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Prêt à tout pour s'intégrer – Chapitre 1

Jeux coquins - Chapitre 3



Je m’appelle Antoine, j’ai 27 ans et je viens d’intégrer une grosse boîte ; je suis le plus jeune parmi tous mes collègues. Je suis bien conscient que ma présence ici est une chance immense, et qu’il faut que je fasse mes preuves. Mes collègues ont tous entre 35 et 40 ans – mon patron en a 50 – et je ne me sens pas toujours à l’aise à côté d’eux. J’essaye de m’intégrer mais ce n’est pas toujours facile, aussi ai-je sauté sur l’occasion quand ils m’ont proposé de me joindre à eux pour leur traditionnel poker du vendredi soir.

La veille, je préviens ma femme que je rentrerai plus tard en raison de l’invitation de mes collègues. Elle me répond en souriant qu’elle est ravie que je me fasse ma place dans mon cercle professionnel, avant de m’embrasser très légèrement, en m’effleurant à peine ; cela me suffit pour avoir envie d’elle. Ma femme s’appelle Christine et a deux ans de moins que moi ; c’est une superbe petite brune, avec des seins étonnamment gros pour sa petite corpulence, et un fessier rebondi. Elle a des yeux très verts, une petite bouche bien rose et la peau claire. Je l’aime plus que tout au monde.

Lorsque vendredi j’arrive chez Michel – celui chez qui se déroule traditionnellement la partie de poker hedbomadaire – tous mes autres collègues sont déjà là. Nous ne sommes pas si nombreux que ça : il y a Eric, Pierre, Alain, Michel et le patron, André. Ce ne sont là bien sur que les cadres les plus importants de l’entreprise – dont je fais partie, j’ai du mal à le réaliser. Michel m’indique où poser mon manteau, accepte la bouteille de vin en me remerciant et me serre un verre tandis que je m’installe autour de la table. Mes collègues ont déjà tous commencé à boire, alors je m’y mets aussi pour ne pas être en reste. Il règne un esprit familial auquel j’ai moi aussi envie d’adhérer.

— Bon ! Puisqu’Antoine est arrivé, nous allons pouvoir commencer à jouer ! s’exclame André.

— Il faut que tu saches qu’on ne joue pas d’argent, ajoute Eric. Nous jouons des jetons, et nous donnons un petit gage au perdant pour pimenter le jeu.

J’acquiesce pendant qu’on distribue les cartes. Nous commençons à jouer ; j’ai une certaine maîtrise du poker, mais je découvre vite que les autres aussi. Le jeu est serré, et concentrés comme nous le sommes, nous buvons sans même nous en rendre compte. Je suis saoûl en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, et je ne suis pas le seul ; Alain est le premier à perdre. Des rires jaillissent et des quolibets fusent pour se moquer du perdant, et je suis bien content d’être encore dans la course.

— Un gage ! beugle Eric.

— Oui, un gage ! répète Michel. Puisqu’on est chez moi, c’est moi qui choisit le premier gage…

Il hésite une petite seconde, puis balance :

— T’as déjà enculé ta femme ?

J’ai peur d’avoir mal entendu, mais non, il a bien dit ce qu’il a dit. Personne ne semble gêné ; tout le monde a même l’air de trouver ça normal. Moi, je suis gêné, mais je n’ai pas envie que les autres s’aperçoivent de ma réaction, je fais donc semblant de rien. Alain lui même ne paraît pas offusqué de la question, il rigole de bon coeur avec tous les autres.

— Eh bien oui, finit-il par répondre, je l’ai déjà enculé ! et j’ajoute qu’elle aime ça !

Sa réponse soulève les rires de l’assemblée, auxquels je me joins pour ne pas faire tache. Après tout, ce n’est rien de plus qu’une discussion entre hommes, le cul n’a pas être tabou puisque nous ne sommes qu’entre mâles ! Il n’y a absolument pas de quoi rougir. Si je veux m’intégrer, il va falloir que mes a priori de jeune petit bourgeois coincé disparaissent.

La partie reprend, avec maintenant seulement Eric, Michel, André et moi. Alain nous encourage en resservant nos verres. J’ai la tête qui tourne, mais je reste concentré, et c’est au tour de Michel de ne plus avoir de jetons.

— AH ! A ton tour ! s’exclame Alain.

— Je choisis le gage ! dit Eric. Michel, tu dois nous montrer une photo de ta femme à poil.

Je suis plus choqué encore que lors du précédent gage, mais je n’en montre rien. Michel sourit, André sourit, Eric sourit, Alain sourit, je souris donc aussi.

