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Prise devant mon mec – Chapitre 11

Prise devant mon mec - Chapitre 11



Voici la seconde fin de l’histoire, beaucoup plus noire que l’autre, afin que chacun puisse choisir celle qui lui convient…

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Alexia

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  Nous avançons, Hugo et moi, dans la nef de l’église, nos familles réunies autour de nous. Le moment, longuement attendu, est magique et très émouvant. Je l’ai attendu toute ma vie. J’étais tellement impatiente de vivre ces instants exceptionnels et uniques dans la vie d’un couple

  Tout est parfait, tel que je l’ai toujours imaginé.

  Ou presque.

  Dans mes rêves d’ado, notre témoin de mariage ne couchait pas avec moi, et encore moins devant Hugo. D’ailleurs, dans ces mêmes rêves, il ne venait pas de le faire juste avant la cérémonie, ce qui fait que je n’avais pas un abondant filet de sperme encore chaud qui me coulait le long de la cuisse.

  Cela faisait plusieurs mois que ça durait, et finalement nous avions trouvé notre équilibre ainsi. Bien sûr, je soupçonnais qu’Hugo soit parfois moins chaud, mais il se réjouissait de chaque miette que Nabil voulait bien lui laisser.

Comme un petit chien obéissant.

  Je m’en voulais d’avoir ce genre de pensées, mais il était pourtant difficile de continuer à respecter mon copain dans ces conditions. Je l’aimais, bien sûr, sinon je ne me marierais pas avec lui, mais le voir aussi soumis devant Nabil

  De toute façon, je n’avais aucun droit de le juger. S’il était un toutou, qu’est-ce que j’étais, moi ?

  En plus, ce soir serait un moment important, peut-être autant que cette cérémonie, puisque Nabil nous avait autorisés à coucher ensemble Hugo et moi. Ce serait la première fois.

  Alors je sais, c’est étrange de se dire ça. Le truc, c’est que nous avons accepté d’être ses pantins, et que nous n’avons jamais transgressé ses directives. Donc, comme il nous avait interdit de coucher ensemble nous ne l’avions pas fait.

Mais ce soir

  Après la cérémonie, nous sommes partis faire les photos de couple. Bien entendu, Nabil nous a accompagnés et, bien entendu, il a fait « quelques » photos avec moi, en tant « qu’ami proche ». Par « quelques », il faut bien sûr comprendre la grosse majorité, devant un photographe ébahi. Sans doute Hugo a-t-il tenu en pensant à la nuit de noces qui suivrait, durant laquelle « quelqu’un perdrait sa virginité » dixit Nabil, avec un clin d’il appuyé à mon amoureux.

Oui : ce soir Hugo pourrait enfin me faire l’amour. Depuis le temps qu’on attendait ça !

  Nous avons ensuite rejoint nos familles pour fêter l’événement, dans une salle des fêtes réservée pour l’occasion. Notre encombrant témoin a fait un discours lourd de sous-entendus mais, à part nous qui sommes devenus rouges pivoines, j’imagine que personne n’a saisi les insinuations pourtant assez transparentes.

  A l’ouverture du bal, c’est Nabil qui est venu me chercher pour m’inviter à danser, prétextant que « c’était comme ça que ça se faisait ». Les invités étaient de moins en moins dupes, plusieurs conversations étaient visiblement critiques à l’endroit de notre couple et de notre relation avec notre « ami commun ».

  Jusqu’à quel point les personnes présentes soupçonnaient quelque chose ? Je suppose que notre mariage n’avait pas fini de faire jaser

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Hugo

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  Nabil est encore venu chercher Lexie pendant le repas, sous le regard réprobateur de la plupart des invités. J’avais déjà eu droit à deux ou trois remarques gênées de personnes qui trouvaient notre témoin collant, mais il n’y avait pas besoin de lire entre les lignes pour comprendre la réalité de l’allusion : me rendais-je compte que j’étais manifestement cocu devant tout le monde ?

Oui oui, je m’en rends compte !

  Mais comment auraient-ils pu le comprendre ?

  Cette fois, il ne jugea même pas utile de m’informer de pourquoi il venait chercher ma femme, la mariée, en plein repas pour l’entraîner à l’écart. Je gigotais sur ma chaise, mal à l’aise, espérant que ça ne durerait pas trop longtemps.

Il ne compte quand même pas la baiser, durant notre mariage, en me plantant là avec tous nos invités ?

