« Est-ce que tu veux jouer ? »
Cest une question rhétorique. Il connaît déjà la réponse.
Il se lève et va dans sa chambre en me demandant de le suivre. Il a quelque chose à me montrer. Un objet dont il mavait parlé, un Nunchaku.
« Tu sais où jaimerais quil soit ? »
Oh que oui, je sais
Quelques minutes plus tard, en sortant de sa salle de bain, le premier ordre tombe
« A genoux.
— Là, tout de suite ? Mais tu sais, ça fait longtemps que jai pas
— Ta gueule. Je tai demandé de me tutoyer ? »
Jaime quand il se met à me parler comme ça Je magenouille, rendue docile par ce rappel à lordre.
La douceur dont il fait alors preuve est presque inouïe, et contraste grandement avec son précédent rappel. Il caresse mes cheveux, mon visage, mon cou, mes épaules et mes seins. Je commence à me sentir bien…
Il m’embrasse dans le cou tout en me chuchotant des insanités à loreille. Cette douceur mêlée à la perversité évidente de ses mots est délicieuse… Et très troublante.
Sa ceinture coulisse. Ma tête se lève pour observer le mouvement.
« Je tai demandé de relever la tête ? Baisse les yeux. »
Mes paupières se baissent, et je suis peu désireuse de le décevoir. Je murmure que oui, je suis vraiment désolée..
Il relève ma tête et me colle brusquement une claque.
« Oui qui, J.?
— Oui, Monsieur »
Passant sa ceinture autour de mon cou, il la ferme.
« Quest-ce quon fait avec une bonne chienne ? On la promène ! »
Il me tire sur le cou avec sa laisse improvisée et commence à avancer. Je nai jamais été promenée ni « tenue » par un homme. Je le suis à travers sa chambre, il sarrête et mobserve. Il me demande de poser ma joue sur le sol et de me cambrer. Jécarte mes cuisses et relève mes fesses.
Ses mains me caressent à travers le jean. Il tire à nouveau sur la laisse et nous retournons près de son lit.
Je me remets à 4 pattes. Debout, il regarde ses pieds avec insistance.
Je nai jamais non plus léché les pieds dun homme. Ce soir sera donc le soir des premières fois. Mon hésitation se fait ressentir, et il appuie sur ma tête pour mencourager. Ma langue se fait timide et saventure doucement sur le dessus de son pied.
« Lèche mieux, plus fort, sors ta langue Comme une chienne.» Je mexécute. Son « cest bien » -que je devine souriant- me prouve quil est satisfait.
Je me sens, effectivement, un peu chienne Et jaime déjà lui obéir en étant à ses pieds.
Il sassied sur le lit et je me place à genoux entre ses cuisses. Nous discutons à nouveau, je suce ses doigts en souriant, il est toujours doux avec moi, laissant courir ses mains par ci par là. Je lui lèche le cou.
Au bout d’un moment, je ne peux pas mempêcher de le « titiller » en me permettant une remarque ironique, presque narquoise…
