Les semaines suivantes nous ne nous sommes pas vu, nous échangeons des snaps et des messages tous les jours.
Avant d’avoir mon appartement j’ai habité chez des amis de mes grands-parents et nous en profitions. Il me regardait tous les soirs su WhatsApp, j’exécutais ses moindres désirs, dans le bain, dans la chambre. Un soir il m’envoie une vidéo d’une femme qui s’empale sur une bouteille. J’essaie devant lui, ça l’excite. Ce n’est pas jouissif mais j’aime découvrir de nouvelles choses. J’aime lui faire plaisir. Avec le manche d’une brosse à cheveux qui me sert de godemichet je me caresse le clitoris, je fais des va-et-vient dans ma chatte en manque de bite. Il veut me sodomiser, pour cela il me dit de me préparer, je commence par un doigt, doucement je découvre cette sensation très excitante et inconnue. Ensuite, toujours devant lui je pénètre mon anus de mon godemichet improvisé, j’aime ça. J’effectue des va-et-vient et insère un doigt dans mon vagin. La double pénétration me fait du bien, je me termine violemment avec mon manche de brosse dans ma chatte dégoulinante.
Chaque soir, il me regarde, chaque soir il se caresse discrètement alors que sa femme est à côté. Le lendemain il m’ordonne de trouver plus gros, il veut me voir remplie. Avec un tube de crème plus gros je recommence la double pénétration. Ça lui plait, ça me plait.
Un soir il est censé bossé tard et comme à mon habitude je le harcèle pour l’exciter. Ce soir-là sont meilleur pote nous grille. On décide de faire une pause afin qu’il ne dévoile pas notre aventure au grand public.
Environ 2 fois par semaines je passe à Roubaix, je fais 30 minutes de métro juste pour boire un café au bar du coin, depuis lequel je vois son lieu de travail. Je passe devant comme si de rien n’étais, espérant le voir ou qu’il me voit. Il me manque, je me sens vide, fade, insipide.
Une fois de temps en temps j’entre dans le salon de tatouage et discute avec sa femme l’air de rien. En fait, je veux juste le voir, sentir son parfum, le toucher.
Un soir nous recommençons tout doucement à nous renvoyer des snaps, Je reprends goût à ça et reprend vite mes habitudes.
J’ai envie qu’il me pique, je pense à un projet et passe en parler à sa femme. Mais je ne veux pas que ce soit elle qui me pique, alors je réfléchis à un plus gros projet, quelque chose de plus parlant et là enfin elle me dit de voir avec lui.
Ce soir-là je le snap en lui demandant s’il est intéressé pour me regarder me toucher. Pas de réponse. Un peu plus tard j’appelle la police, un individu toque à ma porte en pleine nuit.
J’appelle mon tatoueur, je veux entendre sa voix, je suis tétanisée par la peur et il me rassure l’air de rien.
Le lendemain après être allée au commissariat et en cours, j’ai peur de rentrer seule chez moi. Mon homme me dit d’aller l’attendre chez notre tatoueur, c’est avec plaisir !
En arrivant cet enfoiré gagne un paquet de M&M’s car il avait parié avec son apprenti que j’allais venir.
La journée passe, je suis calme, il me torture avec un défi : ne plus parler. En bonne soumise j’obéis. Si je gagne, je lui donne un défi, si je perds il me donne un défi. Il en profite pour me tester, devant tout le monde il me met une énorme claque sur la cuisse. Hmm’ ça me plait. Je ne dis rien, il recommence, plus fort. Hmm’ c’est trop bon, je laisse échapper un gémissement et perd mon défi.
Sa femme s’en va, les deux clients partent 10 minutes retirer de l’argent pour le payer. Je me retrouve seule avec lui et son apprenti. Soudain il me dit devant l’apprenti « fais-moi une pipe » Je suis très gênée et lui réponds non, je ne comprends pas ce qu’il fait et ça le fait rire, il lit à haute voix les derniers snaps que je lui ai envoyé
« Je veux que tu m’attaches, que tu me prennes, fais de moi ta soumise ». Je sors fumer une clope, un peu déboussolée je me demande si l’apprenti est au courant. Je continue à faire semblant 5 minutes puis il me choppe, m’embrasse, me caresse. Voilà, il me rend dingue, je fonds et me laisse faire, je veux le caresser, il m’en empêche, je veux sentir son corps sur le mien, glisser ma langue sur sa verge. Il me dit que les clients vont bientôt revenir, on s’arrête et je me rhabille. En les attendant le silence est de plomb, je ne sais pas quoi dire, je ne m’attendais pas à ce qu’il dévoile notre secret à quelqu’un.