  Pourtant, en y réfléchissant, c’était parfaitement logique. Il était même plus qu’improbable qu’il ne saisisse pas cette occasion unique de me cocufier d’une manière aussi cruelle et perverse. Il ne serait pas vraiment Nabil s’il ne le faisait pas !

  Soudain, des gémissements de plaisir ont commencé à se faire entendre depuis les toilettes. Je me suis raidi, en espérant parvenir à disparaître sous ma chaise. Il était en train de baiser la mariée, et il faisait en sorte que tout le monde le sache !

  Les réactions des invités étaient atroces : certains faisaient mine de ne pas entendre, mal à l’aise, tandis que d’autres plaquaient leurs mains sur leur bouche en un signe manifeste de dégoût. Je suppose que la plupart espéraient que ce n’était pas ce qu’ils imaginaient, que c’était trop gros pour être vrai, ou au moins que ce soient d’autres personnes qui forniquaient de manière passionnée pendant le mariage.

  Mais la vérité était évidente, et au fond tout le monde s’en doutait bien.

  Les regards sur moi se multipliaient, chacun attendant de voir ma réaction. Mais comment pouvais-je réagir ? Comment leur expliquer que cela faisait des mois que ça durait et que je l’avais déjà accepté, à tel point que tout retour en arrière était impossible ?

  Soudain mon père s’est levé, furibond, avec dans l’idée d’aller voir ce qui se passait. Ne pouvant pas le laisser découvrir la vérité, je me suis levé à mon tour, j’ai pris mon sourire le plus convainquant et je lui ai dit que j’y allais, puisqu’il s’agissait manifestement d’une blague.

  Mais personne n’était dupe

  La mort dans l’âme, je me suis donc dirigé vers les toilettes, sans me départir de mon sourire, puis je suis entré dans celles des hommes, puisque c’est de là que provenaient les cris. J’ai jeté un il à la cabine concernée elle n’était même pas fermée !

Pourquoi est-ce que ça ne m’étonne même pas ?

— Ah Hugo ! m’a accueilli Nabil, qui besognait Alexia en la tenant contre la cloison du chiotte. Je me demandais quand t’arriverais, t’en as mis du temps ! Les invités vont bien ?

  Mon teint était plus rouge que jamais, mon visage déformé par un mélange de haine et de chagrin. Pourtant, comme d’habitude, je me suis écrasé, répondant calmement.

— Je crois que ça va, je leur ai dit que c’était une blague.

  Nabil a explosé de rire.

— Ouais t’es un bon ! Une putain de bonne blague, ça c’est sûr ! Je savais que t’apprécierais mon cadeau, et ta salope de copi pardon : ta salope de femme ne peut rien me refuser !

  Alexia m’a lancé un petit regard contrit, tandis qu’elle se faisait besogner par Nabil. Je comprenais mieux maintenant pourquoi elle avait choisi une robe relativement simple : il fallait qu’elle permette ce genre d’acrobaties

  Le salopard l’a ensuite fait s’agenouiller devant lui, puis il lui a collé son sexe dans la bouche. Comme toujours, mes sentiments étaient largement ambivalents : j’étais tellement triste de voir ma femme, dans sa robe de mariée, à genoux devant son amant, mais en même temps je trouvais la scène tellement excitante !

— Ah au fait, on a un truc à t’annoncer, m’a dit Nabil sur le ton de la conversation, alors qu’il était en train de se faire sucer par ma femme dans les toilettes, pendant que nos invités nous attendaient.

  J’ai froncé les sourcils, m’attendant au pire. Déjà, je n’aimais pas du tout ce « on » dans lequel il englobait Alexia et lui.

— Lexie est enceinte ! m’annonça-t-il avec un large sourire. C’est pas génial ? Je vais être papa !

  Là, j’étais anéanti. Réellement anéanti. Toutes mes pires craintes, les aspects les plus sombres de cette sombre histoire m’ont sauté à la figure d’un seul coup. Je savais que ça pouvait arriver . Vu leur absence de protection, c’était plus qu’un risque. Mais que ça devienne concret !

Qu’était devenue ma vie ? A quel jeu étais-je en train de jouer ?

  Lexie n’a rien dit, elle s’est contentée de sucer le gros membre qui lui déformait la bouche. Sans doute était-elle inquiète de ma réaction, peut-être aussi était-elle aussi triste que moi. Au fond, je l’espérais.

  Le pire, sans doute, c’est que c’était moi qui étais revenu chercher Nabil ! Alexia l’avait chassé, elle avait mis fin à cette folie, et moi j’avais de nouveau sauté dedans à pieds joints ! Tout ça pour sucer une bite, comme s’il n’y avait pas d’autres moyens pour ça

— Alors ? Qu’est-ce que tu en dis ? m’a demandé Nabil, encore tout sourire.

