N’y tenant plus, je porte ma main sur ma bite et commence à la caresser. Paul en fait autant. Ma bite est tellement raide qu’elle commence à me faire mal. Paul se lève, va s’allonger sur le canapé d’angle et se masturbe franchement en me regardant, je m’allonge sur l’autre partie du canapé et l’imite. L’excitation est tellement forte que je ne mets que quelques minutes à jouir en m’aspergeant le ventre. Paul est plus résistant il se masturbe toujours lentement, en décomposant bien les gestes. J’aime beaucoup faire des fellations et avaler le jus d’amour des mecs que je suce. Je ne résiste pas, me lève et vais vers mon oncle. Il me regarde sans bouger, sa main caresse juste son sexe pour le maintenir en forme. Quand je suis à son niveau, il se redresse en s’asseyant sur le divan, m’attrape par les hanches et m’attire à lui. Il me lèche le sperme qui macule mon ventre. Une fois bien nettoyé, il me lâche et s’allonge la bite toujours à la verticale. Sans un mot, je m’agenouille à côté de lui et le prend en bouche. Il se laisse faire en posant juste ses mains sur ma tête sans appuyer. J’ai du mal à la prendre en entier, mais je réussi tout de même à lui faire une gorge profonde qui manque de me faire gerber. Je me dégage un peu et continu ma fellation. Paul se raidi de plus en plus.
Attention Jules, ça va partir.
A ces mots, j’accélère le mouvement en lui titillant le gland avec ma langue pour bien lui faire comprendre que je n’attends que ça. Soudain, une énorme giclée de sperme me remplit la bouche, vite suivi par une seconde. J’avale tout prestement me préparant à la suivante qui ne viendra pas. Je ne le libère que quand je sens sa bite ramollir.
Oh putain, ou as-tu appris à sucer comme ça ?
Avec des hommes.
Tes copains ?
Non, des mecs que j’ai rencontrés dans des backrooms, des personnes plus âgées qui m’ont fait voir comment faire disjoncter un mec.
C’est quoi un backroom ?
Une backroom, c’est soit l’arrière-boutique d’un sexe shop soit un endroit spécifique ou plusieurs personnes peuvent regarder des vidéos sexe en cabine ou dans des petites pièces. La plupart sont homosexuelles ou du moins fréquentées essentiellement par des hommes. Par contre, les rares femmes que j’y ai vu sont de vraies salopes.
Tu vas dans ce genre d’endroit ?
Oui, j’ai commencé le jour même de mes dix-huit ans. Et je peux te dire que c’est super, que les mecs sont respectueux de ta tranquillité, que personne ne te force à quoi que ce soit et que j’ai beaucoup de succès.
Pas étonnant avec l’engin que tu as.
J’ose à peine y penser avec le tien ou celui de papa.
Ça, je ne pense pas que ça arrive. Tu t’es déjà fait sodomiser ?
Bien sûr, je peux même te dire que j’adore ça, et toi ?
Moi aussi, et j’adore aussi.
Par contre, je n’ai jamais eu un engin comme le tien dans le cul, le plus gros était à peu près comme moi.
Ce n’est déjà pas si mal.
Oui, mais j’ai toujours rêvé de me faire mettre un énorme truc dans le fondement, je veux essayer.
Mon cher neveu, je suis à ton entière disposition, mais pas tout de suite, cela demande une certaine préparation.
Et toi, tu en as eu un comme le tien dans le cul ?
Oui
Tu as rencontré un mec équipé comme toi ?
Bien sûr, ton père.
Quoi, mon père t’a enculé ?
Et je l’ai enculé, nous connaissons tous les deux la joie de se faire mettre un énorme pieu dans le fion, et pas qu’une fois.
Je suis abasourdi, mon père et son frère se sont mutuellement enculés, je dois trouver quelque chose pour m’assoir.
Et vous avez commencé quand ?
Lors d’une sortie étudiante dans les Pyrénées, nous dormions dans la même tente. Une nuit, comme nous n’avions pas nos copines avec nous, j’ai commencé à me masturber. Je croyais que ton père dormait, mais je me suis rendu compte qu’il me regardait.
Et tu as continué ?
Oui, d’autant qu’il a sorti sa bite de son sac de couchage en se branlant. Nous nous sommes masturbé jusqu’à ce que ton père tende la main pour s’emparer de ma bite et me masturber.
