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Plongée libertine – Chapitre 3

Plongée libertine - Chapitre 3



Nous nous dirigeons donc tous les trois vers les douches. Je dois bien dire qu’il a un sexe de taille très honorable, je pense que lorsqu’il est en pleine forme, il doit me dépasser. Son corps est harmonieux, il semble plus jeune que nous d’au moins cinq ans, allure sportive et traits fins. Nous nous savonnons, il se colle à toi, j’en fais de même. 

 Tu es comme prise en sandwich sous la douche, moi devant, lui derrière, nos sexe, durs, tout contre toi, nos mains baladeuses sur toi, nos bouches sur ta peau. Moi sur ta bouche, lui sur tes épaules.

 Tu fais cesser notre petit manège pour nous devancer de quelque pas, coup d’il coquin en arrière, l’air de dire : « allez les enfants, on y va maintenant, ça suffit de jouer ».

  

 Nous voilà dans la première pièce libre que nous avons trouvée ouverte : Assez sombre, pas trop de miroirs, un grand lit / matelas avec un passage tout autour (aucun côté du lit n’est collé à un mur).

  

 Tu t’allonges au centre du matelas, les jambes écartées, les talons près des fesses, une sorte de position du lotus, mais allongées.

  

 

–         Allez, continuez à me faire du bien en vous occupant de moi, c’est bon.

  

 Je regarde notre invité, nous nous sourions, et nous avançons vers toi. Je lui fais signe de me suivre et d’effectuer les mêmes mouvements que moi. Est-ce pour me rassurer, est-ce pour te donner plus de plaisir, est-ce pour lui montrer que j’ai l’ascendant, ou lui montrer qu’il n’est « que » l’invité certainement un peu de tout ça. C’est la première fois que je « te partage ». Je suis terriblement excité, mais j’ai peur de ne pas aimer, peur que tu n’aimes pas, peur de te choquer si j’aime, tout se bouscule dans ma tête.

 Pour me rassurer pour le coup, je suis certain que c’est pour cette raison à 100 % – je te rappelle au creux de l’oreille, que tu arrêtes quand tu le souhaites, il n’y a qu’à le dire ou me faire signe.

  

 

–         Ne t’en fais pas mon chéri, moi aussi j’en ai envie, mais j’appréhende un peu. Tu as bien refermé la porte ?

  

 Je vais vérifier et te confirme que oui. Nous ne serons pas dérangés. Heureusement que le verrou est mis, tes cris et gémissements des minutes à venir vont attirer du monde qui tentera à plusieurs reprises, mais sans insistance, d’ouvrir

 Notre nouvel ami, John, et moi prenons place chacun sur un de tes flancs. Je lui montre donc le chemin à suivre.

 J’embrasse d’abord ta poitrine, délicatement, puis je la caresse du bout de mes mains. John m’imite immédiatement sur ton sein droit. Il imite chacun de mes mouvements, flattant ton flanc droit pendant que je m’occupe du gauche.

 Je fais glisser mes mains sur ton buste, tes côtes, je vais de ton cou à ton entrejambe, mais je m’arrête juste avant. Mes lèvres imitent mes mains, je recouvre ta peau de délicieux baisers.

 Je change de place, et je viens m’asseoir du côté de tes jambes. Je pose ton talon gauche sur mon épaule, et je fais glisser mes paumes, de ta cheville à ton aine, John, continue de m’imiter et prodigue le même traitement ta jambe droite.

  

 Tour à tour, nos doigts s’approchent de ton désir brûlant. Ton souffle indique, sans le moindre doute, combien tu te languis que nous allions plus loin. Mais je veux faire monter encore ton désir avant d’aller plus en avant.

  

 Je commence donc à effleurer ton entrejambe, sans aller jusqu’à tes  grandes lèvres, mais j’en suis tout pres. J’enlève ma main pour rediriger mes caresses vers ta cheville et John descend à son tour ses doigts vers ton puits d’amour. Il se rapproche sans toucher sa cible. Nous enchaînons ainsi un petit instant jusqu’à ce que je lui fasse signe de la tête et qu’il vienne poses sa main à plat sur le côté de ta petite chatte, je fais de même de l’autre côté. Nous n’avons même pas besoin de te toucher ou de te goûter pour voir à quel point ce traitement t’excite.