  Que pouvais-je en dire ? Je n’étais plus rien.

— Félicitation, ai-je grommelé.

  Le sourire de Nabil s’est encore élargi, puis il a joui en hurlant dans la bouche de ma femme.

  En arrivant dans notre chambre, au petit matin, j’étais déjà au bord des larmes. Comment avais-je pu laisser Nabil prendre ainsi le contrôle de ma vie ? Je venais de le laisser m’humilier devant toute ma famille.

  Non, devant nos deux familles.

Je n’oserais plus jamais les revoir après ça !

  Pourtant, si en plus je me coupais de ma famille, que me resterait-il ?

  Mais il y avait plus gênant, en tout cas dans l’immédiat : Nabil nous accompagnait, bien sûr, alors qu’il s’agissait de notre nuit de noces, mais deux de ses potes étaient également avec lui.

  J’avais attendu cette soirée avec impatience, puisqu’il m’avait promis que ce soir je perdrais ma virginité. Ce qui veut dire qu’il me laisserait coucher avec ma femme, enfin ! Pourtant, j’étais très anxieux à cette idée.

  Déjà, coucher avec elle aurait quelque chose d’intimidant, dans la mesure où j’aurais peur de ne pas être à la hauteur de Nabil. Alors le faire en plus devant lui, forcément ça ne m’aidait pas à me sentir mieux. Si je devais le faire devant trois mecs qui, probablement, se foutraient de la gueule du puceau que je suis, je n’avais aucune chance de parvenir à quoi que ce soit !

Peut-être d’ailleurs était-ce le but recherché, cette apparente sympathie de sa part n’étant qu’un leurre ?

  Nabil s’est approché d’Alexia en échangeant un regard graveleux avec ses potes, puis il a déchiré sans vergogne la magnifique robe de mariée de ma femme.

Une robe à 1 500 balles, putain !

  Le haut ainsi « arrangé », la jolie poitrine de Lexie est devenue visible par tous. Les deux lascars ne sont bien sûr pas privés de siffler ma femme comme s’il s’était agit d’un objet.

— Putain ce qu’elle est bonne ! a lancé l’un d’eux.

— Mate ces nichons, ça fera un bon garage pour ma bite ! a renchéri l’autre.

  Nabil m’a adressé un clin d’il plein de malice, puis il s’est tourné vers ses potes.

— Allez-y, elle est à vous !

  Le regard envieux des deux types est devenu un regard pervers, ils ont fondu sur leur proie sans attendre. Et quelle proie ! Alexia, en tenue de mariée partiellement déchirée, était particulièrement attirante. Et pleinement consentante

  Un des mecs a posé sa main sur la cuisse de ma femme, avant de la remonter brusquement sur ses fesses, par-dessous sa robe. Pas besoin d’être devin pour comprendre qu’ils ne seraient pas tendres ! Et le pire, c’est que je savais que Lexie adorait ça.

  Pendant ce temps, l’autre s’était jeté sur les seins de celle qui s’offrait à tous et il a commencé à les caresser. Non, le terme n’est pas le bon : il a plutôt commencé à les pétrir, toute notion de tendresse ou même de partage étant absente. Il usait à sa guise du présent de son « chef », à qui appartenait manifestement le corps d’Alexia.

— T’as le droit de te branler, a glissé Nabil à mon oreille, pendant qu’il profitait comme moi du spectacle.

— Je Je ne veux

  J’avais toujours du mal a accepter ma soumission, donc même si je me masturbais en les regardant à chacun de leur rapport, je ne parvenais pas encore à l’avouer et à le verbaliser. Surtout que ce soir, j’avais d’autres soucis en tête.

— Tu avais dit que je pourrais coucher avec ma femme ce soir, ai-je enfin réussi à riposter.

  Il a explosé de rire, puis il m’a tapoté le crâne comme un gentil petit toutou.

— Ne sois pas impatient ! Pour le moment profite, la soirée est loin d’être terminée.

  Il s’est alors avancé vers ses potes, qui se sont écartés respectueusement à son arrivée. Il a poussé Alexia sur le lit, puis il a soulevé sa robe pour dévoiler son intimité. Oui : son intimité ! Ma copine avait des bas, du meilleur effet d’ailleurs, mais pas de culotte.

  Sa vulve était donc visible à tous.

