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Premières expériences – Chapitre 1

Premières expériences - Chapitre 1



Petite présentation de ma personne, jeune homme, 20 ans, 1m85, 90 kilos, célibataire. L’histoire que je vais raconter est un fantasme.

Je devais assister à une exposition sur Paris, l’organisation s’étant faite à la dernière minute, je me suis retrouvé sur la route de nuit. Après plusieurs heures passées sur l’autoroute, je commence vraiment à être fatigué, j’ai donc naturellement cherché la première aire de repos venu pour m’y soulager et m’y reposer. Quelques kilomètres plus loin, je trouve enfin un embranchement et m’y engage.

L’aire de repos est presque déserte, seule une voiture est déjà garée, mais son propriétaire n’est pas à l’intérieur. Je me gare à proximité des toilettes, arrête ma voiture, et m’y rend directement, pris soudainement d’une envie pressante. Je prend la direction des urinoirs, tout en prenant le temps de remarquer que le ménage n’avait pas du être fait depuis un moment vu l’état du bâtiment. Je retrouve là bas un homme, lui aussi entrain d’uriner il semblerait. Je me pose à coté de lui, faute de place, et commence à me soulager.

Il faut savoir que dernièrement, niveau activité sexuelle, c’est pas la joie, et qu’il m’arrive régulièrement de toucher aux sections "gay" de certains sites pornographiques. J’y lis des histoires de soumissions principalement, et je m’y imagine à la place du soumis.

Bref, je ne sais pas pourquoi, mais je jette un coup dil à mon voisin durinoir. Grand homme, stature imposant, je baisse ma tête. Quelle ne fut pas ma surprise quand je vis que non seulement il n’est pas entrain d’uriner mais de se branler, et surtout vis à vis de la taille de son engin. Le mien est dans la moyenne, mais le sien me dépasse d’au moins 5 cm, pour une largeur assez importante. Cette image me trouble, et je ne pu m’empêcher de rester fixé sur sa bite.

Rapidement, il s’en rend compte, et m’adresse la parole : " Elle te plait ?". Sa voix me sort de ma stupeur, elle est grave, raisonnante, forte, troublante… Pris sur le fait je ne peux que bégayer stupidement en réponse. Il reprend : "Tu peux la toucher si tu veux." Sur cette phrase, il prend ma main et la pose sur sa queue, en rajoutant : "Va y, branle moi".

Réflexe mécanique, ou que sais je encore, je lui obéi, et commence des mouvements de haut en bas. Sa bite est chaude, palpitante sous ma main, m’entrainant à accélérer le rythme, je l’entends lâcher quelques gémissements. Tout d’un coup, je sens une main m’attraper par les cheveux, et m’attirer vers le sol. Je me retrouve sur les genoux, avec déjà devant moi, la matraque de mon inconnu. Il n’a pas du se laver depuis plusieurs jours, ça pue, et j’y distingue quelques morceaux blancs. Il dit : "Suce moi, chienne." Je n’ai toujours pas dit un mot depuis que l’on s’est rencontré, et pourtant je me sens complètement sous son emprise. La situation me rappel les nombreux récits érotiques que j’ai lu, ça m’excite. Je lui obéi donc, et malgré l’odeur, ouvre la bouche.

A peine ouverte, il en profite pour l’y enfoncer. Il me remplit complètement la bouche. Jamais je n’ai eu touché la bite d’un autre homme dans ma vie, et pourtant j’y prend déjà un certain gout. Je la ressort, passe ma langue autour, comme pour la nettoyer. Ce manège dure quelques dizaine de secondes, mais cela ne semble pas être à son gout. Encore une fois, il agrippe ma tête, et m’enfonce sa queue, cette fois le plus loin possible. Je sens un haut le cur venir, je me retiens de vomir. Il se retire alors, je reprends ma respiration, puis il se ré-enfonce directement. Il me baise littéralement la bouche, faisant des allez-vient. A chaque fois, je me sens au bord du vomissement, pourtant je suis excité comme jamais.

Ceci dure une dizaine de minutes, puis je le sens se raidir dans ma bouche, et venir pousser sa queue au fond. J’ai maintenant son pubis sur le nez. Je sens alors venir son sperme, directement dans ma gorge. Jamais je n’avais eu de sperme dans la bouche, pas même le mien. Pourtant, avec l’excitation, je ne rechigne pas à l’avaler. Je bande maintenant comme jamais. Il m’attrape alors par le col, me relève, et me jette dans une des cabines individuelles. Il m’arrache mes vêtements, je sens que je vais passer à la casserole, et j’aime ça.

