J’arrive par le train de 19h35. L’homme qui n’a pas pu détacher son regard de moi depuis qu’il est monté dans mon wagon trois stations avant le terminus me tient la porte de sortie. Je m’avance et lui adresse un sourire qui se veutchaleureux. Il me retient par le bras.
— « Où allez-vous ? Je peux peut-être vous déposer quelque part ?
Alors toi, jolie gueule, saches que je ne suis pas certaine que quelqu’un d’autre que toi, ici, dans cette ville, à ce moment précis, ait autant de chance que ta ravissante personne a moins quepeut être celui qui m’attends sur le parking ? J’espère qu’il appréciera mon dernier coup de folie On ne peut pas dire que cela le surprenne vraiment, je l’ai prévenu, lors de nos longs échanges épistolaires ; je suis imprévisible et je lui ai demandé s’il pourrait amener un ami pour partager quelques moments d’extase.
— Je serais ravie que tu m’accompagnes. Seulement quelqu’un m’attend déjà. Regarde ! Je crois que c’est lui !
— Mais vous ne savez pas qui c’est ?
— Si ! Enfin, pas entièrement
— Mais expliquez-moi !
— Je ne connais pas son visage et lui n’a jamais vu le mien.
L’homme que j’ai repéré sur le parking nous scrute. Il reconnait, je le sais, ma silhouette. J’ai fais en sorte de me parer de façon à ce que l’on perçoive bien mes courbes une jupe courte qui moule bien mon petit cul rebondi, et un top collé à ma poitrineMes cheveux longs sont détaches, il ne peut pas avoir de doute.
Je prends la main de mon compagnon de voyage et l’entraine avec moi. Je regarde P. avec insistance en m’avançant vers lui. Il me sourit. C’est lui. Celui qui me rend dingue à distance depuis 6 mois maintenant. Lui qui expose sa verge exceptionnelle à la vue de milliers de fans, faisant d’elle l’héroïne de nombreux récits érotico-porno ou de courtes vidéo qui m’ont bien fait mouiller
Il s’avance vers nous.
— Tu ne m’avais pas dit que tu viendrais accompagnée ?!
Je sens une pointe de déception dans sa voix. L’homme a mes cotes regarde le sol, il n’est pas très à l’aise. Je sens qu’il pourrait m’échapper
— Oh ! P. ! Ne m’en veux pas ! Je n’ai pas pu résister. Ce jeune homme m’a observé pendant une demi-heure dans le train, sans relâche ! J’ai pensé qu’il pourrait être au moins spectateur de notre rencontre !
Pour me faire pardonner, j’enlace P. et le sers contre moi. Je fais en sorte de me cambrer pour sentir la naissance de son sexe contre mon ventre. Il se retire, gêné, en regardant autour de lui. Je sais qu’il est discret, parce que toute la ville le connait à cause de ses activités. Je ris, amusée de le voir si embarrassée.
— En même temps, ça ne m’étonne pas de toi ! Tu en veux toujours plus !
Mes yeux se posent sur la bosse de son pantalon ; il bande ! Mon petit numéro fonctionne à merveille. Je lui adresse mon sourire le plus aguicheur :
— Allez, maintenant on va chez toi ! Jeune homme, tu montes avec nous ? Je te raccompagnerai plus tard à ta voiture !
Il me suit sans broncher. Je lui ouvre la portière arrière. J’hésite.
— Tu montes à l’avant. Dis P. Hors de question que je manque quoi que ce soit. Ce petit libidineux va te débarrasser de tes fringues pendant que je conduis. Il va falloir que tu me la mettes sous tension, je veux qu’elle arrive à la maison excitée et bien mouillée
Il ne se fait pas attendre. Il glisse sur la banquette arrière jusqu’à se trouver derrière mon siège. Il met ses deux mains autour de mon cou, et commence à me caresser. Ses mains dessinent des petits cercles sur ma nuque, sur mon décolleté, une main plonge et s’empare de mon sein gauche, qu’il malaxe l’autre main sort brusquement le second de mon soutien-gorge, le faisant pointer dehors. Mes tetons sont déjà tout durs ! Cette situation me rend folle, je vois ses mains me besogner la poitrine dans le miroir de courtoisie, il presse mes tetons P. n’a même pas encore essaye de démarrer la voiture. Il est hypnotise par ce qui se deroule sur le siege à cote de lui. Il se penche, et vient aspirer mon mamelon gauche. Puis il réalise :
— Doucement ! Pas ici !
J’appuie sur sa tête pour qu’il me reprenne en bouche.
— Tais-toi et baisez-moi ! La nuit tombe dehors, personne ne fait attention
Mais il démarre. Je tends alors le bras et pose ma main sur la bosse, toujours présente, encore plus visible. Je la caresse, je sens que sous les vêtements, mon nouveau jouet, tant attendu, se tend Je sers ma main dessus. P. me regarde du coin de l’il.
— Tu sens comme elle se déchaîne ? Elle te veut ! Elle me fait mal ! dit-il.
Le bel inconnu semble très concentre. Il n’oublie pas un centimètre carre de peau. Pendant qu’une de ses mains me caresse le ventre, l’autre continue de tirer sur mes seins. La première passe soudain la frontière de ma ceinture. Il enfouit sa main toute entière dans mon string ! Doucement, du bout de l’index, il commence à agiter mon clitoris, déjà bien bande par ses caresses.
P. pose sa main sur ma cuisse. Il remonte, jusqu’à soulever ma jupe. Ses doigts viennent titiller l’entrée de ma grotte, qu’il a tant convoite et explore virtuellement des dizaines de fois.
— Tu ne m’as pas trompé sur la marchandise ! Tu dégoulines, une vraie fontaine ! Doucement jeune homme, elle va inonder le siège de ma bagnole ! Regarde comme elle prend son pied !
Il n’en faut pas moins pour exciter davantage notre invite surprise. Il branle mon clito comme un damne.
— Tu me fais bander comme un fou ! J’ai envie de ta petite chatte
— Tu attendras ton tour ! Dis P. Une fois arrives a la maison, tu n’auras que ta main pour te branler. Je veux la prendre par tous les trous avant de t’autoriser quoi que ce soit. La seule chose qui te sera permise en attendant sera de jouir sur son corps quand tu n’en pourras plus.
Ses paroles m’excitent. J’aime comme il prend les choses en main. Directif, dominant, la petite soumise qui sommeille en moi frissonne de désirs