— Nous l’avons vu plusieurs fois lorsque nous venions jouer au poker ici, et je pense qu’elle nous a tous fait la même impression, continue Eric. Nous aimerions donc tous voir à quoi elle ressemble dans le plus simple appareil… Quant à Antoine, il ne l’a encore jamais vu, ce sera l’occasion pour lui de la découvrir !

— Vous êtes des beaux salauds…, dit Michel sans se départir de son sourire.

Il sort son iPhone de sa poche, fouille dans ses dossiers, puis au bout d’une ou deux minutes qui semblent interminables – même pour moi – il brandit son téléphone face à nos visages attentifs.

Apparaît face à nous la photo d’une jolie blonde ; elle est dos à nous et se penche en avant, offrant une vue imprenable sur sa croupe. Son visage est tourné vers l’objectif et elle tire la langue dans une moue mi-salope mi-sexy, on peut voir un de ses seins qui tombe, lourd, vers le sol, le mamelon pointant d’excitation. Son cul est super bandant, on discerne l’anus et la chatte, et tout ça commence à me faire sérieusement bander. La femme de Michel adresse au photographe un regard de vraie chienne en chaleur, se pensant sans doute dans l’intimité du couple. Bien mal lui en a pris. Eric pousse un sifflement d’admiration.

— Eh ben dis donc ! Je suis pas déçu !

André et Alain ne disent rien, probablement parce qu’ils bandent autant que moi. Michel range son portable avec un air satisfait, et la partie reprend, avec maintenant seulement moi, Eric et André, le patron. Nous sommes vraiment très ivres à présent, les vapeurs d’alcool nous montent à la tête et Eric ne tarde pas à perdre. Alain se frotte les mains à l’avance du gage qu’il va lui donner, on voit qu’il a déjà l’idée toute prête dans sa tête. Dès la seconde où Eric n’a plus de jeton, Alain s’exclame en pointant le doigt sur lui :

— Tu dois nous montrer la vidéo de ta femme dont tu m’as parlé !

Une vidéo ? C’est tout juste si je ne rebande pas de suite… Trop saoûl pour m’étonner à présent, je me contente de saliver en regardant Eric sortir à son tour son iPhone. Grisé par le whisky, je me laisse aller à jeter un oeil à l’entrejambe de mes collègues… Pas de doute, ils ont tous la trique. Même Eric, oui, même Eric bande à l’idée de nous montrer une vidéo intime de sa femme.

La vidéo commence, on voit une jolie brune qui suce avec ardeur la bite d’Eric ; elle lève règulièrement ses yeux vers la caméra, avec un regard qui me donna l’impression que j’allais jouir ici, maintenant, dans mon pantalon – heureusement je sus me retenir. De temps à autre Eric passait sa main dans les cheveux de sa femme, l’encourageant par des "vas-y ma belle, suce moi bien… Enfonce bien ma bite dans ta jolie petite bouche…" et attrapant parfois sa tête pour accélérer la cadence et lui enfoncer son chibre encore plus profondément dans la gorge. Au bout de quelques minutes, Eric retira violemment sa bite de la bouche de sa femme, retourna celle-ci et la pénétra jusqu’aux couilles tout en continuant de filmer ; il la baisait en levrette en nous offrant un plan inoubliable sur la pénétration, le cul de sa femme qui allait et venait sur la bite. De temps en temps il la fessait en la traitant de salope. Il jouit assez rapidement, et la vidéo s’arrêta là.

Nous étions tous tremblant d’excitation. Je n’avais qu’une envie, rentrer chez moi et faire l’amour à ma compagne pour me libérer enfin ; mais la partie n’était pas terminée, il restait André et moi. Nous reprîmes donc. Alain, Eric et Michel nous resservait à peine notre verre était vide, et j’avais de plus en plus de mal à rester dans le jeu. Qui plus est j’avais pour le coup un jeu terriblement mauvais, et j’avais très peur de ce qui allait m’arriver si je perdais. L’idée ne m’avait pas percutée jusqu’alors, mais il était évident que mon gage, si je perdais, allait forcément concerner ma chère Christine. Et cela m’effrayait. Je ne voulais pas perdre ; je tentais donc le tout pour le tout et bluffais. Je regardais mon patron droit dans les yeux tandis qu’il tentait de sonder mon âme à la recherche de la valeur réelle de mon jeu. Lut-il dans mon regard ? Fut-ce le hasard ? Toujours est-il que je perdis, tandis que les autres m’acclamaient.

— Tu es un bon joueur de poker, déclara André. Tu as misé gros. Tu était à ça de gagner, mais tu as perdu ; et tu sais bien que quand on mise gros et qu’on perd, on perd autant que ce qu’on a misé.

J’étais à la fois terrorisé et follement excité ; mon coeur battait à tout rompre.

— Tu dois nous présenter ta femme nue et les yeux bandés.

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