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Promotion Immobilière – Chapitre 2

Promotion Immobilière - Chapitre 2



rappel : cette série a été écrite en collaboration avec Stéphaniedel

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À peine dix minutes plus tard, un autre homme pénètre dans le bureau : Michel Hpassage, le chef de chantier. Grand, à moitié chauve, les cheveux gris et pas trop propres, son abdomen proéminent tend une chemise à carreaux dont un bouton est défait au niveau du ventre. Outre la grosse ceinture de cuir, une paire de bretelles aide à maintenir le pantalon de toile grise.

Salut, ma poulette !

Dites donc, vous, je ne suis pas votre poulette ! répond Stéphanie d’un air offusqué.

Allons, ne le prends pas mal. Dis donc, t’es sacrément sexy avec cette petite robe

« Il ne manquait plus que lui ! Il va m’emmerder longtemps, celui-là ? C’est vraiment pas le moment… Et d’abord, depuis quand il se permet de me tutoyer ? » se dit-elle. La visite de monsieur Lioubov, avec sa réflexion au sujet de l’odeur, l’a suffisamment mise mal à l’aise.

Bon, écoutez, j’ai du travail ; vraiment pas le temps de papoter.

Dommage… J’ai croisé un de tes clients en arrivant…

Il laisse passer cinq secondes avant de poursuivre, observant le visage de la femme qui s’est légèrement crispé.

Il m’a raconté une drôle d’histoire. Il a pas tort d’ailleurs : c’est vrai que ça sent le sexe, ici…

Monsieur Hpassage, je ne comprends rien à ce que vous dites, et vraiment je n’ai pas le temps !

Bon, bon, te fâche pas. Je repasserai demain.

Puis il part en maugréant, tout en jetant un dernier regard sur les cuisses et le décolleté de Stéphanie qui sinquiète en son for intérieur : « Merde… Là, je suis vraiment mal. Il pouvait pas tenir sa langue, l’autre vieux qui n’a même pas encore signé ! »

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Le lendemain, l’air s’est un peu rafraîchi. Stéphanie a rendez-vous avec monsieur Lioubov ; elle va le vamper. Le plus important, ce sera le faire signer ce foutu contrat de vente. Son boss, monsieur Lambdales, a refusé le rabais de 3% ; il veut bien accorder 1% tout au plus : il va falloir être convaincante.

Une petite jupe noire toute simple, chemisier turquoise, bas couleur chair et porte-jarretelles blanc, une veste noire assortie à la jupe. Dans quelques minutes, le vieux va arriver. Elle sort son miroir, rectifie son maquillage, enduit ses lèvres d’un rouge vif.

« Il ne va pas résister une seule seconde. Mon pauvre vieux, tu vas signer, et vite ! » se dit-elle. Sa décision est prise. À l’idée de ce qu’elle va faire, un frémissement court le long de son dos. Elle le sait : aucun homme n’a jamais résisté au traitement qu’elle se prépare à appliquer au vieux. Et puis, au fond d’elle-même, elle aime tellement ça, faire craquer les hommes…

Perdue dans ses pensées, elle n’a pas entendu l’homme arriver. En le découvrant à l’entrée du bureau, elle sursaute.

Monsieur Lioubov… Comment allez-vous ?

Bien, ma p’tite. Alors, ces 3% ?

Stéphanie se lève, contourne le bureau, s’assoit sur le plateau face à l’homme, croise lentement les jambes en levant une cuisse bien haut pour exhiber les attaches des jarretelles et le morceau de peau bronzée au-dessus de la lisière des bas.

Mon directeur n’a pas accepté les 3%.

Non ? Tant pis pour lui… et pour vous. Alors je m’en…

Attendez, j’ai une proposition honnête à vous faire.

Elle ouvre la veste de son tailleur, défait un bouton de son chemisier, puis un deuxième, les yeux rivés dans ceux de l’homme, vérifie que son porte-jarretelles est bien visible.

Il accepte de vous faire 1%.

Quoi ? Pas d’accord.