  

 Nos mains se plaquent sur toi, et d’un lent et délicat mouvement, nous écartons ton sexe pour en découvrir les moites profondeurs. Je glisse un doigt sur te fente humide, John enchaîne également cette caresse. Nous recommençons, tour à tour, chaque fois, notre caresse est un peu plus appuyée, et à chaque fois nos doigts glissent un peu mieux. 

  

 Cette fois, avant de glisser sur toi, je me glisse d’abord en toi. 

  

 Doucement.

  

 Une première phalange, puis je ressors. Une nouvelle fois notre partenaire de jeu m’imite à la perfection.

  

 Une deuxième phalange, et je ressors pour aller titiller ton clitoris, sensible comme jamais.

  

 La troisième phalange ensuite, et voilà tout mon doigt en toi, la paume de ma main recouvrant ton sexe.

  

 Je ressors mon doigt, et j’observe attentivement John prendre possession de ton désir. Il glisse son doigt en toi, tu gémis de plaisir, j’en bave d’excitation. Cette fois-ci, sous le coup de son envie, ou à l’écoute de tes réactions, il ne m’imite pas exactement. 

 En effet, il amplifie sa caresse, se retire très lentement, et recommence cette caresse trois ou 4 fois de suite, tout en te malaxant ta poitrine de l’autre main.

  

 Lorsqu’il retire son doigt, j’approche ma bouche pour te lécher. John ayant maintenant pris place à ta gauche, tu empoignes sa bite dressée. Tu entames de douces caresses.

 Je te lèche, il caresse ton clitoris, tu le masturbes, c’est délicieux !

  

 Je fais durer un peu cet instant tant j’apprécie la saveur de ton nectar. 

  

 Puis, je jette un coup d’il à John, et nous intervertissons nos positions. Chacun prend la place de l’autre, sa bouche et sa langue viennent se ficher tout au fond de toi. Tu glisses ta main sur sa tête pour le plaquer encore plus, signe qu’il sait s’y prendre et te donner du plaisir. 

 De l’autre main, tu empoignes ma queue, et approche tes douces lèvres pour me lécher et me sucer.

  

 Je suis au supplice ! Non pas parce que quelque chose me dérange, mais au contraire parce que j’essaye de ne surtout pas jouir tout de suite.

  

 Cette fois ci, c’est toi qui nous demandes d’intervertir. Une fois que nous avons effectué ce que tu désires, tu te mets également à sucer John alors que je te lèche comme tu aimes.

  

 Quelques instants de ce traitement suffisent à déclencher en toi de petits orgasmes. Je sens, à travers ma langue et les doigts que je glisse en toi, les petites contractions, signe manifeste de ton plaisir.

  

 Puis, comme épuisée, ou saoule de plaisir, tu t’assieds doucement sur le matelas.

  

 

–         Merci John, c’était délicieux, mais on va s’arrêter là pour le moment.

 –         Ok, merci à vous deux, c’était exquis, peut-être à plus tard ou à une autre fois.

  

 Nous nous retrouvons tous les deux dans cette grande pièce, je te prends en levrette, en poussant tout doucement mon gland au fond de toi. Puis je le ressors, et recommence ainsi de nombreuses fois tout en faisant attention de ne pas dépasser mon seuil d’extase.

  

 Tu gémis, à la limite des cris, mais je décide de nous arrêter là afin que nous retrouvions non esprits, et allions nous rafraîchir.

 Nous sortons et nous dirigeons vers le bar, non sans que je t’ai enlacée avant.

  

 

–         Je t’aime mon amour, tu es si belle lorsque tu prends du plaisir.

 –         Merci mon chéri, moi aussi je t’aime.

  

 Nous voici de retour dans la salle principale, le bar. Nous prenons chacun un verre pour nous rafraichir, puis tu commandes un café pendant que je vais chercher des cigarettes au vestiaire.

  

 Je te retrouve dans le fumoir, tu es seule et manifestement pensive.

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