— Vous voyez cette petite chatte serrée ? Vous voyez cette bouche de salope ? Cette nuit, tout est à vous !

  Ses deux potes ont hurlé leur joie, puis ils se sont jetés de nouveau sur ma femme, offerte à leurs plus sombres désirs.

— Attention quand même, je ne vous demande qu’une chose, à précisé Nabil. Il faudra vous protéger quand vous aurez des rapports avec elle. On parle quand même de la future mère de mes enfants, et on est bien d’accord qu’aucun mec saint d’esprit n’offrirait sa meuf à d’autres sans protection !

  Il a éclaté de rire de nouveau après ça, en me regardant bien sûr. Et il avait tellement raison !

  La manière qu’il avait de parler d’Alexia me choquait toujours autant. Qu’il couche avec ma femme, passe encore, je m’étais fait à l’idée. Qu’il invite des potes pour ça, je n’étais plus à ça près, surtout qu’elle était d’accord. Mais il ne parlait pas d’elle comme de sa copine, dont il m’aurait ravi les faveurs. Il parlait d’elle comme d’un objet.

« Offrir sa meuf », comme si ce n’était pas elle qui s’offrait !

  Et le pire, c’est que ça ne dérangeait pas Alexia. Elle adorait être traitée comme ça, être dominée.

Et moi aussi !

  Nabil a présenté sa bite à l’entrée de la vulve déjà trempée de Lexie, puis il s’est introduit en elle. Elle a lâché un cri de plaisir, elle ne se cachait plus désormais. Bientôt, elle hurlait tandis qu’il allait et venait en elle.

  Cela a échauffé les potes de Nabil, qui se sont présentés chacun d’un côté du visage d’Alexia, nus tous les deux. Ils lui ont présenté leurs bites bien bandées et la coquine s’est jetée dessus comme une affamée. Elle les suçait à tour de rôle, comme une actrice de X, tout en se faisant baiser par Nabil.

Et j’adorais ça !

  J’ai commencé à me caresser, comme me l’avait autorisé Nabil, parce que ce spectacle me rendait dingue. Voir les queues dégoulinantes de bave de ces deux types disparaître à tour de rôle dans la bouche de ma femme, toujours en robe de mariée, c’était tellement bon ! Je voyais même sa douce main revêtue d’une alliance attraper de temps en temps une de ces deux bites pour la masturber pendant qu’elle suçait l’autre.

  Je me complaisais de manière masochiste dans ce genre de symboles : l’alliance à sa main rendait son adultère plus complet, plus terrible, plus douloureux et donc bien meilleur !

  J’ai très vite ralenti l’allure de ma masturbation, parce que sinon je serais venu très très vite. Or c’était hors de question ce soir, le soir où j’allais perdre ma virginité.

— Qui veut goûter à sa petite chatte ? a demandé Nabil en se retirant.

  J’ai failli répondre « moi ! », mais je me suis abstenu. Quelque chose me disait que mon heure n’était pas encore venue.

  D’ailleurs un des deux types s’est très vite porté volontaire : il a fait se retourner Alexia, qui est venue s’allonger sur lui. Il l’a pénétré avec un préservatif, comme le lui avait demandé Nabil.

Enfin, ils se montrent un peu raisonnables !

  Pendant ce temps, le deuxième mec a replongé sa virilité plus longue que jamais dans la bouche chaude et humide de ma femme.

  Qu’allait faire Nabil ? La bouche et le sexe de Lexie étaient pris, et je ne le voyais pas trop les regarder faire, ce n’est pas son genre. Je fus alors pris d’un doute affreux, qui m’a poussé à reconsidérer ses paroles passées : avait-il vraiment dit qu’il me laisserait coucher avec Lexie ?

L’avait-il dit clairement ?

  À bien y réfléchir, je me demandais s’il n’avait pas plutôt évoqué « la perte de la dernière virginité ». Lexie et moi en avions conclu qu’il parlait de moi, mais se pouvait-il que

Nabil m’a lancé un regard mauvais, suivi d’un sourire qu’il l’était tout autant.

Voilà qui vient accréditer mes plus sombres pressentiments

— Je crois qu’il est temps que quelqu’un ici perde sa virginité ! lança-t-il à la cantonade.

  Ces mots ne m’ont qu’à moitié rassuré, surtout vu le regard que me lançait Nabil était tout sauf rassurant.

— Hugo, viens par ici, m’a-t-il ordonné.

  J’ai jubilé : et si, il s’agit bien de moi !