En plus du 1%, je peux vous faire une petite disons une petite gâterie.

L’il de l’homme s’allume ; il s’assoit, le visage à hauteur des cuisses toujours croisées aussi haut.

Je veux bien vous faire une fellation. Mais avant, il faut signer.

Le type réfléchit. Stéphanie en profite pour décroiser les jambes et les recroiser en changeant de cuisse, exhibant au passage sa culotte de tissu transparent.

Tu me suces d’abord, petite pute !

Tsss… ne m’insultez pas. Vous signez en même temps que je vous suce. Ça marche ?

« J’espère qu’il va bander rapidement, sinon ça va prendre des heures » pense-t-elle. Une sourde excitation monte dans sa tête ; elle adore faire des fellations, surtout quand la queue est dure, tendue, quand elle sent l’emprise qu’elle exerce sur l’homme en s’affairant sur son membre.

Une minute ; montre-moi d’abord ta culotte !

Elle écarte généreusement les cuisses, lui en mettant plein la vue ; la culotte transparente moule exagérément la vulve gonflée. L’homme dénoue sa ceinture, écarte les pans du pantalon et sort un membre épais gorgé de sang.

Excitée, elle examine la queue qu’elle va devoir sucer à fond tandis que des pensées lubriques envahissent son esprit : « Le salaud, il bande comme un taureau ! Finalement, sucer cette queue pour le faire signer, ça va être sympa… et elle grossit encore ! Cest pas croyable »

Tsss-tsss, le contrat.

Elle se retourne, exposant son fessier moulé par la fine culotte. Elle fouille le plateau de son bureau, trouve le contrat, le pose sur le bord face au client.

Vous signez pendant que je vous suce.

OK, dépêche-toi ! Putain, t’es belle…

Stéphanie s’agenouille, saisit la queue d’une main, approche sa bouche. Alors commence ce qu’elle fait de mieux : une fellation. Ce n’est pas un hasard si ses amants l’ont appelé "miss monde fellation" ; sa technique consiste à plonger un regard de salope chargé des pires turpitudes dans les yeux de l’homme sucé : aucun ne résiste à ça. Elle alterne les profondes succions avec de savants jeux de langue sur le frein, le méat, le regard toujours fixé dans celui de l’homme.

Le vieux type gémit, tente de se relever pour la baiser, mais elle le tient bien en s’aidant de ses deux mains posées sur les cuisses.

Laissez-vous faire, sinon j’arrête.

Donne-moi ton cul, salope !

Serrant fort le membre, elle rétorque :

Je vous ai promis une fellation, c’est déjà beaucoup ; et n’oubliez pas de parapher chaque page.

L’homme répond par un grognement. Puis une autre voix, forte et grave, se fait entendre :

Et ben, on s’amuse bien ici !

Le chef de chantier, ce gros porc de Patrick Hpassage vient d’entrer dans le bureau.

Stéphanie se fige, la main serrant fort la bite du client. « Merde… J’ai oublié de fermer la porte à clef ! »

Elle a retiré sa bouche, mais sa main droite tient toujours le membre raide du vieux.

Je savais bien que sous ses grands airs, elle a une bouche de suceuse, cette salope ! On va se la faire à deux dit Hpassage en ricanant.

Elle suce bien, cette petite pute ; et regardez ses dessous : elle m’attendait en porte-jarretelles, des vrais dessous de pute. Toi, relève-toi et sors tes nichons !

Ils sont moches, surtout le chef de chantier ; il la dégoûte avec sa bedaine et ses bretelles ridicules. Pourtant, vu la situation scabreuse, l’excitation prend le dessus : elle s’adosse au bureau, ouvre son chemisier, sort ses globes aux pointes érigées. Elle se sait belle. Sexhiber fait partie de ses fantasmes, surtout à des vieux. Une tache de mouille orne sa fine culotte. Avec un sourire narquois, elle lance :

Ils vous plaisent mes seins, bande de gros salauds ? Voulez-vous que je vous suce ensemble, ma belle bouche autour de vos sales queues ? Et toi, le gros, tu bandes un peu ?

