La vie de Benjamin fut très mouvementée. Après de longues années à soccuper de son entreprise, cet entrepreneur maintenant quarantaine décida de se reconvertir. Fatigué des voyages et des semaines à 70 heures, il revendit sa petite affaire et revint dans sa région natale. A cause de ce rythme effréné, il neut jamais le temps de fonder sa famille. Il enchaîna donc les conquêtes éphémères.
Il acheta alors une belle demeure, près de sa ville dorigine, quil prit soin de rénover entièrement seul, car il était toujours bien entretenu physiquement.
Il reprit ensuite ses vieilles habitudes et retourna au Bar quil fréquenta dans sa jeunesse. Là, il fit la rencontre de Charlotte, une charmante jeune blondinette qui y travaillait en tant que serveuse pour financer ses études.
Le courant passa très vite entre le quarantenaire et cette mignonne aux formes très généreuses. Elle avait un visage angélique dune jeune pucelle, mais avait des formes dune femme déjà toute faite. Son énorme 110F, des fesses bien en chair et ses hanches larges lui donnait la trique à chaque fois quelle se penchait avec son décolleté, pour lui servir son verre. Il hésita longuement à laborder, se disant quelle était trop jeune et inexpérimentée. Mais finalement, cest elle qui lapprocha et lui proposa de se voir dans un autre endroit. Ce fut ensuite le coup de foudre, bien quil eut plus de vingt ans de plus que la blondinette.
_ Viens, on va passer laprès-midi chez moi, ordonna Benjamin, après une semaine de relation. Létudiante, complètement amoureuse de son premier mec le suivait partout docilement.
Il lamena directement dans sa chambre, puis lembrassa langoureusement. Charlotte tenta vaguement de résister à son amoureux, mais celui-ci dénuda rapidement la jeune blonde. Elle se retrouva vite en petite culotte, avec une main de Benjamin sur lun de ses seins, lautre dans son entrejambe. Charlotte mouilla abondamment et ne voulait désormais quune chose: se faire dépuceler par son amoureux. Elle se laissa donc faire guider par cet homme viril et expérimenté. Benjamin voulut prendre son temps. Il lavait toute laprès-midi pour lui. Le quarantenaire savoura longuement labricot juteux de la jeune adulte, léchant tous les recoins de son fruit défendu.
_ Humm oui, humm oui je vais jouir ahhh ! je taime Benjamin, vas-y prends moi !, cria Charlotte après avoir explosé.
Benjamin ne se fit pas attendre et allongea la jeunette sur son lit. Il sentit lhymen encore intact de la jeune vierge du bout de son gland et fit des légers mouvements de va-et-vient. Charlotte grimaça de douleur et tenta de repousser son amant.
_ Vas-y doucement, sil te plait, murmura la jeune fille. ça me brule ! Aïe !
Le mâle perdit patience et plaqua Charlotte contre le lit, la tenant fermement.
_ Je vais te baiser comme une truie, lança le mâle.
Sitôt dit, sitôt fait. Il pilonna le con de la mignonne, ruinant complètement son innocence.
_ Ah ! Ah !, la jeunette gémissait de douleur. Ce nest pas grave mon chéri si tu me fais mal, parce que tu maimes… hein ? tu maimes ?
Benjamin nen pouvait plus de ces niaiseries. Il retourna la blondinette à quatre pattes.
_ Quest ce que tu fais mon amour ? je veux te voir, moi
le quarantenaire pris sa jeune femelle comme une femelle en chaleur.
Ferme-là petite chienne !
Non, AH ! AH! Ah ! les gémissements de Charlotte se muèrent en hurlement. Plus elle criait et plus Benjamin bandait dur. Plus il sentait son sexe se gonfler, plus il bourrinait la blondinette fortement. les corps nus des deux amants sentrechoquèrent au rythme des couinements de cette petite cochonne qui se fit saigner. Benjamin alla si fort quil craqua son préservatif. Tant pis, cette fente si étroite fut si bonne quil ne put sarrêter de labourer. Charlotte voulu se retirer, mais Benjamin tira les cheveux de létudiante pour mieux la maîtriser.
