Sylvie, superbe blonde de vingt deux ans, sort de la piscine, et commence à se sécher. Elle va se changer dans un abri prévu à cet effet. Elle admire son corps dans la glace, se seins magnifiques hauts perchées, son minou fraîchement épilé. Une bombe.
Tout près, le couple de dobermans, Safran et Lady se prélasse, à l’ombre du murier platane.
Soudain, le téléphone sonne. Sylvie s’enroule dans une serviette, et se précipite au salon. Lady, surprise, part après elle. Arrivé près de l’appareil, la sonnerie s’arrête. En se retournant, elle reçoit Lady de plein fouet, qui, voulant s’amuser, la projette sur la moquette. La serviette s’ouvre. Sylvie prend appuie sur ses coudes. Suite à la chute, les jambes se sont largement écartées. La chienne fixe la chatte de la jeune femme en se passant la langue sur les babines.
-Mais ça va pas Lady, dit Sylvie. Qu’est-ce qu’il t’arrive? Tu as eu peur? Mais c’est juste le téléphone.
La tête de Lady est déjà entre les cuisses de sa maitresse, et renifle la fente.
-Lève toi de là, tu entends, allez, couché, gronde Sylvie.
Sylvie saisit la chienne par les oreilles et essaie de la repousser. Mais Lady a plus de forces qu’elle. C’est un combat inégal qui s’engage. Petit à petit, Sylvie perd pieds. A plusieurs reprises, la langue râpeuse lèche les lèvres de Sylvie, jusqu’à décalotter le clitoris. Elle tente une nouvelle fois de repousser les assauts de la chienne, mais la sensation qu’elle sent entre les jambes, l’agréable chaleur qui se consume au creux de son ventre sont plus fortes. Lady a compris. Elle accentue ses léchages, vrillant même sa langue pour fouiller à l’intérieur du vagin.
-Oh mon dieu, gémit Sylvie, tu es vilaine. Qu’est-ce-que tu fais à la petite chatte de maman? C’est bon tu sais, ha…ha… Vas-y, gouine moi ma chérie…Bien sur le petit bouton là…oui.
Sylvie se prend les seins en hurlant de plaisir. Lady, pensant avoir fait mal à sa maitresse, lui lèche le visage, puis docilement, se couche à côté d’elle.
Sylvie, remise de cet intermède érotique, prend la tête de Lady, et l’embrasse. Puis, elle se dirige vers la salle de bains pour prendre une bonne douche. Quand elle en ressort, elle regagne sa chambre pour s’habiller plus décemment. Elle ôte son peignoir, et se retrouve toute nue. Elle s’assied sur le lit, et met ses mains sur son visage.
"Mon dieu, se dit-elle, comme je me suis faite sucer, quelle garce je suis".
Sylvie sent une présence dans la chambre. Elle ouvre ses mains et aperçoit les deux molosses assis devant elle. Elle remarque la bite de Safran à moitié décalottée. Les pensées les plus folles traversent son esprit.
-Alors mes bébés, on surveille maman. Toi, je te suis fâchée Lady. Tu as été polissonne avec moi.
L’odorat du chien est, en général, très développé. Si Sylvie s’est bien lavée, l’odeur de mouille ne leur échappe pas. A voir les rotations de langues sur les babines de Safran, Sylvie comprend qu’il a envie de quelque chose. Il s’avance, se dresse devant sa maitresse, et appuie ses deux pattes sur sa poitrine. Sylvie bascule sur le lit, jambes ouvertes. Elle sent la queue de Safran devenue énorme butter contre sa chatte, encore humide. Elle tente de repousser le chien en le prenant sous les aisselles, en vain. Le poids de l’animal est trop important pour elle.
-Pas ça Safran, supplie-t-elle, tu as une chienne toi. C’est pas bien ce que tu fais.
Mais la queue a commencé à s’introduire entre les lèvres de sa maitresse. Il entame de brusques va-et-vient dans la chatte de Sylvie. Celle-ci hurle de douleur. Impassible, Lady, assiste à la scène.
-Aie…aie…Arrête Safran, implore-t-elle, tu me fais mal…aie…Tu es fou, assez…assez…
Comme si elle la plaignait, Lady s’avance de sa maitresse et lui lèche le visage. Petit à petit, la douleur qui jusque là lui tenaillait les entrailles, s’estompe pour laisser la place à une agréable sensation de plaisir. La queue du chien est enfoncée jusqu’au knot. La boule est énorme.
-Ha…Salaud, comme tu me niques mon chien. Vas-y, régale ma petite chatte…ha…il te nique comme ça Lady? Quelle chance tu as…Quel coup de queue…putain…comme je suis en train de me le faire mettre…oui.je joui…oui…
Sylvie ouvre la bouche et embrasse Lady. Sa langue est happée par celle de la chienne. Un baiser de feu. Pendant ce temps, Safran vide sa semence dans la chatte de sa maitresse. Il se retire, la queue pleine de mouille, pousse Lady, et vient se placer en face la bouche de sa patronne. Sylvie a compris. Elle saisit la queue, et commence à la sucer. Lady, elle, s’est mise entre ses jambes, et lui nettoie la chatte.
Sylvie va se faire prendre tout l’après-midi. Le couple de dobermans a décidé de jouer avec elle, de la faire hurler de plaisir. Elle offre même son petit trou pour que Safran l’encule. Puis, épuisée, les yeux cernés, elle s’écroule sur le lit. L’après-midi a été torride, intense, riche en découvertes sexuelles. Sylvie a pris gout aux rapports zoophiles. Le matin, quand son mari est parti au travail, elle ouvre la baie du salon, et fait rentrer les deux chiens. Elle s’accroupit devant eux, et les embrasse sur la bouche. Puis, l’instinct prend ses droits. Safran passe son museau sous la serviette, et renifle la chatte. Lady arrache le vêtement. Sylvie se retrouve nue. Puis, lentement, les trois amants regagnent la chambre.