Me voilà sous la douche, nettoyant le sperme qui coule encore le long de mes jambes. Je me rend compte qu’il devait être super excité pour avoir juté autant de semence.
Je décide pour "effacer" toutes les traces de sperme de me faire un lavement. J’avais lu un ou deux articles sur le net, mais jamais je ne l’avais fait. Je dévissai le pommeau de la douche, et pris le tuyau en main. Jécartai les jambes et le plaçai sous mon anus. Je fis attention à ne pas m’envoyer de l’eau brûlante ni glacée dans le trou. L’eau arriva, tiède, je plaçai le tuyau en contact avec l’anus et la pression de l’eau l’ouvrit sans trop forcer.
Je ne sais pas trop ce qui coula, caca, sperme ou autres. Mais je me sentis propre de l’anus à la fin.
Je sortis de la douche et retombai nez à nez avec le père de Gad. La conversation fut banale, néanmoins je surpris plusieurs fois son regard sur mes jambes. Avait-il finalement remarqué la coulée de sperme ? Gad avait-il vendu la mèche de nos ébats ? Je n’en savais rien et la confusion me gagna. Je pris congé…
Je redescendis dans la chambre. Gad était entrain de s’habiller.
"Je vais prendre mon petit-déjeuner, rejoins moi en haut" me dit-il.
Je fis de même et le rejoins. Son père était à table. Il excusa sa femme de ne pas être là, elle fait son footing avec ses amies en ce moment même. Le petit-déjeuner fut long, rythmé de phrases à connotations plus que sexuelles et de clins d’oeil d’Eric (le père de Gad) vers moi. Je fus mal à l’aise. Gad quitta le premier la table et alla prendre sa douche. Intérieurement, je le haïssais de me laisser seul avec son père.
Celui – ci ne fit pas durer le suspense. Il avait entr’aperçu le sperme ce matin, et son fils lui avait parlé d’un plan cul génial il y a peu. Eric avait vite fait le rapprochement ce matin.
" Tu sais, Mathias, en ce moment entre la mère de Gad et moi c’est pas extra. Au lit je m’entends. " me dit-il. Je compris vite où il voulait en venir mais je décidai de le laisser parler. Surtout que j’étais tétanisé à l’idée qu’il soit au courant. Rapidement, il me fit comprendre que si mes parents devaient apprendre mon homosexualité, ou plutôt ma bisexualité, ce devait être de ma bouche. Alors comment réagiraient-ils s’ils l’apprenaient de la bouche du père du meilleur ami de leur fils ?
Son plan était assez bien foutu je dois dire, ce qui est loin d’être le cas de l’homme qui se tient en face de moins. La cinquantaine arrivant, barde mal rasée, mal coiffé, cheveux gris, des kilos en trop à revendre. Loin d’être attirant.
"On pourrait s’arranger Mathias, peut-être que tes parents resteront dans le noir total te concernant.» Me dit-il
"Oui, ce serait préférable" répondis-je
Et là tout s’emballa. Il me fit comprendre que je devais lui procurer quelque chose pour qu’il se taise. Ce quelque chose ne s’achète pas, enfin si des fois. C’est du plaisir. Pour parler de façon cru, je devais lui faire une pipe.
Je refusai, protestai, etc. mais rien n’y fit, il ne voulu rien entendre. Et notre secret n’allait bientôt plus en être un. Il se leva, s’approcha, s’asseyant à mes cotés, et déboutonna son pantalon. Il précisa que je devais bien sûr être consentant etc. Mais je m’en foutais, il me fallait garder le secret, et pour cela j’allais sucer le père de mon amant.
Il sortit son pénis, bien dur évidemment. Il puait l’urine et était garni de tellement de poils que j’ai cru sucer mon chien. Il mesurait 18/20 cm pour 4cm de circonférence je pense. Je le pris de suite en bouche, hors de question de lui faire plus plaisir qu’une éjaculation.
Je fis quelques va-et-vient avec ma bouche, donnai des coups de langue bien placé, roulai ses testicules en main. Il me fit comprendre par des caresses dans la nuque qu’il aimait. Il prit les choses en main en me plaquant la tête de telle sorte que son pénis était rentré entièrement en bouche. J’allais déglutir quand il me tira les cheveux pour retirer ma tête.
Ce manège reprit encore 2 fois. Ce fut ensuite des allers-retours bestiaux toujours rythmés par sa main.
Il éjacula un flot considérable dans ma bouche. Je navalai pas et laissai le tout sortir de ma bouche, coulant sur mon menton, mon torse…
Je ne comptais plus le nombre d’insultes sorties de sa bouche. Je le détestais. Mais je ne dis rien, il avait un moyen de pression et il le savait très bien.
Il me poussa, se leva et cria d’aller me laver. Ce que je fis. Oui mais, Gad était dans la salle-de-bain, et quand il me vit entrer, sali… La suite bientôt.