_ Reste là petite truie ! Benjamin continua de linsulter pendant quil la bourrait violemment. La docilité de Charlotte le rendait encore plus brutal. Ses énormes seins se balancèrent dans tous les sens, au rythme des coups de reins.
Il fit delle tout ce quil voulut et se vida les couilles en elle une fois, puis deux. La troisième fois, ce fut dans sa petite bouche.
_ Avale tout…
Glurp glurp Charlotte crut quelle allait vomir car Benjamin lui enfonça sa lance jusquau fond de sa gorge et lui maintint fermement la tête pour quelle ne puisse pas tout recracher.
Ah oui, je taime ma chienne, lâcha Benjamin qui continua de faire lamour à la bouche pulpeuse de létudiante. Il ne se retira que lorsque la dernière goûte de foutre fut avalée.
_ Tu veux rester ce soir ? demanda Benjamin, lorsque Charlotte repris son souffle.
_ Heu je voudrais bien, mais mon patron voulait que je rentre ce soir pour bosser, répondit timidement la blondinette.
_Ah, si ce nest que ton boss qui ne veut pas
Benjamin se dirigea alors dans une autre pièce de son appartement pour parler avec le patron de Charlotte, qui était un très bon ami de Benjamin.. Cette dernière ne put alors que d’entendre des bribes de conversations :
_ Oui, elle a glissé et sest fait très mal…Non ce nest pas grave ne ten fais pas Elle boite un peu mais ça devrait aller demain Ouai on se voit plus tard !
Benjamin revint dans la chambre.
_ Voilà cest réglé ! tu peux rester ce soir.
_ Mais quest-ce que tu as raconté à mon boss ? je ne boite pas du tout, lança-t-elle éberluée.
_ Pour linstant… répondit Benjamin avec un sourire pervers.
Charlotte eut un rire nerveux. Elle remarqua que Benjamin avait de nouveau la trique. Et avant quelle neut pu dire quoi que ce soit, le quarantenaire leut saisi par les cheveux.
_ Aïe ! Sois plus doux mon chéri sil te p
Benjamin jeta Charlotte sur le lit et lui enfonça son gland dans sa bouche.
_ Ferme-là, je tai dit, hurla le pervers en pilonant le fond de sa gorge. Maintenant mets toi à quatre pattes !
Charlotte obéit amoureusement. Puis, Il saisit brutalement sa femelle par les hanches larges. et la dépucela une seconde fois.
_ Aaaaahhh ! cria Charlotte qui se débatit en vain alors que Benjamin senfonça profondément dans ses intestins .
_ Ton petit cul est tellement étroit, soupira-t-il, tandis que Charlotte commença à pleurer de douleur.
Insensible à aux gémissements de la jeune femme, Benjamin prit allègrement son pied en déchirant violemment lanus de Charlotte. A chaque coup de bassin puissant, elle cria comme une truie que lon égorge.
Benjamin voulut profiter le plus longtemps possible de ce dépucelage violent, mais lanus délicat de sa belle compressait tant sa queue quil neut que le choix de se vider en elle, après quelques coups de boutoir. En sentant la semence de son amant la remplir, Charlotte fut soulagée de cette douleur lancinante qui lui brula lanus. Mais, elle ne fut pas au bout de ses surprises, car le quadragénaire en voulu toujours plus.
Sans prendre la peine de mettre des préservatifs, Benjamin baisa sa femelle toute la nuit, la faisant jouir à de nombreuses reprises. Il lui démolit une nouvelle fois son petit cul, jusquà ce que lorifice de Charlotte soit complètement dilaté.
_ Oui, Oui ! vas-y déchire moi le cul, finit par lâcher la blondinette, désormais complètement décomplexée.
_ Cest bien, ma chienne, prends ça, répondit Benjamin. Ah, AHH.
Après une dernière éjaculation, Benjamin saffala sur sa femelle, avant de se rouler sur le côté. Les deux amants finirent par sendormir, complètement souillés et exténués.
Le lendemain, Charlotte ne put pas retourner au travail : elle boitait tellement son cul était complètement défoncé par Benjamin.