Si je bande ? Attends un peu, tu vas voir le morceau.

Le chef de chantier se dégrafe, sort une queue encore à moitié molle, cachée par la graisse de son ventre.

Hum, pas terrible…

Suce-moi… Tu vas voir si j’bande pas !

Et toi, le vieux, tu as signé ?

Elle perd pas l’nord, la ptite Oui, c’est fait. Remonte ta jupe, fais voir ton cul.

Elle est maintenant complètement excitée ; le fond de sa culotte est trempé. Elle n’a plus qu’une idée en tête : les faire gicler.

J’ai envie de l’enculer, cette petite pute déclare Lioubov.

Ça va pas ? Pas question, je suce et c’est tout.

Ta gueule ; t’inquiète pas. Jai une capote. Tu vas voir, tu vas aimer ça.

Et moi Tu suces, oui ou merde ? réclame Hpassage.

Oui, j’arrive. On voit rien avec votre gros ventre.

Bouge pas, je vais m’installer ; tu pourras sucer ma queue facilement. Et applique-toi !

Il s’allonge sur le plateau du bureau, les jambes pendantes. La queue toujours à moitié bandée (ou à moitié molle, comme le pense Stéphanie), il attend impatiemment, un sourire narquois aux lèvres.

Elle saisit la queue, la caresse doucement, mettant tout son savoir-faire dans le regard qu’elle lui jette, puis elle plonge en avant, les lèvres entrouvertes. Alors elle triomphe : la queue se redresse, durcit, et prend place dans le doux fourreau de la bouche qui la malaxe.

Penchée sur le gros, Lioubov est obnubilé par le derrière cambré de la femme. Il ne pense qu’à une seule chose : s’enfoncer entre les deux globes. Il approche deux doigts, écarte la culotte et en glisse un le long de la raie, masse les contours de l’anus. Puis il se penche, crache sur le petit illet. Stéphanie sursaute ; le salaud sait y faire Elle adore que l’on s’occupe de son petit trou, surtout quand c’est bien fait.

Le vieux est un habitué, ou plutôt un expert : son truc, c’est sodomiser les femmes ; les belles, les moches, surtout les mères de famille. Alors il y met tout son savoir-faire, obsédé par son envie. L’entrée du trou graissé à la fois par sa salive et par l’excitation de la femme, il fait pénétrer un doigt, le ressort, puis l’enfourne encore en y ajoutant un deuxième. Stéphanie frémit ; elle a compris, elle sait bien ce qui va lui arriver. Par contre, se faire sodomiser par ce sale type, non, quand même pas ! Elle triomphe ; elle a maintenant la bouche pleine : la queue du gros moche est bien raide, et bien plus grosse qu’elle ne l’avait imaginée.

Nonnn… Salaud, laisse mon cul tranquille.

Laisse-toi faire, salope !

Lioubov, à l’aide des deux mains aux ongles trop longs, déchire la culotte. Les yeux braqués sur le fessier, il approche le bout de sa queue protégée par une capote et l’enfonce lentement. Elle se cambre un peu plus, offrant son trou à la bite qui la pénètre.

Aaah… salaud ! gémit Stéphanie, la bouche pleine de la queue du gros.

Tu la sens, salope ? Tu la sens bien ? Tu aimes te faire enculer, ça se voit, tu tortilles des fesses !

Le gros râle, hurle en lâchant une giclée de foutre au goût âcre dans la bouche de la jeune femme. Elle se redresse vivement ; une deuxième giclée heurte son nez, coule sur ses lèvres et dégouline le long de son menton.

Alors Lioubov, les yeux exorbités, l’encule plus fort ; les coups de boutoir font trembler la table à laquelle Stéphanie s’est agrippée des deux mains, le bas du visage maculé du sperme que le gros a giclé. Il souffle, le visage rougi par l’effort, se raidit. Stéphanie se met à jouir, fort, en couinant, les cheveux en bataille mouillés de transpiration. Sa jouissance provoque celle du vieux, qui hurle :

Salooope !

[À suivre]

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