  J’ai jubilé, mais une pointe de stress m’a également assaillie : j’allais perdre ma virginité, ce qui est toujours intimidant, mais j’allais le faire devant trois autres mecs qui n’auront certainement rien de mieux à faire que de se foutre de moi.

  Perspective plus qu’effrayante !

  Je me suis approché, rassemblant tout mon courage, près à faire l’amour à ma femme. J’ai fixé Lexie, de l’amour plein les yeux, et elle m’a répondu par le même regard. Pendant une seconde, nous avons oublié les autres, nous étions un couple normal qui s’apprêtait à faire l’amour pour sa nuit de noce.

  Nabil a pourtant très vite fait voler en éclats l’instant magique :

— Je voulais que tu sois aux premières loges pour assister à la première sodomie d’Alexia ! a-t-il lancé.

  J’étais foudroyé, anéanti.

Quoi ?!

  Lexie a fait à peu de choses près la même tête que moi, nous étions sidérés par tant de fourberie et de méchanceté.

— Je vous avais promis que la dernière virginité serait perdue ce soir, non ? Eh bah voilà : sa virginité anale va sauter. Prête Lexie?

  Il n’a pas attendu de réponse, il a commencé doucement à s’introduire en elle. Lexie n’a pas tardé à gémir de douleur, mais elle n’a pas protesté le moins du monde contre l’intrusion. Moi non plus d’ailleurs. Comme d’habitude finalement

  Heureusement pour ma pauvre Lexie, l’autre type qui la pénétrait il y a quelques minutes encore s’était retiré d’elle, il voulait laisser son chef profiter à loisir de son jouet. Au moins n’a-t-elle pas eu droit à une double pénétration pour sa première fois !

  L’insertion a quand même été longue et difficile. Les gémissements de douleur de Lexie n’ont pas tardé à être remplacés par des cris, lorsque Nabil a introduit la moitié de sa verge encore à l’extérieur d’un seul coup.

Le salopard !

  Il l’a alors pilonnée, allant et venant en elle sans pitié. Elle gémissait toujours, mais elle ne criait plus. Et elle n’a toujours pas protesté.

— Ça va mon amour ? Lui a demandé Nabil, hypocrite.

— Oui oui ça va, a-t-elle répondu d’une voix blanche.

Mais pourquoi lui était-elle aussi soumise ?

  Encore une fois, je me suis moqué de moi-même pour avoir ce genre de pensées : qui étais-je pour dire ça, moi qui le laissais sodomiser ma femme sous mes yeux et ceux de ses potes pendant notre nuit de noce ?

  Quand Lexie s’est habituée peu à peu à la douleur de sa première sodomie, l’autre type s’est réintroduit en elle à son tour, dans son vagin désormais délaissé. Elle a lâché un nouveau petit cri, de surprise et/ou de douleur, mais elle n’a toujours rien dit. Le troisième s’est à son tour replongé dans sa bouche en lui tenant le visage pour lui insuffler son rythme.

  Et voilà que ma femme, vierge de partout il y a peu de temps, était désormais prise par tous les trous par trois mecs, dont deux inconnus.

Comment notre vie a pu basculer aussi vite ?

  C’était loin d’être la première fois que je me le demandais, et tout aussi loin d’être la dernière.

  Je les ai regardés faire pendant les quelques minutes qu’a duré leur coït, à la fois envieux de ces types qui faisaient ce qu’ils voulaient à ma femme et heureux d’être dans ma position, celle du soumis réduit à la branlette. Oui, ça m’allait pas mal

  Le type sous elle a été le premier à jouir, remplissant son préservatif d’une abondante ration de sperme. Je le sais parce qu’il me l’a fait avaler jusqu’à la dernière goutte un peu plus tard Le second s’est soulagé dans la bouche de Lexie, c’est donc à elle qu’est revenu le soin de tout avaler.

Chacun sa portion.

  Nabil est venu bon dernier, se vidant les couilles dans les fesses de ma femme avec un plaisir qu’il a hurlé à la cantonade. Là encore, j’ai été forcé de tout récupérer, ce qui m’a fait regretter le goût de plastique du préservatif…

  Ce ne fut pas la seule fois de la nuit, bien entendu. De temps à autres, j’étais réveillé par le bruit d’une baise torride à côté de moi. À chaque fois, je me suis branlé à côté en les regardant faire. Et à chaque fois, je me suis éjaculé sur le ventre, misérable, pendant que ma Lexie en prenait pour son grade.

  Au moins, je pourrais dire que j’ai eu trois orgasmes pendant ma nuit de noce.

Une performance honorable, non ?

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