Après avoir éjaculé, son érection est passée, je me met alors volontairement sur les genoux et le prend en bouche. Même si je n’ai pas d’expérience en la matière, je fais tout mon possible pour le rendre de nouveau dur. Il ne résiste pas au traitement, et au bout de quelques minutes, il bande à nouveau. Il s’exclame alors : "Ça va être ta fête, salope." Je ne tente pas de résister, j’en meurs même d’envie. Je me relève, et m’appuie sur le mur en face de moi. Il m’écarte les jambes grâce à ses pieds. Mon cul est découvert, et il me crache sur l’anus. Il me met deux doigts dans la bouche et dit "Suce les bien". Une fois ses doigts bien humides, il les enfonce directement dans mon cul. Aucune douleur pour le moment, juste un surplus d’excitation. Il les fait aller et venir, de plus en plus rapidement.

Je sens ses doigts se retirer, puis dans la seconde d’après, quelque chose de chaud sur l’anus. Ca y est, je vais connaitre ma première sodomie. Il tente de rentrer, une douleur m’enflamme le cul, j’essaie de le repousser, mais il force. Son sexe est énorme pour mon anus vierge. Mais finalement, il réussit à rentrer son gland, et le reste suit d’un coup. J’hurle, une vive douleur dans les entrailles. Je sens ses cuisses buter contre mes fesses. Il ne me laisse pas le temps de m’y habituer, directement il entame un va et vient. Ses couilles battent contre les miennes. Une certaine chaleur fait place dans mon cul, faisant disparaitre la douleur.

Mon excitation est à son comble, et celui de mon baiseur aussi. Il va maintenant à un rythme effréné dans mon cul, sa grosse bite m’ayant maintenant bien élargie. Il m’insulte de salope, de pute, de vide couilles, de sac à foutre, et j’aime ça. Le ramonage en règle de mon cul continue, et je ne fais plus attention au monde extérieur. Quelqu’un pourrait rentrer maintenant dans ces toilettes publiques que je ne l’entendrais même pas, je me lâche complètement et commence à faire des cris de jouissance. L’homme me prend alors chaque coté de la bouche pour se tenir, et tire ma tête en arrière. "Ta gueule, grosse pute." Je le vois alors me cracher un mollard en pleine gueule. Peu importe, je ressens toujours autant de plaisir.

Les minutes passent, j’apprécie chaque instant, chaque battement de ses couilles contre moi. Je le sens maintenant accélérer de plus en plus, j’ai l’impression que mon cul va exploser. Et puis, j’entends un râle "Aaaaah, salooooope." et un liquide brulant m’envahir le cul. Se déclenche alors le plus gros orgasme de ma vie, et sans me toucher, j’éjacule sur le sol. Il se retire alors de mon cul, laissant un vide. Il me fait retourner, et je me place accroupi, les jambes écarter, et sa tête au niveau de son entrejambe, japerçois des traces de sperme et de merde sur sa queue.. Il me recolle sa bite dans la bouche. "Nettoie la bien, pute"

Peu importe ce qu’il y a dessus, je m’applique à faire ce qu’il m’ordonne. Dans le même temps, je sens sa semence sortir de mon cul et tomber sur le sol. Une fois sa queue bien propre, il la ressort, et saperçoit de la "fuite" par terre. Il crie : "Je ne te permet de gâcher ça ! Nettoie le avec ta langue !" tout en me collant la gueule contre le carlage dégueulasse. Je sors timidement ma langue et lape le sperme par terre, mélange de mon sperme, du sien, de mes excréments et de la crasse du sol. Pendant ce temps là, mon cul est totalement exposé. Il pose alors son pied sur ma nuque pour mempêcher de bouger. Je sens quatre de ses doigts s’appuyer mon anus, s’enfoncer, puis vient le pouce. Sa progression est bloquée malgré le traitement qu’il m’a infligé tout à l’heure. Il force, la douleur revient, et finalement il arrive à passer, sa main est maintenant dans mon cul.

Il la fait rentrer et sortir, senfonçant de plus en plus. Mon cul doit être béant. Je bande à nouveau. Le massacre de mon cul se poursuit pendant plusieurs minutes, je ne suis plus que plaisir et jouissance. Je sens maintenant sa main se retirer complètement. J’écarte mes deux lobes fessiers pour lui montrer l’état de mon cul. Puis je sens un liquide chaud me couler sur le dos. Il me pisse dessus ! Le jet descend, puis finis par arriver au niveau de mon anus. Il me pisse dedans, je me remplis, je jouis encore une fois. Une fois terminé, je suis méconnaissable. Je suis nu, le cul béant, d’où s’écoule de la sperme et de la pisse, gisant au sol.

L’homme m’attrape alors par le bras, prenant le soin de récupérer toutes mes affaires. Je sens que l’on sort, il memmène dans une voiture, j’entends le moteur démarrer. Il me dit alors : "J’ai quelqu’un à te présenter. Tu va aimer ça, salope…". Je ne sais pas où je vais, je ne connais pas mon interlocuteur, et pourtant l’excitation revient. Après tout, il reste encore plusieurs heures avant que la nuit ne se termine…

A suivre.

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