Les clients reviennent puis s’en vont après avoir payé. Je me retrouve seule avec eux encore une fois. Mon amant me rappelle que j’ai perdu mon défi et que je dois faire tout ce qu’il veut. Il sait très bien que je ferais absolument tout ce qu’il veut, il n’a pas besoin de défi idiot mais ça l’amuse.
Ils sont là assis tous les deux à me regarder. Il me dit de leur faire un strip-tease. Je proteste, je n’en ai jamais fait, je vais avoir l’air idiote. Il insiste, je me lève et me déshabille, vêtement par vêtement. Je me retrouve en sous-vêtements rouges debout devant eux.
Mon tatoueur dit à son collègue « elle est bonne hein ? », celui-ci répond oui.
Je suis honteuse mais je continue d’effectuer tout ce qu’il me demande, j’enlève tout. Et là il me dit « fais-toi jouir ». J’avoue en être incapable et il décide de m’aider.
Hmm’ voilà ce dont j’avais besoin, ses lèvres s’approchent, ses doigts se glissent entre mes lèvres du bas et me caressent. Puis il me dit de m’assoir, je suis à 1 m de son apprenti et il lui dit « Regarde comme c’est facile de la faire jouir, regarde son regard »
Il s’active, je ne tiens plus, en quelques va-et-vient de ses doigts j’ai un orgasme que lui seul me donne. Il est là à genou entre mes jambes, et me regarde, il observe chacun de mes muscles se contracter sous son assaut. De sa main gauche il me tient le cou et me plaque au fond de mon siège. J’aime la strangulation, cela renforce toutes les sensations de mon corps. L’autre homme nous regarde, et mon amant me demande s’il peut essayer, je ne suis pas d’accord, je ne veux pas qu’il me partage. Je lui réponds que s’il veut que son apprenti me touche, alors il peut. Encore une fois je vois son sourire s’élargir, J’aime lui faire plaisir.
Il s’approche, mon tatoueur passe sur le côté et m’embrasse, me caresse les seins pendant que son apprenti glisse deux doigts en moi. Il a de plus petits doigts et n’ose peut-être pas me pilonner, c’est plus doux, plus hésitant mais j’aime ça, j’aime faire plaisir à l’homme que j’aime et ce n’est pas désagréable !
Lorsqu’il s’arrête de m’embrasser l’autre s’arrête aussi de me toucher, il me dit de me rhabiller, je m’indigne ! « C’est tout ?? ? »
Mon amant décide alors de me finir dans la salle de bain, contre l’évier je pose les coudes et me cambre, je sens sa langue contre mon clitoris, mon anus. Il insère un doigt dans mon petit trou, je m’attendais à ce qu’il me prenne avec sa grosse queue, mais il a préféré me finir avec ses doigts, deux ou trois doigts me pilonnent, me défonce le vagin, provoquant des spasmes délicieux. Je murmure son prénom entre deux souffles, whouaou j’en suis dingue, je l’aime, je le veux, et je jouis une dernière fois Hmm’, je me rhabille, mon copain va arriver dans une dizaine de minutes. J’ai la bouche rouge à cause de sa barbe, les cheveux en fouillis et les jambes qui tremblent. Je m’humecte les lèvres, j’ai encore le goût de sa bouche Miam !
Un peu avant que mon copain arrive, mon amant me demande si je suis amoureuse de lui, je lui dis que non, ce à quoi il répond « cool ».
Je ne vois pas ce qu’il y a de cool là-dedans, il voulait me voler mon cur, il l’a fait et maintenant il ne veut que du sexe ? Légèrement perdue j’attends sagement mon copain et repars avec lui.
Cette nuit-là j’ai rêvé de lui, de ce qu’on avait fait, j’aime être avec lui, et finalement me résous à n’être pour lui qu’une soumise, qu’un plan cul sans sentiments.
Maintenant que son apprenti est au courant nous allons pouvoir faire beaucoup plus de choses, j’ai hâte de voir ce qu’il va faire la prochaine fois… Vendredi je décide de m’acheter un jouet, un gros godemichet rose vibrant. Je lui envoie des snaps de mon nouveau jouet dans ma bouche, vibrant contre mes seins, contre mon clito puis en moi. Je veux le revoir mais en attendant il part en voyage, je vais profiter de ces jours-ci pour maîtriser mes sentiments et peut être oublier la douce morsure de ses aiguilles…