Tu as accepté de te faire branler par papa ?
Oui, j’ai adoré, il m’a fait jouir et s’est penché sur mon ventre pour me lécher mon sperme.
Il était homo ?
Non, simplement, il m’a avoué plus tard que c’était un geste instinctif, qu’il ne l’avait pas prémédité.
Et tu as fait quoi ?
Comme il bandait toujours, j’ai été pris d’une pulsion soudaine, je me suis penché sur lui et je lui ai gobé la bite. Je peux te garantir que ce n’a pas été facile de la gober.
Je sais, je viens de m’en rendre compte, tu as été jusqu’au bout ?
Non, il m’a repoussé au moment où il a joui, mais je lui ai léché le ventre pour le nettoyer.
C’est tout ?
Pour cette nuit oui, mais la nuit suivante a été plus hard.
Vous vous êtes enculés ?
Oui.
Qui a commencé ?
C’est ton père qui m’a enculé le premier, il s’est glissé derrière moi, il bandait, j’ai senti sa main me badigeonner le cul de son huile solaire puis son gland est venu entre mes fesses.
Tu t’es laissé faire ?
Bien sûr, son gland m’a écarté les fesses, je dois dire que j’appréhendais un max, un tel engin pour la première fois, ça me faisait peur.
Ça, je comprends
Il m’a fait mettre sur le ventre, il s’est couché sur moi et a mis plus de cinq minutes à m’introduire son membre dans le fion. Je n’ai pratiquement pas senti le passage tellement il a été lentement. Je dois dire aussi que quelques temps avant de venir me coucher, je m’étais mis un gros manche de tournevis dans le cul. Je pense que ça a facilité la chose.
Je le pense aussi, et pour papa ?
Je l’ai enculé tout de suite après en faisant comme lui, mais lui ne s’était pas préparé comme moi et ça a été un peu plus dur. Je dois dire que ça nous a beaucoup plu et que nous avons recommencé souvent depuis, d’ailleurs nous le faisons toujours.
De nos jours ?
Oui, je vais souvent avec tes parents lors de leurs soirées.
Avec tata Sylvie ?
Oui, bien sûr.
Et vous vous mélangez, vous faites l’amour ensemble ?
Oui, moi avec ta mère, avec ton père, ta mère avec Sylvie, Sylvie avec ton père, sans compter les autres. Nous sommes libertins, c’est naturel pour nous.
Ça vous arrive souvent papa et toi ?
Oui, très, en fait, nous n’avons des rapports homosexuels qu’entre nous deux, les bites des autres nous paraissent un peu légères.
Je peux comprendre, ça veut dire que je n’ai aucunes chances avec vous.
Non, je pense que tu as ce qu’il faut pour nous faire plaisir. Mais comme je te l’ai dit tout à l’heure, on verra plus tard.
Cette discussion m’a fait bander, je pose ma main sur ma bite et commence une nouvelle masturbation. Paul se lève.
Ne bouge pas.
Il vient s’agenouiller devant moi et me gobe la bite. Sa langue s’active sur mon gland, il me fait une gorge profonde, mais je me libère, je ne suis pas fan de ça. Sa langue reprend son action et ne pouvant résister à sa technique, je fini par me vider dans sa bouche. Il englouti tout et le suce jusqu’à ce que ma bite commence à se ramollir. Je viens de jouir deux fois de suite, je suis encore excité, mais pas pour jouir, je veux de nouveau le faire se vider dans ma bouche. Quand il se redresse, je l’attrape par les hanches. Son sexe est déjà bien développé et je n’ai aucun mal à le gober. Ma langue s’active autour de son méat, je sens cette superbe bite gonfler dans ma bouche, comme si elle ne voulait pas arrêter de gonfler et me faire exploser la mâchoire. Il finit par se vider dans ma bouche, mais cette fois-ci je reçois trois giclées de sperme que j’avale avec délice. Je le libère quand sa bite est molle, il s’assoit à côté de moi.
Putain qu’il est bon ton sperme.
tu aimes ?
J’adore, j’espère que celui de papa est aussi bon.
Tu le sauras bientôt je pense.
J’espère.
J’aime ta bouche, tu sais très bien t’en servir.
Je peux te retourner le compliment.
Je constate que l’heure a tournée, il est bientôt trois heures.
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