Bien Madame, jétais abasourdi
-de toute façon je ne crois pas que tu puisses le cacher très longtemps, je ne tai pas dit mais je vous ai réservé une chambre pour deux, jai dit a Marc quil ny avait plus de place nulle part.
-daccord
-daccord qui ?
-D’accord Madame
-on dit merci, je tai tout préparé
-Merci Madame
-allez je te laisse, bonne baise les amoureux
La suite très bientôt
